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L’alchimiste de Sarlat : la sphère de l’équilibre

“L’Alchimiste de Sarlat : La Sphère de l’Équilibre”

Plongez dans le mystère envoûtant de “L’Alchimiste de Sarlat”, un roman graphique qui transcende le temps pour vous emmener dans les ruelles médiévales de Sarlat, où la magie et la réalité se fondent sous le regard d’un alchimiste légendaire. Découvrez une œuvre où la spiritualité, l’alchimie et les mystères du cosmos se rencontrent, illustrée avec une beauté époustouflante qui semble capturée par l’œil d’un photographe invisible du Moyen Âge.

Au cœur de cette histoire captivante se trouve Maître Gérard, un alchimiste dont les compétences et la quête de vérité ultime l’amènent à créer la “Sphère de l’Équilibre”. Ce précieux artefact, orné de pierres précieuses et d’or, n’est pas seulement un reflet des constellations célestes ; il détient le mystérieux pouvoir de mouvoir les saisons et de manipuler le temps lui-même.

Le roman graphique vous emporte dans un voyage visuel où chaque illustration est une fenêtre ouverte sur le passé. Les images, d’une clarté et d’une précision remarquables, vous transportent à Sarlat, où les pavés anciens et les murs de pierre de la cathédrale se tiennent comme des témoins silencieux de l’époque. Les scènes de la vie quotidienne des villageois, juxtaposées aux expériences mystiques de l’alchimiste, sont rendues avec une attention méticuleuse aux détails, évoquant un réalisme qui fait écho à la profondeur des thèmes explorés.

Pour ceux fascinés par l’alchimie et la spiritualité, “L’Alchimiste de Sarlat” offre un festin pour l’esprit et les yeux. Les enseignements d’Hermès Trismégiste, tels que “Ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas”, ne sont pas simplement cités ; ils sont visuellement et narrativement explorés, montrant comment les actions de l’alchimiste résonnent avec ces principes antiques, influençant la vie dans son village et au-delà.

La sphère, au centre de cette intrigue, est une énigme en elle-même, porteuse de promesses et de dangers. Son pouvoir étrange et les mystères qu’elle recèle deviennent le fil conducteur de l’histoire, entraînant les personnages et les lecteurs dans une quête pour comprendre non seulement les secrets de l’univers mais aussi les implications plus profondes de l’équilibre entre le matériel et le spirituel.

L’alchimiste, avec sa capacité à transformer le plomb en or, est une métaphore de la transformation personnelle et collective que le livre cherche à inspirer. La nuit où les rues de Sarlat s’embrasèrent sous l’effet de son grand œuvre, devient un symbole puissant de révélation et de changement.

“L’Alchimiste de Sarlat” n’est pas juste un livre ; c’est une expérience immersive qui questionne, inspire et enchante. Pour ceux qui cherchent à découvrir comment les anciens secrets peuvent éclairer notre présent et peut-être, façonner notre futur, ce roman graphique est une lecture indispensable.

Magicultrice

Magicultrice, dès qu’on le tient dans les mains devient un objet magique : ses couleurs de fond, les pages dont chacune est conçue de manière à marier les formes et les textes, donnent envie de le toucher et le parcourir autant que de le lire.

“Magicultrice” est bien plus qu’un livre ; c’est un voyage initiatique au cœur de la magie personnelle et de la redécouverte de soi à travers l’archétype ancestral et puissant de la sorcière. Symbolisant la force, l’indépendance, et une connexion profonde avec le monde naturel, la figure de la sorcière a longtemps été source de fascination, de mystère et de malentendus. Dans cet ouvrage révolutionnaire, Ariane Legale dévoile les voiles de la magie, invitant chaque lecteur à s’aventurer dans les profondeurs de sa propre âme, à la rencontre de sa force intérieure et de son potentiel créatif.
Le terme “Magicultrice” combine habilement la magie et la culture, offrant une perspective unique sur la manière dont chacun peut cultiver et partager sa propre essence magique. Contrairement aux idées reçues, la magie n’est pas un domaine réservé à une élite ou entouré de secrets obscurs ; elle est accessible à tous et se manifeste dans les aspects les plus quotidiens de notre vie. À travers des récits personnels, des références culturelles et des exercices pratiques, l’auteure nous guide sur le chemin de l’autodécouverte et de l’empowerment.

Ariane Legale nous invite à repenser notre relation avec le monde qui nous entoure, à reconnaître la magie dans les cycles de la nature, les rites de passage, et même dans nos interactions quotidiennes. Elle aborde des thèmes variés tels que la maternité, la guérison, la créativité et la solitude, en les reliant toujours à la pratique magique et à la quête de sens. Chaque page de “Magicultrice” est imprégnée d’une sagesse profonde et d’une invitation à embrasser la vie avec émerveillement et respect.

Ce livre s’adresse à ceux et celles qui ressentent l’appel de la magie, mais qui ne savent pas par où commencer. Il est destiné à ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la sorcellerie moderne tout en explorant leur propre pouvoir intérieur. Que vous soyez novice en matière de pratiques magiques ou que vous soyez déjà sur le chemin de l’éveil spirituel, “Magicultrice” offre des clés pour déverrouiller les portes de la perception et découvrir la richesse de votre propre nature magique.

En redéfinissant ce que signifie être une sorcière à l’ère moderne, Ariane Legale brise les stéréotypes et ouvre la voie à une nouvelle compréhension de la magie comme moyen d’autonomisation et de transformation personnelle. Le livre encourage les lecteurs à réfléchir sur leur propre vie, à identifier et à cultiver leur magie unique, et à devenir des agents de changement dans leur communauté et dans le monde. “Magicultrice” est une célébration de la vie, de la féminité, de la nature et de la magie qui réside en chacun de nous. C’est un appel à reconnaître et à honorer notre part la plus profonde, magique et authentique. Ce livre est un compagnon précieux pour toutes celles qui souhaitent parcourir un chemin épanouissant, teinté de magie et de sens, et il s’adresse tout particulièrement à celles qui sont prêtes à embrasser pleinement leur pouvoir personnel et à contribuer à un monde plus magique et harmonieux.

 
 

Mais qu’est-ce que les sorcières aiment faire en Mars ?

 

Mars est un mois où les sorcières sortent leurs balais, non pas pour voler dans le ciel nocturne, mais pour le grand nettoyage de printemps ! Et quel meilleur moment pour le faire que lors d’Ostara, ce sabbat qui célèbre le réveil de la nature et l’équilibre parfait entre le jour et la nuit ? C’est la période où nos amies sorcières troquent leurs chaudrons et leurs grimoires pour des pelleteries de fleurs et des nids douillets.

Pendant Ostara, la magie prend une tournure particulièrement printanière. Les sorcières se transforment en jardiniers mystiques, plantant des graines non seulement dans leurs jardins mais aussi dans leurs vies. C’est le moment idéal pour démarrer de nouveaux projets, que ce soit des légumes à cultiver ou des plans pour conquérir le monde (de manière éthique, bien sûr). Et quoi de mieux pour accompagner cette plantation que de réaliser des pots de fleurs en coquilles d’œufs ? Écologique, esthétique, et tellement sorcière !

Mais Ostara, c’est aussi la saison des œufs – pas seulement ceux en chocolat que certains confondent avec le butin d’une chasse au trésor. Nos sorcières peignent des œufs naturels avec des teintures végétales, créant des œuvres d’art à la fois magnifiques et comestibles. Imaginez la tête de leurs voisins moldus en découvrant un œuf violet teint au chou rouge dans leur jardin !

Cueillir des fleurs sauvages est une autre tradition d’Ostara très prisée. Cependant, loin de se limiter à une simple promenade champêtre, les sorcières lisent dans les pétales les réponses de l’univers. Un bouquet de pâquerettes peut révéler bien plus sur l’avenir que n’importe quel tarot si on sait écouter. Bien sûr, l’activité est doublement productive quand on se rappelle que chaque fleur cueillie est un potentiel nouvel ingrédient pour un sort ou un remède.

En matière de décoration, les sorcières d’Ostara ne lésinent pas sur les moyens. Elles transforment leurs autels avec des éléments de saison : des nids, des plumes, des bourgeons prêts à éclore. Chaque objet est chargé de magie, prêt à aider nos sorcières dans leur travail spirituel. Et que dire des “land arts” ? Ces créations éphémères dans la nature sont la preuve que les sorcières sont les véritables pionnières de l’art écologique.

Bien sûr, Ostara ne serait pas complet sans un rituel pour honorer la renaissance et la fertilité de la terre. Les sorcières se rassemblent (dans le respect des mesures de distanciation sociale, pandémie oblige) pour célébrer l’équilibre et la lumière. Le moment est propice pour partager des intentions, des rêves et des graines – littérales et métaphoriques – dans le but de voir ce qui fleurira dans les mois à venir.

Et après toute cette activité, quoi de mieux que de se reconnecter avec son enfant intérieur ? Ostara invite à la légèreté, au jeu, à redécouvrir le monde avec émerveillement. Les sorcières peuvent être vues se roulant dans l’herbe, dansant sous la lune, ou même organisant une chasse aux œufs magiques (avec des surprises autrement plus intéressantes que des bonbons).

En résumé, Mars pour les sorcières est un mois de renouveau, de nettoyage, de créativité et de préparation pour l’avenir. C’est le moment de lâcher prise sur le passé et d’embrasser le potentiel infini du présent. Alors, si vous croisez une sorcière en mars, n’oubliez pas de lui souhaiter un joyeux Ostara – et peut-être de lui demander quelques graines de son jardin magique !

Répétons en divers styles pour que vous soyez sûrs de comprendre ce qu’il  faut faire en Mars


1. Style Administratif :

Objet : Célébration du mois de mars et activités associées à Ostara.

Madame, Monsieur,

Veuillez noter que le mois de mars marque le début de la période de renouveau conformément aux traditions ancestrales. L’événement principal, Ostara, se caractérise par le réveil de la nature. Il est coutumier que les individus adoptent des comportements écologiques et agricoles, tels que le jardinage et le nettoyage de printemps. Les activités recommandées incluent la plantation de végétaux divers et la teinture d’œufs avec des colorants naturels.

Les rassemblements extérieurs seront organisés pour célébrer l’équilibre et la renaissance, en respectant les normes de distanciation sociale en vigueur. La collecte et l’utilisation de fleurs sauvages sont encouragées pour favoriser la connexion à l’environnement naturel.

Cordialement, Le Bureau des Traditions Saisonnières

2. Style Poétique :

Mars, oh Mars, quand les sorcières, Dansent avec la brise printanière. Ostara, douce muse de verdure, Ouvre nos cœurs à l’aventure.

Dans les jardins de nos âmes, nous semons, Des espoirs, des rêves, sous le ciel monotone. Les œufs, teintés de l’arc-en-ciel de la terre, Nous parlent de renaissance, de mystères.

Champs de fleurs, toiles d’artiste, Dans cette symphonie, la magie persiste. Ostara, nous voici, enfants de la lune, Dansant, riant, sous le soleil, aucune brume.

3. Style Dramatique :

Scène : Une clairière au lever du jour. Les sorcières, face au dilemme du renouveau, se rassemblent pour célébrer Ostara.

Sorcière 1: “Voici Mars, le temps du nettoyage, de purger l’ancien!” Sorcière 2: “Oui, mais le cœur lourd de ce qui fut, comment embrasser ce qui sera?” Sorcière 3: “Par les graines que nous plantons, par les œufs que nous colorons, nous écrivons notre destinée!”

Le chœur des sorcières: “Laissons les fleurs sauvages guider nos âmes, dans cette danse, trouvons notre calme.”

4. Style Culinaire :

Recette pour un Mars Magique :

Ingrédients :

  • Une pincée de nettoyage de printemps
  • Un bouquet de projets à planter
  • Œufs à teindre avec amour
  • Une promenade pour cueillir des fleurs sauvages

Instructions :

  1. Mélangez le nettoyage de printemps avec une bonne dose d’énergie renouvelée.
  2. Intégrez délicatement vos projets dans le sol fertile de vos intentions.
  3. Teignez les œufs dans un bain de couleurs naturelles, laissez sécher sous un rayon de soleil printanier.
  4. Finalisez par une marche méditative, cueillez les fleurs de vos aspirations.

5. Style Médical :

Diagnostic : Manque de renouveau printanier. Prescription : Ostara, impliquant des activités de jardinage, nettoyage intensif, et interactions enrichissantes avec la nature. Mode d’emploi : S’engager quotidiennement dans la plantation de nouvelles idées et le nettoyage des espaces de vie. Utilisation externe de fleurs sauvages recommandée pour améliorer le bien-être émotionnel.

6. Style Philosophique :

Dans le théâtre de Mars, les sorcières incarnent le principe de renouveau, naviguant sur les vagues de l’éphémère Ostara. Le nettoyage de printemps, métaphore de la purification de l’âme, se juxtapose au semis, acte d’engagement vers l’avenir. Les œufs, symboles d’origine, sont colorés, non dans une quête d’esthétique, mais comme un rituel de renaissance.

7. Style Sportif :

Bienvenue dans le grand stade de Mars, où les sorcières se préparent pour le grand match d’Ostara ! Au programme : un marathon de nettoyage, suivi d’un tournoi de jardinage. Les épreuves de teinture d’œufs promettent de vives compétitions. Gardez un œil sur la météo, car la cueillette de fleurs pourrait être influencée par des conditions imprévisibles. Que le meilleur printemps gagne !

8. Style Enquête Policière :

Inspecteur : “Regardez ces traces, une claire indication que les sorcières ont orchestré le grand nettoyage.” Partenaire : “Et ces éclats de couleur ?” Inspecteur : “Des œufs teints, un signe incontestable d’Ostara. Elles préparent quelque chose de grand, quelque chose de renouvelé.” Partenaire : “Il semblerait qu’elles aient laissé derrière elles plus que de simples fleurs sauvages…”

9. Style Enfantin :

Mars, c’est trop rigolo, c’est quand les sorcières sortent leurs gros balais pour faire le ménage mais pas dans le ciel, non non, dans leur maison ! Et puis, c’est la fête d’Ostara, un peu comme un anniversaire pour la nature. Elles plantent des graines comme si elles jouaient à la dinette mais avec de la vraie terre, et elles peignent des œufs, pas pour les manger mais pour les décorer tout jolis !

10. Style Fantaisiste :

Au royaume de Mars, les sorcières, ces charmantes gardiennes de la verdure, s’affairent à la grande quête d’Ostara. Elles brandissent leurs balais enchantés non pour le vol mais pour la bataille contre la poussière ancienne. Le rituel des œufs, une tradition sacrée, où chaque couleur dévoile un secret de la terre. Dans ce ballet printanier, chaque fleur cueillie est un sortilège doux, un chant à la renaissance de la nature

S’autoriser au bonheur

S’autoriser au bonheur : la clé pour une vie épanouie

“S’autoriser au bonheur” est un livre qui propose une approche transformatrice pour quiconque souhaite vivre une existence plus épanouie et authentique. L’auteur, Christian Bourit, nous emmène dans un voyage intérieur captivant, encourageant le lecteur à se libérer des entraves de la négativité, de l’autocritique et des croyances limitantes qui freinent notre bien-être et notre épanouissement. Dès les premières pages, le Dr Bourit interpelle le lecteur avec une invitation puissante : célébrer la vie. Il met en évidence l’importance de se traiter avec gentillesse, de reconnaître et d’honorer nos désirs et aspirations. Ce faisant, il soulève des questions profondes sur notre rapport à nous-mêmes et au monde, insistant sur le fait que le bonheur est un choix accessible, à condition de s’autoriser à l’accueillir pleinement.
Le livre est structuré en chapitres clairs et constructifs, offrant des conseils pratiques, des exercices de réflexion, et des témoignages inspirants. Chaque section est conçue pour guider le lecteur vers une compréhension plus profonde de soi et vers la réalisation que la joie et le contentement sont souvent à portée de main, obstrués seulement par nos propres barrières mentales.

À qui s’adresse ce livre ?

“S’autoriser au bonheur” est destiné à toute personne qui se sent coincée dans un cycle de pensées négatives, qui lutte avec l’estime de soi, ou qui simplement cherche à injecter plus de joie et de satisfaction dans sa vie. C’est un guide précieux pour ceux qui sont prêts à entreprendre un voyage de transformation personnelle et qui sont ouverts à changer leur perspective sur eux-mêmes et sur le monde. Ce livre est particulièrement recommandé à ceux qui sont à la recherche de pratiques concrètes pour cultiver un état d’esprit positif, à ceux qui souhaitent surmonter leurs peurs et leurs doutes, et à tous ceux qui aspirent à une vie riche de sens et d’accomplissement.

 

L’affirmation “s’autoriser au bonheur” porte en elle une profonde réflexion philosophique

Une réflexion sur la condition humaine, la nature du bonheur et les obstacles que nous nous imposons à l’atteinte de cet état désirable. D’un point de vue philosophique, cette phrase pourrait suggérer que le bonheur est non seulement un état accessible mais également quelque chose qui requiert une autorisation personnelle. Cela renvoie à l’idée que nous sommes souvent nos propres ennemis dans la quête du bonheur, à travers nos croyances limitantes, nos peurs, et nos jugements auto-imposés. Cette perspective s’aligne avec les enseignements de philosophes stoïciens tels qu’Épictète, qui affirmait que ce ne sont pas les événements qui perturbent les hommes mais leurs jugements sur ces événements.

“S’autoriser au bonheur” implique de commencer par prendre une distance, une introspection et une prise de responsabilité vis-à-vis de notre propre bien-être. Cela signifie reconnaître et démanteler les barrières psychologiques que nous construisons contre notre propre bonheur. La philosophie existentialiste, notamment Jean-Paul Sartre, pourrait arguer que chaque individu est libre et responsable de donner un sens à sa vie, et donc de forger son propre bonheur. En outre, cette phrase soulève la question du désir et de la satisfaction. Si nous nous plaçons du côté de la philosophie du Bouddhisme, le désir est la racine de la souffrance ; se libérer des désirs conduit à la paix et au bonheur. Dans cette optique, “s’autoriser au bonheur” pourrait signifier apprendre à lâcher prise, à accepter la réalité telle qu’elle est et à trouver la paix intérieure. Et puis, la notion d’autorisation au bonheur peut être examinée à travers le prisme de la morale et de l’éthique. Kant, par exemple, parle du devoir moral envers soi-même et envers les autres. Se pourrait-il que s’autoriser au bonheur soit aussi un devoir éthique, pas seulement pour notre propre bien-être mais aussi parce que notre bonheur peut contribuer au bien-être général ?

Vous êtes invités à vous questionner sur vos propres entraves internes et sur la manière dont vous pouvez, activement, choisir votre bonheur et le cultiver !

 

Résumons les méthodes à mettre en œuvre

  1. S’autoriser au bonheur : Prendre la décision consciente de poursuivre le bonheur et de s’ouvrir à des expériences positives.
  2. Reconnaître le pouvoir créateur de la pensée : Comprendre que nos pensées peuvent influencer notre réalité et adopter une attitude mentale positive.
  3. Renoncer à la culpabilité : Laisser derrière soi les sentiments de culpabilité qui empêchent l’avancement personnel.
  4. Choisir un nouveau centre d’attention : Se concentrer sur les aspects positifs de la vie plutôt que sur les négatifs.
  5. Renoncer à la critique : Éviter de critiquer les autres et soi-même pour créer un environnement plus bienveillant.
  6. Affronter la vérité : Faire face à la réalité de sa situation et à ses émotions pour pouvoir avancer.
  7. Lâcher prise : Accepter ce qui ne peut être changé et se libérer des attachements négatifs.
  8. Se concentrer sur ce qui dépend de soi : Investir l’énergie dans les aspects de la vie sur lesquels on a un contrôle.
  9. Agir au présent : Vivre pleinement le moment présent et prendre des mesures actives vers ses objectifs.
  10. Savoir dire non : Établir des limites saines et dire non aux situations et aux comportements nuisibles​​.

Humains en action

Le livre “Humains en Action” d’Elodie Mazza est une invitation à la transformation personnelle et à l’incarnation de la spiritualité dans la vie quotidienne. Voici quelques raisons de lire ce livre, basées sur son contenu :

  1. Mise en Pratique de la Spiritualité : Le livre encourage à passer de la théorie à la pratique, à vivre activement la spiritualité plutôt que de se limiter à la théoriser. Il met l’accent sur l’importance de l’action dans le processus de développement spirituel.

  2. Transformation Personnelle : Il propose un parcours de transformation personnelle, invitant le lecteur à dépasser ses propres limites et à réaliser son potentiel. Ce cheminement intérieur vise à encourager la croissance et l’épanouissement personnel.

  3. Guidance et Inspiration : L’auteure partage ses expériences et réflexions, offrant ainsi une source d’inspiration et de guidance pour ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la spiritualité et de la médiumnité.

  4. Approche Pragmatique et Accessible : Elodie Mazza propose une approche pragmatique et accessible, rendant les concepts spirituels compréhensibles et applicables dans la vie de tous les jours.

  5. Outils Concrets : Le livre propose des exercices concrets, des réflexions et des actions pratiques pour intégrer les enseignements dans la vie quotidienne, offrant ainsi un support pratique pour l’application des principes spirituels.

  6. Universel et Inclusif : Il s’adresse à un large public, que ce soit des débutants en spiritualité ou des personnes ayant déjà un parcours dans ce domaine, et met en lumière l’importance de reconnaître et d’honorer la spiritualité dans sa propre vie.

 “Humains en Action” est un guide vers une vie plus éveillée et intentionnelle, invitant à l’action, à la transformation personnelle et à l’incarnation pratique de la spiritualité dans la vie quotidienne. Il pourrait donc intéresser ceux qui cherchent à enrichir leur parcours spirituel et à apporter des changements positifs dans leur vie.

 

Une petite histoire ?

Dans les profondeurs de la nuit, Léa reposa doucement le livre sur la table de chevet. Les mots d’Elodie Mazza résonnaient encore en elle, comme un murmure lointain, une mélodie ancienne réveillée à neuf.

Silence. Seule dans l’obscurité, elle sentait son cœur battre, plus fort, plus vrai. Chaque battement, un écho de sa transformation.

Elle se leva, ses pieds nus frôlant le parquet froid. La fenêtre entrouverte laissait filtrer l’air frais de la nuit, porteur de promesses et de mystères.

Lune. Elle regarda le ciel, où la lune, complice silencieuse, veillait sur la ville endormie. Léa se sentait connectée à cet astre, témoin éternel des métamorphoses de la vie.

Rêves. Elle ferma les yeux, laissant son esprit vagabonder. Des images se formaient, des scènes d’une vie à venir, pleine de défis, d’aventures, d’amours. Une vie où elle serait pleinement elle-même, libérée des chaînes de l’incertitude.

Aube. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, un premier rayon de soleil perçait l’horizon. Un nouveau jour, une nouvelle chance de mettre en pratique les enseignements du livre.

Action. Avec détermination, elle se prépara pour la journée. Chaque geste était chargé d’une intention nouvelle, d’une conscience renouvelée. Elle était prête à embrasser pleinement son rôle d’actrice de sa propre vie.

Renouveau. En sortant de chez elle, elle ressentit une connexion plus profonde avec le monde autour d’elle. Les gens, la nature, même les objets semblaient vibrer d’une énergie nouvelle.

Voyage. Léa savait que son chemin ne serait pas linéaire. Il serait parsemé d’obstacles, de surprises, de moments de grâce. Mais elle était prête à les accueillir tous, armée de sa nouvelle force intérieure.

Crépuscule. Le soir venu, elle se retrouva de nouveau face à la lune. Un cycle s’était achevé, un autre commençait. Elle sourit à l’astre nocturne, complice de son secret, gardien de son évolution.

Dans le silence de la nuit, Léa comprit que chaque jour serait désormais une page blanche, une toile sur laquelle peindre sa vie, avec les couleurs de son âme. “Humains en Action” était devenu son guide, son mentor silencieux, l’étincelle qui avait allumé le feu de sa transformation.

 

Le shadow work Journal de Keila Shaheen

“The Shadow Work Journal” de Keila Shaheen se concentre sur le concept de “Shadow Work”, une pratique psychologique visant à explorer et accepter les aspects les plus sombres de notre personnalité. Shaheen, une psychologue américaine formée à diverses méthodes alternatives, propose un guide pratique pour entreprendre ce voyage intérieur.

Thème central : Le livre aborde le concept de “Shadow Work” ou “travail sur ses parts d’ombre”. Ce processus implique de reconnaître et d’accepter les parties de nous-mêmes que nous considérons comme négatives ou indésirables. Shaheen suggère que cette acceptation est cruciale pour une vie équilibrée et saine.

Structure et contenu : Le “Shadow Work Journal” est structuré comme un outil interactif, comprenant des guides, des exercices, et des espaces de réflexion personnelle. Il guide le lecteur à travers les étapes pour identifier ses “parts d’ombre”, comprendre leurs origines, et travailler à leur acceptation et guérison.

Méthodologies utilisées : Shaheen intègre des approches variées telles que la thérapie cognitivo-comportementale, la pleine conscience, et la psychologie énergétique. Ces méthodes visent à fournir une approche holistique pour traiter les aspects psychologiques profonds.

Bénéfices promis :

  1. Amélioration des relations interpersonnelles : En comprenant et en acceptant ses propres parts d’ombre, on peut développer des relations plus saines et apaisées avec les autres.
  2. Guérison de traumatismes transgénérationnels : Le livre propose des techniques pour aborder et guérir des blessures qui peuvent être transmises de génération en génération.
  3. Développement de l’autonomie personnelle : Il encourage à poser ses propres limites et à développer une meilleure compréhension de soi.
  4. Perspective élargie sur le monde : En se confrontant à ses propres ombres, on peut acquérir une vision plus nuancée et empathique du monde extérieur.

Public cible : Le livre s’adresse à toute personne intéressée par le développement personnel, la psychologie, ou cherchant à surmonter des problèmes personnels profondément enracinés.

Conclusion : “The Shadow Work Journal” de Keila Shaheen se présente comme un guide pratique et introspectif pour ceux qui cherchent à se comprendre et à s’améliorer en affrontant et en acceptant les aspects les plus sombres de leur personnalité. Il offre une approche unique et complète pour le développement personnel et la guérison émotionnelle.

 

Jung et l’ombre

Le concept de “Shadow Work” dans le livre “The Shadow Work Journal” de Keila Shaheen s’inspire fortement des théories du psychologue suisse Carl Jung. Voici quelques éléments clés issus de la psychologie jungienne présents dans ce livre et ces méthodes :

  1. La Notion de l’Ombre (Shadow) :
    • Origine Jungienne : Carl Jung a introduit le concept de l’ombre comme étant une partie de l’inconscient, composée de rejets, d’instincts, et de faiblesses que l’individu ne reconnaît pas en lui-même.
    • Application dans le Livre : Le “Shadow Work” consiste à explorer et accepter ces aspects cachés ou refoulés de la personnalité.
  2. L’Intégration de l’Ombre :
    • Origine Jungienne : Jung croyait que la santé mentale et l’équilibre nécessitent l’intégration de l’ombre dans la conscience.
    • Application dans le Livre : Les exercices et réflexions proposés visent à aider les individus à reconnaître, accepter, et intégrer leurs parts d’ombre.
  3. Le Processus d’Individuation :
    • Origine Jungienne : L’individuation est un processus de développement personnel où l’individu devient un “soi” intégré et distinct.
    • Application dans le Livre : En travaillant sur ses parts d’ombre, l’individu avance vers une plus grande intégration de soi.
  4. L’Analyse des Rêves et Symboles :
    • Origine Jungienne : Jung accordait une grande importance à l’analyse des rêves et à l’interprétation des symboles comme moyen d’accéder à l’inconscient.
    • Application dans le Livre : Bien que non explicitement mentionné, les techniques de pleine conscience et de réflexion personnelle peuvent inclure l’exploration de rêves et de symboles personnels.
  5. L’Importance de l’Inconscient :
    • Origine Jungienne : Jung a souligné le rôle crucial de l’inconscient dans le développement psychologique.
    • Application dans le Livre : Le “Shadow Work” encourage l’exploration de l’inconscient pour une meilleure compréhension de soi.
  6. La Guérison par la Confrontation :
    • Origine Jungienne : Jung croyait que la confrontation avec les parties inconnues ou non acceptées de soi-même était essentielle pour la guérison.
    • Application dans le Livre : Le livre guide les lecteurs à travers ce processus de confrontation et d’acceptation.

“The Shadow Work Journal” s’inspire largement des idées de Carl Jung, en particulier son concept de l’ombre et le processus d’individuation, pour aider les individus à atteindre une meilleure compréhension et intégration de soi.

Une petite histoire ?

Je m’appelle Sarah, et bien que je sois un personnage fictif, mon histoire est celle que beaucoup pourraient vivre. C’est l’histoire de ma transformation, grâce à “Le Shadow Work Journal” de Keila Shaheen, et c’est une histoire qui pourrait bientôt être la vôtre.
Ma vie était comme un labyrinthe de ruelles sombres, chaque tournant révélant des ombres que j’avais longtemps cherché à éviter. Jusqu’au jour où j’ai découvert ce journal. Au début, c’était juste un exercice d’écriture, mais rapidement, il est devenu un voyage dans les profondeurs de mon âme.
Je me souviens de ma première entrée dans le journal. Mes mains tremblaient légèrement alors que je tenais le stylo. “Qui suis-je vraiment ?” écrivis-je. Ces mots ont ouvert une porte, et ce qui a suivi fut une cascade de révélations, de larmes, de rires, et de guérisons.
Chaque page du journal m’invitait à plonger plus profondément, à affronter les peurs et les douleurs que j’avais enfouies. Je rencontrais des aspects de moi-même que je n’avais jamais osé explorer. Parfois, c’était douloureux, parfois libérateur, mais toujours, c’était authentique.
Au fil des jours, je commençai à voir des changements dans ma vie. Mes relations, autrefois tendues, devenaient plus harmonieuses. Je trouvais du courage pour affronter des situations que j’avais toujours fui. Des opportunités inattendues se présentaient, comme si l’univers répondait à ma nouvelle ouverture d’esprit.
Ce n’était pas seulement un journal; c’était un miroir de mon âme. Il reflétait non seulement qui j’étais, mais aussi qui je pouvais être. Avec chaque mot que j’écrivais, je me libérais des chaînes de mes propres pensées limitantes.
Dans ce voyage, j’ai appris que les ombres ne sont pas à craindre. Elles font partie de nous, et les embrasser, c’est embrasser notre intégralité. “Le Shadow Work Journal” m’a appris à aimer toutes les parties de moi, même celles que je croyais indésirables.
En racontant mon histoire, je veux vous dire que ce voyage peut être le vôtre. Oui, je suis un personnage fictif, mais les émotions et les transformations que j’ai vécues sont bien réelles. Ce journal a le pouvoir de changer des vies, de révéler des vérités cachées, et de guider vers un chemin de guérison et d’amour-propre.
Alors, si vous vous retrouvez à la croisée des chemins, cherchant une direction ou un sens, souvenez-vous de mon histoire. Prenez ce journal entre vos mains et commencez à écrire. Vous pourriez être surpris de découvrir ce qui vous attend.

60 minutes pour prévenir le burn-out de Margaux Studer

Notre analyse du livre

But essentiel : Intentionnalité de l’auteur : Margaux Studer vise à éduquer et à sensibiliser sur la prévention du burn-out. À travers des expériences personnelles et des conseils pratiques, elle cherche à aider les lecteurs à reconnaître et à gérer les symptômes du burn-out. Le choix des thèmes (besoins fondamentaux, valeurs personnelles, intuition, gestion des conflits, etc.), du style (narratif personnel, direct et empathique), et de la narration (progression logique, chapitres structurés avec questions et conseils) vise à rendre le sujet accessible et engageant pour un large public.

  • Objet principal :
  • Le livre aborde divers éléments clés liés au burn-out, notamment :
      • Besoins fondamentaux : importance de prendre soin de soi-même en termes de santé physique et mentale.
      • Valeurs personnelles : réflexion sur ce qui compte vraiment pour l’individu et comment cela influence le travail et la vie personnelle.
      • Intuition : encourager l’écoute de son intuition comme un guide pour la prise de décision et la prévention du burn-out.
      • Gestion des conflits et refus du mobbing : stratégies pour gérer les conflits interpersonnels et éviter le harcèlement.
  • Dimension subjective :
    • Dynamiques émotionnelles et relationnelles : Le livre explore la façon dont le burn-out affecte les émotions et les relations. L’auteur partage ses propres expériences émotionnelles, offrant un aperçu intime des effets dévastateurs du burn-out sur la vie personnelle et professionnelle.
  • Synthèse :
    • Lien entre intentionnalité, objets, et dimension émotionnelle : Studer relie son intention de prévenir le burn-out à la reconnaissance et la gestion des besoins fondamentaux, des valeurs personnelles et de l’intuition. Elle montre comment l’ignorance de ces aspects peut conduire à l’épuisement émotionnel et physique. En intégrant ces éléments, elle offre une compréhension holistique de la prévention du burn-out.

Les voies du destin… Du burn out à l’amour

 

Début d’un roman que nous a inspiré le livre !

 

Prologue : Sous les Lumières de Paris

Dans les ruelles pavées et brumeuses de Paris, une ville où la splendeur historique flirtait avec l’ombre de la mélancolie moderne, deux âmes égarées se frayaient un chemin à travers le labyrinthe de la vie urbaine. Clara Lefevre, une jeune cadre prometteuse dans l’univers impitoyable de la publicité, et Marc Girard, un infirmier passionné et altruiste, menaient chacun un combat solitaire contre un ennemi invisible et insidieux : le burn-out.

La Ville des Lumières et des Ombres

Paris, avec ses boulevards majestueux et ses cafés intimes, était une ville de contrastes. Derrière chaque façade haussmannienne se cachait une histoire, derrière chaque regard échangé dans le métro, un secret. C’était une ville qui promettait amour et aventure, mais pour Clara et Marc, elle était devenue le théâtre de leur lutte intérieure.

Clara, native de Bordeaux, avait été attirée par la capitale comme tant d’autres, avec des rêves plein les yeux et une ambition brûlante. Elle avait vite gravi les échelons dans l’agence de publicité où elle travaillait, se faisant un nom parmi les requins de l’industrie. Mais le coût de cette ascension était élevé. Sous le poids des deadlines et des attentes démesurées, Clara avait perdu son éclat. Ses journées étaient devenues une course contre la montre, ses nuits, peuplées de cauchemars où se mêlaient chiffres de vente et stratégies marketing. Le peu de temps libre qu’il lui restait se dissolvait dans la solitude de son appartement sous les toits, où les rires des passants dans la rue lui semblaient appartenir à un autre monde.

Marc, quant à lui, était un Parisien de naissance, un enfant de la ville lumière. Il avait choisi la voie de l’aide et du soin, travaillant dans un des hôpitaux les plus fréquentés de la ville. Son quotidien était un ballet incessant de cas urgents, de vies à sauver, de douleurs à apaiser. Il trouvait dans son travail une satisfaction profonde, mais le rythme effréné, les nuits blanches et le poids émotionnel de chaque décision commençaient à éroder son enthousiasme. Il rentrait chez lui chaque matin, après ses longues gardes de nuit, dans un appartement vide où les murs semblaient absorber ses soupirs de fatigue.

Le Réveil Brutal

Un soir d’hiver, alors que Paris s’était drapée d’un manteau de brouillard, Clara s’effondra. Elle était seule dans son bureau, face à un énième plan marketing à finaliser. Sa respiration s’accéléra, son cœur tambourinait contre sa poitrine, et les murs semblaient se rapprocher. C’était un appel au secours de son corps et de son esprit, un signal que tout ne tournait pas rond. Ce soir-là, elle réalisa qu’elle ne pouvait plus continuer ainsi.

Pour Marc, la prise de conscience fut tout aussi dramatique. Une nuit, après une série de cas particulièrement difficiles, il se retrouva incapable de prendre une décision cruciale pour un patient. Ce moment d’hésitation, bref mais lourd de conséquences, fut le miroir de son épuisement. Il comprit qu’il ne pouvait plus être le pilier de secours sur lequel tous comptaient s’il s’effondrait lui-même.

La Quête d’Équilibre

Dans leur quête désespérée de réponses, Clara et Marc trouvèrent refuge dans le livre de Margaux Studer, “60 minutes pour prévenir le burn-out”. C’était un phare dans leur tempête, offrant des conseils pratiques et un réconfort dans ses pages. Le livre les amena à s’interroger sur leurs choix de vie, leurs priorités, et la façon dont ils géraient leur stress et leur fatigue.

Pour Clara, cela signifiait apprendre à dire non, à reconnaître ses limites, à redécouvrir les plaisirs simples comme une promenade le long de la Seine ou un café pris en terrasse, loin de l’agitation du bureau. Pour Marc, cela se traduisait par des nuits de sommeil réparateur, des moments de détente avec des amis, et surtout, l’acceptation que prendre soin de soi n’était pas un acte d’égoïsme, mais de nécessité.

Sous le Ciel de Paris

Le destin allait bientôt entrelacer leurs chemins. Ils se rencontreraient lors d’un atelier sur la prévention du burn-out organisé dans un charmant petit café du Marais. Ce serait le début d’une histoire, pas seulement de guérison, mais aussi d’amour, de découverte de soi et de l’autre.

Sous les lumières de Paris, Clara et Marc allaient apprendre que la plus grande force réside dans la vulnérabilité, et que dans la quête d’équilibre, on peut trouver non seulement la paix, mais aussi l’amour.

Les princesses ont toujours raison – Peau d’Ane

Découvrez l’analyse perspicace de Fabrice Midal sur le conte “Peau d’Âne”. Cet article explore les thèmes du désir complexe, de la résilience face au traumatisme, de la puissance de l’amour véritable, de la réappropriation de soi, de la réconciliation, et de la nature sauvage du désir humain, offrant une lecture profonde du conte classique.

L’histoire

L’histoire de “Peau-d’Âne” de Charles Perrault comporte plusieurs moments clés :

  1. Un Roi Heureux : Un roi grand et aimé vit une vie prospère avec sa femme belle et vertueuse, et leur fille gracieuse. Leur bonheur est accentué par un âne magique qui produit des pièces d’or​​.
  2. Décès de la Reine : La reine tombe gravement malade et meurt, en faisant promettre au roi de ne se remarier qu’avec une femme plus belle qu’elle​​.
  3. Le Roi et sa Fille : Après le décès de sa femme, le roi, ne trouvant aucune femme à la beauté équivalente à celle de la défunte reine, se tourne vers sa propre fille, la jugeant plus belle que sa mère, et décide de l’épouser​​.
  4. Refus de la Princesse : Horrifiée par la proposition de son père, la princesse consulte sa marraine, la fée des Lilas, pour trouver une issue. La fée lui suggère de demander au roi des robes impossibles à fabriquer pour retarder le mariage​​.
  5. Les Trois Robes : La princesse demande d’abord une robe couleur du temps, puis une robe couleur de la lune, et enfin une robe couleur du soleil. Contre toute attente, le roi parvient à faire fabriquer ces robes​​.
  6. La Peau d’Âne : Lorsque toutes les autres tentatives échouent, la fée conseille à la princesse de demander la peau de l’âne magique. Après avoir obtenu la peau, la fée dit à la princesse de s’enfuir déguisée sous cette peau​​.
  7. La Nouvelle Vie de la Princesse : Vivant sous un déguisement de souillon, la princesse travaille dans une ferme. Elle attire l’attention du fils du roi, propriétaire de la ferme, qui la voit un jour habillée de manière élégante et tombe amoureux d’elle sans savoir qui elle est réellement​​.
  8. Le Gâteau Magique : Tombé gravement malade par amour, le prince demande que Peau-d’Âne lui fasse un gâteau. En le cuisinant, elle laisse tomber une bague dans la pâte, que le prince trouve plus tard en mangeant le gâteau​​.
  9. La Quête de la Bague : Le prince, déterminé à épouser celle à qui appartient la bague, organise un test pour que toutes les femmes du royaume essaient la bague. Finalement, Peau-d’Âne est appelée et sa véritable identité est révélée lorsque la bague lui va parfaitement​​.

 

 
 

Interprétation

 

L’histoire de “Peau-d’Âne” offre plusieurs leçons et sagesses

 

  • La Vertu de la Patience et de la Résilience : La princesse fait face à une situation difficile avec patience et résilience, cherchant des solutions plutôt que de céder au désespoir.

 

  • L’Importance de la Sagesse et du Conseil : La princesse s’appuie sur les conseils de la fée des Lilas, montrant l’importance de chercher la sagesse et le soutien dans les moments difficiles.

 

  • La Force de la Morale et de la Vertu : La princesse refuse de se soumettre à une demande immorale, même venant de son propre père, soulignant l’importance de rester fidèle à ses principes.

 

  • Les Conséquences Inattendues des Promesses : La promesse de la reine mourante au roi mène à des conséquences imprévues et montre qu’il faut réfléchir aux implications potentielles de nos paroles et engagements.

 

  • L’Apparence vs la Réalité : L’histoire illustre comment les apparences peuvent être trompeuses. La princesse, bien que déguisée en souillon, conserve sa noblesse intérieure et sa beauté véritable.

 

  • L’Amour Véritable Triomphe : Finalement, c’est l’amour sincère et pur qui triomphe, soulignant que l’amour véritable va au-delà des apparences et des circonstances.

 

  • L’Importance de l’Autonomie et de l’Indépendance : La décision de la princesse de fuir plutôt que de se soumettre à un mariage forcé montre l’importance de l’autonomie personnelle et du courage de prendre son destin en main.

La sagesse de Fabrice Midal

 

  • Les Complexités du Désir : Le conte illustre comment le désir peut être complexe et parfois destructeur, comme le montre le désir incestueux du roi pour sa fille.

 

  • La Résilience Face au Traumatisme : La princesse, bien que traumatisée, trouve des moyens de se reconnecter avec sa dignité et son humanité, montrant l’importance de la résilience et de l’autopréservation.

 

  • La Puissance de l’Amour Véritable : Le prince voit au-delà des apparences et aime la princesse pour sa véritable essence. Cela souligne que l’amour véritable peut transcender les circonstances extérieures et restaurer la dignité.

 

  • La Réappropriation de Soi : Peau d’Âne trouve des moments pour se rappeler de sa vraie nature et de sa noblesse, ce qui est crucial pour sa guérison et sa transformation.

 

  • Le Pardon et la Réconciliation : La fin du conte avec la réconciliation et le pardon entre le roi et sa fille montre l’importance de guérir des blessures passées pour avancer.

 

  • La Nature Sauvage du Désir : Le conte symbolise également la nature brute et sauvage du désir humain, et comment elle peut être apprivoisée ou canalisée de manière constructive à travers l’amour.

Et si je tentais de réécrire “Peau d’Ane” ?

Dans l’ombre d’un royaume oublié était un roi. Ce roi, dont l’âme voguait dans le silence de ses vastes chambres, aimait une reine. Elle, belle comme les premières lueurs de l’aube, portait en elle un secret, une tristesse profonde qu’elle dissimulait derrière un sourire timide. De leur union naquit une fille, une enfant aux yeux clairs, reflets d’un ciel d’été. Elle grandit, isolée, dans les jardins clos du palais, apprenant le monde à travers les fenêtres de son âme solitaire.

Un jour, la maladie vint. Elle s’installa, insidieuse, dans le corps de la reine, la consumant lentement. Le roi, déchiré par un chagrin sans nom, veillait à son chevet, cherchant désespérément dans ses yeux un signe, un espoir. Mais la reine, dans un murmure presque inaudible, lui fit promettre, une promesse lourde comme les cieux d’orage : ne se remarier qu’avec une femme surpassant sa beauté. Une promesse impossible, un vœu éphémère, lancé dans le vent de l’agonie.

La reine s’en alla, laissant derrière elle un royaume en deuil, un roi en ruines, et une princesse errant dans les allées du jardin, comme un spectre, perdue dans les méandres de son innocence. Le roi, hanté par le spectre de son amour perdu, se détourna de sa fille, laissant le vide envahir son cœur..

La princesse, dans son isolement, grandit. Une fleur dans un désert. Elle fleurissait en beauté, en grâce, à l’abri des regards. Son père, le roi, égaré dans les méandres de son chagrin, la découvrit un jour, comme par hasard, comme s’il la voyait pour la première fois. Sa beauté le frappa, éveillant en lui un désir profond, interdit, qui vint à le consumer de l’intérieur. Il voulut l’épouser, pour honorer cette promesse faite à la reine mourante, ignorant l’abîme qu’il creusait alors entre eux.

La princesse, terrifiée, se tourna vers sa marraine, la fée Lilas, cherchant refuge dans ses paroles, dans son regard. La fée, dans sa sagesse ancienne, lui souffla des énigmes, des défis impossibles pour le roi – des robes de couleur du temps, de la lune, du soleil. Mais le roi, aveuglé par son désir, releva chaque défi, apportant ces robes impossibles à la porte de la princesse.

La dernière épreuve, la demande de la peau de l’âne magique, fut la plus cruelle. Le roi, dans son obsession, ne vit pas la douleur qu’il infligeait, ne vit pas la lumière s’éteindre dans les yeux de sa fille.

La princesse, revêtue de la peau d’âne, s’enfuit dans la nuit. Elle quitta le palais, laissant derrière elle sa vie, ses rêves. Dans un village lointain, elle se cacha sous cette peau, devenue son refuge, son armure contre le monde.

Et là, dans cette cabane modeste, sous les étoiles silencieuses, elle rêvait. Parfois, elle se glissait dans ses robes magnifiques, se regardait dans le miroir brisé, cherchant à se rappeler qui elle était, avant que tout ne bascule.

Dans le village, la princesse sous sa peau d’âne vivait, invisible, une ombre parmi d’autres. Jours après jours, elle s’effaçait, devenant une part du décor, une figure parmi les figures du village, simple gardienne des bêtes.

Mais un jour vint… le prince !  Jeune, d’une beauté troublante, portant en lui cette même solitude que la princesse reconnaissait en elle. Il la vit, un jour de fête, parée de sa robe couleur de soleil, un éclat fugace dans l’obscurité de sa cabane. Il fut frappé, non pas par sa beauté, mais par ce qui émanait d’elle – une force, une tristesse, une énigme.

Le prince, de retour dans son palais, ne pouvait l’oublier. Il demanda un gâteau fait par ses mains, un lien, un geste. Dans la pâte, une bague se glissa, symbole de son passé, de son identité perdue.

Et ce fut cette bague qui scella leur destin. La princesse, appelée au palais, révélée dans sa véritable splendeur, fit tomber la peau d’âne, laissant apparaître la femme, la princesse qu’elle n’avait jamais cessé d’être.

Dans les yeux du prince, elle vit enfin le reflet de son propre être, non pas une figure de désir, mais une âme sœur. Leur union fut la célébration de la fin d’un long voyage, le retour à la lumière après un long séjour dans les ténèbres.

Et c’est ainsi que le conte se termine, non pas dans l’oubli, mais dans la mémoire de ces moments passés, dans la douce mélancolie des choses qui étaient et qui ne seront plus jamais.

La princesse, autrefois prisonnière de son destin, trouva dans son voyage un chemin vers sa propre renaissance, un hymne à la résilience de l’esprit humain. La fin de leur conte n’était pas une simple conclusion, mais le commencement d’une nouvelle légende, écrite non pas dans les pages des livres de contes, mais dans les cœurs de ceux qui osent braver l’obscurité pour trouver leur lumière.

 
 
 

Dream Machine, expansion de conscience, bien-être

Dans notre quête de l’éveil et de l’harmonie, nous explorons souvent des guides et des pratiques pour transcender le tumulte de la vie quotidienne. La “Dream Machine” de la Maison des Thérapies Douces offre une révolution dans ce voyage. Fondée sur la photostimulation, elle apaise l’esprit et favorise l’auto-exploration. Cette technologie n’est pas qu’un instrument ; elle est un compagnon qui synchronise la lumière et le cerveau, ouvrant une fenêtre sur un cosmos intérieur. La Dream Machine permet une méditation profonde, un sommeil réparateur et réduit le stress, tout en étant une aventure personnelle vers la conscience et le bien-être. Explorez les profondeurs de votre être avec cette technologie révolutionnaire, un guide lumineux vers une nouvelle ère de la conscience.
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L’odyssée du sacré – Frédéric Lenoir

Un voyage transhistorique et transculturel à la découverte de la spiritualité humaine, du mysticisme et des croyances qui transcendent le tangible

Frédéric Lenoir, avec la rigueur intellectuelle qui le caractérise, dresse un panorama exhaustif des pratiques spirituelles de l’humanité, depuis les rituels chamaniques de la Préhistoire jusqu’aux mouvements de quête de sens contemporains. Il se penche sur les grandes traditions spirituelles, religieuses, ésotériques de l’Orient à l’Occident, sans oublier l’animisme et la magie, dans un style narratif captivant et éclairé.

Son livre est la base indispensable que tous les transmetteurs de savoir, à commencer par les enseignants, devraient connaître, avoir comme point de repère majeur, au-delà des dogmes, des croyances, des endoctrinements, et de la confusion, qui sont le terrain actuel du discours sur le religieux, le spirituel, et sur ce qui peut être vécu aujourd’hui comme le sacré.
Son propos est une fusion entre récit historique et analyse théologique, et se décompose en deux parties principales.
–  La première est une fresque détaillée de l’évolution de la spiritualité humaine et comment celle-ci s’est transformée au fil des bouleversements sociétaux. Frédéric Lenoir y expose sa thèse centrale : le sacré et la religiosité humains sont en constante mutation, reflets des changements dans les modes de vie de notre espèce.
– La seconde partie aborde une question fondamentale : pourquoi l’Homo sapiens, seul parmi les animaux, a-t-il développé un sentiment spirituel et religieux si profond? L’auteur explore les perspectives des grandes traditions spirituelles et religieuses, mais également les critiques des penseurs matérialistes tels que Feuerbach, Nietzsche, et Freud, qui ont remis en question la religion comme source d’illusion et d’aliénation. Il ne s’arrête pas là et souligne les tentatives de penseurs comme Jung, Bergson et Frankl, qui ont réhabilité la spiritualité en tant qu’expérience universelle et expérientielle. Lenoir va jusqu’à s’intéresser aux apports des neurosciences et de la psychologie cognitive dans notre compréhension des liens entre le cerveau et la spiritualité.
Dans cette exploration, il accorde une importance particulière aux croyances universelles, telles que l’astrologie, la magie, la sorcellerie et les relations avec l’au-delà, mettant en lumière leur rôle dans la conscience humaine. Frédéric Lenoir ne se contente pas d’un constat historique ou scientifique; il postule que la spiritualité est une composante intrinsèque de l’être humain, essentielle à son développement depuis ses origines et qui persistera aussi longtemps que l’humanité existera. Face aux enjeux contemporains, notamment écologiques, il invite à un “supplément d’âme”, reprenant les mots de Bergson, et à une élévation morale et spirituelle de notre conscience.

Révolution de la conscience : L’ère de la spiritualité individuelle selon Frédéric Lenoir

Frédéric Lenoir, après avoir exploré, de manière passionnante la naissance de l’aventure spirituelle de l’humanité, la préhistoire, aube du sacré, puis le néolithique,  et la naissance des dieux, explore ce qu’il qualifie comme l’époque la plus transformatrice de l’histoire spirituelle de l’humanité : le tournant axial. Située entre 800 et 200 avant notre ère, cette période marque, selon les mots de Marcel Gauchet, une “immense ébranlement” spirituel, propulsée par l’émergence de l’État et son aspiration à l’universel. Il décrit ce moment comme une véritable révolution néolithique de la spiritualité, où l’individu commence à s’élever au-dessus du collectif. C’est un tournant où les êtres humains se voient non plus simplement comme membres d’un clan ou d’une cité, mais comme des entités individuelles, responsables de leur propre destin. Dans cette époque de transformation, l’individualité prend une nouvelle importance et avec elle, une quête personnelle du sacré s’élance. Les anciennes religions polythéistes, axées sur la communauté, laissent place à une spiritualité qui tient compte de la quête de salut individuel. Le bonheur éternel – que ce soit le paradis des monothéismes ou le nirvana des philosophies orientales – devient l’objectif ultime de la vie morale individuelle.
La notion d’éthique s’impose alors comme pierre angulaire des religions du salut. Les textes sacrés et les enseignements spirituels appellent à une vie vertueuse non plus pour satisfaire les dirigeants terrestres, mais pour se conformer à des principes universels qui déterminent le sort de l’âme dans l’au-delà. La justice divine ou le karma deviennent les mesures de la rétribution morale.
Ce changement monumental décrit par Frédéric Lenoir est un appel à la connaissance de soi et à une relation directe et personnelle avec le divin. Le livre de Lenoir est une invitation à comprendre que, quelles que soient les époques, la recherche du bonheur intérieur et de la vérité éthique restent au cœur de l’expérience humaine. Dans ce cadre, “L’odyssée du sacré” devient un manifeste pour une spiritualité démocratisée, accessible à tous, où la richesse du cœur prime sur les distinctions sociales et matérielles.

En glanant quelques idées dans l’ouvrage

Magie et religion

Citation
… Fidèles aux préjugés coloniaux de leur temps et à l’idéologie du progrès typique du xix e et de la première moitié du xxe siècle, ces anthropologues ont aussi établi une hiérarchie très problématique entre trois stades de l’humanité : un stade infantile, qui correspond aux peuples pratiquant la magie ; un stade plus rationnel, pour les sociétés religieuses (dont la société chrétienne serait la plus élaborée) ; et enfin un stade pleinement adulte, celui des sociétés modernes qui vivent sous le règne de la raison et de
la science. Comme le remarque Frédéric Keck, la magie apparaît à la croisée de deux phénomènes familiers aux sociétés modernes et essentiels à sa définition : la science et la religion. « La magie semble à première vue plus proche de la science que de la religion…”

Le tournant axial

Citation
“Le salut individuel et la relation personnelle qui s’instaure avec le dieu ou l’absolu modifient la pratique religieuse. Les prêtres ou l’élite n’ont plus l’apanage des rituels, et de nouveaux cultes se développent. Les rites liés à la nature sont délaissés, les sacrifi ces animaux, réalisés dans les religions agraires et polythéistes, n’ont plus cours, sauf dans le judaïsme et plus tard dans l’islam, comme le sacrifice du mouton. Monopolisé jusque-là par une poignée de médiateurs, le culte se démocratise. La quête de sens touche toutes les classes sociales. Quelle que soit sa richesse matérielle, chaque être humain est concerné par les sanctions et les bénéfices d’une vie morale et religieuse et cherche à perfectionner sa spiritualité. Les épreuves ne sont plus considérées comme des châtiments divins, mais comme des étapes dans l’accomplissement spirituel. La foi s’exprime à travers des formes moins ritualisées. En Inde, de nombreux ascètes se détachent des rites et appliquent les enseignements spirituels en se retirant dans la forêt”

Aux Origines de la Modernité : L’Éveil de la Conscience Critique au XVIIe Siècle

Dans l’effervescence intellectuelle du XVIIe siècle, émerge une réflexion profonde, une sorte de renaissance où la conscience se dresse, pour la première fois, comme pilier de l’existence humaine. Sous la plume inspirée de Frédéric Lenoir, ce chapitre éclaire dans un cadre historique et philosophique le sillage de géants tels que René Descartes, Baruch Spinoza et John Locke. Ces penseurs se sont attachés à émanciper la raison de la foi, dénotant l’avènement de l’autonomie du sujet, berceau de la modernité.
Descartes, par sa formule iconique “Je pense, donc je suis”, localise la conscience au cœur du Sujet. Il cloisonne la raison et la foi, dégageant le chemin pour la science naissante, une démarche que Hegel saluera comme le socle de la modernité. Spinoza, disciple mais non moins révolutionnaire, critique les fondements des théologies dominantes et insiste sur la séparation des pouvoirs politique et religieux. Il préconise un État de droit libéral, garantissant la liberté de conscience, en esquissant les premières ébauches de la démocratie moderne.
Là où la foi engendre superstition et servitude, la raison de Spinoza offre un horizon d’émancipation. Sa méthode critique et historique du texte biblique et sa vision moniste du divin dévoilent un Dieu immanent, infiniment intégré dans l’ordre naturel des choses, loin de toute intervention surnaturelle ou anthropomorphique. Ce faisant, Spinoza, avec sa vision radicalement nouvelle, prépare la voie aux philosophes des Lumières. Le lecteur est ainsi convié à une plongée dans les méandres de la pensée du XVIIe siècle, un voyage où se dénouent les fils de la superstition pour tisser ceux de la raison critique, pilier de notre modernité. Cette réflexion, bien que centenaire, interpelle notre contemporanéité : la raison face à la foi, l’autonomie du sujet, les fondements de nos démocraties et la nature de notre rapport au divin.
Frédéric Lenoir nous invite non seulement à comprendre, mais également à poursuivre ce dialogue avec le passé, peut-être pour mieux éclairer notre avenir. Un héritage qui dépasse le temps et les frontières, à redécouvrir, à débattre et à transmettre.

Au Cœur de l’Ésotérisme : Un Voyage Intemporel de Sagesse et de Mystères

Dans les méandres de l’esprit humain se tissent des mythes, des symboles et des traditions qui depuis la nuit des temps cherchent à percer le voile du visible pour toucher l’invisible. À cette quête millénaire, un terme est dédié : l’ésotérisme. Mais qu’englobe réellement ce mot, qui semble aussi mystérieux que ce qu’il désigne ? C’est à cette interrogation que Frédéric Lenoir, s’appuyant sur l’expertise d’Antoine Faivre, grand spécialiste contemporain, apporte un éclairage dans son étude approfondie de la pensée ésotérique.

Né de la plume de Jacques Matter en 1828, le mot “ésotérisme”, dérivé du grec “esoterikos” – “de l’intérieur, intime” –, fait référence à un enseignement secret destiné aux initiés. Cependant, ce cadre, bien que juste, ne saurait circonscrire l’ampleur et la profondeur des contenus ésotériques. Faivre, dans son ouvrage “L’Ésotérisme” (1992), pose les bases d’une structure en six piliers, des fondements que Lenoir explore et développe.

Premièrement, le principe d’analogie est érigé comme pilier central. Il est question de correspondances universelles où chaque élément – planètes, couleurs, organes et plus encore – est relié dans un vaste réseau d'”affinités électives”, selon le terme des alchimistes. C’est une vision où tout dans l’univers est interconnecté, articulé dans une danse éternelle.

Deuxièmement, la nature est perçue comme un organisme vivant, complexe, tissé de sympathies et d’antipathies. Cette vision holistique dépeint un monde unifié (unus mundus), une toile de vie animée par une âme mondiale, un concept ancestral qui traverse de nombreuses cultures et philosophies.

Troisièmement, l’imagination et les médiations – rituels, nombres, symboles, images – prennent une place prépondérante. Ils sont les clés qui déverrouillent les portes des dimensions spirituelles du cosmos, là où la raison scientifique atteint ses limites.

Quatrièmement, la transformation intérieure, où la quête de la connaissance se mue en un chemin de transmutation personnelle – à l’instar des alchimistes transformant le plomb en or, une métaphore de l’élévation de l’âme.

Cinquièmement, l’ésotérisme prône la concordance des traditions, affirmant une universalité de la connaissance spirituelle qui transcende les barrières linguistiques et culturelles.

Sixièmement, et non le moindre, le rôle de la transmission du savoir de maître à disciple, une dynamique essentielle pour éviter les écueils de l’orgueil et du subjectivisme, dans une continuité de sagesse partagée.

Cet exposé, loin d’être une simple restitution, est une invitation à comprendre l’ésotérisme comme un patrimoine immatériel de l’humanité, un héritage de connaissances et d’expériences qui invitent à la réflexion, à la découverte de soi et du monde. Frédéric Lenoir, passeur de lumière ? offre un passage vers ces profondeurs souvent insoupçonnées de l’esprit et de l’univers.

Méditations maçonniques

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Ecoutez un extrait : De l’Amour – Je t’offrirai des larmes célestes et des éclats de lune…

 

Au Cœur des Symboles : Une Quête Spirituelle et Poétique

 

Découvrez ce voyage transcendantal au cœur de l’existence humaine, les abysses des questions fondamentales qui ont traversé l’humanité à travers les âges : la quête de la vérité, la pureté de l’humilité, l’agonie de l’attente, la mélodie mélancolique de l’absence, la flamme éternelle de l’amour, et le paradis perdu du jardin d’Éden.

 

Un regard méditatif et lyrique sur la condition humaine

Ce livre offre une approche méditative, spirituelle et poétique de ces énigmes qui touchent au cœur de notre être. Chaque page est une invitation à contempler et à ressentir, à se perdre dans les méandres de l’inconscient et à en émerger avec une nouvelle compréhension, enrichie par le symbolisme qui entrelace notre psyché.

 

La Franc-maçonnerie révélée dans toute sa splendeur spirituelle

Au-delà de la poésie et de la méditation, l’ouvrage propose une exploration saisissante du sens profond de la Franc-maçonnerie. Loin des clichés et des idées préconçues, cette exploration nous emmène dans un voyage où la spiritualité et la symbolique maçonnique se fondent en une seule et même danse, belle et envoûtante.

Une écriture qui éveille et éclaire

L’auteur, avec une plume à la fois poétique et explicative, construit un pont entre le mystique et le rationnel, entre le cœur et l’esprit. Ses mots ne sont pas seulement une lecture, mais une expérience, une immersion dans un monde où le tangible et l’intangible se rencontrent, s’entrelacent et se transforment mutuellement.

Pourquoi lire “Méditations maçonniques” ?

Si vous êtes en quête de réponses, si vous cherchez à comprendre les mystères de l’existence ou si vous désirez simplement vous laisser emporter par une prose magnifiquement écrite qui parle à l’âme, ce livre est pour vous. C’est plus qu’un ouvrage, c’est une porte ouverte vers une nouvelle dimension de compréhension et de ressenti.

 

Quelques thèmes

 

La danse délicate entre la foi et le doute : une introspection spirituelle

Une plongée profonde dans les nuances de la foi, du doute et de la raison, explorant leurs intersections, leurs conflits et leurs complémentarités à travers les âges.

 

Imaginez

Sur une mer agitée, une barque isolée vacille sous la pression des vagues tumultueuses. C’est dans ce décor que Jésus s’avance, marchant sur les eaux, vers ses disciples effrayés. Un tableau tiré de Mathieu 14.22-33, qui illustre le constant ballet entre la foi et le doute. La question se pose alors : qu’est-ce que la foi ? Est-elle simplement une croyance aveugle ou quelque chose de plus profond ?

Dans le labyrinthe de la foi, se perdre est facile. Sa nature complexe transcende la simple croyance religieuse pour plonger dans la confiance fondamentale que nous accordons au monde qui nous entoure. Dérivé du latin “fides”, le concept de foi évoquait autrefois une confiance sans aucune nuance religieuse. Il représentait la fiabilité, la constance et la loyauté.

Mais comme le montre la marche de Pierre sur l’eau, la foi n’est pas à l’abri du doute. Dans sa tentative de rejoindre Jésus, Pierre est rattrapé par la peur et commence à sombrer. De même, la foi et le doute sont deux facettes d’une même pièce, se nourrissant mutuellement.

La foi, pourtant, ne se réduit pas à la croyance. Elle est aussi une quête de vérité, une expression de notre liberté intérieure. Elle est cette force motrice qui guide nos actions, même en l’absence de preuves concrètes. Et contrairement à la certitude, qui s’enracine dans le dogme, la foi embrasse l’incertitude et ouvre la porte à la question, au défi.

Si la raison est la lumière qui éclaire notre chemin, la foi est le pont qui nous permet de le traverser. L’une est l’épine dorsale de la logique, l’autre est le cœur palpitant de l’intuition. Et c’est dans cette dynamique que la foi et la raison coexistent, chacune enrichissant l’autre.

La foi est un acte d’amour, une confiance en l’inconnu. Elle nous permet de voir au-delà des apparences, de croire en l’amour divin et de trouver un sens à notre existence. Même le Christ, dans son dernier souffle, a ressenti le doute, prouvant que la foi est profondément humaine.

En fin de compte, la foi et le doute sont les gardiens de notre âme, nous guidant à travers les méandres de la vie. Par leurs questions, ils témoignent de notre quête incessante de vérité et de sens.

 

 

“Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance”


Au sein de ces pages le sacré se dévoile, non pas comme une simple idée, mais comme une épopée spirituelle qui traverse les époques et les âmes. Tel un vent mystérieux soufflant sur les cimes des montagnes, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” s’insinue doucement dans nos pensées, éveillant notre curiosité.

A la manière d’un voyageur solitaire marchant à travers des forêts denses et des vallées ombragées, l’auteur nous guide dans les méandres des traditions, des rituels et des croyances, avec une plume pleine de poésie.

Ce n’est pas simplement un livre, mais une symphonie de mots, une danse des idées. Comme les vagues qui se brisent sur les rochers, les chapitres éclatent de révélations, invitant le lecteur à se perdre et à se retrouver dans le vaste espace du sacré.

Si vous avez déjà ressenti le frisson du mystère, l’appel silencieux de l’inconnu, ce livre est une promesse murmurée à l’oreille de votre âme. Ce n’est pas une simple lecture, c’est une quête.

Dans la tradition où chaque mot est choisi avec soin et chaque phrase résonne avec émotion, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” se présente comme une toile vivante, tissée avec les fils d’or de la sagesse ancienne. Laissez-vous entraîner dans ce tourbillon d’érudition et de poésie. Car au bout du chemin, ce n’est pas seulement la connaissance que vous trouverez, mais peut-être, un reflet de votre propre âme.

Extraits

Le jardin d’Eden n’est plus une origine perdue dans un temps sans retour. C’est le germe présent d’une naissance à une vie à venir, dans l’éternité retrouvée ».
Véronique Lévy

Le Jardin d’Éden

Synonyme de Pardès, paradis en hébreu, Gan Eden, renvoie à Eden, délice, et fait du paradis le jardin des délices et le symbole de la connaissance spirituelle. Délices de l’amour innocent où la béatitude des âmes se mêle au plaisir des corps ; de
la connaissance de l’autre dans sa vérité biblique, en un temps où l’être est sans égo ; temps d’altérité où nul n’a conscience de ses propres limites ni de celles de l’autre, tant les deux se confondent. Avec l’apparition de la conscience, le mythe d’Adam rejoint celui de Pandore et le Jardin d’Éden, celui des Hespérides. Chacun se réduit désormais à la conscience de soi et l’autre devient inaccessible ; autre à jamais. Seul l’amour fait lien entre les consciences, permet leur communion, parfois. Il est la vérité de l’humain et, de la connaissance à la transcendance, nous relie de l’ancien au nouvel Adam. Paradis perdu de l’innocence par l’initiation à la connaissance, paradis retrouvé au-delà. Nostalgie et espérance, comme les deux faces d’une réalité identique.
Le mythe fondateur de l’humanité intègre dès l’origine, l’aspiration à la transcendance. Ainsi l’Éden est à la fois l’Alpha et l’Oméga de l’aventure humaine.

 

L’enfer est tout autant dans la présence des autres que dans l’absence de Dieu ; c’est selon.

L’Absence

L’absence se définit, simultanément, comme ce qui n’est pas présent, comme l’état juridique d’une personne disparue, dont on ignore si elle est encore en vie, ou comme la
perte momentanée de conscience. Elle sous-entend que quelque chose ou quelqu’un devrait être et n’est pas, ou que quelque chose ou quelqu’un a été et n’est plus. Ainsi, paradoxalement, l’absence atteste de ce qui
n’est pas, d’un vide qui ne devrait pas être en ce sens qu’il est ressenti comme anormal, dans le cas d’un manque par exemple, voire comme inquiétant, dans le cas d’absence de nouvelles.
En fait, il est dans la nature même de l’absence d’être paradoxe dès lors qu’elle n’atteste que du manque ; de ce qui est censé être et n’est pas. Ainsi, l’absence de bruit n’est pas tout à fait le silence ou, plus précisément, elle est plus que le silence puisque là où je
devrais entendre quelque chose, je n’entends rien ; de même s’agissant de l’absence de lumière ou de toute autre absence du même ordre. L’absence est la forme en creux de l’existence, dont elle témoigne par l’absurde. La place vide de l’absent atteste de sa réalité plus sûrement que ne le ferait sa présence effective ; d’une certaine façon en devenant abstraite sa réalité devient plus dense, parce que plus singulière, plus chargée de souvenirs, d’émotions ou d’affect. L’ordre des choses a été rompu, bouleversé ; l’absent devrait être et il n’est pas. Ainsi, sa présence naturelle, anodine en soi, se métamorphose, par défaut, en une absence lourde d’interrogations et de questionnements. Toute absence est quête de sens car le manque interroge plus que l’acquit, la gratuité d’un geste plus que son mobile.

La sagesse des ancêtres – Hazel Marie Volk

Hazer Marie Volk nous mène dans une exploration profonde de l’identité, de la spiritualité, de la culture et de la psychologie humaine. Et nous exhorte : “Réveillez votre lien au vivant”.

 

L’ouvrage, au fil des chapitres nous propose des “réflexions” des sortes de mises en situation étranges qui nous mènent ailleurs, au-delà de nos certitudes et de notre confort

 

Quelle est la profondeur et la signification de nos racines ancestrales, comment ces racines influencent-elles notre identité et notre rapport au monde, et comment pouvons-nous nous reconnecter à cette sagesse ancienne pour guider notre chemin dans le monde moderne? Les différentes sections abordent :

  1. L’identité des lointains ancêtres
  2. Renouer avec nos racines
  3. Retrouver notre humanité

Elle nous donne une clé de lecture : “Je vous invite à lire ce livre en compagnie d’autres personnes, d’amis, de voisins ou de membres de la famille. De vous réunir une fois par semaine ou une fois par mois, à la façon d’un groupe de lecture, en personne ou virtuellement, pour lire, ensemble, un paragraphe ou un chapitre afin de partager votre expérience et d’écouter celle des autres. Tout au long de cet ouvrage, vous trouverez des questions et des réflexions qui vous inviteront à ralentir et à vous immerger afin de donner votre propre sens au contenu. Des informations La Sagesse des ancêtres et des pratiques à explorer, afin de stimuler votre propre créativité, votre boussole intérieure, et ressentir ce qui vous semble juste. Je vous invite à vous munir d’un carnet pour noter ce qui émerge lors de vos discussions et réflexions. Lorsque viennent les temps de partage, n’oubliez pas de marquer une pause et de vous habituer à écouter sans trop commenter. Soyez ouvert à l’expérience des autres, à une perspective différente, à une sagesse nouvelle qui a le potentiel de vous inspirer et d’élargir votre horizon. Il s’agit d’une invitation à apprendre mutuellement, en utilisant les mots de ce livre comme des guides, des encouragements ou des moyens d’engager la conversation.

À la découverte de notre essence : un retour aux racines

Dans une ère dominée par le matérialisme et la déconnexion, ce nouvel ouvrage nous propose un périple introspectif, nous invitant à retrouver notre essence véritable. À travers son parcours personnel et ses explorations profondes, l’auteur aspire à nous ramener à nous-mêmes, non seulement en tant qu’individus mais aussi en tant que membres d’une communauté, qu’elle soit visible ou invisible. L’auteur aborde la notion troublante de la façon dont la société moderne nous a façonné. Elle suggère que nous avons été conditionnés à oublier qui nous sommes vraiment, perdus dans les mirages de la matérialité. Toutefois, le message central de cet ouvrage est un appel vibrant à raviver notre relation avec le monde naturel, à renouer avec nos racines sauvages et ancestrales qui semblent avoir été oubliées.
L’essence de son message est claire : nous sommes bien plus que ce que la société contemporaine prétend que nous sommes. En explorant les profondeurs de notre âme, nous pouvons déterrer les racines de cette illusion de déconnexion – une illusion qui nous a fait croire que nous sommes séparés de nous-mêmes, des autres et de notre planète. Mais le voyage vers cette redécouverte n’est pas dépourvu de défis. Comme l’auteure le souligne, faire face à l’inconfort d’une telle transformation est essentiel. C’est un rappel puissant que la plénitude de la vie réside en chacun de nous et qu’elle attend simplement d’être reconnue et célébrée. Elle nous guide vers une guérison systémique : “en réapprenant à danser sur le plan physique, émotionnel et spirituel avec l’ensemble de la Vie”. Plutôt que de chercher des solutions isolées, elle encourage à embrasser une transformation holistique, en réapprenant à interagir sur les plans physique, émotionnel et spirituel avec l’intégralité de la Vie.

L’authentique identité de nos ancêtres préhistoriques : bien plus qu’un simple cliché

La première partie de l’ouvrage met au défi les préconceptions tenaces que nous entretenons à propos de nos ancêtres préhistoriques. Loin de l’image des brutes primitives, souvent véhiculée par les médias et l’éducation, l’auteur dévoile une image bien différente et infiniment plus riche. Nos ancêtres préhistoriques étaient en réalité le produit de millions d’années d’évolution et d’adaptation à leur environnement. Ils possédaient une sagesse, des connaissances et des pratiques ancestrales qui ont laissé des empreintes indélébiles, encore visibles aujourd’hui. Pour preuve, l’auteur évoque la richesse culturelle des tribus autochtones contemporaines, qui, malgré les assauts de la colonisation, ont conservé des traditions et des croyances profondément enracinées.
L’un des messages les plus percutants de cette première partie est l’importance des mythes, des légendes et de la cosmogonie. Ces récits, bien plus que de simples histoires, sont des témoins précieux de la relation intime que nos ancêtres entretenaient avec la Terre. Ils respectaient et honoraient chaque territoire pour sa singularité, reconnaissant les besoins spécifiques de chaque lieu. Elle met également en lumière un point crucial : avant de s’aventurer à adopter les pratiques de cultures étrangères, il est essentiel de comprendre et d’honorer ses propres racines. Cette prise de conscience est un appel à la responsabilité et à l’intégrité, et un rappel que la véritable sagesse réside dans la compréhension de notre propre héritage.

 

À la croisée des chemins spirituels : l’impact occidental et le retour aux sources

La deuxième partie du livre jette un regard critique sur l’engouement spirituel de l’Occident et son influence souvent non désirée sur les cultures vers lesquelles il gravite. L’auteur met en lumière une réalité troublante : bien que la quête spirituelle soit intrinsèquement noble, elle peut involontairement prolonger les ombres du passé colonial. Cependant, loin de s’attarder sur la critique, le cœur de cette partie est un vibrant appel à un retour aux sources. L’auteur nous incite à renouer avec le dialogue interspèces, à nous réinsérer dans le paysage naturel et à redécouvrir le sol sacré sous nos pieds. Il évoque une triste réalité : de nombreux rituels et traditions occidentaux ont été perdus au fil du temps. Toutefois, l’espoir n’est pas perdu. En se tournant vers nos ancêtres et en écoutant attentivement la Terre, il est possible de retrouver l’essence de ces pratiques et de les adapter à notre époque moderne. Retrouver la sagesse de nos ancêtres va au-delà de simples rituels. C’est un voyage pour redécouvrir ce que signifie réellement être humain. Elle nous défie de dépasser les tabous et les conditionnements sociétaux pour embrasser une humanité plus authentique, déconditionnée.

 

Réintégrer l’émotion et la sagesse corporelle : la clé pour un futur respectueux de la Vie

La troisième partie plonge profondément dans l’importance des émotions et de la sagesse corporelle pour vivre en harmonie avec la philosophie de nos ancêtres. Elle souligne la nécessité urgente de se reconnecter à nos corps et à nos communautés pour assimiler pleinement les expériences que la vie nous offre. L’auteur nous présente une vision claire : le retour aux rituels n’est pas seulement une tendance, mais une nécessité. Dans notre société moderne, où la dissociation et la déconnexion sont monnaie courante, les rituels agissent comme des ponts, nous guidant vers une intégration profonde de notre être. Ils sont le miroir d’une transition intérieure qui, lorsqu’elle est vécue pleinement, nous permet de jouer un rôle actif dans la création d’un avenir plus lumineux. Ce n’est pas un appel à l’individualisme. L’auteur insiste sur le fait que notre transformation intérieure a le pouvoir de déclencher des changements collectifs. En embrassant pleinement notre humanité, en honorant nos émotions et en célébrant la sagesse de notre corps, nous sommes mieux armés pour construire un monde qui respecte la Vie et qui chérit les générations futures.

En glanant quelques idées dans l’ouvrage

Au-delà du Chamanisme : La Conscience Universelle de l’Humanité

La profonde connexion que partagent les peuples autochtones avec la nature est à la fois édifiante et déconcertante pour le monde occidental. Cette symbiose, où le chaman puise sa force, sert de prisme à travers lequel l’auteur explore le mal-être fondamental de l’Occident : notre déconnexion croissante d’avec le monde naturel. Plutôt que de s’aventurer immédiatement dans le néo-chamanisme ou de rechercher des enseignements auprès de tribus traditionnelles, l’auteur suggère une introspection authentique. Il nous incite à évaluer la profondeur de notre lien avec la nature. Comment pouvons-nous renouer, nous immerger de manière intuitive et sensorielle dans le monde qui nous entoure, avant de prétendre assimiler la richesse des enseignements autochtones ? Au cœur de cette quête se trouve une observation percutante. Dans les communautés tribales, ceux qui guérissent ne se glorifient généralement pas de leur rôle. Ils l’acceptent avec humilité, comme tout autre membre de la tribu assurant des fonctions essentielles. La guérison, bien que précieuse, n’est pas perçue comme une vocation exceptionnelle, mais plutôt comme une contribution parmi tant d’autres à la communauté. Cette vision démocratise notre lien ancestral avec la Terre. Nous sommes tous, à la base, des êtres de la nature, dotés d’un patrimoine culturel riche et respectueux du vivant. La capacité de percevoir les mondes invisibles ne nous confère pas un statut spécial mais renforce plutôt notre humanité. Il ne s’agit pas de revendiquer des titres exotiques pour justifier une affinité avec le spirituel. Chaque individu possède en lui le potentiel de renouer avec cette sagesse ancestrale, à condition de le cultiver avec intention et persévérance. L’auteur nous lance un défi : retrouver nos racines en puisant l’inspiration des cultures traditionnelles, sans les usurper. Il nous invite à réapprendre l’art de l’écoute, en prêtant attention à la Terre sous nos pieds, signe tangible de notre appartenance à un tout plus vaste.

Laisser la Terre nous porter

Citation

“Ici en France, la Terre m’appelle à un rééquilibrage, à laisser couler mes larmes et à ressentir mes émotions pour pouvoir à nouveau ouvrir mon cœur, aimer, honorer, et vénérer la Vie. Je pense qu’elle nous invite à danser, prier, jouer et chanter à nouveau, à joindre nos voix à la sienne pour que, dans l’écho des montagnes, des déserts, des rivières, des forêts et des grottes du monde entier, nos voix atteignent chaque humain, comme une invitation à rejoindre le mouvement. Ce n’est qu’en renouant avec la Terre nourricière, individuellement et collectivement, que nous pourrons ramener l’équilibre dans un monde dominé par l’homme.”

L’écopsychologie

“C’est en m’intéressant à l’écopsychologie que j’ai pu mettre du sens sur ce que je ressentais et comprendre que notre éloignement progressif du monde naturel influence nos vies au quotidien. Une blessure collective que l’auteur Chellis Glendinning qualifie de « traumatisme originel 1 », rappelant que notre nature humaine profonde est vouée à vivre en participant et en étant en relation avec le monde naturel. Elle suggère que « la dégradation de ces relations a eu un impact majeur sur la façon dont nous construisons notre identité personnelle et collective ». Que « ce traumatisme originel se traduit par une désorientation constante, un manque de sentiment d’appartenance, vécu consciemment ou inconsciemment » qui « influence également la façon dont nous traitons la Terre, dont nous nous traitons les uns les autres ».
Une blessure qui entrave nos capacités « à atteindre une pleine maturité émotionnelle et psychologique »”

Conclusion

Devenir l’ancêtre de demain

Pratiquez l’écriture intuitive – Mélanie Chereau

Mélanie Chereau nous lance un défi : Pratiquez 21 jours de suite l’écriture intuitive. C’est le temps nous dit-elle qu’il faut, neurologiquement, pour changer ou acquérir une habitude. Acquérir son livre

Spiritualités Magazine organise des ateliers réguliers, et des séjours, d’écriture intuitive, à Sarlat, en Périgord. Il est prévu aussi de partager des ateliers en ligne. Une belle méthodologie, et de belles personnes vous guideront ! contact@evalir.fr

La magie de l’écriture intuitive : Un voyage au cœur de soi avec Mélanie

Au-delà des mots et des phrases, il y a une voix qui résonne en nous. Cette voix, Mélanie la nomme notre “âme”. D’autres pourraient l’appeler le “moi supérieur” ou des “échos de l’inconscient”. L’essentiel est que cette voix soit connectée à quelque chose de grandiose, de pur et d’intact. Dans son dernier ouvrage, Mélanie explore la magie de l’écriture intuitive, un pont qui relie notre plume à cette voix intérieure. “Nous sommes souvent obscurcis par nos désirs, nos peurs et les traumas”, note Mélanie, soulignant comment nous devenons aveugles à ce qui est réellement bon pour nous, à ce qui pourrait nous propulser vers la liberté et la paix. Au-delà de ces barrières, l’écriture intuitive nous offre une connexion à une connaissance universelle, une partie de nous qui est en phase avec la vérité et la sagesse.
L’écriture intuitive n’est pas seulement un outil de réflexion, mais aussi d’action. Elle offre des réponses et des orientations, nous aide à prendre du recul par rapport à notre mental surchargé, et nous permet de découvrir des aspects inexplorés de notre vie. Que ce soit pour définir des objectifs, dépasser des impasses ou améliorer nos relations, l’écriture intuitive est un outil polyvalent qui peut être utilisé dans de nombreux domaines, qu’ils soient créatifs ou non. Mélanie insiste sur le fait qu’il n’existe pas une unique méthode d’écriture intuitive. Comme avec toute forme d’art, elle est personnelle et chacun doit trouver son propre rythme et style. Son livre n’est pas un ensemble de règles strictes, mais plutôt un guide pour éclairer le chemin de chaque lecteur, les aidant à trouver leur propre voie à travers cette pratique. “Je vous souhaite un beau cheminement avec cette méthode douce de découverte de soi”, conclut Mélanie. Plus qu’un manuel, c’est une invitation à un voyage intérieur pour redécouvrir et résonner avec l’essence même de notre être.

L’Intuition: La Voix Cachée Entre Le Cœur et La Raison

Ah, l’intuition! Un mot qui évoque tant de mystère et de magie. Pourtant, combien d’entre nous y accordent une véritable importance? Selon Mélanie, nous la sous-estimons trop souvent, la reléguant à l’arrière-plan alors qu’elle devrait jouer le premier rôle.
L’intuition n’est pas seulement cette voix douce qui chuchote à l’oreille. C’est un signal complexe, souvent noyé dans un tourbillon d’autres émotions, notamment l’espoir et la peur. Quand l’attente, les projections ou les désirs s’intensifient, ils peuvent facilement étouffer cette douce mélodie de l’intuition. Distinguer l’intuition de la peur ou du désir est, à ce titre, l’un des plus grands défis. Mais Mélanie nous rassure. Avec le temps et la pratique, nous pouvons affiner notre capacité à reconnaître cette voix intérieure. Comment? En prêtant attention aux signes corporels associés. Un frisson qui traverse le dos, une chaleur qui monte, une sensation dans le plexus ou peut-être une lueur d’excitation. Ces manifestations physiques, aussi subtiles soient-elles, sont autant de phares qui illuminent le chemin de notre intuition. Néanmoins, il est important de comprendre que l’intuition n’est qu’un canal parmi tant d’autres. Même si l’écriture intuitive porte son nom, elle n’est pas la seule voie d’accès à nos profondeurs. Le monde intérieur est vaste, avec de nombreux canaux et voies d’accès. L’écriture intuitive vise à puiser le meilleur de ces canaux, à filtrer la cacophonie pour extraire la mélodie pure.
Pour Mélanie, se préparer à écrire intuitivement, c’est un peu comme s’apprêter à écouter son intuition au quotidien. Face à une page blanche, il s’agit de tendre l’oreille, d’écouter attentivement, de discerner les mots qui se démarquent par leur clarté, leur justesse ou peut-être leur originalité. C’est un dialogue constant entre le cœur, la raison et cette troisième voie qu’est l’intuition.
Pour finir, la clé réside peut-être dans cette notion de justesse. L’intuition, selon Mélanie, est ce pont équilibré entre le cœur et la raison. Elle n’est ni blanche ni noire, mais une teinte de gris, un mélange d’expérience et de savoir. Et c’est dans ce doux mélange que réside tout le potentiel.

Je vous livre une “écriture intuitive” spontanément réalisée après avoir écrit cette présentation

Au plus profond de mon âme, là où tout se tait et se murmure, j’ai passé le temps du doute, cherchant des réponses à des questions non posées. En reprenant le chemin, j’ai tracé des lignes de vérité, des courbes d’espoir, laissant l’essentiel se poser comme une plume légère sur un lac paisible.
J’ose espérer l’accueil, celui d’un univers compréhensif, où chaque étoile, chaque rêve trouve sa place. En toute tristesse disparue, évanoui de quiétude, je perçois l’autre aspect derrière la façade, celui que le monde oublie souvent, mais qui donne sens à la plus jolie histoire.
C’est là que je me pose la question, une énigme intemporelle : d’où vient l’amour ? Dans cette introspection, chaque fibre de mon être résonne avec l’écho de mille histoires, car peut-être, après tout, l’amour émane des coins les plus reculés et inattendus de notre âme, nous rappelant sans cesse la beauté de la connexion humaine.

Elles ont lu le livre et vous confient leurs impressions

L’Écriture Intuitive : La Clé de l’Âme

Le pouvoir des mots est souvent méconnu, mais dans le monde mystique de l’écriture intuitive, ils peuvent devenir le lien privilégié entre l’esprit et l’âme. Comment? Melanie Chereau, à travers son livre sur l’écriture intuitive, nous éclaire.
Imaginez un instant, être capable de puiser dans une source de sagesse universelle, de se connecter à ceux qui nous ont quittés, de communiquer avec son propre inconscient.
Un songe? Non, une réalité selon Nikita qui affirme que cet ouvrage est “une porte d’accès à la sagesse universelle”.
L’écriture intuitive n’est pas seulement une pratique pour les initiés. Annabelle a trouvé dans ce livre un guide “facile à lire et à s’approprier”. Pour elle, c’était une révélation de découvrir l’ampleur de cette pratique.
Mais le parcours n’est pas toujours facile. L’écriture peut parfois être une corvée. Celia parle de sa relation tendue avec l’écriture avant d’avoir découvert le livre de Melanie. Pour elle, ce fut une renaissance, une réconciliation avec l’art de l’écriture.
Audrey, qualifie l’ouvrage comme étant “complet”, ajoutant que chaque question qui surgissait à l’esprit était rapidement suivie d’une réponse. Un peu comme un voyage d’exploration où chaque obstacle est suivi d’une solution.
Julia le résume : Pratiquer l’écriture intuitive, dit-elle, “c’est apprendre à communiquer avec soi-même.” C’est un processus qui nécessite de l’imagination, de la créativité et une volonté profonde de se libérer, de se soulager et de négocier avec ses peurs.

Le Voyage Immersif de L’Écriture Intuitive : Un Odyssée Vers Soi et l’Univers

Dans un monde en perpétuelle effervescence, où le bruit extérieur noie souvent la voix intérieure, Mélanie nous invite à un voyage exceptionnel. Il ne s’agit pas de parcourir des continents lointains, mais d’explorer les profondeurs de notre être à travers l’écriture intuitive. Le voyage débute dans les recoins cachés de notre propre esprit, ces zones d’ombre que nous ignorons souvent. Avec chaque mot, chaque phrase, l’écriture intuitive nous donne la clé pour déverrouiller des secrets longtemps enfouis, des trésors de sagesse et de connaissance. Mais ce n’est que la première étape. Comme le dit Mélanie, une fois que nous avons touché les profondeurs de notre âme, l’écriture nous connecte à quelque chose de bien plus grand – l’univers, cette source inépuisable d’inspiration. Pour ceux qui se lancent dans cette quête, l’écriture intuitive devient bien plus qu’un simple exercice. C’est une discipline, presque spirituelle, qui développe l’intuition, l’ouverture à des domaines subtils, et peut-être même la connexion avec des guides, des anges. Que vous souhaitiez écrire un poème, un roman ou simplement explorer vos propres pensées, l’écriture intuitive vous ouvre un monde infini de possibilités. Mais comme tout voyage, la patience est la clé. Il s’agit d’un muscle que nous devons développer, et chaque personne progressera à son propre rythme.
Si la motivation est là, assurez-vous que les résultats suivront. Et si l’on croit à l’idée que vingt et un jours peuvent forger une nouvelle habitude, pourquoi ne pas tenter le défi d’écrire intuitivement pendant vingt et un jours consécutifs? Imaginez le changement possible au vingt-deuxième jour ! Mélanie ne nous propose pas une solution unique, mais plutôt un guide pour forger notre propre chemin. En faisant de l’écriture intuitive une partie de notre quotidien, nous découvrons non seulement les mystères de l’univers, mais aussi les merveilles cachées en nous-mêmes.
Alors, à tous les aspirants écrivains et chercheurs d’âme, Mélanie a un message : lancez-vous et écrivez votre propre histoire.

Ce que nous avons trouvé sur Internet

 

La définition et le but

L’écriture intuitive est une pratique qui consiste à poser des mots sur le papier afin d’accéder à nos pensées les plus profondes, à notre face cachée, à qui nous sommes réellement. C’est une forme d’écriture qui permet de se connecter à notre intuition, à notre créativité et à notre sagesse intérieure. Voici ce que l’on peut attendre de l’écriture intuitive :

  1. Exploration de soi : L’écriture intuitive nous permet d’explorer nos émotions, nos pensées et nos expériences de manière profonde et authentique. Elle nous aide à mieux nous connaître et à comprendre nos motivations, nos peurs et nos aspirations.
  2. Libération émotionnelle : En écrivant de manière intuitive, nous pouvons exprimer nos émotions de manière libre et sans jugement. Cela peut nous aider à soulager le stress, l’anxiété et d’autres tensions émotionnelles.
  3. Prise de décision : L’écriture intuitive peut nous aider à prendre des décisions en nous connectant à notre sagesse intérieure. En écrivant sur nos options et en écoutant nos réactions, nous pouvons obtenir des indices sur la meilleure voie à suivre.
  4. Inspiration créative : L’écriture intuitive peut stimuler notre créativité en nous permettant d’explorer de nouvelles idées, de faire des associations inattendues et de découvrir de nouvelles perspectives.

Sites Internet

Livres

  • “Ecriture intuitive, le guide” par Elise Frenchplume : Ce livre explore l’écriture intuitive de manière consciente et aimante envers soi-même, en développant la confiance en soi et l’intuition.
  • Pratiquez l’écriture intuitive” par Mélanie Chereau : Cet ouvrage propose 30 exercices inédits pour élaborer un rituel d’écriture, atteindre ses objectifs, utiliser ses rêves et interroger sa relation avec son corps.

Les pratiques ou les exercices proches de l’écriture intuitive

L’écriture intuitive est une méthode qui permet d’accéder à sa propre sagesse intérieure, ses émotions, ses intuitions et son inconscient. De nombreuses autres pratiques et exercices sont conçus pour atteindre ces mêmes objectifs. Voici quelques-unes de ces pratiques :

  1. Journal Intime : Tenir un journal est une façon de s’exprimer librement et d’explorer ses pensées et ses sentiments sans jugement.
  2. Méditation : La méditation aide à calmer l’esprit et à se connecter à son moi intérieur. Elle peut être combinée avec l’écriture pour approfondir la connexion avec soi-même.
  3. Visualisation Guidée : Elle consiste à suivre une narration ou un ensemble d’instructions pour imaginer un scénario ou une scène, aidant ainsi à accéder à des émotions ou des souvenirs enfouis.
  4. Écriture Automatique : Une forme d’écriture où l’individu écrit sans censure ni direction consciente, permettant à l’inconscient de s’exprimer.
  5. Art-thérapie : Utiliser l’art (peinture, dessin, sculpture, etc.) pour exprimer et explorer ses émotions et ses pensées.
  6. Musicothérapie : Utiliser la musique comme moyen d’explorer et d’exprimer des sentiments et des émotions.
  7. Mouvement ou Danse Expressive : Utiliser le mouvement du corps pour explorer et libérer des émotions.
  8. Réflexion ou Rêverie Dirigée : Prendre un moment pour réfléchir consciemment à une question ou un thème spécifique, souvent utilisé en psychothérapie.
  9. Lecture de Tarot Intuitif : L’utilisation des cartes de tarot pour accéder à son intuition et explorer des thèmes ou des questions personnels.
  10. Travail de Rêve : L’exploration, l’enregistrement et l’analyse de rêves pour en tirer des significations et des aperçus.
  11. Écriture basée sur des déclencheurs : Commencer l’écriture à partir d’une phrase ou d’un mot donné, permettant ainsi à l’inconscient de guider le processus.
  12. Pratiques de Pleine Conscience : Techniques qui aident à ramener l’attention au moment présent et à développer une conscience accrue de soi-même et de son environnement.

Il s’agit toujours d’établir une connexion plus profonde avec soi-même, à explorer son inconscient, à guider vers la compréhension de soi et, dans de nombreux cas, de favoriser la guérison et la croissance personnelles.

Sagesse cachée des monastères : Une odyssée spirituelle éclairée

Le soir d’hiver enveloppe le monastère dans un silence mélodieux, interrompu uniquement par les chants grégoriens qui s’élèvent comme des vagues mystiques, témoignant de la présence divine. Chaque mot, chaque silence, semble peint avec les pinceaux d’une divinité qui transcende le réel, plaçant les moines et leurs hôtes dans un espace entre ciel et terre.

“Sagesse Cachée des Monastères” nous invite dans ce monde mystérieux et sacré, un endroit où la foi est plus qu’un mot, elle est une expérience vécue, un passage intime qui guide l’âme vers des eaux plus profondes. L’auteur nous dévoile un monde où le chant des bénédictins imprègne l’air, chaque note portant la promesse de l’éternité.

Le livre est une exploration, une rencontre avec des âmes qui ont trouvé leur repos dans le sacré, et pourtant, il ne s’agit pas d’une fuite du monde, mais d’une immersion plus profonde en lui. À travers les récits des monastères, le lecteur est invité à un voyage qui est autant intérieur qu’extérieur. Entre les murs de pierres séculaires, une sagesse ancienne résonne, offrant des réponses aux questionnements éternels de l’humanité.

Sœur Aubierge, une figure clé, dévoile une malice et une sagesse qui défient le temps. Son récit, intense et illuminé, est un miroir dans lequel le lecteur peut se voir, non pas comme un être fini, mais comme une âme en voyage. Le monastère n’est pas une fin, mais un passage, une porte qui s’ouvre vers une lumière qui ne connaît pas de déclin.

Le silence et la solitude ne sont pas une privation, mais une plénitude, un espace où le divin se révèle dans son intégralité. Les mots sont insuffisants pour capturer l’essence de cette rencontre. C’est une danse de l’âme, un écho du divin qui résonne à travers les âges, invitant chaque lecteur à une danse sacrée qui transcende le temps et l’espace.


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Quelques présentations selon la sensibilité de chacun

  1. Dans les dédales silencieux de ces pierres sacrées, où l’écho d’une prière se perd depuis des siècles, ce livre nous révèle les mystères que même Notre-Dame pourrait envier. “Sagesse cachée des monastères” est un hymne à l’éternité, une quête de lumière dans les ombres de notre existence.
  2. C’est un livre simple, direct. Des moines, des murs anciens, des chants. La vérité est là, dans le silence entre les mots. “Sagesse cachée des monastères” est une rencontre avec l’éternité, sans fioritures.
  3. Dans le cadre solennel des monastères, où chaque pierre semble raconter une histoire d’amour et de dévotion, ce livre offre un aperçu des passions subtiles et des délices spirituels qui animent le cœur de ces résidents pieux.
  4. Au milieu du faste et de la frénésie du monde moderne, il y a un sanctuaire où l’éclat de la sagesse brille plus lumineusement que n’importe quelle fête. “Sagesse cachée des monastères” est ce sanctuaire en papier, une invitation à une élégance spirituelle.

1 AN POUR BOUSCULER TON QUOTIDIEN

Voir aussi un exemple concret : l’écoute de podcasts !

Quentin Turquet nous prend doucement par la main…

 

Il n’est pas rare de sentir un léger malaise face à la répétition du quotidien. « 1 AN POUR BOUSCULER TON QUOTIDIEN » vient à la rescousse de ceux qui cherchent à injecter un vent de fraîcheur dans leur vie quotidienne, sans avoir à se plonger dans des tomes complexes sur le développement personnel ou la psychologie humaine. L’auteur dévoile avec délicatesse un chemin élégant mais efficace pour réinventer la routine. En prenant la plume, il offre aux lecteurs une mosaïque d’habitudes à explorer. Chaque mois se voit attribuer une valeur fondamentale – de la santé à l’authenticité, en passant par le bonheur et la discipline – engendrant ainsi un parcours équilibré et harmonieux tout au long de l’année.
Cette démarche ne prône pas un changement radical et instantané. Au contraire, le lecteur est encouragé à adopter ces nouvelles pratiques à son propre rythme, en s’octroyant la liberté de les ajuster selon ses besoins et aspirations personnelles. Ce livre n’est pas une doctrine, mais un compagnon silencieux qui marche aux côtés de ceux désireux de donner une nouvelle profondeur à leur existence.
Pour ceux qui ressentent l’appel de l’aventure, des challenges supplémentaires s’ajoutent à ces habitudes, pour titiller la curiosité et provoquer des étincelles d’énergie et d’enthousiasme. Rien d’imposé, tout est invitation. C’est dans cette souplesse que réside la beauté de l’ouvrage. « 1 AN POUR BOUSCULER TON QUOTIDIEN » est une œuvre à la fois subtile et puissante, un délicat équilibre entre l’élégance de l’écriture et la pragmatique quotidienne. L’occasion peut-être, pour les couples, les amis, les familles, d’unir leurs forces, de partager cette quête et d’enrichir l’expérience par le prisme des perspectives multiples.

 

Storytelling

La vallée était verdoyante, et chaque arbre et chaque brin d’herbe lui semblait baigné d’une lumière sereine. Élise, pourtant, se trouvait à un carrefour de sentiers. Elle était là, hésitante, chaque chemin offrant un horizon différent, une promesse distincte.
Un vieux sage, à la barbe aussi blanche que la neige, la regardait avec des yeux emplis d’une douceur infinie. Il s’approcha, son sourire évoquait une chaleur réconfortante : « Je vois l’orage des questionnements dans ton regard, jeune Élise. » Élise leva les yeux, et ses mots, comme chargés d’une douce mélancolie, trouvèrent le chemin de l’air. « Je suis prisonnière d’une routine qui érode mon âme. Je cherche le changement positif, mais il me fuit, insaisissable. » Le vieux sage hocha la tête, « La transformation personnelle, mon enfant, est un voyage, non une destination. » Il pointa vers le sentier du milieu, « C’est un chemin d’apprentissage continu. Une voie où chaque pas est une découverte de soi. »
« Mais comment puis-je acquérir la vitalité nécessaire pour emprunter ce chemin ? » demanda Élise.
Le vieux sage sourit, son rire résonnant avec la douce mélodie du vent dans les arbres. « La vitalité naît du bien-être. Prends soin de ta santé, nourris ton corps et ton esprit, et tu seras une rivière débordante d’énergie. » Élise regarda le sentier, ses yeux emplis d’une curiosité naissante. « Et le bonheur ? Est-il une fleur que l’on cueille sur ce sentier d’apprentissage ? »
« Le bonheur, chère enfant, n’est pas une quête mais une création. C’est l’essence même du développement personnel. Tu le façonneras dans l’atelier de tes actions et de tes pensées. Cultive de bonnes relations, avec toi-même et avec les autres, et le bonheur fleurira comme le printemps après un hiver rigoureux. » Élise semblait absorbée par chaque parole du vieux sage. Il y avait dans ses mots une lumière qui dissipait l’obscurité de ses doutes.
« Mais comment briser la chaîne de la routine ? » Elle posa cette question avec une ardente soif de libération. Le vieux sage la prit par la main et la guida vers le sentier du milieu. « Vois-tu, Élise, la routine est un sol fertile où la graine de l’anti-routine peut être semée. Embrasse chaque jour comme une terre inexplorée. Que chaque aube soit une invitation à la découverte, et chaque crépuscule, un miroir de réflexion. »
Élise, les yeux brillants d’une nouvelle lumière, s’engagea sur le sentier. Chaque pas résonnerait-il de la promesse d’une aube nouvelle ?
Le vieux sage, avec la sagesse de ses années et la douceur de ses paroles, avait allumé une flamme. Une flamme qui danserait et grandirait au rythme des pas d’Élise, illuminant son chemin de transformation personnelle dans l’abondante forêt de la vie.

Un peu plus tard Élise s’avançait sur le sentier, les paroles du vieux sage résonnant en elle comme une mélodie douce et envoûtante. Chaque mot était une étincelle, illuminant les recoins sombres de ses pensées et de ses incertitudes. Le vent caressait ses cheveux, chaque souffle de la nature semblant porter les échos des sages paroles qu’elle venait de recevoir. Elle murmurait chaque mot : “transformation personnelle”, “développement personnel”, “bien-être”… Ces termes, autrefois abstraits et lointains, prenaient désormais une forme et une substance, comme des pierres précieuses qu’elle pouvait toucher et sentir. Mais alors qu’elle progressait, une question se posait, insistant et insistante. Comment ces mots, aussi beaux et puissants soient-ils, s’articuleraient-ils dans la trame complexe et imprévisible de la vraie vie ? Comment le “changement positif” se traduirait-il au-delà du sentier, dans le monde tumultueux et bruyant où la routine et le quotidien gouvernent impitoyablement ?
“Énergie”, “santé”, “vitalité”… Elle réfléchissait à ces mots, les retournant dans son esprit comme on caresse des pierres lisses au bord d’une rivière. Elle comprenait leur importance, leur valeur, mais le pont entre la compréhension et la mise en pratique était un territoire non cartographié, un mystère qu’elle se sentait à la fois impatiente et anxieuse de démystifier. “Relations”, “bonheur”, “découverte de soi”… Comment ces éléments s’entrelacent-ils dans le dance complexe de l’existence ? Comment, dans le rythme effréné du monde, trouve-t-on le temps et l’espace pour cultiver, arroser et nourrir ces graines pour qu’elles fleurissent en un jardin luxuriant ? “Apprentissage”, “anti-routine”… Élise était à ce carrefour de la connaissance et de l’action, où les mots et les idées doivent prendre racine dans le sol fertile des actes et des choix quotidiens pour révéler leur vrai pouvoir.  Ces mots étaient désormais ses compagnons de voyage, et la jeune femme savait qu’à chaque étape de son périple, elle devrait les inviter, les consulter, et les laisser guider ses pas, à travers la vallée sereine et au-delà, dans le vaste, complexe et magnifique paysage de la vie.

La Sagesse humaine de l’Enfant intérieur – Véronique Klesse

Ce livre est le récit sincère de Véronique Klesse, une femme qui nous ouvre les pages intimes de son dialogue silencieux avec le divin. Dans un monde souvent tumultueux, Véronique trouve sa quiétude dans les murmures doux et rassurants de ses anges gardiens. Ces messagers célestes ne sont pas de purs spectateurs de sa vie. Ils interviennent, conseillent, admonestent et aiment avec une tendresse qui traverse chaque ligne du livre. Véronique ne se pose pas en sage immaculée ; elle est humaine, avec ses imperfections, ses doutes, et ses hésitations qui rendent son témoignage si accessible et si profondément touchant.
Elle a bâti des ponts entre les célestes et les terrestres. Chaque message reçu est une pierre précieuse intégrée dans l’édifice de sa foi et de sa compréhension. Ils sont des invitations à la rectitude, non dans la rigidité des règles, mais dans la souplesse de l’amour et du respect profond pour les principes universels de justice et de bien. Ce n’est pas un livre ordinaire. Il est un compagnon pour ceux qui, dans les méandres de leur propre voyage spirituel, cherchent une lumière, un écho de leurs propres expériences, et une assurance que chaque pas, même hésitant, est une danse sacrée vers l’élevation.
Véronique Klesse, déjà connue pour ses essais sur la voix et son témoignage vibrant en tant que femme et mère, revient pour nous rappeler que chaque âme est un pèlerin et que chaque vie est un pèlerinage. Ce nouvel ouvrage est un phare, un rappel que même dans les tempêtes de doutes et d’incertitudes, il y a des étoiles qui brillent avec la promesse de l’aube. Nous sommes tous des voyageurs. Et dans “Échos Célestes”, Véronique nous tend la main, non pour nous guider vers sa lumière, mais pour nous rappeler la lumière en chacun de nous, attendant patiemment d’illuminer notre propre chemin vers le divin.

Passage choisi

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Message de l’ange Trône Caliel

Chacun a la responsabilité d’apprendre à écouter le fond de son intuition jusqu’au bout et de ne pas vouloir la refouler sous prétexte qu’une situation ou une autre fait trop de mal ou dérange la zone de confort en soi. Si l’humain pense que son intuition n’est pas la bonne, il est important d’en apprendre le discernement. Si elle se révèle être erronée, c’est que la personne n’est pas en relation avérée et sincère avec son Être. L’humain peut demander grâce, faire des prières, suppliques et pardon à Dieu directement. Passer par Ses anges renforce la demande de pardon, la grâce, la prière, la supplique – il ne faut pas oublier qu’ils sont les messagers directs de Dieu. Le mensonge est une conséquence de l’orgueil qui offense et fait souffrir Dieu. Nous – anges de lumière – répétons que tant que l’humain incarné ne connaît pas la présence de l’ange chuté, ce dernier peut vagabonder en tout lieu et prendre possession énergétique de milliers de personnes. Ainsi, l’humain peut le canaliser en sa force, le combattre à travers les épreuves et le mettre en sommeil dans cette force obscure tout en intégrant le karma de la personne incarnée. Le véritable amour entre l’amant et l’amante vient des vibrations supérieures, pour le Nouveau. C’est au masculin de descendre vers le féminin et au féminin de s’égaler à lui. Ils sont deux, pour ne plus faire qu’un, seulement si le sept brûle en eux. Ils ont la responsabilité de se purifier l’un et l’autre, pour trouver l’un comme l’autre la lumière, avant de s’unir. L’homme n’est pas encore prêt à entendre le Nouveau parce qu’il n’est pas ajusté à la vérité ! Cela ne saurait tarder ! L’heure arrive ! Que les cœurs se remplissent de joie et d’allégresse !

Ce que nous comprenons ainsi, mais chacun construit une vérité… avec les anges ?

 

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Storytelling

 

L’Écoute Intérieure : Le Chemin Vers La Vérité et La Lumière

La douce lueur du crépuscule enveloppe une silhouette solitaire qui, les yeux fixés vers l’horizon, plonge dans un océan de réflexions. L’intuition, cette voix mystérieuse et intime, chuchote des secrets que l’âme sait être vrais, mais que l’esprit craint souvent d’accepter. La responsabilité de chacun d’entre nous, dans la danse silencieuse de la vie, est d’apprendre à honorer cette voix. Il est facile de la refouler, surtout lorsque sa mélodie dérange la quiétude de nos zones de confort, ou lorsqu’elle résonne avec une vérité qui évoque la douleur ou l’incertitude.
Le discernement, c’est l’art subtil de naviguer à travers ces eaux mystiques. Quand la confusion surgit, il s’agit d’une invitation à approfondir la relation avec soi-même, avec son Être véritable. Dans ce cadre, la prière et la grâce ne sont pas de simples actes religieux, mais des expressions profondes de l’âme, renforcées par le soutien des anges. Ces messagers divins servent de ponts, illuminant les chemins sombres et guidant vers la lumière de la vérité. Il existe une bataille intérieure entre l’orgueil et l’authenticité. Le mensonge offense la dimension spirituelle, et c’est ici que les anges de lumière interviennent pour rappeler la présence de forces opposées en action. La victoire sur ces forces obscures et le passage vers un amour véritable réside dans un équilibre sacré. L’amour, dans sa forme la plus pure, transcende les limitations humaines. C’est une danse entre le masculin et le féminin, où l’unité est forgée dans le feu de la purification et de l’illumination.
Alors que le monde se tient au seuil d’un éveil, l’homme est confronté à la réalité de son alignement avec la vérité. Une transformation imminente se profile à l’horizon, promettant un nouveau monde où l’amour, la lumière et la vérité rayonnent avec une splendeur éblouissante. Dans l’embrasement silencieux de l’aube nouvelle, les cœurs sont invités à se remplir de joie et d’allégresse. Le moment de la joie approche, une ère où l’écoute intérieure devient la boussole guidant chaque âme à travers le magnifique labyrinthe de l’existence humaine.

 

 

La parole intérieure et la méditation

La Parole Intérieure

Nous avons tous une “parole intérieure” qui s’exprime constamment en nous, que ce soit pendant la journée ou même dans nos rêves. Imaginez cela comme un flux continu de pensées, d’opinions et de réflexions, parfois claires et d’autres fois fragmentées. Elles peuvent être des conversations anticipées, des réflexions sur des discussions passées ou des pensées spontanées. Pour certains, cette parole intérieure est une combinaison de différentes langues, surtout pour ceux qui sont polyglottes.
Des chercheurs comme Gabriel Bergounioux ont étudié cette “parole intérieure”. Selon lui, ce flux constant de pensées verbales est une preuve de notre existence et de notre présence psychique. Bergounioux a même essayé de quantifier cette activité, suggérant que nous pourrions avoir jusqu’à 576.000 pensées verbales par jour.

Au cours des années 2000, il y a eu un regain d’intérêt pour étudier cette parole intérieure, appelée “endophasie”. Après des décennies dominées par les sciences cognitives, des linguistes et des écrivains ont commencé à se pencher de nouveau sur le sujet. Des œuvres notables incluent celles de Gabriel Bergounioux en 2004, Victor Rosenthal en 2012 et Frédéric Martin-Achard en 2017.
Que vous en soyez conscient ou non, votre esprit est toujours actif avec une parole intérieure, influençant la façon dont vous percevez et interagissez avec le monde.

La méditation un moyen d’apaiser ou de ralentir la “parole intérieure”

La “parole intérieure” aussi appelée “dialogue intérieur” ou “bavardage mental”.

  1. Concentration: De nombreuses formes de méditation consistent à se concentrer sur un objet, une pensée ou une activité spécifique, comme la respiration ou un mantra, pour entraîner l’esprit à ne pas se disperser. Cela aide à réduire le bavardage mental incessant.

  2. Présence: La pleine conscience, ou “mindfulness”, est une forme de méditation où l’on observe ses pensées, sentiments et sensations sans jugement. Au lieu de se laisser emporter par le dialogue intérieur, on le remarque simplement et revient doucement à l’objet de méditation (comme la respiration). Cela cultive une présence attentive à l’instant présent.

  3. Acceptation: Plutôt que de lutter contre le bavardage mental, certaines techniques de méditation encouragent simplement à reconnaître et accepter la parole intérieure sans s’y attacher ni réagir. Cette acceptation peut aider à dissiper naturellement les pensées intrusives.

  4. Exploration profonde: Certaines formes avancées de méditation, comme la méditation analytique, utilisent le dialogue intérieur comme un outil pour sonder en profondeur certaines questions ou problèmes. Au lieu d’éliminer la parole intérieure, elles l’utilisent de manière constructive.

  5. États de tranquillité: Avec une pratique avancée, certains méditants peuvent atteindre des états de méditation où le bavardage mental cesse presque entièrement, menant à des états profonds de paix et de tranquillité.

Le but de la méditation n’est pas nécessairement d’éliminer complètement le dialogue intérieur, mais plutôt de changer notre relation avec lui. La méditation nous apprend à ne pas être emporté ou dominé par nos pensées, mais à les observer avec détachement et clarté.

L’Arbre de vie kabbalistique : Une immersion dans la spiritualité juive

Source : l’excellent site jepense.org

L’essence de l’Arbre de Vie

L’arbre de vie kabbalistique, également appelé arbre de vie séphirothique (Etz Hayim), n’est pas qu’une simple représentation. C’est une carte profonde, riche et complexe du cosmos selon la Kabbale, une mystique juive antique. Cette perspective unique sur l’univers et tout ce qu’il contient se distingue par son approche holistique, reliant la terre, l’homme et le divin d’une manière interdépendante.

C’est au cours du 13ème siècle qu’Azriel de Gérone, un kabbaliste renommé et respecté, s’est penché sur l’idée d’un diagramme synthétique pour interpréter la complexité du monde. Il a établi des bases solides pour l’enseignement kabbalistique à l’école juive de Gérone, en Catalogne. Cette représentation est connue sous le nom d’arbre de vie, en écho au célèbre récit biblique de la Genèse.

L’essence de l’Arbre de Vie

L’arbre de vie est bien plus qu’une simple représentation ; c’est un prisme à travers lequel on peut chercher à atteindre une compréhension profonde du monde, de la divinité et de notre propre nature. Il souligne la relation dynamique et symbiotique :

  • Entre Dieu et la création
  • Entre Dieu et l’humanité
  • Entre l’esprit et la matière
  • Entre l’infini (Ein Sof) et le fini (Sof)

L’étude de ce schéma ambitieux vise à fusionner l’individu avec une réalité qui va bien au-delà de sa compréhension matérielle. L’ultime dessein étant de réaliser, voir et ressentir la présence et les intentions divines dans tout ce qui nous entoure.

Comprendre l’Arbre de Vie Kabbalistique

Au cœur de la philosophie de l’arbre de vie séphirotique se trouve une conviction centrale : l’univers est stratifié en différents niveaux, chacun illustrant une réalité distincte. Cette exploration de l’arbre de vie nous incite à évoluer dans notre perception du monde, nous poussant à atteindre des niveaux de conscience supérieurs.

La mystique juive kabbalistique ne considère pas Dieu comme une entité isolée, mais plutôt comme une force omniprésente qui infuse tout ce qui existe. Cette perspective met l’accent sur la nature immanente de Dieu, affirmant que tout, des plus petits brins d’herbe aux plus vastes galaxies, est une manifestation de la divinité.

L’homme, en tant que création divine, est donc à l’intersection de ces réalités. Il est un canal, une liaison entre le ciel et la terre, jouant un rôle essentiel dans le grand schéma de la création.

Les éléments de l’Arbre de Vie

L’arbre de vie est un condensé de symboles, représentant à la fois la totalité du cosmos, la conscience humaine et la nature intrinsèque de l’individu. La structure bidirectionnelle de l’arbre permet d’envisager la création sous deux angles : d’une part, l’énergie divine qui s’infuse dans la création, et d’autre part, l’homme cherchant à se connecter et à s’unir à cette force divine.

Toutefois, il est crucial de comprendre que l’arbre de vie ne prétend pas représenter Dieu dans sa totalité. Dieu est au-delà, résidant dans un royaume inconnu, bien au-dessus de la Sephira la plus élevée.

Le schéma de l’Arbre de Vie Séphirotique

Visuellement, l’arbre de vie peut être imaginé comme un arbre renversé, les racines pointant vers le ciel, symbolisant la source, Dieu ou l’Ayn Sof. Les différentes sphères, ou Sephiroth, tracent le chemin du divin vers le tangible.

La beauté de l’arbre de vie kabbalistique réside dans sa cohésion. Ses 10 Sephiroth, 3 piliers, 4 mondes, 3 voiles et 22 sentiers, qui correspondent aux lettres de l’alphabet hébraïque, illustrent l’interconnexion et l’interdépendance de toutes choses.
L’arbre de vie kabbalistique est bien plus qu’une simple représentation. C’est un guide, une boussole pour ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la divinité, du monde et de leur propre âme.

Les 10 Sephiroth : une exploration approfondie

Les Sephiroth, dérivant du mot hébreu qui signifie “numérations”, forment l’épine dorsale de la Kabbale, le système mystique juif. Elles illustrent le processus par lequel le monde infini se condense en une réalité finie.

1. Keter (La Couronne) :
C’est la première émanation du flux divin. Elle représente l’unité ultime, le point où tout commence. Lorsqu’on parle de Keter, on parle de la volonté divine pure, un point d’unité absolue qui est à l’origine de toute création.

2. Chochmah (La Sagesse) :
Représentant la première idée ou la première étincelle de potentiel, Chochmah est cette première prise de conscience du soi. Bien que puissante, cette énergie reste non formée, attend d’être modelée.

3. Binah (L’Intelligence) :
Binah est la Sephira où la véritable formation commence. C’est là que les idées brutes de Chochmah sont traitées, raffinées et structurées. C’est le lieu où la compréhension se cristallise.

4. Hesed (La Miséricorde) :
Hesed incarne l’amour infini, l’abondance. C’est l’énergie d’expansion, de générosité, d’ouverture. Mais, sans limites, elle pourrait devenir écrasante.

5. Gevurah (La Force) :
Aussi appelée Din (Judgement), elle est la force contraignante, la discipline, le besoin de mettre des limites pour permettre à la création d’avoir une forme. Elle incarne également la justice, assurant que chaque action reçoive une réaction équivalente.

6. Tiferet (La Beauté) :
Le point central de l’arbre, elle représente l’équilibre parfait, harmonisant les forces de Hesed et Gevurah. C’est le cœur, le dévouement et la vérité.

7. Netzach (L’Éternité) :
Cette Sephira concerne les émotions, les désirs et les instincts. Elle est le moteur de l’aspiration, la pulsion pour aller de l’avant.

8. Hod (La Gloire) :
Contraste de Netzach, Hod est le siège de l’intellect et du raisonnement. Il introduit l’ordre et la structure aux émotions brutes de Netzach.

9. Yesod (Le Fondement) :
C’est le communicateur, l’intermédiaire entre les Sephiroth au-dessus et Malchut en dessous. Yesod canalise les énergies et les formes pour que Malchut puisse les recevoir.

10. Malchut (La Royauté) :
Représente la réalisation physique, le monde dans lequel nous vivons. Malchut est l’incarnation de toutes les Sephiroth au-dessus d’elle.

Les trois piliers de l’Arbre de Vie Séphirotique

L’Arbre de Vie peut être envisagé comme un édifice soutenu par trois piliers :

1. La Colonne de Droite (Miséricorde) :
Cette colonne est dynamique, positive, expansive. Elle est également associée à l’énergie masculine et représente le flux ininterrompu d’énergie divine.

2. La Colonne de Gauche (Sévérité) :
C’est la colonne formative, passive, restrictive. Elle équilibre la miséricorde par la rigueur, assurant que chaque énergie est contrôlée et bien dirigée. Associée à l’énergie féminine, elle donne forme à la force brute.

3. La Colonne du Centre (Médiation) :
Elle représente l’équilibre entre les deux autres colonnes, assurant que l’énergie circule de manière harmonieuse et efficace. Elle est liée à la réalisation de l’équilibre entre les énergies actives et passives.

Il est intéressant de noter que les piliers de l’Arbre de Vie ont une ressemblance symbolique avec les colonnes de Jakin et Boaz du Temple de Salomon, renforçant ainsi les racines profondes de la Kabbale dans l’histoire juive. Ces piliers rappellent également à l’homme sa quête perpétuelle d’équilibre, d’harmonie et d’élévation spirituelle.

Les Quatre Mondes de l’Arbre de Vie Kabbalistique : Une Exploration Profonde

L’arbre de vie kabbalistique, central à la mystique juive, est bien plus qu’un simple schéma. C’est une carte de la création, une représentation des divers niveaux d’existence qui sont en interaction constante. Il est divisé en quatre mondes, qui symbolisent la descente de l’énergie divine depuis son origine jusqu’à la réalité manifestée.

1. Atzilut (Émanation) : L’Esprit de Dieu

Le monde d’Atzilut est le plus élevé. Ici, tout est unifié, il n’y a pas de distinction. Représenté par Keter (la couronne) et Chochmah (la sagesse), ce monde est si proche de l’infini qu’il demeure insaisissable pour l’esprit humain. Il symbolise l’essence pure de la divinité, une émanation directe de l’Esprit de Dieu. Dans ce royaume, il n’y a pas de dualité, seulement l’unité.

2. Beriah (Création) : L’Archétype de l’Existence

Binah, qui signifie “compréhension”, représente ce deuxième monde. C’est ici que les idées divines prennent forme. Bien que toujours immatériel, Beriah est le début de la structuration, la conception des archétypes de l’existence. Les initiés qui méditent profondément peuvent parfois entrevoir ce monde, mais il reste toujours au-delà de la compréhension totale.

3. Yetzirah (Formation) : Le Monde Émotionnel

Yetzirah est le monde où la réalité commence à prendre forme de manière plus concrète. Il englobe six Sephiroth, qui correspondent aux divers aspects émotionnels, psychiques et mystiques de l’existence. C’est ici que la réalité est façonnée, guidée par les énergies divines de l’amour, de la justice, de l’harmonie et plus encore.

4. Assiyah (Action) : Le Monde Manifesté

Assiyah, représenté par Malchut (le royaume), est le monde tangible. C’est notre réalité, où la matière, l’énergie, l’espace et le temps convergent pour créer l’univers que nous connaissons. C’est le produit final de la descente de l’énergie divine, où tout ce qui a été conceptualisé dans les mondes supérieurs prend forme physique.

Chaque monde est un reflet du précédent mais sur un plan d’existence différent. L’initié qui parcourt cet arbre de vie expérimente une transformation spirituelle, émotionnelle et physique.

Les Trois Voiles et l’Élévation de l’Initié

Les voiles sont comme des barrières, séparant les divers niveaux de réalité et de compréhension. Ces trois voiles symbolisent les étapes majeures de l’initiation kabbalistique. Chaque voile traversé représente une prise de conscience plus profonde de la réalité et de soi-même.

L’arbre de vie kabbalistique est une carte pour le voyage spirituel, guidant l’âme à travers les défis et les épreuves vers une union plus étroite avec la divinité.
En essence, l’arbre de vie séphirotique est une représentation de la manière dont l’énergie divine se manifeste dans notre réalité. Chaque étape, chaque monde, chaque Sephira offre une perspective unique sur l’interaction entre le divin et le profane.

 
 
 

Parmi les sources : 450fm  La kabbale, cette autre Bible

La Kabbale : Voyage à travers les Textes Sacrés et la Mystique Juive

La Kabbale, souvent perçue comme l’une des études mystiques les plus profondes et ésotériques du judaïsme, est en réalité une mosaïque complexe de pensées, d’idées et de traditions. Comme la Bible, elle est riche en enseignements qui ont traversé les siècles, se façonnant et se transformant au fil du temps.

Des Origines Antiques aux Textes Fondamentaux

La Kabbale n’est pas une création unique, mais plutôt une collection de textes qui ont évolué et se sont élargis sur plusieurs millénaires. Ses racines peuvent être retracées à des écrits antiques tels que le “Livre d’Enoch”, intrigant par son nom, qui est un anagramme de “Cohen”, le terme hébreu pour prêtre. Ce livre antique est lié à une période tumultueuse de l’histoire juive : la destruction du Second Temple de Salomon.
Un autre pilier fondamental de la Kabbale est le “Sefer Yetsirah” ou “Livre de la Création”. Rédigé au 3ème siècle, ce texte sert de base à beaucoup des concepts kabbalistiques qui allaient suivre.
En s’appuyant sur ces fondations, d’autres textes majeurs ont émergé, notamment le “Sefer Habahir” (Livre de la Clarté) et le “Zohar” (Livre de la Splendeur). Bien que le Zohar soit attribué à Rabbi Bar Yochaï, c’est l’éminent cabaliste espagnol Moïse de Léon au XIIIème siècle qui est largement reconnu pour avoir reformulé et consolidé ce texte fondamental.

Les Lumières de la Kabbale

De nombreux érudits et mystiques ont contribué à la richesse de la Kabbale. Isaac l’Aveugle, par exemple, est une figure légendaire qui aurait reçu des révélations directes de Dieu. Des cabalistes plus modernes comme Moïse Cordovero, Abraham Aboulafia et Isaac Louria ont tous joué un rôle déterminant dans le développement de la Kabbale, en étudiant, en réinterprétant et en cherchant inlassablement des significations cachées dans la Torah.

La Cosmogonie Kabbalistique : Le Souffle de la Création

Au cœur de la Kabbale se trouve une idée puissante : tout l’univers a été façonné par le souffle divin, ou “Rouah”, du Dieu vivant. Cette notion est si profonde qu’elle est souvent exprimée à travers des allégories, y compris des allégories sexuelles qui dépeignent l’infini, “l’ein sof”, comme une force fécondante qui donne vie à l’univers.
De ce souffle divin est né le Verbe. Selon la mystique kabbalistique, ce Verbe s’est matérialisé en ondes sonores, qui ont ensuite été codifiées en lettres, donnant naissance aux 22 lettres de l’alphabet hébraïque. Ces lettres sont bien plus que de simples caractères : elles sont liées aux 22 premiers nombres, formant ensemble ce que l’on pourrait appeler la “vibration primitive” de la création. Dans la poétique et la beauté de la pensée kabbalistique, ces lettres deviennent des anges, des entités divines participant directement à l’acte de création.

L’Arbre Séphirotique de la Kabbale : Une Carte Énergétique de l’Univers et de l’Homme

L’arbre séphirotique est un symbole puissant qui émane du cœur de la mystique juive. Décrit en détail dans la tradition kabbalistique, il sert de guide pour comprendre la relation intime et complexe entre l’homme et le divin, ainsi que la dynamique énergétique qui imprègne toute création.

Nature et Signification de l’Arbre Séphirotique

Au centre de la Kabbale se trouve l’idée du souffle divin, une force primordiale qui imprègne toute existence. L’arbre séphirotique est une représentation symbolique de cette force, présentant une structure d’émanations divines ou “sephiroths”. Ces émanations, semblables aux flammes d’un feu dont la source est Dieu, sont dix en nombre. Elles sont vues comme des reflets de la lumière divine, rappelant les éclats des saphirs, d’où leur nom. Chaque sephiroth joue un rôle spécifique dans la dynamique de l’univers. Leur représentation sur le diagramme, qui peut être visualisé de haut en bas ou de bas en haut, évoque l’image de vases remplis de la lumière divine, chaque vase transmettant sa lumière au suivant. Cette cascade lumineuse commence avec KETHER, la couronne symbolisant la source divine, et se termine avec MALKHOUT, le royaume représentant la manifestation terrestre.

Dimensions Multiples de l’Arbre

L’arbre séphirotique offre plusieurs niveaux de lecture, offrant une vision à la fois horizontale et verticale. Horizontalement, il dépeint trois aspects de l’expérience humaine : l’esprit, l’affectivité et l’action. Verticalement, il souligne deux points centraux : TIPHERET (la beauté) qui incarne l’équilibre harmonieux et IESOD (le fondement) qui symbolise la transmission et la continuité.

Les Séphiroths à travers les Écritures

Bien que symboliques, les séphiroths ont des racines profondément ancrées dans les textes sacrés. On les retrouve, par exemple, dans la Bible, où elles sont souvent mentionnées comme des attributs ou des qualités divines. Ces références bibliques ont été davantage explorées dans des œuvres kabbalistiques majeures comme le “Livre de la clarté” et le “Zohar”. Ce dernier, rédigé par Moïse de Léon au 13ème siècle, est une exploration approfondie des séphiroths et de leur signification.

L’Expérience Personnelle avec l’Arbre Séphirotique

L’arbre séphirotique n’est pas seulement une représentation théorique, mais aussi un outil d’éveil spirituel. Les mages kabbalistes croient qu’en méditant sur les noms et les formes de l’arbre, on peut recevoir des illuminations et des insights profonds. Toutefois, comme pour toute symbolique, son interprétation dépend largement de l’individu.

Le labyrinthe

D’après l’excellent site “Je pense”  https://www.jepense.org/symbolisme-du-labyrinthe/

Le symbolisme du labyrinthe : signification et sens caché

Le labyrinthe est un motif géométrique ancien, symbolisant un parcours compliqué avec de nombreux détours et obstacles. Bien qu’il puisse être vu comme un jeu ou une épreuve, son sens profond est souvent associé à la quête, au mystère, et à la connaissance.

Origines et mythologie grecque : Le mot “labyrinthe” provient d’une ancienne racine indo-européenne, faisant référence à un complexe de bâtiments en pierre. Dans la mythologie grecque, Dédale crée un labyrinthe pour le roi Minos afin d’y enfermer le Minotaure. Thésée, aidé par le fil d’Ariane, entre dans le labyrinthe, tue le Minotaure et en sort victorieux.

Symbolismes profonds :

  1. Épreuve et adversité : Le labyrinthe évoque les défis, les erreurs, la peur, et la mort. Seules la ruse et l’intelligence permettent de le traverser.
  2. Labyrinthe mental : Il peut représenter le mental, l’inconscient ou le subconscient. Explorer son propre “labyrinthe intérieur” c’est confronter ses peurs et ses passions.
  3. Quête personnelle : Traverser le labyrinthe est une quête spirituelle, passant de l’illusion à la réalité, et cherchant son chemin de vie.
  4. Mystère et secret : Il évoque le mystère de la vie et nécessite de se dépasser pour découvrir la vérité cachée.
  5. Savoir et Connaissance : Comme une construction complexe ou un texte sacré, le labyrinthe représente le défi d’acquérir la connaissance.

Centre du labyrinthe : Le centre est un lieu d’équilibre, de paix, et d’harmonie. Il peut être vu comme un point d’accès au soi véritable, à l’arbre de vie, ou à la pierre philosophale.

Liens maçonniques : Bien que le labyrinthe ne soit pas directement mentionné dans la maçonnerie, ses thèmes se recoupent avec de nombreux symboles maçonniques. De plus, le labyrinthe était souvent associé aux bâtisseurs de cathédrales, précurseurs des francs-maçons.

Labyrinthes dans les églises : On trouve des labyrinthes dans de nombreuses cathédrales françaises. Traditionnellement, ils sont vus comme un moyen de protéger contre les démons et comme un substitut au pèlerinage. À Chartres, le labyrinthe est un exemple de la fusion de la pensée antique et chrétienne.

D’après « Chartres, le labyrinthe déchiffré » de John et Odette Ketley-Laporte 

Chartres, le labyrinthe

Un labyrinthe de proportions impressionnantes et de significations profondes est niché au cœur de la Cathédrale de Chartres, un chef-d’œuvre architectural construit en 1200. Ce n’est pas seulement une création grandiose en raison de sa taille – avec un diamètre impressionnant de 12,88 m – mais aussi en raison de la complexité et de la signification de sa conception.
Histoire et Architecture: Lorsqu’on étudie l’histoire du labyrinthe, il est impossible d’ignorer la plaque en cuivre qui se trouvait autrefois au centre, illustrant la bataille entre Thésée et le minotaure. Cette représentation est directement inspirée du célèbre Labyrinthe de Crète, une création mythologique de Dédale. Malheureusement, la plaque a été perdue lorsqu’elle a été fondu par des révolutionnaires en 1793 pour fabriquer des cloches. La perte de cette plaque est un rappel de l’impact de la politique et des mouvements sociaux sur l’art et la culture, même lorsqu’ils sont inscrits dans la pierre des cathédrales. Le labyrinthe de Chartres ne sert pas seulement d’ornement; il est la manifestation des connaissances mathématiques avancées de son temps. Le Moyen Âge, une époque souvent stigmatisée comme “sombre”, était en réalité un moment où la compréhension des nombres, des formes et des proportions était primordiale. Les chercheurs et les bâtisseurs croyaient fermement que ces éléments étaient les clés pour comprendre l’univers lui-même.
Géométrie et Symbolisme: L’architecture de la Cathédrale de Chartres, et en particulier du labyrinthe, est profondément enracinée dans la géométrie sacrée. Chaque coin, chaque courbe et chaque ligne du labyrinthe a été pensé en fonction de cette géométrie. Le centre du labyrinthe, par exemple, coïncide avec l’un des principaux points d’ancrage de la cathédrale elle-même. Le choix d’une forme circulaire avec onze anneaux concentriques est également loin d’être arbitraire. Le cercle, souvent vu comme un symbole de l’éternité et de l’infini, se trouve au cœur de sa conception. L’utilisation du pied romain comme unité de mesure pour la construction est également fascinante. Ce système de mesure ancien, basé sur une longueur de 294,45 mm, était la norme de l’époque. Mais à l’intérieur du labyrinthe, une autre mesure, appelée “pied du Maître”, d’une longueur très similaire, était utilisée. Cette distinction subtile entre les mesures “profanes” et “sacrées” met en évidence la frontière entre le monde extérieur et l’espace sacré du labyrinthe.
Renaissance et Signification Actuelle: Malgré sa splendeur et son importance symbolique, le message du labyrinthe a commencé à s’estomper dès la fin du XIIIe siècle. Au fil du temps, son sens s’est perdu, tout comme de nombreux autres labyrinthes dans d’autres cathédrales. Cependant, grâce à la qualité de sa construction et à des facteurs économiques au 19ème siècle, il a survécu. De nos jours, le labyrinthe connaît un regain d’intérêt. Les chercheurs déchiffrent peu à peu ses mystères, et chaque vendredi, les chaises qui le recouvrent sont retirées, permettant aux visiteurs de l’apprécier pleinement.
Origines et Dimensions Spirituelles: Les labyrinthes existent depuis l’Antiquité et peuvent être trouvés dans presque toutes les cultures du monde. Bien que chaque culture puisse avoir sa propre interprétation du labyrinthe, la conception de Chartres est unique en ce qu’elle n’est pas conçue pour perdre ou désorienter. Au lieu de cela, elle représente un voyage spirituel, une quête de la vérité intérieure et de la communion avec le divin.
Position du Rectorat de Chartres: Les découvertes récentes du rectorat de Chartres ont jeté un nouvel éclairage sur le labyrinthe. Elles révèlent qu’il a été utilisé lors de cérémonies spéciales pour symboliser la résurrection du Christ. Cette utilisation, combinée à son design inspiré du Labyrinthe de Crète, évoque des thèmes de renaissance et de triomphe sur la mort.

D’après le non moins excellent 450 FM  https://450.fm/2023/08/10/les-labyrinthes-dans-les-eglises-decryptage-dun-mystere-medieval/

Les labyrinthes dans les églises : décryptage d’un mystère médiéval

Depuis le Moyen Âge, des labyrinthes ont été représentés dans les cathédrales telles que Chartres et Amiens. Ce motif, ayant des origines païennes, intrigue quant à sa place au sein des églises chrétiennes. Originaire de la mythologie grecque, le labyrinthe est conçu pour désorienter. Dans la chrétienté, il a été réinterprété pour symboliser différents thèmes religieux. En Europe, on retrouve ce motif dans une vingtaine d’églises, notamment en Italie, en France et dans les pays nordiques. Ces labyrinthes varient en forme, et peuvent être représentés dans les pavements, peints sur des voûtes ou réalisés en mosaïques. Bien que l’origine du labyrinthe remonte à la Grèce antique, l’historien Hérodote le trace en Égypte. Cependant, il est plus populairement associé au mythe de Thésée et du Minotaure. Dans cette légende, Thésée utilise un fil pour naviguer et tuer le Minotaure dans le labyrinthe. En adoptant le motif du labyrinthe, le christianisme lui a donné une perspective plus profonde et religieuse. Le premier exemple de cette adoption se trouve en Algérie au IVe siècle, dans l’église Sainte-Réparate d’El-Asnam. Cette mosaïque du labyrinthe menait non pas au Minotaure, mais à la “Sainte Église”. Les significations et usages des labyrinthes dans les églises sont variés et font l’objet de nombreux débats. Certains pensent que cela pourrait représenter un défi que l’homme, qu’il s’agisse de Thésée, du Christ ou d’un pèlerin, relève victorieusement.

Hypothèse 1 : La signature des bâtisseurs

  • Le labyrinthe pourrait être la signature des architectes de la cathédrale, se voyant comme les héritiers du créateur du labyrinthe de Cnossos, Dédale.
  • La pierre centrale du labyrinthe d’Amiens contient l’évêque Evrard de Fouilloy et les 3 premiers architectes.
  • La position du labyrinthe dans la nef pourrait indiquer une signification plus laïque.

Mon avis : Favorable à cette interprétation.

Hypothèse 2 : Le symbole d’un monde dévoré par le péché

  • Le labyrinthe, avec son centre occupé par un Minotaure, symbolise un monde tentateur et dévoré par le péché.
  • La forme ronde représente le monde, et le Minotaure représente Satan.
  • Le nombre de lacets du labyrinthe de Chartres (11) est associé à l’imperfection.
  • Le Christ est vu comme une figure qui sauve les hommes du labyrinthe, semblable à Thésée sauvant les Athéniens du Minotaure.

Mon avis : Convaincu par cette analogie chrétienne.

Hypothèse 3 : Un chemin de Jérusalem

  • Après la perte de Jérusalem en 1187, le labyrinthe servirait de substitut au pèlerinage.
  • Il représente le trajet douloureux du Christ vers sa crucifixion.
  • Malgré certaines sources suggérant cette pratique, des preuves historiques datant d’avant le XVIIIe siècle manquent.

Mon avis : Sceptique concernant cette interprétation.

Hypothèse 4 : Un chemin initiatique vers le salut

  • Le labyrinthe représente le parcours de la vie, avec des défis, mais mène inévitablement au salut.
  • Contrairement aux véritables labyrinthes, ceux dans les cathédrales n’ont pas d’impasses, donc le “pèlerin” ne risque pas de se perdre.

Mon avis : Pas entièrement convaincu, car les labyrinthes chrétiens n’offrent pas de fausses pistes.

Hypothèse 5 : Le support d’un rituel à Pâques

  • À Auxerre, lors de Pâques, un rituel était effectué autour du labyrinthe, avec chants et jeux de ballon.
  • Malgré l’interdiction des jeux dans les églises, cela prouve qu’ils existaient.

La chorégraphie dans la cathédrale d’Auxerre est interprétée comme une représentation du Christ (Thésée) traversant les enfers (le labyrinthe) et affrontant Satan (le Minotaure) pour offrir sa lumière à ceux qui l’ont attendu, symbolisant le chemin vers la vie éternelle. D’autres rituels dans des cathédrales, comme à Reims, utilisent également le labyrinthe pour illustrer des épisodes bibliques. Des textes historiques soutiennent cette utilisation rituelle du labyrinthe, bien que des preuves écrites soient relativement tardives. Les labyrinthes étaient populaires pendant le Moyen Âge, mais leur signification s’est perdue avec le temps. Au XVIIIe siècle, certains labyrinthes ont été retirés des églises car ils distrayaient les fidèles pendant les cérémonies. Cependant, l’intérêt pour les labyrinthes a été ravivé plus tard, et ils ont été réintroduits ou créés dans de nombreux lieux de culte. Ils symbolisent désormais l’itinéraire spirituel. En outre, le labyrinthe est utilisé comme logo pour les Monuments historiques en France depuis 1985.
Les labyrinthes ne sont pas exclusifs à la France ; on en trouve également en Italie et dans d’autres pays européens. En France, ils sont principalement situés dans la moitié nord, surtout dans les archidiocèses de Sens et de Reims. Ces labyrinthes ont des caractéristiques distinctives en termes de taille, de forme et de conception. L’article se termine en énumérant différents labyrinthes situés dans diverses cathédrales et églises en France, en Italie et dans d’autres régions d’Europe.

 

La revanche du cerveau droit

Un livre de Ferial Furon (Auteur) et Marjorie Rafécas-Poeydomenge Bruno Giuliani (Préface) 

Notre société a cultivé son cerveau gauche, la rationalité, le cartésianisme… Au détriment du droit, de la pensée globale, créative, intuitive.
Comment notre société peut se transformer, permettre de nouvelles façons de voir, par une vraie reconnexion avec notre cerveau droit ?
C’est aussi cela que Spiritualités Magazine propose, car la raison ne mène à rien sans l’imagination, la vision globale, la créativité… et la spiritualité !
Dans ce livre, 40 auteurs dans leur diversité et avec des angles d’approche très divers entrelacent de leurs témoignages les propos des auteurs,

CITATIONS

A propos de la spiritualité

Préface de Bruno Giuliani

“À la suite de Spinoza et Bergson, j’appelle « sagesse intuitive » la pensée globale qui intègre science (connaissance objective analytique) et spiritualité (savoir subjectif synthétique) au sein d’une intelligence affective qui culmine dans l’art de vivre. C’est finalement à emprunter la voie symbolique de l’intuition – la pensée qui relie, unifie et s’accorde au sens évolutif de la vie – que ce livre nous invite. Le contraire de la voie diabolique du mental qui sépare, détruit et conduit à l’absurdité du monde transhumaniste. Après des siècles de dissociation entre l’Homme et la Nature, ce nouveau courant de pensée se place avant tout sous le signe de l’unification des polarités.” P. 21

Citations des auteurs

“Celles et ceux qui seraient « à droite » – cérébralement et non politiquement bien sûr – auraient des appétences particulières pour la spiritualité.” P. 39

“Si l’on considère par exemple l’intelligence spirituelle, Howard Gardner estime que la spiritualité est un mélange d’intelligences inter et intrapersonnelle. Ainsi, nous pouvons tricoter d’autres intelligences à partir de deux formes d’intelligences. Nos capacités se démultiplient” P. 53

“Spinoza, qui a réussi une parfaite alliance entre la logique et le cerveau droit plus mystique, a défendu un sentiment d’unité avec son concept de monisme : « Nous faisons partie de la Nature, rien ne nous sépare de l’univers ». C’est l’idée d’harmonie qu’a toujours prônée la philosophie grecque. Ou encore l’expérience numineuse de Jung qui réveille en nous cette envie de spiritualité”. P. 95

Pourriez-vous nous indiquer les pistes pour aller vers le meilleur futur ?
Philippe Guillemant
: ce sont nos pensées et nos émotions qui engendrent le futur. Or nous sommes plongés dans un conditionnement. Nous ne pouvons pas changer avec le mental. Il faut réussir à faire taire ce « petit vélo ». Nous sommes prisonniers de l’analyse permanente de notre mental que la méditation permet d’atténuer grâce au lâcher-prise. Ainsi pour aller vers le meilleur futur, il faudrait se mettre en état de captation, se libérer des conditionnements pour nous mettre dans un état spirituel.” P. 152

 

A propos de la méditation : un rempart à l’ultraconnexion technologique ?

“En neurosciences, il est aujourd’hui démontré scientifiquement que la méditation modifie favorablement la chimie de notre cerveau. Ce sont les mêmes ondes alpha (13 Hz) que nous utilisons pour l’hypnose et la méditation pour se débrancher, comme nous l’a expliqué l’hypnologue Philippe Genest. Pratiquer la méditation permet de mieux connecter les deux hémisphères de notre cerveau et d’atteindre une meilleure harmonie.” P. 299

“La méditation est aussi un excellent moyen de développer sa créativité, car elle permet d’améliorer à la fois la pensée divergente (cerveau droit) et la pensée convergente (cerveau gauche). L’artiste David Lynch explique le potentiel créatif de la méditation dans son livre Catching the Big Fish : Meditation, Consciousness, and Creativity” P. 300

A propos d’un bouleversement du monde du travail. Interview d’Audrey Chapot, anthropologue

“Plus que tout, c’est notre rapport au travail qui est en train de basculer, et la place qu’il prend dans notre quotidien. Les conditions de travail et relations managériales sont actuellement trop souvent toxiques, d’où les arrêts maladie, les burn out, les décisions de reconversion en masse. Ce sont les signes précurseurs de changements profonds. Les modalités de travail ne sont plus en adéquation avec nos besoins et aspirations. Même si des évolutions sont déjà visibles, le chemin est long car les mentalités et les comportements n’évoluent pas au même rythme.” P. 364

“Les managers sont en fait déjà hybrides : il leur faut à la fois des capacités organisationnelles et une intelligence relationnelle pour stimuler au mieux la performance de leurs équipes. Le problème est que ces fameuses compétences « couteau Suisse » sont difficiles à acquérir car si on en revient à l’asymétrie cérébrale, cela demande aux managers de savoir jongler avec les deux hémisphères de leur cerveau et d’avoir une approche résolument bicéphale de leurs collaborateurs entre le savoir-faire et le savoir-être. Ainsi, les dirigeants devront dans le futur, être de plus en plus souples et holistiques.” P. 366  

 

L’équipe de Spiritualités Magazine vous accompagne personnellement

Rêver votre vie, vivre votre rêve

Ici, l’équipe de Spiritualités Magazine vous accompagne au travers d’exercices en ligne et de rendez-vous en vidéo-conférence. 
Par ailleurs nous organisons divers séminaires, ainsi que des formations pour des groupes ou des entreprises.

Vous avez remarqué que nombre d’articles du site portent sur des livres récemment parus. La plupart ont comme intention d’accompagner un changement personnel et global. Les méthodes, les fondements théoriques, les traditions sous-jacentes, varient largement. Ce n’est pas contradictoire, et vous pouvez accompagner votre travail intérieur dans la variété des approches, ou dans l’enthousiasme d’avoir découvert ce qui vous convient parfaitement. L’important  est d’y travailler régulièrement et de persévérer. Certaines pratiques, comme la méditation, fait partie de toutes les voies de changement et d’élévation individuelle et collective.

Nous vous proposons une continuité de réflexions, de pratiques, d’exercices, issues à la fois de l’expérience de notre équipe et de notre interprétation ou de notre aménagement de passages des livres que nous présentons. Ainsi, les livres qui vous conviennent le plus pourront, eux-aussi vous accompagner dans une démarche libre et éclairée.

Les accompagnements de Spiritualités Magazine

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Je me lève du mauvais pied. Comment faire ?

 

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Stratégies d’auto-coaching

Les Editions GERESO qui éditent des livres très clairement présentés, une auteure – Mireille VIE – qui est une professionnelle du coaching, expérimentée, très méthodique et progressive : voici un livre qui peut servir de base à tous ceux qui veulent se prendre en main par eux-mêmes ou avec un minimum d’intervention extérieure… puisqu’il s’agit d’auto-coaching.

Choisir nos pensées

Mireille VIE part de la plus simple et de la plus puissante des idées : nous pouvons choisir nos idées, choisir correctement nos pensées, et c’est cela qui nous permet de faire face sereinement à la plupart des situations qui se présentent à nous. 
Une autre façon de le dire : la réalité est faite
1/ de faits observables : nous ne pouvons agir à ce niveau, nous acceptons
2/ d’interprétations, de biais, de préjugés, de déductions… bref de représentations. Celles-ci dépendent de nous. Nous pouvons agir au niveau de nos réactions à ce qui se passe.
Le livre va développer 20 situations de la vie quotidienne pour lesquelles le simple usage de notre cerveau, notre pensée, va permettre d’adopter la bonne stratégie, et de nous sentir bien mieux !

Nous sommes invités, avec quelques efforts, à modifier notre façon de penser. Cela en vaut la peine nous dit l’auteure… Je confirme !

Devenez pionnier du nouveau monde

Cette idée d’un nouveau monde habitait déjà Laurent Muratet voici 10 ans. En témoignent des interviews complètes effectuées pour le film Un nouveau monde en marche: Pierre Rabhi, Akhenaton, Christophe André, Dominique Bourg, Gaël Giraud, Annick de Souzenelle, Marc Dufumier, Jean-Marie Pelt, Haru (Leader amérindien), Jean-Baptiste de Foucauld.

Cette fois, avec 50 personnes, au moment du confinement, c’est une méthode et une énumération très précise des pensées – actions pour le changement que l’auteur nous propose.

Pour écouter le podcast, aidez vous des quadrants de Ken Wilber

 

Quadrant de Ken Wilber par Kévin Solinski

 

La portée collective de la psychologie positive

Comment aborder avec une vision, une intention, positive, la vie commune, les institutions, les enjeux collectifs de notre temps ?
Cette question est rarement posée. Elle est même absente des concepts et des débats politiques, là ou il serait simple de parler, tout simplement de qualité de vie. Qualité de vie pour tous, et chacun, avec le souci de combler les inégalités et de préserver la planète.

 

L’autohypnose Le petit guide de Camille Griselin

Le petit guide de l’autohypnose pour se libérer du stress, de la peur ou des addictions

Vous adorez la série « En thérapie » ? Eh bien, maintenant, vous pouvez vous concocter vos propres séances de thérapie, avec… l’autohypnose !

Car c’est par l’écrit que se passe chaque séance proposée par Camille Griselin. Oui, avec ce qui est écrit dans ce livre, vous pourrez vous libérer du stress, etc…  Cette praticienne de l’hypnose, met à votre disposition une technique puissante, ce dont vous serez persuadé en l’expérimentant.
Formée à l’hypnose Ericksonienne elle a développé ensuite sa propre méthode : « SAJECE ».
Très vite, comme praticienne elle a connu des succès concernant les dépendances, les addictions. Elle explique son cheminement :
« J’étais heureuse d’aider quelqu’un à se débarrasser de l’envie de fumer mais je voulais aller plus loin et traiter l’origine de cette envie, afin de ne pas déplacer le problème sur une autre dépendance. Petit à petit, ma méthode a évolué, j’ai œuvré sur les émotions, l’enfant intérieur, les croyances, les fidélités inconscientes, les mémoires, et je lui ai donné le nom d’hypnose SAJECE ».

Camille Griselin explique très simplement sa méthode, les raisons de son efficacité :
« Si, petits nous avons vu notre père colérique, nous lançons parfois aujourd’hui, malgré nous, le programme de la colère, parce que nous l’avions téléchargé.
Si, petits, nous avons vu notre mère stressée, c’est plus fort que nous, nous lançons parfois aujourd’hui automatiquement le programme du stress.
Si, petits, nous avons vu un grand frère dans l’inaction qui énervait nos parents, nous avons peut-être téléchargé le programme inverse : l’action permanente. Un programme en réaction à celui que nous avions sous les yeux, mais qui ne nous rend pas forcément heureux.
Le but de ce livre est donc de changer ces programmes, de faire une mise à jour interne, pour obtenir la meilleure version possible d’une vie heureuse.
Vous trouverez six séances pour vous aider à déprogrammer ces vieux fonctionnements. Je vous invite à lire toutes les séances en entier, et à relire chacune d’entre elles une fois par semaine, pendant trois semaines. Vous pouvez en faire plusieurs différentes par semaine.
En complément ou à la place des séances à lire, vous trouverez des enregistrements audios à écouter en scannant le QR Code à la fin de l’ouvrage. Il y en a six, qui correspondent aux séances écrites »

Le livre commence logiquement par « les blessures émotionnelles de l’enfance ». Et la méthode du livre apparait alors : pour chaque thématique l’auteur raconte une anecdote, nous livre un récit qui va nous marquer… y compris inconsciemment. Et son storytelling est vraiment attractif. Il suscite l’intérêt jusqu’à la fin de chaque histoire. « Je me souviens de l’histoire d’une femme qui lisait beaucoup de livres »… On a envie de savoir la suite !
La problématique devient, « changer l’histoire qu’on se raconte ». Puis on s’attaque à son système de croyance, à la confiance en soi, aux dépendances (tabac, nourriture, alcool, téléphone, etc.) pour terminer en se libérant de la peur. Chaque fois l’auteur explique comment se fait le passage (« bienvenue à vous dans cette séance d’hypnose à lire »). Mais au fur et à mesure, les histoires tournent autour de notions très diverses : les intentions, l’émerveillement, le monde binaire, le reflet, la création, la norme, l’incertitude, la séparation, dompter ses pensées, les croyances, l’enfant intérieur, les habitudes…

Tout est d’une grande richesse, d’une belle accessibilité, et autant que j’ai pu le tester, d’une grande efficacité. J’ai bien fait attention de ne pas me guérir d’une addiction personnelle : la présentation de livres de spiritualité et bien-être !

La paix intérieure

   Ne pas manquer : Une page vers l’interview de l’auteur

Alain DELOURME a écrit un livre profond qui nous fait monter, vibrer en spiritualité.
Il ne savait pas, lorsqu’il l’a écrit que la guerre allait saisir l’Europe. Mais ce livre est bien à la fois intemporel, existentiel, spirituel et d’actualité. Car la paix partagée, collective, dépend de notre désir et de notre travail de paix intérieure.

“Naître est un passage, mourir également. Entre les deux il est sain d’avoir les pieds dans la glaise et la tête dans les étoiles, nous dit l’auteur. Nous aiderons le lecteur,  à effectuer ses propres choix et à se construire tout en s’apaisant.”

Présentation du livre
Cette paix intérieure est destinée à chacun. Il s’agit d’une source essentielle, vitale et intime aussi bien que universelle. Apprenons à entretenir le lien avec elle. Mais quelles sont les conditions requises pour bâtir cette paix en vous ? La soutenir malgré les souffrances de l’existence ? Et la consolider face à ce qu’on considère très souvent comme une menace, à savoir la mort ? Comment bâtir une paix durable qui tienne compte des besoins émotionnels, écologiques et spirituels partagés par les humains ? C’est ce que nous allons éclaircir. Témoignages et exemples alterneront avec les passages réflexifs pour rendre la lecture plus vivante, comme cette paix que nous recherchons.

Extraits

Évolution de la conscience

“Nous sommes reliés les uns aux autres dans des champs de résonance qui pénètrent jusqu’au cœur de l’être. L’univers n’est pas seulement cordes vibrantes et événements quantiques. La vie, l’esprit et la culture font partie de la réalité de ce monde, et une authentique théorie du tout mérite d’en tenir compte. L’univers lui-même possède une forme de conscience, une matrice cosmique de laquelle notre conscience a émergé et avec laquelle elle reste en lien étroit. Les nouvelles recherches sur la conscience reconnaissent que la vie et l’esprit font partie du monde et non des sous-produits du hasard.
La conscience transpersonnelle et l’interconnectivité indiquent que les consciences sont reliées, comme les galaxies le sont dans le macrocosmos, ou les quanta dans le microcosmos. Il existe des connexions entre la conscience d’une personne et l’esprit et le corps des autres. L’esprit humain n’est donc pas une entité isolée, mais une «écologie ». C’est ainsi que les guérisseurs et les chamanes peuvent provoquer des effets de télépathie par la solitude, la concentration, le jeûne, la psalmodie, la danse, le tambour ou des herbes psychotropes.”

Une paix initiatique

“Ce qui m’intéresse n’est pas une théorie psychologique ni un système philosophique, c’est le saut existentiel et spirituel.(…)
Qui sait remédier à l’autre souffrance, la soif spirituelle insatisfaite ? Elle est pourtant le mal spécifique de notre temps. Sa guérison dépend d’un art de soigner initiatique. Il s’agit ici d’apprendre à redevenir un avec le Tout, à demeurer en union avec lui et à vivre par lui : « Si l’œil n’était pas ensoleillé, il ne reconnaîtrait pas le soleil. » Développer le maître intérieur est un des moyens pour y parvenir. Si ce dernier n’existait pas, les maîtres du dehors ne pourraient pas agir en nous.

La paix intérieure face à la mort

“(…) La mort nous impose la conscience de la finitude de l’existence, ce qui ne signifie pas pour autant la disparition de la conscience ni de la paix. La mort rend-elle l’existence absurde ou lui donne-t-elle son sens ? Est-elle un achèvement ou une étape dans le processus de libération ? Une rupture définitive ou un stade de croissance ? Existerait-il un lyrisme terminal, après les difficultés du parcours terrestre et le travail du trépas, qui nous ferait embrasser l’Absolu ? (…)

La menace n’est pas la mort, mais la peur. En effet, la plupart de nos craintes ne sont que des écrans qui cachent et révèlent une peur plus profonde : celle de la fin. Nous avons peur de la maladie car elle nous évoque la mort. Nous avons peur de l’accident car il nous rappelle notre finitude. Nous avons peur de la solitude car le sentiment d’abandon et le désespoir qui l’accompagne nous ramènent à la fin de notre existence désormais futile. Finalement, nous avons peur d’avoir peur.”

 

 

 

Jung – de Frédéric Lenoir

 

Jung. Un voyage vers soi

Frédéric Lenoir nous convie à un voyage vers soi… vers le soi. C’est ce que propose, bien au-delà de la cure analytique, Jung, aux humains, à l’homme moderne. Car il s’agit bien, aujourd’hui, de réenchanter le monde : “En évoquant le monde occidental moderne, Jung souligne l’extraordinaire progrès de la conscience humaine et tous les avantages qui en découlent : différenciation, connaissance, morale universelle des droits de l’homme, progrès scientifiques et techniques, etc. Mais il déplore aussi le prix à payer de cet essor si intense et si rapide de la conscience et dénonce une triple amputation de l’homme moderne : rupture avec la  nature, avec le passé, avec le cœur et l’intériorité.” (F. Lenoir p. 302)

Le soi ?

L’exemple du Soi et du Moi qu’il faut distinguer précisément, est caractéristique et essentiel à l’œuvre de Jung, qui écrit  :  ” Le moi n’étant que le du champ conscientiel ne se confond pas avec la totalité de la psyché ; ce n’est qu’un complexe parmi beaucoup d’autres. Il y a donc lieu de distinguer entre le moi et le Soi, le moi n étant que le sujet de ma conscience, alors que le Soi est le sujet de la totalité, y compris l’inconscient. En ce sens, le Soi serait une grandeur (idéelle) qui comprend en elle le moi. Il apparaît volontiers dans l’imagination inconsciente sous l’aspect d’une personnalité supérieure ou idéale, un peu comme le Faust de Goethe ou le Zarathoustra de Nietzsche “(Les types psychologiques 1921).
Comme pour tous les concepts que nous présente Frédéric Lenoir, l’éclairage est simple, complet. Il explique : “Terme emprunté à la philosophie hindoue des Upanishad, le Soi représente donc le centre de la totalité de l’âme (conscience, inconscient personnel et inconscient collectif), comme le moi est le centre de la conscience. Il en est aussi le principe directeur, le guide.”

L’ensemble des concepts psychanalytiques Jungiens sont restitués par Frédéric Lenoir, qui est un grand pédagogue en même temps qu’un chercheur. Et d’abord, bien sûr, le conscient, l’inconscient, en éclairant l’origine de ce dernier à partir de Spinoza, le philosophe dont il est aussi spécialiste.

Le dialogue du conscient et de l’inconscient

“Jung constate que le conscient et l’inconscient font rarement coïncider complètement leurs contenus et leurs tendances, En fait, l’inconscient se comporte, face la conscience, sur un mode de compensation ou de complémentarité. Jung fait aussi le constat d’une césure de plus en plus importante chez l’homme moderne entre le conscient et l’inconscient, source de névroses et de psychoses.” (p. 95). La méthode de Jung va consister à travailler par introspection à suspendre le jugement conscient, pour favoriser l’émergence des contenus inconscients de la psyché.

Un explorateur de l’âme humaine

Ce livre de plus de 300 page se lit, s’étudie, sinon se dévore, sans mal, que l’on connaisse déjà le génie de Jung ou qu’on le découvre. Il débute avec un éclairage de sa vie, qui éclaire son parcours de “découvreur”, sa “pensée imaginative et la fonction transcendante”. On comprend très bien comment toute cette œuvre est reliée à une réflexion sur la religion, et devient en même temps une révolution de la psychologie et une approche spirituelle approfondie. Frédéric Lenoir consacre une grande partie de l’ouvrage à “l’expérience intérieure” : le concept jungien du “numineux”, la “nécessité d’une vie symbolique”, la problématique d’un Dieu extérieur au divin intérieur…

Quelques thèmes que nous allons aborder progressivement en podcast

Pensée imaginative, fonction transcendante, imagination active

L’inconscient collectif

L’archétype

Le Yin et le Yang (anima et animus), Y-king et synchronicité

Le processus d’individuation

 

 

 

Frédéric Lenoir vous donne ici la substantifique moelle de cet ouvrage important…
Mais je vous conseille quand-même de le lire, le méditer, et trouver, cultiver, votre Soi, votre processus d’individuation.

 

 

Ce que dit Frédéric Lenoir de la spiritualité

” La spiritualité n’existe pas en dehors de l’intériorité. Sinon, on verse dans l’idéologie. Dans ce « Petit Traité de vie intérieure », j’ai voulu unifier l’expérience mystique, la psychologie des profondeurs et la philosophie, parce qu’elles nous disent la même chose de l’être humain. De ses contradictions, de ses parts d’ombre et des forces de bonté enfouies dans le cœur de tout être humain. Il faut apprendre à se connaître et à s’aimer. Que l’on soit croyant ou athée, c’est le point de départ de la quête spirituelle.”

La psychologie positive, simplement

Ecoutez !

Un livre simple, pratique… et positif !

C’est un petit livre, avec un petit prix, qui peut produire de grands effets. Dans un style très direct, Madame B explique, fait toucher du doigt, fait ressentir, une manière positive de penser sa vie et de la simplifier.
Le livre s’accompagne d’exercices, simples et efficaces. Il pose quelques grands thèmes, des questions que chacun rencontre dans sa vie, comme le montre cet extrait du sommaire :

Le positif versus le négatif / Exercice “Roue de la vie” / La solitude et le silence / La surconsommation / Le couple / Les adolescents / Le vivre autrement

Extraits

Qu’est-ce que la psychologie positive

Qu’est-ce que la psychologie positive, et qu’est-ce qu’elle pourrait vous apporter de plus dans votre vie ?

Selon M. Seligman, la psychologie positive vise cinq paliers, les voici :

  1. Les émotions positives ;
  2. L’engagement ;
  3. Les relations humaines ;
  4. Le sens et le but de la vie ;
  5. Les accomplissements.

Ces cinq paliers influent sur votre bien-être, donc votre mieux-être, et ce, que ce soit sur le plan des émotions, des relations humaines, du sens de la vie et celui que vous lui accordez.

La consultation en psychologie positive

Lots d’une consultation en psychologie positive, le but n’est pas d’avoir une communication à sens unique comme il est pratiqué en psychologie traditionnelle. Le thérapeute fera travailler le patient avec des exercices appropriés à ses besoins et que celui-ci pourra refaire seul chez lui entre les séances. Le but est de vous faire travailler sur vous-même avec les bons outils. Cette approche peut convenir dans plusieurs situations, mais en la vie ou la sécurité de la personne ne doit pas être mise en danger, comme avoir des idées suicidaires, ou vouloir faire mal à autrui. Elle peut traiter plusieurs problèmes tels que l’anxiété de performance ou toute autre forme d’anxiété, le stress, la routine, la confiance en soi, l’estime de soi, les remises en question, les quêtes d’identité, la dépression mineure et légère, etc. La liste est longue, mais ce qu’il faut retenir, c’est que l’objectif est d’améliorer votre quotidien, sous tous ses angles, en entretenant une vision positive de la vie.

Émotion Positive

Cette étape est importante, car c’est la base, c’est elle qui vous permet de cheminer. Il faut se concentrer davantage sur les émotions positives. Cela ne veut pas simplement dire qu’il faut sourire davantage. Un simple sourire ne rendra pas votre vie plus positive, c’est plus complexe que ça ! C’est la capacité à être optimiste envers le passé, dans le présent et pour le futur.

Engagement ou capacité à s’engager

L’engagement est un don de soi que l’on fait à l’autre. Il faut voir si vous y accordez assez d’importance, êtes- vous en mesure d’y mettre assez d’énergie ? C’est un investissement, un travail à long terme qui deviendra bénéfique pour vous avant tout.

L’optimisme : podcast avec Joran FARNIER
sur son site : La psychologie positive

 

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Les sages ont-ils disparu ?

L’interview de l’auteur, Maxime Roy

EXTRAITS

La sagesse désigne

… le comportement d’un individu qui se conforme à une éthique en conscience de soi et des autres. Dans toutes les cultures, est qualifié de « sage » la personne qui sait mettre en pratique un ensemble de qualités vertueuses en s’appuyant sur « un savoir raisonné » : la prudence éclairée, la modération dans sa conduite, la tempérance, l’humilité, le calme, la sincérité, le discernement, la justice. Les philosophes grecs ont fait de ce concept un idéal de vie, un état de perfection qui doit mener au bonheur suprême.
La sagesse ne peut être ni une science ni une technique, c’est un savoir-vivre.
ARISTOTE

Le détachement spirituel et matériel

Il faut bien admettre qu’à l’époque où la pensée libérale incite à l’individualisme et .invite à l’excès, ce qui peut être perçu comme une forme d’ascétisme paraît vite impossible à atteindre, quand il n’est pas considéré comme quelque chose d’insupportable tant il est vrai que le matérialisme contemporain s’oppose radicalement au détachement spirituel et matériel qui caractérise la sagesse dans les diverses sociétés. Plus qu’un « savoir-être », elle est à la fois une intériorité qui mène à la quête de sens et au développement personnel, et une extériorité qui s’exprime par une proximité avec la nature et une capacité à lire les signes qu’elle envoie ; en découle la nécessité actuelle de respecter et de protéger cette mère créatrice et régénératrice. Par voie de conséquence, sagesse et religiosité ont aussi un lien. Dans l’inconscient collectif des sociétés occidentales, elle est affiliée à l’idéal judéo-chrétien mis en pratique dans les communautés monastiques qui en faisaient un art de se comporter face aux diverses situations de l’existence. (…)

Retrouver un sens des valeurs et de la modération

Les excès du monde occidentalisé amènent un nombre grandissant de personnes à s’inscrire dans une démarche de résistance ou de rupture, comme pour retrouver un sens des valeurs et de la modération.
On pourrait penser que cette sédition touche uniquement ceux que la machine néolibérale exploite, mais les pièces maîtresses commencent elles aussi à grincer : 83 % des cadres pensent à une reconversion ou l’ont envisagée ; 14 % l’ont déjà effectuée. Malgré leur bonne situation, ils ne s’épanouissent plus dans leur travail et veulent donner du sens à leur métier en se faisant plaisir et en se rendant utile à la société. La juriste devient fromagère ou maraîchère. À l’occasion, elle s’engage dans une ONG, tandis que l’ingénieur en télécommunication se métamorphose en cultivateur de bambous ou en éleveur d’alpagas. Lassés des tensions du bureau et de l’exigence de rentabilité, ils veulent vivre à leur rythme et de leur passion. En se recyclant dans le social ou dans l’artisanat, en ouvrant un petit commerce, ils choisissent de se reconnecter avec le concret et le local ; un apaisement qui fait figure d’assagissement par rapport à ce qu’était leur vie d’avant. (…)

« L’éveil » passe par le respect de tout ce qui vit

Le simple fait de manger devient un acte partisan. On mange « bio On cherche du « sans gluten 34 % des Français seraient fléxitariens en favorisant leur consommation de légumes et en réduisant celle de la viande (Kantar Worldpanel, 2017) ; 5 % seraient végétariens (Ifop, 2017) ; 0,5 % opteraient carrément pour le végan (Xerfi, 2018). (…)
« L’éveil » passe par le respect de tout ce qui vit ; ce qui exclut toute mise à mort volontaire ou même toute interférence avec la vie animale. (…).
Le jeûne intermittent ou thérapeutique fait également de plus en plus d’adeptes ; il rappelle les pratiques religieuses ancestrales des chrétiens, des musulmans et des Juifs, soucieux de purifier leur esprit et de rééquilibrer leur organisme à un moment de l’année.

60 % des Français ont déjà consulté un spécialiste en médecine alternative et complémentaire

On observe un allant similaire dans le domaine du bien-être et de la santé : 60 % des Français ont déjà consulté un spécialiste en médecine alternative et complémentaire ; 40 % d’entre eux y auraient recours régulièrement (Harris Interactive, 2019). Des chiffres qui sont en constante augmentation, bien que leurs effets ne soient pas prouvés. Aromathérapie, homéopathie, biomagnétisme, acupuncture, hypnose, reiki, sophrologie, yoga, ayurvéda : des pratiques inspirées, pour la plupart, de méthodes traditionnelles naturelles ou orientales qui rassurent et apaisent, contrairement à une médecine conventionnelle invasive et discréditée par de nombreuses affaires comme le scandale du Mediator (2010) (…)

De son côté Spiritualités Magazine s’interroge sur la sagesse et vous propose ces vidéos

Pour commencer, la sagesse antique c’est quoi, d’où ça vient ?

 

Et la sagesse, sans doute bien différente d’Asie ? Par exemple avec le Taoïsme
Et peut-on s’inspirer aujourd’hui, et dans notre culture, du Taoïsme ?

 

 

 

Psychologie positive et écologie

Ecoutez la présentation

Voir aussi l’article sur AquitaineOnLine

Extraits

Une vie hors sol et hors nature : quels effets sur les humains ?

Bien avant toutes ces recherches sur les sauvages des villes, l’entomologiste Robcrt Pyle évoque le premier “l’extinction de l’expérience” des humains en ville. Dès 1993, il estime que le contact avec la nature est vital pour forger notre intimité émotionnelle avec elle. L’idée est ensuite reprise ct répandue par le journaliste américain Richard Louv qui publie un best-seller, Last Child in the Woods. En jouant de moins en moins leurs aventures et leurs histoires imaginaires à travers les branchages et les herbes hautes, les bambins d’Homo urbanus ne se construiraient plus de la même façon. De plus en plus déconnecté de la nature, leur imaginaire ferait de moins en moins référence leurs exploits, leurs malheurs ou leurs petits bonheurs “sauvages”

Connaissez-vous les espèces d’arbres là où vous habitez ?

Et l’on se rend compte que oui, les urbains reconnaissent très peu les espèces sauvages et locales qui cohabitent avec eux. Au Chili par exemple, la majorité des arbres plantés en ville sont des espèces venues d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Asie. Si l’on demande aux habitants le nom de trois arbres, plus de 75 % des interrogés nomment des espèces exotiques comme les pommiers et les palmiers.
Les enfants identifient plus facilement les espèces exotiques que les locales. Présentez des enfants un toucan et un merle noir en France, ils seront près de la moitié à reconnaître le toucan. Un quart seulement saura nommer le merle pourtant très commun en ville, aussi bien sur les toits que dans les parcs. Ils sont aussi plus enclins à vouloir protéger des espèces exotiques qu’ils ne rencontrent jamais comme les baleines et les grands félins12. Mais ils ne sont pas les seuls. D’autres bambins européens, marocains, népalais et turcs pensent de même. Pourquoi ? D’après les chercheurs, ce serait l’homogénéité des messages médiatiques en faveur de ces espèces qui influencerait les enfants. Et pourtant ce n’est pas faute de capacité d’apprentissage ni de mémoire. Puisqu’ils sont capables de reconnaître les 493 “espèces” de Pokémon. Un nombre trois fois plus important que les animaux et plantes dont la protection est prioritaire au niveau mondial.

Les enfants ne mettent plus le nez dehors

Enfin, les enfants ne mettent plus le nez dehors. En 2009, la fréquence des visites dans les milieux naturels du Royaume-Uni était d’une ou deux fois par semaine pour la moitié des personnes adultes qui avaient été interrogées. Mais seuls 20 % des enfants allaient s’y balader. Aux États-Unis, la moitié des enfants ne pratiquent aucune activité en extérieur et, quand ils le font, ils y consacrent de moins en moins de temps. Entre 1997 et 2003, l’activité de plein air a perdu dix précieuses minutes. D’ailleurs, les visites dans les grands parcs nationaux subissent également une baisse constante. Quant à la découverte des insectes — oui, celle où l’on s’amuse à regarder ou à attraper les fourmis ou les gendarmes, coccinelles, punaises –, c’est une chose qui est complètement inconnue à certains Japonais et cette absence d’expérience a doublé en dix ans. Même grimper aux arbres, qui est le summum de l’aventure lorsqu’on est petit, devient une expérience rare13
Est-ce dû au temps passé devant les écrans de toute sorte et à l’urbanisation ? Probablement. En France, un enfant se plante devant des images virtuelles plus de quatre heures par jour, bien au-delà de la limite des deux heures quotidiennes recommandées.

La nature virtuelle remplace les expériences naturelles !

Burn after writing

Je suis heureux de vous accueillir en compagnie de ma Licorne pour vous présenter un livre qui a été vendu par millions d’exemplaires (au moins un) dans le monde entier. « Burn after writing », « brûler après avoir écrit »

C’est un ouvrage, un objet, d’extrêmement original. Ce livre offre l’opportunité de se confronter chacun aux grandes questions de sa vie. Non pas de façon théorique… mais en écrivant en écrivant à partir de questions qui vous sont posées par le livre qui sont ensuite suivies d’espaces permettant de répondre à ces questions. Et de répondre évidemment avec la plus grande sincérité. Pourquoi ? Parce que tout simplement vous allez être le seul ou la seule à écrire quelque chose dans le livre. Avant de le bruler ! Donc c’est une épreuve de sincérité absolue. C’est une façon de se confronter à soi-même de façon guidée.

Mais évidemment les questions sont parfois difficiles : « la chose la plus folle que j’ai jamais accomplie » (ne croyez pas que je vais vous livrer mon propre exemple). « La croisée des chemins la plus importante de ma vie » ; « Je ne pardonnerai jamais :… »

Extraits

« Soyez honnête, imaginez ce que dissimule le masque ; Y a-t-il quelque chose ; qui êtes-vous réellement : je suis… je ne suis pas… ; j’adore ; je déteste… »

Ou aussi, « pensez rapidement, mieux encore ne pensez pas : contournez vos filtres mentaux et allez droit au but, ne vous arrêtez pas, ne réfléchissez pas et ne critiquez pas : si vous pouviez exprimer vos désirs en un seul mot ».

Mon partenaire, mon corps, ma vie amoureuse,

Et tout cela c’e

st à remplir pour être au clair avec soi-même

L’appel du futur
La liste des 10 endroits où j’aimerais me rendre avant de mourir
Etc.

Voilà. Pouvez-vous être vraiment honnête lorsque personne ne vous regarde ?

Un livre aux Editions Contre-dires écrit par Sharon Jones

Bon rendez-vous avec vous-même !

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