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La saturation des besoins matériels

La France entre dans une nouvelle ère, celle de la déconsommation. Ce phénomène est principalement influencé par le vieillissement de la population, la saturation des besoins matériels et une prise de conscience écologique croissante. Les seniors, représentant 20% de la population, adoptent des habitudes plus frugales, tandis que la majorité des ménages, déjà suréquipés, ne renouvellent leurs biens

Parallèlement, la hausse des dépenses, telles que le logement et les factures, limite les possibilités d’achats non essentiels. Les consommateurs, de plus en plus critiques envers la société de consommation, sont nombreux à privilégier des comportements responsables comme la réparation ou l’économie du partage. Les campagnes publicitaires, telles que celles de l’ADEME, incitent même à moins consommer.

Ce mouvement de déconsommation n’est pas perçu comme un signe de décroissance, mais comme une opportunité de réinventer l’économie autour de modèles durables. Les entreprises doivent s’adapter, tandis que l’innovation devient un moteur de cette transition en proposant des produits plus efficaces et durables. Cette révolution de la consommation, en quête de “moins mais mieux”, promet une société où sobriété et responsabilité s’unissent pour vous.

Une petite histoire édifiante ? L’ère du partage

Dans une clairière baignée de lumière douce, au milieu d’une forêt où les arbres semblent veiller depuis des siècles, une étrange atmosphère régnait. Il y avait quelque chose dans l’air, une tension presque palpable, comme si la nature elle-même s’apprêtait à révéler un secret ancien.

Ce jour-là, Élise, une jeune femme qui avait grandi dans ce village reculé, s’aventura plus profondément dans les bois qu’elle ne l’avait jamais fait. Le monde changeait autour d’elle, et elle ressentait le besoin de comprendre ce bouleversement. Depuis quelque temps, les villageois parlaient d’une nouvelle ère : celle de la déconsommation. Ce mot, étrange et fascinant, se murmurait dans les rues, se glissait dans les conversations. On racontait que les temps où l’on achetait sans réfléchir étaient révolus, remplacés par une époque où chaque achat, chaque objet prenait une signification nouvelle.

Elle se souvenait encore des paroles de la vieille Amandine, sage du village, qui lui avait un jour révélé une prophétie ancienne :

— Le monde se détournera du “toujours plus” pour embrasser le “toujours mieux”. Quand viendra l’heure, vous saurez que l’abondance matérielle ne signifie pas le bonheur. Seule la simplicité offrira la véritable paix.

Ces mots avaient longtemps résonné dans l’esprit d’Élise. Alors que l’époque moderne avançait avec une voracité insatiable, elle avait observé les changements autour d’elle. Les anciens du village, autrefois insouciants et avides de nouveautés, avaient peu à peu laissé place à une sobriété inattendue. Comme ensorcelés par une force mystérieuse, ils consomment moins, se contentant de l’essentiel. Les plus de 65 ans étaient devenus les champions de cette frugalité nouvelle, presque en harmonie avec une nature que l’on commençait à redécouvrir.

Mais ce n’était pas seulement une question d’âge. Les pancartes débordants des familles, remplies d’objets que l’on croyait indispensables, criaient “assez”. Les machines, les gadgets, tout ce qui autrefois semblaient représenter le progrès, devenaient soudainement obsolètes. Un ras-le-bol collectif prenait forme. Les tiroirs refusaient de s’ouvrir, comme pour rappeler aux habitants qu’ils avaient déjà trop accumulé.

Élise, elle, sentait ce changement plus profondément que quiconque. C’était comme une force invisible qui l’aspirait, la poussant à chercher autre chose, au-delà du simple confort matériel. Elle pensait à l’eau de la rivière qui coulait lentement près de sa maison. Sa grand-mère lui disait toujours : « L’eau n’a besoin de rien pour être. Elle est là, pure, sans artifice, et pourtant elle nous donne tout. »

Un jour, alors qu’Élise méditait sur ces transformations, un étranger arriva dans le village. Il portait un grand manteau noir et, dans ses mains, il tenait un objet brillant. Les villageois se rassemblèrent autour de lui, curieux. L’homme parle d’une voix basse mais claire :

— Nous entrons dans une nouvelle ère. L’ère où réparer vaut mieux qu’acheter, où partager l’emporter sur posséder. Ce que vous voyez ici, dit-il en montrant son trésor, n’est qu’un symbole. Ce n’est pas l’objet qui importe, mais l’usage que vous en ferez.

Il expliqua alors comment, dans d’autres contrées, des familles entières louaient leurs outils au lieu de les acheter, comment les objets étaient réparés plutôt que jetés. La foule l’écouta, captivée, comprenant peu à peu que ce qu’il proposait n’était pas une simple économie. C’était un retour à une sagesse ancestrale, celle où l’équilibre régnait entre les besoins et les ressources.

Élise comprit alors que la prophétie de la vieille Amandine s’accomplissait sous ses yeux. Le monde basculait vers un avenir incertain, mais porteur d’espoir. Ce n’était pas un renoncement, mais une transformation. L’abondance inutile laissait place à une richesse immatérielle, celle des relations humaines, de la nature préservée, du temps retrouvé.

Tandis que l’étranger disparaissait dans la nuit, une lueur nouvelle brillait dans les yeux des villageois. Ils savaient désormais que la déconsommation n’était pas une fin, mais un commencement. Un chemin vers un monde où l’on vivrait mieux avec moins.

Ethique, déontologie, et technologies

Transcription

Ethique, déontologie, technologie

De la philo, de la tech, C’est philothèque alors ? Emmanuelle, quand on évolue dans le monde de l’i a, on entend souvent parler d’éthique, mais aussi de déontologie. Et j’ai l’impression qu’on met souvent les   mots sur le même plan. Du coup, je me demandais s’il y avait une différence entre les   alors.

Effectivement, il y a une différence, éthique et déontologie sont   mots qui sont très souvent utilisés de manière interchangeable ou utilisés comme s’ils étaient   choses équivalentes. Pourtant, si on regarde vraiment de plus près ces   substantifs, Eh bien on s’aperçoit qu’il renvoie à   choses à la fois différentes et intrinsèquement liées.

Bien qu’il n’y ait pas de définition arrêtée de l’éthique, il est admis que c’est la discipline de la philosophie qui traite du bien et du mal. Ou plus précisément, en tout cas selon moi, de l’évaluation axiologique d’un acte sur le spectre qui va de l’acceptable à l’inacceptable.   

La déontologie, quant à elle ?Eh bien, c’est une théorie, une des théories de l’éthique. Une dimension qui renvoie, comme son étymologie l’indique, au discours sur les devoirs ou à la science des devoirs. Et donc l’éthique et la déontologie sont   choses différentes, la  seconde étant incluse dans la première. Y a donc pas de pertinence à utiliser un mot pour l’autre, ni de les mettre sur le même plan.    

Ah d’accord, donc on a la philosophie dont fait partie l’éthique, qui elle même est inclus dans la déontologie. Donc la déontologie, c’est une branche de l’éthique, c’est ça ?Alors c’est.C’est exactement ça et c’est le point très important. La déontologie, c’est en effet une théorie de l’éthique, donc une sous branche de la philosophie.    

Pourtant, elle est aussi très utilisée dans le monde juridique. Les déontologues ou les responsables de la déontologie dans les entreprises sont d’ailleurs très rarement des philosophes ou des éthiciens, mais très majoritairement des juristes. Et c’est ce qui pose problème. Quand un éthicien parle avec un ou une déontologue, les   utilisent le même mot, mais ils n’en ont pas la même compréhension.  

Alors pour comprendre ça, il faut faire un petit passage par l’histoire. Le mot déontologie est inventé en      par Jamie Bentham, qui est un des pères du conséquentialisme qui, avec la déontologie, tu le sais, et l’éthique de la vertu font ce que l’on appelle les théories continentales de l’éthique. Bentham, qui était un contemporain, Kant, était avant tout un jurisconsulte et donc pétri de pensée juridique.

Quand il crée le terme, il leur donne une définition assez sommaire, ce qu’on appelle une définition nominale. La déontologie, selon Bentham, Eh bien, c’est une division de l’éthique, également appelée éthique dichastique, qui a pour objet, je le cite, d’indiquer si telle ou telle action doit ou ne doit pas être faite.

En l’occurrence, comme l’affirme Bentham, Eh bien, la déontologie, elle cherche à influer sur la volonté. Donc ce qu’on constate, c’est un tropisme juridique très marqué et une conception de la déontologie très top down pour dire ça en anglais. Les règles, en fait, sont établies par une autorité légitime et doivent être suivies.    

On doit s’y conformer. Oh là là, d’accord, donc tout ça, ça sonne un peu comme un combat entre la philosophie et les juristes, c’est ça, non ?Bah c’est là où le bât blesse en fait, hein.Si pour Bentham, la déontologie, elle vise l’édiction de règles qui doivent être suivies, pour Kant, qui est philosophe et pas juriste, il s’agit de se donner à soi-même des règles qui, si et seulement si elles passent le test d’universalité, deviendront des impératifs catégoriques et donc des règles qui qui devront être pardon appliquées.    

Contrairement à Bentham, Kant, qui ne se contente pas de définir mais théorise la déontologie, adopte une approche bottom up et c’est l’individu qui, au travers de ce qu’on appelle la volution, c’est à dire sa capacité de vouloir autonome, se donne des règles et vérifie leur validité avant de les rendre obligatoires.   

La déontologie n’influe donc pas sur la volonté, comme chez Bentham, elle en est l’émanation. Ce que Kant nous dit, Eh bien, c’est que si j’agis d’une manière acceptable sur le plan éthique par simple conformité à une norme. Notamment en raison du risque de sanction. Alors mon acte a moins de valeur sur le plan moral que si j’agis par devoir, c’est à dire en suivant une conviction profonde que je me suis faite.    

Si par ailleurs, l’acte posé par conformité à la norme n’est pas le produit de ma volonté, alors il perd toute sa valeur morale. Le problème, au final, ne réside pas dans la légitimité ou l’illégitimité de l’une ou l’autre des   approches, mais dans la difficulté d’articuler une approche juridique et une approche philosophique de la déontologie.    

Si le signifiant, c’est à dire le mot déontologie est commun aux   approches, c’est signifié, c’est à dire leur sens diffère grandement selon moi. La difficulté avec l’approche juridique par la conformité, Eh bien, c’est qu’elle est rapidement, ou en tout cas elle peut rapidement se transformer en conformisme et devenir un frein à l’esprit critique.   

French tech, esprit critique pour tech éthique.

 

La Guerre des Ombres Numériques : Asma Mhalla et le Règne des BigTech

UN CONTE : D’après un article de philosophie Magazine : Asma Mhalla : “L’IA change la nature même de nos concepts politiques”

En un temps où les royaumes étaient secoués par des forces invisibles et puissantes, où les mystères du monde ancien se trouvaient mêlés aux prodiges des nouvelles technologies, une voix s’éleva pour mettre en garde les seigneurs de l’époque. Asma Mhalla, érudite et sage parmi les sages, portait dans son cœur le fardeau de ceux qui voient les ombres grandir là où les autres n’aperçoivent que lumière.

Un jour, alors que les dignitaires de l’Union européenne s’apprêtaient à graver dans le marbre une loi inédite sur l’intelligence artificielle, Asma Mhalla fut conviée à donner son avis. “Ne vous méprenez pas,” commença-t-elle, d’une voix aussi douce que l’acier affûté, “l’intelligence artificielle n’est pas qu’un simple assemblage de techniques. Elle est le socle d’une nouvelle ère, une infrastructure colossale où se tissent les destins des nations.”

Elle parlait des câbles sous-marins, des satellites en orbite, des systèmes d’information et des supercalculateurs, tous aux mains des puissants marchands du numérique, ces BigTech qui, à l’instar des barons d’autrefois, avaient su capter non des terres, mais des milliards de données. Karl Marx, dont les écrits résonnaient encore comme un écho lointain dans les couloirs des châteaux, avait désigné l’infrastructure comme l’ensemble des moyens de production, alors détenus par le grand capital. Asma Mhalla, elle, voyait ces nouveaux maîtres du monde comme l’InfraSystème, une force insidieuse qui, bien que hors de portée des lois classiques, façonnait désormais le fait social, économique, et même militaire.

“Il est bien que l’IA soit enfin encadrée,” poursuivit-elle, ses yeux perçant les esprits présents comme la pointe d’une épée, “mais ce que vous proposez n’est qu’un voile jeté sur un gouffre sans fond.” En effet, les seigneurs européens, dans leur noble ambition, avaient rédigé des lois pour contraindre ces géants à respecter leurs règles. Mais les failles étaient déjà visibles : des amendes infligées à ces titans n’étaient que des grains de sable sur leurs vastes plages dorées. De plus, les exemptions accordées à certains États laissaient entrevoir des brèches béantes dans cette nouvelle législation.

Mais la profondeur du problème, expliqua Asma Mhalla, résidait ailleurs. “L’IA, par sa nature même, transforme nos concepts politiques. Le réel et le virtuel, le vrai et le faux, le privé et le public, tous ces dualismes que nous chérissons se fondent désormais l’un dans l’autre.” Elle évoqua la démocratie symbiotique, un concept où l’État, jadis tout-puissant, sous-traite ses pouvoirs à des entités privées, ces dernières devenant autant de leviers dans les mains des gouvernants. “La souveraineté n’est plus verticale, elle est mouvante,” déclara-t-elle, révélant ainsi l’étendue de la transformation qui attendait les nations.

Cependant, la véritable inquiétude de Asma Mhalla était plus profonde encore. Les technologies, dans leur double usage, servaient des causes aussi bien justes que malveillantes. “Comment séparer le bienveillant du malveillant quand l’un et l’autre se cachent sous le même masque ?” s’interrogea-t-elle. Les États tentaient de réguler, mais toujours en retard, comme un chevalier tentant de pourfendre un dragon déjà envolé.

Mais le plus inquiétant, aux yeux de Asma Mhalla, était la mutation de la guerre elle-même. “Les combats cyber-hybrides ne sont pas seulement des affrontements classiques. Ils épaississent le brouillard de la guerre, mêlant le vrai au faux, le civil au militaire, dans une danse macabre où les acteurs privés se mêlent aux armées.” Ainsi, la guerre moderne se jouait sur des fronts multiples et invisibles, où la désinformation et les attaques cybernétiques devenaient des armes plus redoutables que les épées et les canons d’autrefois.

La sage Asma Mhalla n’était cependant pas pessimiste pour autant. Elle voyait dans ce monde nouveau des opportunités pour les États capables de comprendre et de manier ces nouvelles forces. Mais, avertissait-elle, seuls les BigStates, ces États qui ont su faire éclore leurs propres BigTech, pourraient survivre dans cette arène impitoyable. “La souveraineté, de nos jours,” expliqua-t-elle, “n’est plus l’indépendance, mais la capacité de tenir un rapport de force, d’être opportuniste, de jouer sur plusieurs fronts à la fois.”

Asma Mhalla termina son discours par un appel à la clairvoyance. “Nos dirigeants doivent cesser de se bercer d’illusions, de s’accrocher à des rêves irréalistes. Il est temps de reconnaître la réalité telle qu’elle est, de préparer nos stratégies non pas pour un futur idéal, mais pour le présent, avec ses défis et ses dangers bien réels.”

Ainsi, dans cette cour où les alliances se nouaient et se dénouaient comme des fils dans un métier à tisser, Asma Mhalla laissa les esprits en ébullition, sachant que son avertissement, tel un poison doux mais puissant, s’infiltrerait dans les consciences des seigneurs du royaume. La bataille pour le contrôle des esprits et des machines ne faisait que commencer, et ceux qui en comprendraient les règles en sortiraient vainqueurs. Les autres, hélas, seraient condamnés à n’être que des spectateurs impuissants du grand jeu de la souveraineté technologique.

Débordé ? Gestion du temps

Voir aussi l’article de LOVE FRANCE


 

Gérer Son Temps : Un Voyage vers la Meilleure Version de Soi

Apprendre à gérer son temps est une aventure profonde et enrichissante. C’est bien plus qu’une simple tâche, c’est une expression de qui nous sommes et de ce que nous aspirons à créer. Chaque moment compte et savoir comment l’utiliser judicieusement est un art en soi.

Le voyage vers une meilleure gestion du temps Gérer son temps est une quête, semée de réussites, d’échecs, de découvertes et de remises en question. Tout comme un héros naviguant à travers une épopée, chaque individu doit faire face à des défis quotidiens, nécessitant persévérance, conviction et persistance.

La puissance des choix individuels Il n’y a pas de machine universelle pour gérer le temps, car la gestion du temps est profondément personnelle et multidimensionnelle. Elle touche des aspects tels que les émotions, les relations, et même la physiologie. Bien que des outils puissent nous guider, le pouvoir réel réside dans nos choix individuels.

L’impact du management sur la gestion du temps Si vous êtes manager, votre rôle est crucial. Votre approche de la gestion du temps peut avoir un effet d’entraînement :

  1. Amélioration personnelle : Votre propre efficacité et bien-être sont amplifiés.
  2. Efficacité d’équipe : L’adoption de bonnes pratiques peut améliorer la productivité de toute l’équipe.
  3. Empowerment individuel : Transmettez vos connaissances à chaque membre de votre équipe et regardez-les s’épanouir.

Des bénéfices qui rayonnent La gestion efficace du temps ne se limite pas au travail. Elle se répercute dans toute l’entreprise, renforce les bonnes pratiques et accroît l’efficacité générale. De plus, une meilleure gestion du temps se traduit par des avantages dans la vie personnelle, des relations familiales épanouies, des loisirs enrichis, et une estime de soi renforcée.
La gestion du temps est un voyage qui mérite d’être entrepris. Elle nécessite une introspection, une volonté et des outils, mais les récompenses sont inestimables.

Décortiquons chaque chapitre pour une gestion du temps optimisée

Chaque moment compte. Si vous cherchez à gérer votre temps de manière efficace, ces chapitres sont une mine d’or pour y parvenir. Gardez à l’esprit les termes clés tels que “gestion du temps”, “efficacité”, “principes fondamentaux” et “management” pour une recherche optimisée.

Chapitre 1 : Les Fondamentaux de la Gestion du Temps La gestion efficace du temps repose sur la compréhension et la réalisation de ce qui est véritablement essentiel. Découvrez les enjeux et les étapes fondamentales pour maîtriser et prendre en main votre temps.

Chapitre 2 : Diagnostic de Votre Gestion du Temps Actuelle Avant de progresser, vous devez savoir où vous en êtes. Ce chapitre vous guide dans l’analyse de vos habitudes actuelles, identifiant vos points forts et vos domaines d’amélioration.

Chapitre 3 : Les Pilliers de la Gestion du Temps S’appuyant sur des principes éprouvés, ce chapitre est votre guide pour réinventer votre relation avec le temps. Apprenez à prioriser, focaliser et optimiser chaque moment.

Chapitre 4 : Gestion du Temps pour les Managers Être à la tête d’une équipe requiert une approche spécifique en matière de gestion du temps. Explorez les pratiques essentielles pour garantir l’efficacité de chaque membre de votre équipe.

Chapitre 5 : Sélectionner et Maîtriser vos Outils Des outils adaptés peuvent décupler votre efficacité. Découvrez une gamme d’outils éprouvés pour atteindre vos objectifs, et apprenez à les personnaliser selon vos besoins.

Chapitre 6 : Collaborer Efficacement avec Autrui La collaboration est essentielle pour l’efficacité collective. Dans ce chapitre, vous trouverez des stratégies pour travailler harmonieusement avec d’autres, garantissant une synergie maximale.

Chapitre 7 : Maintenir la Discipline dans le Temps Instaurer une bonne gestion du temps est un défi, mais la maintenir est encore plus exigeant. Trouvez des astuces et conseils pour rester sur la bonne voie, même face aux obstacles.

En se plongeant dans ces pages, vous aurez accès à une expertise forgée sur des décennies de pratique et d’accompagnement professionnel. Chaque conseil, outil et pratique a été testé en conditions réelles, offrant une approche concrète et pratique de la gestion du temps.

Nouveau monde cherche nouveaux dirigeants – Leadership humaniste

​Ce livre est hors du commun, car il a pour vocation de rejoindre les questions de direction, en termes de recherche de sens, et de direction en termes de leadership et de vie commune. Un champ de réflexion bien rare dans le domaine de la spiritualité qui ignore généralement la vie collective et tous ceux qui ont une force d’entrainement. La perspective humaniste, qui nous manque tant dans l’approche des questions collectives, y est abordée en regard des changements individuels indispensables. C’est profond et très élaboré comme démarche.

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Nathalie Rodary, “Nouveau Monde cherche Nouveaux Dirigeants pour Nouveaux Business models”

 

Storytelling

Autrefois, dans un monde stable et prévisible, le monde des affaires était telle une mer paisible. Les entreprises étaient des navires majestueux, naviguant calmement, leurs dirigeants tenant fermement la barre, guidant leur entreprise à travers les eaux calmes du business as usual. Les modèles économiques étaient immuables, les stratégies à long terme. Le monde du commerce était un ballet bien réglé.
Mais tout comme le climat, le monde des affaires a changé.

Des tempêtes se sont levées, secouant les industries, renversant des géants autrefois inébranlables comme Thomas Cook. L’ère disruptive est arrivée. Des ouragans d’innovation, de nouvelles technologies et de transformation digitale ont balayé le paysage commercial, créant de nouveaux courants, de nouvelles routes à naviguer. Dans ce nouveau monde, les dirigeants ont dû trouver de nouvelles boussoles, apprendre de nouvelles compétences de navigation.
Le livre de Nathalie Rodary, “Nouveau Monde cherche Nouveaux Dirigeants pour Nouveaux Business models”, raconte cette transformation. Pensez à un business model comme un navire. Sa conception, sa construction, la façon dont il est piloté – tout cela détermine comment il navigue, comment il génère des revenus. Mais lorsque les courants changent, lorsque les tempêtes se lèvent, il doit être capable de s’adapter. Sinon, il dépérira, pris au piège dans des eaux turbulentes qu’il ne peut plus naviguer. Le livre de Nathalie Rodary parle de la gouvernance, le capitaine du navire. La gouvernance décide du cap à suivre, elle choisit comment le navire est piloté. Elle n’est pas déterminée par le marché, mais elle y répond. Si le marché dit “Votre manière de faire ne fonctionne pas”, c’est à la gouvernance d’imaginer la suite. Le livre de Nathalie offre des aperçus fascinants sur le destin des entreprises qui ont su s’adapter – ou qui n’ont pas su. Des géants comme LEGO, qui ont frôlé le désastre avant de se réinventer avec un nouveau dirigeant et un business model renouvelé. Ou la SNCF, l’entreprise française de transport, qui a souffert sous le poids d’un business model obsolète et d’une gouvernance réticente au changement. Enfin, elle offre des conseils précieux pour ceux qui cherchent à naviguer dans ce nouveau monde. Elle parle du besoin de libérer le poids du passé, d’acquérir de nouvelles compétences, de diversifier la gouvernance et de cultiver une conscience du présent et du futur.
“Nouveau Monde cherche Nouveaux Dirigeants pour Nouveaux Business models” serait-il un véritable phare dans la tempête, offrant des conseils et des stratégies pour ceux qui cherchent à naviguer dans les eaux incertaines et tumultueuses de l’ère disruptive ? Capitaines d’entreprise, prenez note : pour survivre et prospérer dans ce nouveau monde, vous devez changer de gouvernance !

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