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Enfin un livre de sagesse qui admet l’imperfection ! Un manuel, dit le livre lui-même… Mais alors un manuel bien vivant, bien proche des questions que nous nous posons. Des questions ancrées dans la vie quotidienne, et qui tendent vers un perfectionnement spirituel permanent. Un cocktail étonnant, détonnant, de bon sens et d’élévation de soi.
De quoi se transformer en profondeur tout en vivant sa vie, simplement.
C’est que ce livre se structure d’une manière particulièrement intelligente, de façon à nous accompagner dans un changement en douceur, à la fois dans notre vision et notre participation au monde ordinaire, et dans nos aspirations profondes, les nôtres, et non pas des valeurs prescrites.
Cinq parties structurent la recherche, et la pratique, du meilleur de soi : le découvrir, le fréquenter, l’installer dans toute sa vie, y résider (dans le meilleur de soi !), et enfin : être le meilleur de soi. Et chacune de ces parties se développe à partir d’une vision métaphorique qui accompagne la réflexion et la met directement à portée de notre entendement. Par exemple : Les petites musaraignes de la paix – Le monde des envies – La toilette psychique – La pétanque sacrée – L’art de la question – La grippe à bière…
Ce n’est pas un manuel banal !
Et c’est un accompagnement progressif qu’il nous propose, pour que chacun aille « vers sa vie plus juste », puis pour « pouvoir ensuite guider les autres vers leur vie plus juste ». A chaque sous-étape (par exemple celle de la « toilette psychique »), cinq moments de réflexion-action sont proposées :
Et finalement, comme le disent César et Jacques : « Le meilleur de nous est tout à côté de nous. Il nous attend »
Le monde de César sur son site
Né en 1951. Diplômé de kinésithérapie en 1973, il se forme ensuite à l’ostéopathie. Sa recherche sur le corps va le conduire à créer une méthode d’investigation de la psyché humaine, la Psychanalyse Corporelle.
Poursuivant sa quête intérieure auprès de plusieurs maîtres jusqu’à sa rencontre avec Gitta Mallasz qui va bouleverser sa vie, il crée en 1983 l’association Artas qui se définit comme une voie spirituelle dans l’ordinaire pour « apprendre à passer du pire de soi au meilleur de soi ».
En 1985, il rencontre Gitta Mallasz. Fasciné par le personnage, il s’éprend de son enseignement et devient son compagnon de route. Elle lui fait vivre une spiritualité ordinaire et naturelle qui transforme sa vie. Elle le pousse à écrire son parcours. Nait alors la saga des César.
Il a grandi dans un environnement cosmopolite. C’est sans doute cela qui lui a précocement donné une ouverture sur le monde. Ainsi, son diplôme de l’EM Lyon en poche, il choisit de travailler dans différents pays où il s’enrichit de différentes façons de penser et de vivre.
Côté passion, c’est les arts martiaux, karaté et aïkido. Il s’y adonne des heures. Il s’y entraine d’abord pour la pratique physique avant de découvrir sa dimension spirituelle. C’est ce qui va déclencher sa recherche spirituelle.
En 2002, il rencontre Bernard Montaud. Rencontre bouleversante puisqu’il va d’emblée suivre assidûment son enseignement. Dix ans plus tard, en parallèle de son métier de consultant et d’enseignement à l’université, il transmet l’enseignement de Bernard Montaud à travers la France.
En 2017, il fonde avec lui Les Roses Rouges sur le Bitume, une association d’aide aux prisonniers américains.
En 2021, il rédige avec lui le 5ème livre de la Saga des César, César l’imparfait heureux, un manuel de sagesse inspiré par Gitta Mallasz.
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Ecoutez le podcast ***
Lieux sacrés : Mathieu LOURS et Benoit de SAGAZAN sur KTO
Le livre édité par Larousse “100 destinations pour s’éveiller à la spiritualité” pose d’emblée la question. Une question que l’auteur, Clare Gogerty, a dû se poser pour choisir ces 100 lieux… et elle ne s’est pas trompée.
Sa première réponse est sans doute la plus intéressante : ce sont des lieux qui recèlent une inexplicable magie. Ils suscitent en nous une impression profonde et mémorable.
Je pense en fait que c’est notre part de sacré qu’éveille le lieu. Un moment dans l’espace et le temps lui fait écho et résonne.
L’auteur nous parle aussi des voyages qui transforment. C’est au retour que nous le savons : “il s’est produit un changement intérieur, un approfondissement de la conscience de soi.”
L’intériorité et le lieu partagent une vibration, aménagent un espace où l’âme et le monde se rencontrent.
Quelques conseils pour un voyage d’éveil spirituel
1 ÉCOUTEZ L’APPEL
Y a-t-il un lieu qui vous attire plus particulièrement ? Êtes-vous prêt à vous lancer dans une quête spirituelle, une quête de sens ? Prenez conscience des lieux et des idées qui trouvent un écho en voUs. Suivez leur appeL Qui sait où cela vous mènera…
2 PRÉPAREZ-VOUS AU VOYAGE
Faites des recherches sur les lieux que vous allez visiter servez-vous de ce livre comme point de départ !
Tracez un itinéraire approximatif en laissant suffisamment de place à la spontanéité.
3 FRANCHISSEZ LE SEUIL
Les préparatifs sont terminés, le voyage commence.
4 VOYAGEZ INTENTIONNELLEMENT ET EN PLEINE CONSCIENCE
Partez dans l’intention de vous imprégner de la sagesse de cultures différentes de la vôtre. Investissez-vous mentalement et émotionnellement dans vos pérégrinations. Regardez vraiment ce qui s’offre à vous. Arrêtez-vous souvent pour réfléchir à ce que vous voyez. Accueillez les gens en gardant l’esprit ouvert. Marchez d’un pas léger. Soyez attentif. Notez vos expériences dans un journal.
5 RENTREZ CHEZ VOUS ET RÉFLÉCHISSEZ
Songez à la signification de votre voyage et aux changements qui se sont opérés en vous.
6 CONTINUEZ À CHANGER
Appliquez ce que vous avez appris dans votre vie quotidienne, Continuez à évoluer. Le voyage extérieur a beau être terminé, le voyage intérieur ne fait que commencer.
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LE MYTHE DE LA CRÉATION DES MAORIS
Les Maoris arrivèrent en Nouvelle-Zélande depuis la Polynésie à bord de wakas (canoës) à partir de 1250 environ. Ils n’ont pas d’histoire écrite, mais leurs mythologies de la création nous ont été transmises par des conteurs. Même si des détails peuvent varier, le mythe de la création est globalement le même.
Au début, il y avait le vide, Te Kore. Dans ce vide surgirent deux dieux t Ranginui (Rangi), le Père Ciel, et Papatüânuku, la Terre Mère, qui étaient enlacés. Ces premiers parents donnèrent naissance à de nombreux enfants mâles qui vivaient ensemble, confinés dans l’obscurité. En grandissant les fils se demandèrent ce que cela ferait de vivre dans la lumière, Tümatauenga (ou Tü), le dieu de la Guerre, qui était le plus féroce, suggéra qu’ils tuent leurs parents pour le découvrir. Son frère Tâne (le dieu des Bois) n’était pas d’accord et dit qu’il serait préférable de les séparer ; ainsi, leur père resterait au-dessus d’eux et leur mère Se retrouverait au-dessous et les nourrirait. Les autres frères, Rongo (dieu de la Nourriture cultivée), Tanagaroa (dieu de la Mer) et Haumia-tiketike (dieu de Toute Nourriture non cultivée) unirent leurs forces pour les séparer, mais ils échouèrent, Finalement, Tâne réussit à les séparer en les repoussant à l’aide de ses jambes musclées et de ses larges épaules. C’est ainsi qu’il créa Te Ao Mârama le monde de la lumière. Papatüânuku pleura lors de la séparation et ses larmes formèrent les fleuves et les rivières. Tâne créa les premiers êtres humains, les étoiles, et amena la connaissance dans le monde.
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Ce livre apporte une lumière très claire sur le Qi Gong, mais pas seulement. Sur les liens entre les grands thèmes de la spiritualité. A commencer par le lien corps-esprit. Mais aussi, le lien, aujourd’hui indispensable avec les sciences cognitives. Plusieurs chapitres sont consacrés, successivement, aux approches scientifiques occidentales :
J’ai compris le rôle fondamental que le taoïsme a joué ans la relation de l’homme à la nature, sans pour autant aborder la question de la religion. Il a largement participé à la vision sur l’unicité du couple esprit/corps dont le concept commence à prendre place dans les pays occidentaux. J’ai appris à quel point les exercices de Qi Gong relient ces deux entités dans une indissociable continuité. Au-delà des gestes visibles provenant des mouvements du corp s’élabore une alchimie subtile interne qui ouvre à une autre dimension dans la compréhension holistique de l’humain. Elle se poursuit par la découverte des perceptions intérieures de son propre corps donnant accès à d’autres dimensions dans ses relations avec le monde extérieur, notamment par la perception de l’espace. Le Qi Gong est littéralement l’outil qui permet de partir à l’exploration de soi : de ce corps jusque-là inconnu dans lequel pourtant nous vivons et de ce cerveau dans les méandres desquels nous passons notre temps nous égarer. Il en résulte une perception renforcée de la conscience de soi et de sa place dans le monde.
Pour les taoïstes, l’homme n’a aucune mission à remplir ni le besoin de donner un sens à sa vie. Il se contente de se promener sur le chemin de son existence, le tao, qui peut se traduire par la voie. L’important n’est pas le but de ce cheminement, c’est le cheminement lui-même. Ainsi, la voie ne mène pas nécessairement à un but. La notion d’un objectif à atteindre semble illusoire, seul le moment présent et le pas s’effectuant sur le chemin sont importants. L’aspect cyclique de la vie est également une donnée importante pour les taoïstes. Tout est éternel recommencement.
Sur le plan sociétal, l’épanouissement de l’individu en Asie ne passe pas par la conquête d’une liberté individuelle sociale jugée illusoire, mais par la recherche d’une sérénité intérieure, fruit d’un apprentissage continu. Le trait le plus frappant du taoïsme est le développement de la perception de l’invisible. La perception de l’invisible peut s’illustrer par la capacité à considérer l’essence des évènements plutôt que les évènements eux-mêmes.
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LA SUITE (Des clés qui donnent envie de lire ce livre)
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Les lieux nous parlent, apprenons à les écouter. Car ils nous parlent avec tous ceux qui sont passés par là, au-delà des pensées, des émotions : les lieux sont enchantés par l’Esprit.
Laissez les enchanter votre Esprit, entre ciel et terre !
Se procurer le livre ou le e-book Ecoutez un extrait : De l’Amour - Je t’offrirai des larmes célestes et des éclats de lune… Au Cœur des Symboles : Une Quête Spirituelle et Poétique Découvrez ce voyage transcendantal au cœur de l'existence humaine,...
Hazer Marie Volk nous mène dans une exploration profonde de l'identité, de la spiritualité, de la culture et de la psychologie humaine. Et nous exhorte : "Réveillez votre lien au vivant". L'ouvrage, au fil des chapitres nous propose des "réflexions" des sortes...
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Pourquoi l’initiation ?
– « Initium » signifie commencement. L’initiation est le commencement d’une autre vie, le passage vers une autre vie, donc la mort, le renoncement, à une vie antérieure.
Jean SERVIER, dans L’homme et l’Invisible explique :
« L’homme ne se contente pas de naître et de mourir, il cherche l’approche de l’invisible au plus près tout au long de son existence terrestre. Dans toutes les civilisations, d’un bout à l’autre de l’humanité, les rites d’initiation sont considérés bien souvent comme plus importants que les rites de naissance, aussi lourds de signification que les rites de mort ».
– Une réponse d’Alain Pozarnik à la question « Pourquoi l’initiation » sur spiritualites.fr
– Mourir pour vivre ?
Toujours sur le site spiritualites.fr : « Mourir pour vivre et non pas vivre pour mourir. Problématique initiatique, problématique profane. L’un chemine, guidé par l’essence de sa quête. L’autre suit son chemin entrainé par les circonstances de la vie qui le mènent inéluctablement du levant au couchant sans avoir cherché à s’élever au dessus du torrent de la vie et de ses courants incontrôlables. »
LES INITIATIONS : UNE SECONDE NAISSANCE PAR MAURICE GODELIER
France Culture Plus Dec. 2014
Dans de très nombreuses sociétés existent des institutions qu’on appelle « initiations ». Elles consistent à faire franchir aux individus selon leur sexe et selon leur âge certaines étapes dans la connaissance de l’ordre de l’univers, des règles de conduite appropriées dans la société à laquelle ils appartiennent. Ces savoirs sont transmis par étapes au cours de cérémonies. Mais les initiations ne sont pas seulement un processus de transmission de connaissances, ce sont également des institutions prenant en compte pleinement l’éducation sociale des individus.
CC Raphael Vignes / Flickr
Les initiations instituent une division au sein des sociétés entre initiés et non-initiés. Ceux-ci jouissant alors d’un statut social inférieur et subordonné. Une partie des savoirs transmis dans les initiations est ésotérique, c’est-à-dire qu’ils constituent des secrets qu’il ne faut en rien révéler à des moins initiés et surtout à des non-initiés.
Maurice Godelier, anthropologue, directeur d’études, École des hautes études en sciences sociales.initiations
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L’énergie est esprit, l’entropie c’est la mort
Par elle-même, l’humanité s’est mise en danger.
L’entreprise qui reste humaine se pose nécessairement des questions de nature spirituelle. A partir des personnes qui y participent, mais aussi pour elles-mêmes.
Ci-contre, une exploration du Web sur ce sujet.
Et des développements prochains sur cette question.
Dans un monde qui bouge à toute allure, il est temps de s’interroger sur les liens entre spiritualité et éthique. Pas en terme de religion : celles-ci produisent des dogmes qui débouchent sur des réponses toutes faites. Mais à partir d’un niveau de conscience profond et d’une authenticité d’être.
Enrichissez de questions concrètes cette réflexion !
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L’eugénisme va déferler sur nos vies, à partir des technologies qui se développent… selon l’éthique des entreprises qui les conçoivent, et selon les cultures, les Etats, le droit.
Exemple : un test de dépistage génétique conçu par la société Genomic Prediction peut prédire si votre bébé sera intelligent avant sa naissance. Ce n’est pas parce qu’il devient possible d’écarter les bébés “moins intelligents” que cette société va le faire. Mais elle prévient : d’autres n’ont pas de réflexion éthique !
Une approche spirituelle de ce type de phénomène est-elle possible ? Certes, au moins pour se poser de bonnes questions. Par exemple, l’esprit d’un enfant qui souffre de déficience cognitives serait-il par nature différent ?
Qu’en pensez-vous ? (répondez dans les commentaires)
De l’hébreu Qabbala « réception ».
Voici comment André Attia dans ses « Morceaux d’architecture », présente la Kabbale :
http://editionsdudesir.fr/produit/morceaux-darchitecture/
La Kabbale a une origine mythique. Elle s’inscrit dans un récit imaginaire qui porte une vérité première fondatrice qui s’accomplit dans l’espace de l’Univers et le temps de l’Histoire.
Cette vérité émerge dans cette idée fondamentale qu’au Sinaï, la parole divine ne s’est pas entièrement révélée, qu’il y a encore du caché à dévoiler sous cette parole : « Nous vivons sur l’écorce de la réalité », dit le Zohar. Et sous le visible des apparences, des trésors restent à découvrir pour ceux qui veulent recevoir cette parole (Kabbale est un mot hébreu signifiant accueillir, recevoir, transmettre, c’est-à-dire les trois modalités de l’évolution).
« Dans l’acte même de réception, il y a un acte de création » dit encore le Zohar.
Ce petit livre est né du désir d’offrir aux débutants les bases simples qui leur permettront d’avancer et d’évoluer dans les concepts et les théories de cette branche majeure du mysticisme juif qu’est la kabbale.
intro kabbaleIl se veut très dépouillé et simple, d’un accès rapide et aussi a-intellectuel que possible.
Le lecteur n’y trouvera donc aucune biographie des grandes figures de la Kabbale, ni d’explication approfondie et complexe des divers aspects de ce courant, mais des repères, des pistes de recherches et des réflexions dont nous souhaiterions qu’ils donnent envie au lecteur d’explorer plus avant ce domaine passionnant qu’est la Kabbale.
Extrait :
Interrogations
Tout a commencé il y a quelques années, avec la rencontre d’un personnage quelque peu mystérieux qui parlait de la Kabbale comme étant « la » clé de l’ésotérisme occidental. Mathieu avait étudié l’hébreu, les maîtres kabbalistes, le Rashi, et manifestait un penchant quasi sensuel pour les jeux de lettres et de mots, ainsi qu’une passion pour le Cantique des Cantiques. Cette rencontre sera l’instant « t » de mon entrée dans le Pardes.
Entrée frileuse tout d’abord, car le paysage qui s’annonçait tenait plus de Dali que de Rembrandt. Où commencer, par où s’engager ? Des noms inconnus aux sonorités exotiques et bizarres, des titres laissant ouvertes toutes les suppositions, des concepts ayant tendance à se multiplier au cours des lectures, aux implications tout aussi déroutantes que leur définition… J’eus peur de n’y rien comprendre. Je pouvais laisser tomber et reprendre ma vie et mes études telles qu’elles étaient l’instant d’avant. Mais non, j’ai continué et j’ai commencé à dévorer quantité d’ouvrages portant sur la Kabbale, avec toujours cette idée qu’il y avait quelque chose d’important à y découvrir.
J’eus la malchance de débuter par les ouvrages d’Haziel. Vous savez, ces gros livres bruns édités chez Bussière, qui parlent des anges, de la Kabbale antique, du Tarot kabbalistique… La belle affaire ! J’ai failli tout laisser tomber. Je me disais « Ce n’est pas ça la Kabbale quand même ? ». Eh bien non, ce n’est pas ça. La kabbale ne se réduit pas à psalmodier des phrases barbares dans le but de communiquer
avec les puissances angéliques. Mais pour m’en assurer, il me fallut aborder d’autres rivages, des auteurs plus classiques tout d’abord, Eliphas Lévi, Papus, puis enfin le site Internet de Virya qui me permit de découvrir une Kabbale plus ouverte, bien que toujours farcie de noms bizarres et d’expressions cryptiques, telles que Parzuf, Sephiroth, Sephirah, Arikh Anpin…
Les ouvrages qui tombèrent entre mes mains à l’époque furent La Kabbale Extatique de Virya et L’homme et l’absolu de Shaya. Deux ouvertures, deux lumières dans l’obscurité de la kabbalistique bibliothèque. Ils me permirent également de résister à la tentation du vernis kabbalistique pour épater la galerie.
Il y eut aussi une autre rencontre, tout aussi déterminante que la première. Grâce à Internet, j’eus la chance de tomber – et le mot n’est pas choisi au hasard – sur Prospéro. Anarchiste voyageur et kabbaliste, ce qui m’offrit l’opportunité d’échanger avec un véritable amoureux de la science kabbalistique. Je trouvai chez lui la même fougue dans l’étude des textes, la même passion dans l’explication et la dialectique que chez Mathieu. Et la même verve aussi pour me sermonner lorsque je filais des délires infondés sur Aboulafia et la Kabbale extatique : « Tu ne peux pas dire n’importe quoi, il faut agir en bonne intelligence avec le texte. Or, si tu ne lis pas l’hébreu comment peux-tu appréhender l’essence d’Aboulafia ? ».
J’ai donc commencé à apprendre les rudiments de la grammaire et surtout à pénétrer l’univers féerique des lettres[…]
Sommaire – Interrogations
1. Pourquoi la Kabbale ?
2. Kabbale et Magie
3. Kabbale et dérives sectaires
4. La kabbale, c’est quoi ?
5. La Kabbale chrétienne
6. Roadmap pour débuter en kabbale
7. La langue hébraïque
8. L’alphabet sacré
9. Les procédés
10. Les textes sacrés
11. Pourquoi ne peut-on prononcer le Nom de Dieu ?
12. Les Mondes
13. Les Sephiroth
14. Isaac Louria
15. Le Tsim-tsoum :
16. De la polarité des Sephiroth
17. Description des Sephiroth :
18. Au-delà
19. Le Sentier Inversé
20. L’arbre des Sephiroth
21. Les chemins de l’arbre
22. Le Tikkoun
Le bouddhisme ( méditation, compassion, non-violence…) pratiqué en Occident s’est adapté à notre culture, et se comprend bien plus comme une philosophie que comme une religion.
C’est une voie dont nous développerons largement les caractéristiques dans Spiritualités Magazine
La spiritualité, c’est d’abord, tout simplement, une dimension de soi, de sa conscience, de sa trajectoire de vie. Une dimension essentielle de la vie, mais largement absente de notre quotidien tel que nous le vivons dans une société hyper matérialiste et techniciste.
Chacun, dans sa singularité, peut développer cette dimension. Les traditions spirituelles, les pratiques très diverses, anciennes ou nouvelles, qui sont aujourd’hui largement diffusées nous y aident. Notre but, c’est de vous les présenter le plus clairement possible, pour que de vous-même, vous puissiez apprendre, expérimenter, progresser… et ne pas vous décourager. Comme face à la mort, c’est à la fois une expérience tout à fait personnelle que nous vivons, et une condition commune dont la connaissance partagée peut nous aider.
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Trouver sa voie, c’est aussi trouver l’activité, le métier, le milieu, qui correspond en profondeur à notre moi (à la construction de soi). Explorer avec son inconscient les diverses possibilités, c’est possible ici
Nous enrichissons en permanence les pages concernant les voies spirituelles sur le blog
et nous organisons régulièrement des ateliers qui permettent à chacun de se ressourcer pour atteindre l’essentiel, mais aussi de reconnaître dans son être profond ce qui fait particulièrement écho à telles ou telles pratiques et symboles.
Par exemple, l’atelier sur “Les accords Toltèques”, au cours duquel d’autres voies seront aussi rapidement présentées.
Une voie, bouddhiste, parmi bien d’autres… à méditer, car le bouddhisme, comme philosophie, nous offre des concepts et une expérience millénaires très riche mais souvent difficile car notre culture est si éloignée de cela. Et une question intéressante dans ce dialogue : s’agit-il de développement personnel ou d’être au service de la vie, de l’univers…
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Une toute autre approche, très occidentale, qui relie la question de sa voie à celle de l’expression de son corps, de sa voix
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