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​D’où vient l’idée de ce livre, de quel vécu, de quels questionnements ?

L’intimité de l’Inconnu : Un frère, un mystère et la quête de Stéphane Allix

La mort, dans son silence éternel, suscite des questions qui résonnent avec une intensité assourdissante. C’est ce vacarme silencieux que Stéphane Allix capture avec une grâce délicate dans son ouvrage « La mort n’existe pas ».
Tout commence par une perte. Thomas, le frère de Stéphane, décède brusquement en Asie centrale, laissant un vide abyssal. Dans cet instant de chagrin brut, l’inconnu s’invite dans la vie d’Allix, et chaque page de ce livre vibre de cette rencontre imprévue.
Allix ne se tient pas en marge, observateur détaché. Il est un frère endeuillé, un père inquiet, un homme hanté par les échos d’une absence. Il se lance dans une quête, non pas avec la froideur du scepticisme, mais avec la chaleur vibrante de quelqu’un qui a perdu et qui cherche. La science, la spiritualité, les témoignages personnels – ils ne sont pas des sujets d’étude pour Allix, mais des terres inexplorées, des espaces où les réponses pourraient se cacher, tapies dans l’ombre. Les médecins, les chamanes, les personnes ayant vécu des expériences de mort imminente – ils ne sont pas des sources, mais des compagnons de voyage.
Ce livre n’est pas un traité, mais un journal intime élargi, une conversation douce et profonde entre Allix et le lecteur, entre la science et le mystique, entre le deuil et l’espoir. L’auteur n’écrit pas depuis un piédestal, mais depuis le sol, le regard levé vers les étoiles, se demandant où son frère a bien pu aller. L’enquête de Stéphane est ardente et brute, touchant à cette part de l’humain qui flirte avec le divin, le mystérieux. Il n’a pas peur des questions sans réponses, des chemins sans cartes, des espaces où la science et la foi se croisent et se confrontent. « La mort n’existe pas » n’est pas une proclamation audacieuse. C’est une confession intime, l’écho d’une réalisation personnelle forgée dans les profondeurs du chagrin et de l’amour. C’est la main tendue d’Allix à travers les pages, vous invitant à marcher ce chemin épineux et magnifique avec lui.

Au-delà du réel : Les mystères de l’Esprit et le défi scientifique des EMI

Décédé lors d’un accident tragique, Thomas aurait-il observé la scène du chaos, suspendu au-dessus de son propre corps inanimé, et aurait-il été un témoin silencieux de la lutte désespérée pour ramener son âme échappée dans le monde des vivants ? Cette question, insaisissable et énigmatique, n’est pas l’apanage des films de science-fiction ou des récits fantasmagoriques, mais trouve sa résonance dans les profondeurs de l’expérience humaine, là où la science, la philosophie et la spiritualité se croisent, se confrontent et parfois, fusionnent. Dans l’intimité du deuil et le silence assourdissant laissé par le départ abrupt de Thomas, Stéphane Allix se retrouve face à un mystère qui déconcerte autant qu’il fascine : les Expériences de Mort Imminente (EMI). Celles-ci ne sont pas des récits fragmentés d’une réalité altérée, mais des témoignages vivides et poignants qui défient la compréhension conventionnelle de la vie, de la mort et de ce qui pourrait exister entre les deux. Le scepticisme n’est pas un choix quand des milliers de voix, depuis des coins reculés et diversifiés du globe, racontent des histoires étonnamment similaires de sorties du corps, de rencontres avec des êtres de lumière, d’un amour enveloppant et d’une clarté transcendantale. Chaque récit est un fil d’Ariane nous guidant à travers le labyrinthe de questions sans réponses.
La science, avec sa rigueur et son scepticisme inhérent, ne se tient pas à la périphérie de ce mystère. Des scientifiques de renom, armés de décennies de recherche et d’une bibliothèque d’études de cas, s’aventurent audacieusement dans cette terra incognita de la conscience humaine. Ils ne sont ni des hérétiques ni des visionnaires, mais des chercheurs qui reconnaissent que dans chaque témoignage d’EMI se trouve un défi lancé à la compréhension contemporaine de la réalité.
La clarté des souvenirs, la vivacité des expériences et l’intensité de l’amour ressenti défient l’idée conventionnelle d’un cerveau qui s’éteint, où la conscience se dissipe dans l’obscurité de l’inexistence. Les témoignages d’EMI suggèrent un scénario paradoxal où, au moment de la mort, la conscience ne se flétrit pas mais s’épanouit.
Le Dr Pim Van Lommel, l’un des pionniers dans l’étude des EMI, propose une hypothèse audacieuse et provocante. Selon lui, la conscience ne se trouve pas prisonnière des circuits neuronaux et des synapses électriques. Elle ne meurt pas quand le cerveau s’éteint, mais continue son voyage, franchissant les frontières de la réalité connue, s’engageant dans un monde où le temps, l’espace et l’existence se réinventent. « La Vie après la Vie » de Raymond Moody n’était pas la fin, mais le commencement d’une exploration sans fin. Chaque lettre, chaque témoignage reçu est une pièce du puzzle, un fragment d’un tableau qui, une fois complété, pourrait bien révéler une image de l’existence qui transcende la vie et la mort.
Dans le sillage de la perte, un chemin de découverte s’ouvre. Il nous invite à considérer non seulement la réalité de la mort, mais aussi l’énigme insaisissable de ce qui pourrait exister au-delà. C’est une invitation à regarder non pas avec la peur, mais avec la curiosité, non pas avec le doute, mais avec l’émerveillement. Car dans chaque histoire d’EMI, dans chaque exploration scientifique de ce phénomène, réside une possibilité – celle de la continuité de la conscience, de la survie de l’âme, et de l’existence d’un amour et d’une lumière qui ne connaissent ni fin ni frontière.

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