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MAHORIKATAN : De la danse à la transe, en douceur

Un nouveau phénomène de bien-être et développement personnel : Mahorikatan®.

A la suite de présentations sous forme de livres, c’est une activité innovante, que propose Philippe LENAIF, spécialiste des états modifiés de conscience. C’est une fusion progressive entre la danse et la transe. Elle offre une approche douce pour atteindre un état modifié de conscience, permettant à chacun de renouer avec soi-même et de recouvrer une harmonie psychique. Mahorikatan® se déroule comme une danse qui, progressivement et tout en douceur, conduit ses participants vers la transe. Ce voyage intime et profond vers soi-même est accessible à tous, sans prérequis physique ou psychique spécifique. L’objectif de Mahorikatan® est de dissoudre le stress quotidien et d’apaiser le chaos intérieur, offrant une parenthèse de bien-être et de respiration dans nos vies souvent remplies de contraintes.

Une séance typique de Mahorikatan® dure environ trois heures, débutant par une introduction de la pratique par Philippe LENAIF, suivi d’une phase de danse libre puis d’une plongée en soi-même guidée par la musique et les encouragements de Philippe. Chaque participant, dans le respect de son rythme personnel, se reconnecte avec son moi profond, ce qui peut conduire à une résolution de traumas et à un sentiment renforcé d’harmonie personnelle et relationnelle. Mahorikatan® attire particulièrement les personnes intéressées par les pratiques psychocorporelles, telles que la relaxation, l’art-thérapie, la sophrologie, mais également un public plus large en quête de sens et d’outils nouveaux pour leur bien-être. Philippe LENAIF, avec son riche parcours professionnel et personnel, apporte une crédibilité et une profondeur unique à cette pratique, qui est désormais au cœur de recherches scientifiques en neurosciences et anthropologie.Ce nouveau phénomène s’adresse donc à tout un chacun, des jeunes en quête de sens aux aînés, en passant par les professionnels de santé et les personnes souhaitant explorer des outils nouveaux pour leur bien-être et développement personnel.
Mahorikatan® est une opportunité singulière de se reconnecter à soi et aux autres dans un cadre bienveillant et innovant. C’est une invitation à explorer son intériorité à travers le mouvement et la musique, dans un voyage où le corps et l’esprit s’harmonisent. Si vous êtes à la recherche d’une nouvelle expérience de bien-être, d’une manière de dissoudre le stress et d’atteindre une paix intérieure, alors Mahorikatan® pourrait être la réponse.

 

Magicultrice

Magicultrice, dès qu’on le tient dans les mains devient un objet magique : ses couleurs de fond, les pages dont chacune est conçue de manière à marier les formes et les textes, donnent envie de le toucher et le parcourir autant que de le lire.

“Magicultrice” est bien plus qu’un livre ; c’est un voyage initiatique au cœur de la magie personnelle et de la redécouverte de soi à travers l’archétype ancestral et puissant de la sorcière. Symbolisant la force, l’indépendance, et une connexion profonde avec le monde naturel, la figure de la sorcière a longtemps été source de fascination, de mystère et de malentendus. Dans cet ouvrage révolutionnaire, Ariane Legale dévoile les voiles de la magie, invitant chaque lecteur à s’aventurer dans les profondeurs de sa propre âme, à la rencontre de sa force intérieure et de son potentiel créatif.
Le terme “Magicultrice” combine habilement la magie et la culture, offrant une perspective unique sur la manière dont chacun peut cultiver et partager sa propre essence magique. Contrairement aux idées reçues, la magie n’est pas un domaine réservé à une élite ou entouré de secrets obscurs ; elle est accessible à tous et se manifeste dans les aspects les plus quotidiens de notre vie. À travers des récits personnels, des références culturelles et des exercices pratiques, l’auteure nous guide sur le chemin de l’autodécouverte et de l’empowerment.

Ariane Legale nous invite à repenser notre relation avec le monde qui nous entoure, à reconnaître la magie dans les cycles de la nature, les rites de passage, et même dans nos interactions quotidiennes. Elle aborde des thèmes variés tels que la maternité, la guérison, la créativité et la solitude, en les reliant toujours à la pratique magique et à la quête de sens. Chaque page de “Magicultrice” est imprégnée d’une sagesse profonde et d’une invitation à embrasser la vie avec émerveillement et respect.

Ce livre s’adresse à ceux et celles qui ressentent l’appel de la magie, mais qui ne savent pas par où commencer. Il est destiné à ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la sorcellerie moderne tout en explorant leur propre pouvoir intérieur. Que vous soyez novice en matière de pratiques magiques ou que vous soyez déjà sur le chemin de l’éveil spirituel, “Magicultrice” offre des clés pour déverrouiller les portes de la perception et découvrir la richesse de votre propre nature magique.

En redéfinissant ce que signifie être une sorcière à l’ère moderne, Ariane Legale brise les stéréotypes et ouvre la voie à une nouvelle compréhension de la magie comme moyen d’autonomisation et de transformation personnelle. Le livre encourage les lecteurs à réfléchir sur leur propre vie, à identifier et à cultiver leur magie unique, et à devenir des agents de changement dans leur communauté et dans le monde. “Magicultrice” est une célébration de la vie, de la féminité, de la nature et de la magie qui réside en chacun de nous. C’est un appel à reconnaître et à honorer notre part la plus profonde, magique et authentique. Ce livre est un compagnon précieux pour toutes celles qui souhaitent parcourir un chemin épanouissant, teinté de magie et de sens, et il s’adresse tout particulièrement à celles qui sont prêtes à embrasser pleinement leur pouvoir personnel et à contribuer à un monde plus magique et harmonieux.

 
 

Mais qu’est-ce que les sorcières aiment faire en Mars ?

 

Mars est un mois où les sorcières sortent leurs balais, non pas pour voler dans le ciel nocturne, mais pour le grand nettoyage de printemps ! Et quel meilleur moment pour le faire que lors d’Ostara, ce sabbat qui célèbre le réveil de la nature et l’équilibre parfait entre le jour et la nuit ? C’est la période où nos amies sorcières troquent leurs chaudrons et leurs grimoires pour des pelleteries de fleurs et des nids douillets.

Pendant Ostara, la magie prend une tournure particulièrement printanière. Les sorcières se transforment en jardiniers mystiques, plantant des graines non seulement dans leurs jardins mais aussi dans leurs vies. C’est le moment idéal pour démarrer de nouveaux projets, que ce soit des légumes à cultiver ou des plans pour conquérir le monde (de manière éthique, bien sûr). Et quoi de mieux pour accompagner cette plantation que de réaliser des pots de fleurs en coquilles d’œufs ? Écologique, esthétique, et tellement sorcière !

Mais Ostara, c’est aussi la saison des œufs – pas seulement ceux en chocolat que certains confondent avec le butin d’une chasse au trésor. Nos sorcières peignent des œufs naturels avec des teintures végétales, créant des œuvres d’art à la fois magnifiques et comestibles. Imaginez la tête de leurs voisins moldus en découvrant un œuf violet teint au chou rouge dans leur jardin !

Cueillir des fleurs sauvages est une autre tradition d’Ostara très prisée. Cependant, loin de se limiter à une simple promenade champêtre, les sorcières lisent dans les pétales les réponses de l’univers. Un bouquet de pâquerettes peut révéler bien plus sur l’avenir que n’importe quel tarot si on sait écouter. Bien sûr, l’activité est doublement productive quand on se rappelle que chaque fleur cueillie est un potentiel nouvel ingrédient pour un sort ou un remède.

En matière de décoration, les sorcières d’Ostara ne lésinent pas sur les moyens. Elles transforment leurs autels avec des éléments de saison : des nids, des plumes, des bourgeons prêts à éclore. Chaque objet est chargé de magie, prêt à aider nos sorcières dans leur travail spirituel. Et que dire des “land arts” ? Ces créations éphémères dans la nature sont la preuve que les sorcières sont les véritables pionnières de l’art écologique.

Bien sûr, Ostara ne serait pas complet sans un rituel pour honorer la renaissance et la fertilité de la terre. Les sorcières se rassemblent (dans le respect des mesures de distanciation sociale, pandémie oblige) pour célébrer l’équilibre et la lumière. Le moment est propice pour partager des intentions, des rêves et des graines – littérales et métaphoriques – dans le but de voir ce qui fleurira dans les mois à venir.

Et après toute cette activité, quoi de mieux que de se reconnecter avec son enfant intérieur ? Ostara invite à la légèreté, au jeu, à redécouvrir le monde avec émerveillement. Les sorcières peuvent être vues se roulant dans l’herbe, dansant sous la lune, ou même organisant une chasse aux œufs magiques (avec des surprises autrement plus intéressantes que des bonbons).

En résumé, Mars pour les sorcières est un mois de renouveau, de nettoyage, de créativité et de préparation pour l’avenir. C’est le moment de lâcher prise sur le passé et d’embrasser le potentiel infini du présent. Alors, si vous croisez une sorcière en mars, n’oubliez pas de lui souhaiter un joyeux Ostara – et peut-être de lui demander quelques graines de son jardin magique !

Répétons en divers styles pour que vous soyez sûrs de comprendre ce qu’il  faut faire en Mars


1. Style Administratif :

Objet : Célébration du mois de mars et activités associées à Ostara.

Madame, Monsieur,

Veuillez noter que le mois de mars marque le début de la période de renouveau conformément aux traditions ancestrales. L’événement principal, Ostara, se caractérise par le réveil de la nature. Il est coutumier que les individus adoptent des comportements écologiques et agricoles, tels que le jardinage et le nettoyage de printemps. Les activités recommandées incluent la plantation de végétaux divers et la teinture d’œufs avec des colorants naturels.

Les rassemblements extérieurs seront organisés pour célébrer l’équilibre et la renaissance, en respectant les normes de distanciation sociale en vigueur. La collecte et l’utilisation de fleurs sauvages sont encouragées pour favoriser la connexion à l’environnement naturel.

Cordialement, Le Bureau des Traditions Saisonnières

2. Style Poétique :

Mars, oh Mars, quand les sorcières, Dansent avec la brise printanière. Ostara, douce muse de verdure, Ouvre nos cœurs à l’aventure.

Dans les jardins de nos âmes, nous semons, Des espoirs, des rêves, sous le ciel monotone. Les œufs, teintés de l’arc-en-ciel de la terre, Nous parlent de renaissance, de mystères.

Champs de fleurs, toiles d’artiste, Dans cette symphonie, la magie persiste. Ostara, nous voici, enfants de la lune, Dansant, riant, sous le soleil, aucune brume.

3. Style Dramatique :

Scène : Une clairière au lever du jour. Les sorcières, face au dilemme du renouveau, se rassemblent pour célébrer Ostara.

Sorcière 1: “Voici Mars, le temps du nettoyage, de purger l’ancien!” Sorcière 2: “Oui, mais le cœur lourd de ce qui fut, comment embrasser ce qui sera?” Sorcière 3: “Par les graines que nous plantons, par les œufs que nous colorons, nous écrivons notre destinée!”

Le chœur des sorcières: “Laissons les fleurs sauvages guider nos âmes, dans cette danse, trouvons notre calme.”

4. Style Culinaire :

Recette pour un Mars Magique :

Ingrédients :

  • Une pincée de nettoyage de printemps
  • Un bouquet de projets à planter
  • Œufs à teindre avec amour
  • Une promenade pour cueillir des fleurs sauvages

Instructions :

  1. Mélangez le nettoyage de printemps avec une bonne dose d’énergie renouvelée.
  2. Intégrez délicatement vos projets dans le sol fertile de vos intentions.
  3. Teignez les œufs dans un bain de couleurs naturelles, laissez sécher sous un rayon de soleil printanier.
  4. Finalisez par une marche méditative, cueillez les fleurs de vos aspirations.

5. Style Médical :

Diagnostic : Manque de renouveau printanier. Prescription : Ostara, impliquant des activités de jardinage, nettoyage intensif, et interactions enrichissantes avec la nature. Mode d’emploi : S’engager quotidiennement dans la plantation de nouvelles idées et le nettoyage des espaces de vie. Utilisation externe de fleurs sauvages recommandée pour améliorer le bien-être émotionnel.

6. Style Philosophique :

Dans le théâtre de Mars, les sorcières incarnent le principe de renouveau, naviguant sur les vagues de l’éphémère Ostara. Le nettoyage de printemps, métaphore de la purification de l’âme, se juxtapose au semis, acte d’engagement vers l’avenir. Les œufs, symboles d’origine, sont colorés, non dans une quête d’esthétique, mais comme un rituel de renaissance.

7. Style Sportif :

Bienvenue dans le grand stade de Mars, où les sorcières se préparent pour le grand match d’Ostara ! Au programme : un marathon de nettoyage, suivi d’un tournoi de jardinage. Les épreuves de teinture d’œufs promettent de vives compétitions. Gardez un œil sur la météo, car la cueillette de fleurs pourrait être influencée par des conditions imprévisibles. Que le meilleur printemps gagne !

8. Style Enquête Policière :

Inspecteur : “Regardez ces traces, une claire indication que les sorcières ont orchestré le grand nettoyage.” Partenaire : “Et ces éclats de couleur ?” Inspecteur : “Des œufs teints, un signe incontestable d’Ostara. Elles préparent quelque chose de grand, quelque chose de renouvelé.” Partenaire : “Il semblerait qu’elles aient laissé derrière elles plus que de simples fleurs sauvages…”

9. Style Enfantin :

Mars, c’est trop rigolo, c’est quand les sorcières sortent leurs gros balais pour faire le ménage mais pas dans le ciel, non non, dans leur maison ! Et puis, c’est la fête d’Ostara, un peu comme un anniversaire pour la nature. Elles plantent des graines comme si elles jouaient à la dinette mais avec de la vraie terre, et elles peignent des œufs, pas pour les manger mais pour les décorer tout jolis !

10. Style Fantaisiste :

Au royaume de Mars, les sorcières, ces charmantes gardiennes de la verdure, s’affairent à la grande quête d’Ostara. Elles brandissent leurs balais enchantés non pour le vol mais pour la bataille contre la poussière ancienne. Le rituel des œufs, une tradition sacrée, où chaque couleur dévoile un secret de la terre. Dans ce ballet printanier, chaque fleur cueillie est un sortilège doux, un chant à la renaissance de la nature

Dis moi où tu as mal

“Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi” de Michel Odoul est une exploration fascinante de la relation entre le corps et l’esprit. L’auteur, spécialiste en shiatsu et fondateur de l’Institut Français de Shiatsu, offre une vision intégrative de la santé, mêlant la médecine occidentale et les principes de la médecine traditionnelle chinoise.

Ce livre est une véritable mine d’informations pour ceux qui s’intéressent à la compréhension des maux physiques à travers une perspective psycho-émotionnelle et énergétique. Odoul propose un décodage des pathologies et des tensions physiques, offrant des clés de lecture pour chaque partie du corps. Il aborde la notion de responsabilité individuelle dans la gestion de sa santé, encourageant à une approche plus holistique et consciente.

Destiné à un large public, cet ouvrage s’adresse particulièrement à ceux qui cherchent à comprendre les messages de leur corps et à améliorer leur bien-être global. Que vous soyez un professionnel de la santé, un passionné de médecines alternatives, ou simplement curieux de mieux comprendre l’interaction entre vos émotions et votre santé physique, ce livre est une ressource précieuse. Il invite à une réflexion profonde sur la manière dont nos émotions et notre état mental peuvent influencer notre état physique, et vice versa.

  1. Idée clé et Intentionnalité: Michel Odoul dans “Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi” vise à établir un lien entre les maux physiques et les états émotionnels et psychiques. L’auteur utilise une approche narrative qui mélange explications scientifiques et anecdotes personnelles, visant à rendre accessible sa théorie de la somatisation des émotions. Son but est d’encourager la prise de conscience de l’impact des émotions sur la santé physique.
  2. Objets principaux du thème: Le livre ne se concentre pas sur des personnages ou des événements spécifiques, mais plutôt sur des parties du corps et les déséquilibres émotionnels associés. Chaque partie du corps est décrite comme un symbole des émotions refoulées ou des traumas non résolus, jouant un rôle crucial dans la compréhension globale de la santé.
  3. Dimension subjective: Odoul explore les dynamiques émotionnelles à travers les douleurs physiques. Il met en lumière comment la répression ou le non-traitement des émotions peut se manifester sous forme de douleurs corporelles. Les émotions sont transmises de manière indirecte, à travers les descriptions des symptômes corporels et leur interprétation psycho-émotionnelle.
  4. Synthèse: L’intentionnalité d’Odoul de lier le corps et l’esprit est illustrée par l’analyse des différentes parties du corps (objets du thème) et leur lien avec les états émotionnels (dimension subjective). Ce lien est le fil conducteur de l’ouvrage, offrant une perspective holistique sur la santé.

 

Le chapitre “Les membres inférieurs” extrait du livre “Dis-moi où tu as mal” se focalise sur une approche détaillée et fascinante du squelette et de la colonne vertébrale, en mettant en lumière les liens étroits entre notre structure osseuse et notre bien-être émotionnel et physique. Cette section pourrait particulièrement intéresser ceux qui s’intéressent à l’ostéopathie, la médecine alternative, ou à la compréhension approfondie du corps humain.

L’auteur commence par décrire la composition de la colonne vertébrale, comprenant les vertèbres sacrées, lombaires, dorsales et cervicales, chacune ayant un rôle spécifique dans la distribution des données vibratoires du cerveau au reste du corps. Cette distribution est essentielle pour la communication entre les plans conscient et non conscient et impacte directement notre santé physique.

Une attention particulière est accordée à la manière dont les tensions et les déséquilibres à différents niveaux vertébraux peuvent conduire à des douleurs, des contractures musculaires, et à terme, à des pathologies plus graves comme l’arthrose ou les hernies discales. L’auteur propose un tableau détaillant les liens entre chaque vertèbre et des symptômes spécifiques, offrant ainsi une compréhension plus fine des messages que notre corps peut envoyer à travers ces maux.

Le livre aborde ensuite la symbolique des structures osseuses, les considérant comme les fondements de nos croyances de vie et nos archétypes profonds. Les pathologies osseuses peuvent ainsi être interprétées comme des manifestations de perturbations dans ces croyances profondes.

Pour ceux intéressés par la médecine holistique et la connexion entre le corps et l’esprit, ce chapitre est une lecture incontournable. Il offre des perspectives enrichissantes sur la façon dont nos émotions et nos croyances peuvent influencer notre santé physique, particulièrement autour de la structure clé qu’est notre colonne vertébrale. C’est une ressource précieuse pour les praticiens de santé, les étudiants en médecine, ou toute personne cherchant à comprendre les messages subtils que notre corps nous envoie.

 

La symbolique des structures osseuses, telle qu’abordée dans ce chapitre du livre “Dis-moi où tu as mal”, est un sujet fascinant qui explore les dimensions profondes et métaphoriques de notre squelette. La structure osseuse, incluant les os et le squelette, est considérée comme bien plus qu’une simple charpente physique; elle représente symboliquement nos fondements intérieurs, nos croyances et nos archétypes les plus profonds.

Fondements et Croyances de Vie

  1. Os comme Fondements Intérieurs: Les os sont considérés comme la manifestation physique de nos structures intérieures les plus profondes. Ils représentent nos croyances de vie, souvent inconscientes, sur lesquelles nous nous appuyons quotidiennement dans notre rapport au monde.
  2. Os et Archétypes Culturels: Les os symbolisent aussi les grandes croyances des peuples, comme l’histoire, la culture, les coutumes et les religions. Ces éléments façonnent notre vision du monde et sont ancrés en nous au plus profond niveau.
  3. Croyances Personnelles: Sur un plan plus personnel, nos os reflètent nos croyances individuelles, comme notre éthique, nos peurs viscérales, ou même nos préjugés. Ces éléments constituent la base sur laquelle nous construisons notre expérience de vie.

Manifestations Physiques et Psychologiques

  1. Expression de l’Inconscient: La santé de notre structure osseuse peut refléter des perturbations dans nos croyances profondes. Par exemple, une douleur osseuse peut symboliser un conflit interne ou un bouleversement dans nos valeurs fondamentales.
  2. Os et Émotions: Les pathologies osseuses peuvent également être vues comme une manifestation physique de troubles émotionnels ou psychologiques. Par exemple, une fracture peut symboliser une “cassure” dans nos systèmes de croyances ou un choc émotionnel profond.

Métaphore de la Solidité et de la Rigidité

  1. Solidité et Rigidité: Les os sont à la fois les éléments les plus durs et les plus rigides de notre corps. Cette caractéristique peut symboliser la force, mais aussi la rigidité dans nos croyances et attitudes.
  2. Changements et Adaptation: Les problèmes osseux peuvent aussi indiquer une résistance au changement ou une difficulté à s’adapter à de nouvelles circonstances, reflétant notre propre rigidité mentale ou émotionnelle.

La symbolique des structures osseuses nous invite à regarder au-delà de la simple anatomie pour comprendre comment nos croyances les plus profondes, nos expériences et nos émotions se manifestent dans notre corps physique. Cette perspective holistique offre une compréhension plus riche de la santé et du bien-être, suggérant une interconnexion profonde entre l’esprit et le corps. Pour ceux qui s’intéressent à la médecine intégrative, à la psychosomatique, ou à la guérison holistique, ces concepts offrent une voie fascinante pour explorer la santé et la maladie sous un angle nouveau et plus profond.

Une petite histoire ?

Échos de l’Âme : Le Voyage Intérieur de Camille avec ‘Dis-moi où tu as mal

Dans ce qu’elle vivait comme les dédales de son appartement parisien, les ombres jouaient avec la lumière. Camille se tenait immobile, le regard fixé sur le livre “Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi” de Michel Odoul. Elle était enveloppée d’une atmosphère presque magique, comme si les murs eux-mêmes respiraient en écho à sa tension intérieure. Depuis qu’elle avait commencé à lire ce livre, un tourbillon d’émotions l’avait saisie, l’entraînant dans un voyage au cœur de ses douleurs les plus profondes. Autour d’elle, les objets semblaient vibrer, comme si le livre avait éveillé quelque chose de surnaturel dans l’appartement. Camille se sentait à la fois fascinée et terrifiée par les révélations du livre. Chaque chapitre disait une part cachée d’elle-même, une vérité enfouie sous des années de silence et de douleurs inexpliquées.
Une tension croissante s’empara d’elle lorsqu’elle lut le passage sur les maux de tête, qui selon Odoul, pouvaient être le reflet d’une lutte interne, un conflit entre ce qu’elle voulait et ce qu’elle croyait devoir être. Les maux de tête avaient été son compagnon constant, une douleur lancinante qu’elle n’avait jamais réussi à expliquer. Était-ce le signe de sa propre bataille intérieure ?
Cette nuit-là, Camille s’endormit dans un état de semi-conscience, où rêve et réalité se mêlaient. Elle se voyait marchant dans une forêt dense, suivant un chemin bordé de miroirs. Dans chaque miroir, le reflet de ses douleurs. Son dos courbé sous le poids de responsabilités… qu’elle imaginait ? Ses épaules tendues par les attentes des autres. Le livre était là, flottant à côté d’elle, ses pages se tournant d’elles-mêmes, comme animées par une force mystérieuse.
Au réveil, Camille sentit une transformation en elle. Elle se leva, déterminée à affronter les vérités que ce livre suggérait ou éclairait. Elle prit son téléphone et composa le numéro de sa mère. Depuis des années, un fossé silencieux s’était creusé entre elles. C’était le moment de parler, de libérer les mots et les émotions enfermés.

La conversation fut intense, ponctuée de larmes et de rires. Camille ressentit une libération émotionnelle, comme si elle s’était débarrassée d’un poids qu’elle portait depuis trop longtemps. Et alors qu’elle raccrochait, elle remarqua quelque chose d’étonnant : son mal de tête s’était évaporé. Camille, les yeux brillants d’une nouvelle compréhension, regarda à nouveau le livre. Il n’était plus seulement un guide; c’était un portail vers un monde où la douleur physique et émotionnelle ne faisait qu’un, un monde où guérir l’un signifiait guérir l’autre. Elle savait que son voyage venait juste de commencer, un voyage vers la guérison, l’acceptation et la vérité. Un voyage plein de réalisme magique, où chaque douleur était une porte vers une nouvelle découverte de soi.

Une petite histoire ?

Les Pas Invisibles

Léa, avec son air pensif et ses yeux qui semblaient toujours chercher quelque chose au loin, avait trouvé dans les pages de “Dis-moi où tu as mal” un écho à ses propres maux. Assise dans le petit salon baigné de la lumière dorée du crépuscule, elle tenait le livre comme un trésor révélé.

Son pied gauche, depuis des mois, portait une douleur sourde, un malaise qui se reflétait dans son pas incertain. Et puis, il y avait cette tension récurrente dans son genou droit, comme un rappel constant d’une blessure invisible.

Léa: “Le pied gauche… lié aux peurs du père, aux tensions Yang. Et le genou droit, le Yin, la mère. Un équilibre rompu entre les deux, peut-être?”

Elle se remémora les paroles de l’auteur sur la symbolique des membres inférieurs, reflet de nos relations au monde. Son pied gauche, était-ce le symbole de son rapport conflictuel avec son père, cet homme distant et exigeant, dont elle avait toujours cherché l’approbation sans jamais la trouver ?

Léa: “Et mon genou droit… est-ce le reflet de ma relation avec maman, avec sa tendresse étouffante, son amour qui me retenait toujours un peu trop près d’elle?”

Léa se leva, marcha lentement dans la pièce, sentant chaque mouvement comme un dialogue entre son corps et son histoire. Chaque pas était une conversation silencieuse avec son passé, avec ces émotions qu’elle n’avait jamais osé exprimer.

Léa: “Ai-je toujours cherché à m’échapper de l’ombre de papa, tout en me sentant coupable de laisser maman derrière?”

Elle se tenait maintenant devant la grande fenêtre, regardant les derniers rayons du soleil embraser le ciel. Léa pensa à son parcours, à ses choix, souvent dictés par cette quête d’équilibre entre la force paternelle et la douceur maternelle.

Léa: “Peut-être que ma douleur est le langage de mon corps, me demandant d’écouter ces parties de moi que j’ai ignorées, de guérir ces liens qui m’ont façonnée.”

Elle ferma les yeux, prit une profonde inspiration et se concentra sur ses sensations. La douleur, loin d’être un ennemi, était devenue un guide, une boussole pointant vers les blessures de son âme à apaiser.

Léa: “Je dois trouver ma voie, entre la force et la douceur, entre l’indépendance et l’attachement. Guérir, ce n’est pas seulement soulager une douleur, c’est réconcilier les parties de moi qui ont été en désaccord.”

Dans le silence de la pièce, une décision naquit dans le cœur de Léa. Demain, elle commencerait un nouveau chapitre de sa vie, un voyage vers la guérison intérieure, armée de la compréhension de son corps et de son esprit. Elle savait que le chemin serait long et parfois pénible, mais elle était prête à l’affronter. Avec le livre comme compagnon, elle se sentait moins seule, plus forte, prête à redéfinir son équilibre, un pas après l’autre.

Le Grand Livre de l’Énergie Vitale

Le Grand Livre de l’Énergie Vitale : Un Voyage au Cœur de la Médecine Énergétique

Cet ouvrage de référence, écrit par le Dr Li Wu et Nathalie Lauer, est une exploration approfondie des approches traditionnelles et contemporaines de la médecine énergétique. Que vous soyez novice ou connaisseur, ce livre vous offre une plongée dans les secrets de la médecine traditionnelle chinoise, de la médecine ayurvédique, ainsi que des thérapies basées sur les chakras et l’aura.
Chaque chapitre détaille des méthodes pratiques pour traiter divers maux, allant des virus saisonniers aux douleurs chroniques, en passant par les problèmes de peau et l’affaiblissement du système nerveux. Grâce à des fiches pratiques, apprenez à utiliser des plantes, des tisanes, l’acupression, le yoga, le tai-chi-chuan, et le qi gong pour détecter et libérer les blocages énergétiques.
Ce livre s’adresse particulièrement à ceux qui cherchent à développer leurs capacités d’auto-guérison, à prévenir les troubles de santé et à découvrir les richesses des méthodes holistiques. Que vous soyez un professionnel de la santé ou simplement curieux de mieux comprendre et gérer votre énergie vitale, ce guide est un incontournable.

Une petite histoire ?

Trouver l’Équilibre grâce à l’Énergie Vitale

Clara, consultante en marketing, se sentait constamment submergée par le stress et l’anxiété. Son travail exigeant et son rythme de vie effréné lui causaient des maux de tête persistants et un sommeil perturbé. C’est dans ce contexte qu’elle découvre le “Grand Livre de l’Énergie Vitale”.

Dès les premiers chapitres, Clara est captivée par les sections sur la gestion du stress et l’amélioration du sommeil grâce à la médecine énergétique. Intriguée, elle décide d’expérimenter les techniques proposées.

Un problème récurrent pour Clara était son incapacité à décompresser après le travail. Le livre suggérait des exercices de respiration profonde et de méditation pour calmer l’esprit. Clara commence par des sessions de cinq minutes chaque soir. Au bout de quelques semaines, elle remarque une diminution notable de son anxiété et une amélioration de la qualité de son sommeil.

Un autre défi pour Clara était sa tendance à souffrir de maux de tête en fin de journée. Le livre recommandait l’acupression pour soulager les tensions. Clara apprend les points d’acupression pour les maux de tête et les pratique régulièrement. Elle est étonnée de constater une réduction significative de la fréquence et de l’intensité de ses maux de tête.

Motivée par ces premiers succès, Clara explore d’autres aspects du livre, notamment l’utilisation des plantes médicinales pour renforcer le système immunitaire. Elle commence à incorporer dans son alimentation des tisanes et des aliments recommandés, notant une amélioration de son énergie et une réduction des petits maux saisonniers.

Le dialogue intérieur de Clara change progressivement. Elle se surprend à penser : “Je ne suis pas juste une victime du stress, je peux le gérer.” Cette nouvelle perspective, alliée à ses pratiques quotidiennes d’auto-guérison, lui confère un sentiment de contrôle et d’harmonie.

Clara partage ses expériences avec sa famille et ses amis, leur expliquant comment le livre a été un catalyseur de changement dans sa vie. “C’est comme si j’avais redécouvert ma propre force”, confie-t-elle lors d’un dîner. Grâce au “Grand Livre de l’Énergie Vitale”, Clara a non seulement surmonté ses défis personnels mais a également inspiré son entourage à explorer la puissance de la médecine énergétique.

Contacts avec une autre dimension – Annie Hoyaux.

Annie Hoyaux, dans son ouvrage “Contacts avec une autre dimension”, se plonge dans un récit personnel et introspectif, explorant des expériences qui transcendent la compréhension ordinaire. Le choix des thèmes, empruntant à la fois au mystique et au quotidien, démontre une quête de sens et une volonté de partager des moments de vie qui ont profondément marqué l’auteur. La narration, fluide et ponctuée d’événements marquants – tels que “L’accident”, “La guérison”, “L’arbre de Furnes” – illustre une trajectoire personnelle empreinte de questionnements sur l’existence, la mort, et ce qui peut se trouver au-delà du tangible. Le style d’écriture, à la fois simple et chargé d’émotions, invite le lecteur à une réflexion sur les dimensions moins explorées de l’existence, poussant à envisager la vie sous un angle plus large. L’auteur semble chercher à éveiller une conscience chez le lecteur, à travers ses propres expériences extraordinaires, qui bien que personnelles, touchent à l’universel.
Elle parle de figures proches, comme sa mère ou des entités perçues lors d’événements exceptionnels. Ces personnages servent de catalyseurs à des expériences qui dépassent le quotidien, allant de la survie miraculeuse lors d’un accident à la communication avec des êtres chers décédés. Les événements clés, tels que la guérison d’une maladie ou des rencontres avec des phénomènes inexpliqués, jouent un rôle central dans le développement du récit. Ils marquent des points de transformation dans la vie de l’auteur, ouvrant la porte à de nouvelles perspectives sur la vie et la mort. Les lieux, comme la forêt de Soignes ou la maison familiale, ne sont pas de simples décors mais des espaces où se déroulent des expériences transformatrices, enrichissant le récit de leur atmosphère particulière. Ces éléments ensemble tissent une trame où le réel se mêle à l’inexplicable, offrant une narration riche en émotions et en questionnements.
L’auteur partage des moments de peur, de joie, de deuil, et d’émerveillement, qui traduisent une gamme complète d’émotions humaines. Par exemple, la perte de la mère de l’auteur et ses apparitions post-mortem sont traitées avec une sensibilité qui exprime à la fois la douleur de la perte et la paix trouvée dans ces expériences surnaturelles. Les événements narrés sont chargés d’une intensité émotionnelle qui se transmet au lecteur, provoquant réflexion et empathie. Les relations avec les proches, vivants ou décédés, et même avec des entités inconnues, sont décrites de manière à révéler une profonde connexion entre l’auteur et le monde qui l’entoure. Ces interactions soulignent les liens indissociables entre les expériences personnelles de l’auteur et sa quête de compréhension de phénomènes qui dépassent l’entendement humain.
Le livre “Contacts avec une autre dimension” s’adresse à un public large, intéressé par les récits personnels empreints de spiritualité et de mystère. Il est particulièrement pertinent pour ceux qui s’interrogent sur l’existence de dimensions au-delà du tangible, et qui cherchent à comprendre les expériences qui transcendent la compréhension scientifique ou rationnelle. Les lecteurs attirés par les récits de vie personnels, les phénomènes paranormaux, ou les questions existentielles trouveront dans cet ouvrage matière à réflexion. L’auteur partage ses expériences avec une authenticité qui peut toucher ceux qui ont vécu des événements similaires ou qui sont ouverts à l’idée que la réalité peut être plus vaste et complexe que ce que l’on perçoit habituellement. Le livre offre ainsi une perspective unique sur des sujets qui interpellent l’humain dans sa quête de sens et de compréhension de l’univers.

Une petite histoire ?

 

Dans la vie monotone d’Élise, bibliothécaire dans une petite ville française, les jours se suivaient et se ressemblaient, bercés par le murmure des pages et le tic-tac de l’horloge. Cependant, un soir d’automne, alors que les feuilles dansaient au rythme du vent, un livre abandonné sur une étagère poussiéreuse attira son attention. “Contacts avec une autre dimension” d’Annie Hoyaux, un titre qui résonna en elle comme une promesse de révélations.

Curieuse, Élise entama la lecture et se vit transportée dans un univers où le réel flirtait avec l’inexplicable. Ces récits de rencontres avec l’au-delà, de guérisons miraculeuses, éveillèrent en elle une fascination teintée d’inquiétude. Elle, si rationnelle, se trouvait désormais confrontée à des récits défiant sa compréhension du monde.

Le livre devint son obsession. Nuit après nuit, elle dévorait les pages, cherchant des réponses, des signes. Elle commença à ressentir une présence, une ombre fugace dans les recoins de la bibliothèque, un frôlement dans son dos lorsqu’elle rentrait chez elle le soir. Était-ce son imagination, alimentée par ces récits, ou quelque chose de plus profond, un lien avec cet autre monde décrit par Annie Hoyaux ?

Tiraillée entre son scepticisme et une curiosité insatiable, Élise se lança dans une quête personnelle. Elle revisita des lieux de son enfance, cherchant des indices, des coïncidences. Un jour, dans le grenier de sa maison familiale, elle découvrit un vieux journal intime de sa grand-mère, parlant de visions et d’expériences surnaturelles. Était-ce possible que ces capacités se transmettent à travers les générations ?

Confrontée à ces découvertes, Élise dut faire face à ses propres peurs, ses doutes. Le livre l’avait menée à un carrefour de sa vie, où le chemin de la raison et celui de l’inexpliqué se croisaient. Elle comprit que ces expériences transcendaient la simple lecture ; elles l’invitaient à regarder au-delà des apparences, à écouter son intuition.

Un soir, dans la quiétude de la bibliothèque, une lumière étrange apparut entre les rayonnages. Élise, guidée par une force inconnue, suivit cette lueur jusqu’à un vieux livre oublié, racontant l’histoire d’une femme aux dons extraordinaires. Était-ce un message, une réponse à ses interrogations ? Élise se sentit connectée à cette femme, comme si leurs destins étaient liés par-delà le temps.

La découverte de ce livre, et la connexion étrange qu’elle ressentit, marquèrent un tournant. Élise comprit que sa quête n’était pas de trouver des réponses concrètes, mais d’embrasser le mystère de la vie. Elle apprit à accepter l’inexplicable, à trouver du réconfort dans ces histoires qui défiaient la logique.

“Contacts avec une autre dimension” avait ouvert les portes d’un monde nouveau pour Élise, un monde où la magie du quotidien se mêlait à l’étrange, où les coïncidences devenaient des signes. Elle réalisa que chaque personne portait en elle un univers de mystères, et que la vie, dans toute sa complexité, était une aventure à vivre pleinement, avec curiosité et émerveillement.

Le livre, désormais terminé, trouva sa place sur une étagère spéciale dans la bibliothèque d’Élise, non plus comme un simple récit, mais comme un compagnon de voyage dans sa propre exploration de l’extraordinaire.

HYMNE À LA FEMME Véronique Richard-Godefroy

Lumière sur les Femmes à travers les Âges : Exploration de l’Hymne à la femme

Quelle est l’idée clé

L’idée clé de “Hymne à la femme” repose sur la mise en valeur et la célébration de l’impact et de la contribution des femmes dans l’histoire et la société contemporaine. L’auteur, en choisissant ce thème, vise à mettre en lumière et à honorer les réalisations, souvent négligées ou méconnues, des femmes dans divers domaines tels que la politique, la science, les arts et la culture. Le style narratif et la structure de l’œuvre semblent conçus pour offrir une perspective enrichissante et diversifiée sur la féminité, en soulignant la puissance et la résilience des figures féminines. L’intention est de rééquilibrer les récits historiques, en reconnaissant et en célébrant les contributions significatives des femmes. Cette démarche suggère une volonté de l’auteur de non seulement raconter des histoires de femmes remarquables mais aussi de provoquer une réflexion sur le rôle et la place des femmes dans la société à travers les âges.

Objet

Le principal objet de “Hymne à la femme” réside dans l’exploration des rôles, des défis, et des triomphes des femmes à travers différentes époques et cultures. L’ouvrage met en scène des personnages féminins historiques et contemporains, chacun représentant une facette unique de la force et de l’influence féminines. Ces personnages pourraient être des dirigeantes, des innovatrices, des artistes, et des activistes, chacune apportant sa contribution unique à la tapestry de l’histoire humaine. Leur rôle dans le récit est crucial pour démontrer la diversité et l’ampleur des contributions des femmes, montrant comment elles ont façonné et continuent de façonner l’histoire et la culture. Cette approche permet non seulement de reconnaître leurs accomplissements mais aussi de comprendre les contextes dans lesquels ces femmes ont opéré, soulignant leurs luttes et leurs succès.

Dimension subjective

La dimension subjective de “Hymne à la femme” se concentre sur les expériences émotionnelles et relationnelles des personnages féminins. L’œuvre explore probablement les sentiments complexes, les aspirations et les interactions de ces femmes avec leur entourage. L’auteur peut utiliser des récits intimes et des descriptions détaillées pour illustrer comment les émotions des personnages influencent et sont influencées par leurs expériences et leurs réalisations. Cette dimension subjective permet de comprendre non seulement les succès externes de ces femmes, mais aussi les défis internes qu’elles ont dû surmonter. En plongeant dans leurs expériences personnelles, le livre offre un aperçu profond des motivations, des peurs, des joies et des douleurs qui ont façonné ces femmes remarquables.

Synthèse

La synthèse de “Hymne à la femme” relie l’intentionnalité de l’auteur, les figures féminines emblématiques, et les dynamiques émotionnelles pour offrir une compréhension complète de l’œuvre. Ce texte est une célébration de la féminité et du pouvoir féminin, tissée à travers des récits individuels et collectifs. Il met en lumière non seulement les réalisations et les contributions des femmes, mais aussi les perceptions et les traitements qu’elles ont reçus au fil du temps. Cette synthèse offre une perspective nuancée et complète, soulignant la complexité et la richesse des expériences féminines. Elle illustre la manière dont les femmes ont influencé et continuent d’influencer le cours de l’histoire, tout en offrant une réflexion sur la manière dont la société valorise ou néglige leurs contributions.

L’auteur a analysé les thèmes astrologiques de plusieurs femmes influentes et a identifié des signes astrologiques dominants parmi elles. Voici quelques exemples et comment ces signes se reflètent dans leurs personnalités et leurs réalisations :

  1. Élisabeth II d’Angleterre – Taureau ascendant Capricorne, avec des influences de Scorpion, Lion, et Capricorne. Ces signes suggèrent une personnalité pratique, déterminée, et aimant le luxe et les possessions​​.
  2. Angela Merkel – Cancer ascendant Sagittaire. Cette combinaison crée une personnalité à la fois casanière et aventureuse, reflétant son approche pragmatique et sa détermination sur la scène internationale​​.
  3. Oprah Winfrey – Verseau ascendant Sagittaire. Ces signes indiquent une personne curieuse, communicative, et capable de dépasser les frontières, ce qui correspond à sa réussite mondiale et son désir de communication​​.
  4. Golda Meir – Dominée par les signes du Taureau, du Capricorne, et du Scorpion. Ces signes dénotent une personnalité forte, pratique, et déterminée, ce qui est en accord avec son rôle de leader en Israël​​.
  5. Ellen DeGeneres – Verseau ascendant Poissons. Cette combinaison souligne son humanisme et sa capacité à voir loin, en accord avec sa réussite en tant que personnalité médiatique et son engagement humanitaire​​.
  6. Anne Lauvergeon – Influencée par le Lion, la Vierge, et le Scorpion, avec un milieu du ciel en Taureau. Ces signes suggèrent une personnalité organisée, déterminée, et axée sur la réussite, ce qui se reflète dans sa carrière réussie et son leadership​​.

Dans l’ensemble, les caractéristiques de ces femmes semblent en grande partie en cohérence avec les traits associés à leurs signes astrologiques. Elles montrent des qualités de leadership, de détermination, de pragmatisme, et une capacité à influencer significativement leur environnement, ce qui correspond aux attributs de leurs signes respectifs.

Dream Machine, expansion de conscience, bien-être

Dans notre quête de l’éveil et de l’harmonie, nous explorons souvent des guides et des pratiques pour transcender le tumulte de la vie quotidienne. La “Dream Machine” de la Maison des Thérapies Douces offre une révolution dans ce voyage. Fondée sur la photostimulation, elle apaise l’esprit et favorise l’auto-exploration. Cette technologie n’est pas qu’un instrument ; elle est un compagnon qui synchronise la lumière et le cerveau, ouvrant une fenêtre sur un cosmos intérieur. La Dream Machine permet une méditation profonde, un sommeil réparateur et réduit le stress, tout en étant une aventure personnelle vers la conscience et le bien-être. Explorez les profondeurs de votre être avec cette technologie révolutionnaire, un guide lumineux vers une nouvelle ère de la conscience.
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Nu, noir, nature

L’introduction du livre

J’aime le naturisme. Je suis fou d’aimer le naturisme, mais quelle agréable folie ! J’aime le naturisme parce que je suis naturiste. J’aime le naturisme comme la soif aime l’eau. J’aime le naturisme comme la faim aime la nourriture. J’aime le naturisme parce que le naturisme est beau et le naturisme est beau parce que la nudité est belle. Qu’est-ce que le naturisme ? Où vivre le naturisme ? Qu’est-ce qu’un naturiste ? Mon choix d’être naturiste.
J’écris ce livre pour vous dire avec un plaisir infini que je suis naturiste.

Notre réécriture pour faire le lien avec la spiritualité… Une mise à nu ?

Chaque fois que je contemple mon corps nu, je suis face à une énigme. C’est un dialogue silencieux entre moi et l’infini, entre ma finitude et l’univers. Ma nudité est une philosophie sans mots, un haïku incarné.

Dans l’espace sacré de la nature, parmi les autres, j’apprends le respect. Ici, sous le regard bienveillant du soleil et des étoiles, nous nous dépouillons de nos artifices. Les corps dénudés parlent de l’existence pure, de la fragilité humaine, de l’acceptation. C’est un hymne à la liberté, une ode à l’authenticité.

Dans le naturisme, il y a une démocratie de la peau. Rien n’est caché, rien n’est simulé. On expose ses vérités, on partage son humanité. La jeunesse et la vieillesse, la force et la fragilité, tous coexistent. Le naturiste sait cela. Il sait que la nudité n’est pas une fin en soi, mais un moyen de retourner à l’essentiel, de se reconnecter à la nature et à soi-même.

Mais attention, cette sincérité est délicate, elle doit être vécue avec conscience. Elle n’est pas un spectacle, elle n’est pas une provocation. Elle est le choix de vivre en harmonie avec le monde, de s’aventurer dans les forêts de notre être intérieur tout autant que dans les forêts de feuilles et de terre.

La nudité naturiste n’est ni exhibition ni évasion, elle est présence. Elle est le courage de se montrer tel que l’on est, de se baigner dans le lac de la vérité sans faire de vagues.

Mon corps nu, le vôtre, le leur, tous racontent une histoire. C’est la grande bibliothèque de la vie où chaque livre est écrit dans la langue universelle de la peau. C’est une littérature que tout le monde peut lire, une poésie que chaque respiration récite.

Dans la simplicité de cette nudité, il y a une complexité, une profondeur. C’est un tableau où chaque corps est une couleur, chaque forme une nuance, et le tout une œuvre d’art.

Et dans cet espace, chaque pas est une philosophie, chaque geste une méditation. C’est dans le naturisme que l’on s’aperçoit que le plus grand vêtement, c’est notre âme et que notre peau n’en est que le doux manteau.

Méditations maçonniques

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Ecoutez un extrait : De l’Amour – Je t’offrirai des larmes célestes et des éclats de lune…

 

Au Cœur des Symboles : Une Quête Spirituelle et Poétique

 

Découvrez ce voyage transcendantal au cœur de l’existence humaine, les abysses des questions fondamentales qui ont traversé l’humanité à travers les âges : la quête de la vérité, la pureté de l’humilité, l’agonie de l’attente, la mélodie mélancolique de l’absence, la flamme éternelle de l’amour, et le paradis perdu du jardin d’Éden.

 

Un regard méditatif et lyrique sur la condition humaine

Ce livre offre une approche méditative, spirituelle et poétique de ces énigmes qui touchent au cœur de notre être. Chaque page est une invitation à contempler et à ressentir, à se perdre dans les méandres de l’inconscient et à en émerger avec une nouvelle compréhension, enrichie par le symbolisme qui entrelace notre psyché.

 

La Franc-maçonnerie révélée dans toute sa splendeur spirituelle

Au-delà de la poésie et de la méditation, l’ouvrage propose une exploration saisissante du sens profond de la Franc-maçonnerie. Loin des clichés et des idées préconçues, cette exploration nous emmène dans un voyage où la spiritualité et la symbolique maçonnique se fondent en une seule et même danse, belle et envoûtante.

Une écriture qui éveille et éclaire

L’auteur, avec une plume à la fois poétique et explicative, construit un pont entre le mystique et le rationnel, entre le cœur et l’esprit. Ses mots ne sont pas seulement une lecture, mais une expérience, une immersion dans un monde où le tangible et l’intangible se rencontrent, s’entrelacent et se transforment mutuellement.

Pourquoi lire “Méditations maçonniques” ?

Si vous êtes en quête de réponses, si vous cherchez à comprendre les mystères de l’existence ou si vous désirez simplement vous laisser emporter par une prose magnifiquement écrite qui parle à l’âme, ce livre est pour vous. C’est plus qu’un ouvrage, c’est une porte ouverte vers une nouvelle dimension de compréhension et de ressenti.

 

Quelques thèmes

 

La danse délicate entre la foi et le doute : une introspection spirituelle

Une plongée profonde dans les nuances de la foi, du doute et de la raison, explorant leurs intersections, leurs conflits et leurs complémentarités à travers les âges.

 

Imaginez

Sur une mer agitée, une barque isolée vacille sous la pression des vagues tumultueuses. C’est dans ce décor que Jésus s’avance, marchant sur les eaux, vers ses disciples effrayés. Un tableau tiré de Mathieu 14.22-33, qui illustre le constant ballet entre la foi et le doute. La question se pose alors : qu’est-ce que la foi ? Est-elle simplement une croyance aveugle ou quelque chose de plus profond ?

Dans le labyrinthe de la foi, se perdre est facile. Sa nature complexe transcende la simple croyance religieuse pour plonger dans la confiance fondamentale que nous accordons au monde qui nous entoure. Dérivé du latin “fides”, le concept de foi évoquait autrefois une confiance sans aucune nuance religieuse. Il représentait la fiabilité, la constance et la loyauté.

Mais comme le montre la marche de Pierre sur l’eau, la foi n’est pas à l’abri du doute. Dans sa tentative de rejoindre Jésus, Pierre est rattrapé par la peur et commence à sombrer. De même, la foi et le doute sont deux facettes d’une même pièce, se nourrissant mutuellement.

La foi, pourtant, ne se réduit pas à la croyance. Elle est aussi une quête de vérité, une expression de notre liberté intérieure. Elle est cette force motrice qui guide nos actions, même en l’absence de preuves concrètes. Et contrairement à la certitude, qui s’enracine dans le dogme, la foi embrasse l’incertitude et ouvre la porte à la question, au défi.

Si la raison est la lumière qui éclaire notre chemin, la foi est le pont qui nous permet de le traverser. L’une est l’épine dorsale de la logique, l’autre est le cœur palpitant de l’intuition. Et c’est dans cette dynamique que la foi et la raison coexistent, chacune enrichissant l’autre.

La foi est un acte d’amour, une confiance en l’inconnu. Elle nous permet de voir au-delà des apparences, de croire en l’amour divin et de trouver un sens à notre existence. Même le Christ, dans son dernier souffle, a ressenti le doute, prouvant que la foi est profondément humaine.

En fin de compte, la foi et le doute sont les gardiens de notre âme, nous guidant à travers les méandres de la vie. Par leurs questions, ils témoignent de notre quête incessante de vérité et de sens.

 

 

“Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance”


Au sein de ces pages le sacré se dévoile, non pas comme une simple idée, mais comme une épopée spirituelle qui traverse les époques et les âmes. Tel un vent mystérieux soufflant sur les cimes des montagnes, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” s’insinue doucement dans nos pensées, éveillant notre curiosité.

A la manière d’un voyageur solitaire marchant à travers des forêts denses et des vallées ombragées, l’auteur nous guide dans les méandres des traditions, des rituels et des croyances, avec une plume pleine de poésie.

Ce n’est pas simplement un livre, mais une symphonie de mots, une danse des idées. Comme les vagues qui se brisent sur les rochers, les chapitres éclatent de révélations, invitant le lecteur à se perdre et à se retrouver dans le vaste espace du sacré.

Si vous avez déjà ressenti le frisson du mystère, l’appel silencieux de l’inconnu, ce livre est une promesse murmurée à l’oreille de votre âme. Ce n’est pas une simple lecture, c’est une quête.

Dans la tradition où chaque mot est choisi avec soin et chaque phrase résonne avec émotion, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” se présente comme une toile vivante, tissée avec les fils d’or de la sagesse ancienne. Laissez-vous entraîner dans ce tourbillon d’érudition et de poésie. Car au bout du chemin, ce n’est pas seulement la connaissance que vous trouverez, mais peut-être, un reflet de votre propre âme.

Extraits

Le jardin d’Eden n’est plus une origine perdue dans un temps sans retour. C’est le germe présent d’une naissance à une vie à venir, dans l’éternité retrouvée ».
Véronique Lévy

Le Jardin d’Éden

Synonyme de Pardès, paradis en hébreu, Gan Eden, renvoie à Eden, délice, et fait du paradis le jardin des délices et le symbole de la connaissance spirituelle. Délices de l’amour innocent où la béatitude des âmes se mêle au plaisir des corps ; de
la connaissance de l’autre dans sa vérité biblique, en un temps où l’être est sans égo ; temps d’altérité où nul n’a conscience de ses propres limites ni de celles de l’autre, tant les deux se confondent. Avec l’apparition de la conscience, le mythe d’Adam rejoint celui de Pandore et le Jardin d’Éden, celui des Hespérides. Chacun se réduit désormais à la conscience de soi et l’autre devient inaccessible ; autre à jamais. Seul l’amour fait lien entre les consciences, permet leur communion, parfois. Il est la vérité de l’humain et, de la connaissance à la transcendance, nous relie de l’ancien au nouvel Adam. Paradis perdu de l’innocence par l’initiation à la connaissance, paradis retrouvé au-delà. Nostalgie et espérance, comme les deux faces d’une réalité identique.
Le mythe fondateur de l’humanité intègre dès l’origine, l’aspiration à la transcendance. Ainsi l’Éden est à la fois l’Alpha et l’Oméga de l’aventure humaine.

 

L’enfer est tout autant dans la présence des autres que dans l’absence de Dieu ; c’est selon.

L’Absence

L’absence se définit, simultanément, comme ce qui n’est pas présent, comme l’état juridique d’une personne disparue, dont on ignore si elle est encore en vie, ou comme la
perte momentanée de conscience. Elle sous-entend que quelque chose ou quelqu’un devrait être et n’est pas, ou que quelque chose ou quelqu’un a été et n’est plus. Ainsi, paradoxalement, l’absence atteste de ce qui
n’est pas, d’un vide qui ne devrait pas être en ce sens qu’il est ressenti comme anormal, dans le cas d’un manque par exemple, voire comme inquiétant, dans le cas d’absence de nouvelles.
En fait, il est dans la nature même de l’absence d’être paradoxe dès lors qu’elle n’atteste que du manque ; de ce qui est censé être et n’est pas. Ainsi, l’absence de bruit n’est pas tout à fait le silence ou, plus précisément, elle est plus que le silence puisque là où je
devrais entendre quelque chose, je n’entends rien ; de même s’agissant de l’absence de lumière ou de toute autre absence du même ordre. L’absence est la forme en creux de l’existence, dont elle témoigne par l’absurde. La place vide de l’absent atteste de sa réalité plus sûrement que ne le ferait sa présence effective ; d’une certaine façon en devenant abstraite sa réalité devient plus dense, parce que plus singulière, plus chargée de souvenirs, d’émotions ou d’affect. L’ordre des choses a été rompu, bouleversé ; l’absent devrait être et il n’est pas. Ainsi, sa présence naturelle, anodine en soi, se métamorphose, par défaut, en une absence lourde d’interrogations et de questionnements. Toute absence est quête de sens car le manque interroge plus que l’acquit, la gratuité d’un geste plus que son mobile.

La sagesse des ancêtres – Hazel Marie Volk

Hazer Marie Volk nous mène dans une exploration profonde de l’identité, de la spiritualité, de la culture et de la psychologie humaine. Et nous exhorte : “Réveillez votre lien au vivant”.

 

L’ouvrage, au fil des chapitres nous propose des “réflexions” des sortes de mises en situation étranges qui nous mènent ailleurs, au-delà de nos certitudes et de notre confort

 

Quelle est la profondeur et la signification de nos racines ancestrales, comment ces racines influencent-elles notre identité et notre rapport au monde, et comment pouvons-nous nous reconnecter à cette sagesse ancienne pour guider notre chemin dans le monde moderne? Les différentes sections abordent :

  1. L’identité des lointains ancêtres
  2. Renouer avec nos racines
  3. Retrouver notre humanité

Elle nous donne une clé de lecture : “Je vous invite à lire ce livre en compagnie d’autres personnes, d’amis, de voisins ou de membres de la famille. De vous réunir une fois par semaine ou une fois par mois, à la façon d’un groupe de lecture, en personne ou virtuellement, pour lire, ensemble, un paragraphe ou un chapitre afin de partager votre expérience et d’écouter celle des autres. Tout au long de cet ouvrage, vous trouverez des questions et des réflexions qui vous inviteront à ralentir et à vous immerger afin de donner votre propre sens au contenu. Des informations La Sagesse des ancêtres et des pratiques à explorer, afin de stimuler votre propre créativité, votre boussole intérieure, et ressentir ce qui vous semble juste. Je vous invite à vous munir d’un carnet pour noter ce qui émerge lors de vos discussions et réflexions. Lorsque viennent les temps de partage, n’oubliez pas de marquer une pause et de vous habituer à écouter sans trop commenter. Soyez ouvert à l’expérience des autres, à une perspective différente, à une sagesse nouvelle qui a le potentiel de vous inspirer et d’élargir votre horizon. Il s’agit d’une invitation à apprendre mutuellement, en utilisant les mots de ce livre comme des guides, des encouragements ou des moyens d’engager la conversation.

À la découverte de notre essence : un retour aux racines

Dans une ère dominée par le matérialisme et la déconnexion, ce nouvel ouvrage nous propose un périple introspectif, nous invitant à retrouver notre essence véritable. À travers son parcours personnel et ses explorations profondes, l’auteur aspire à nous ramener à nous-mêmes, non seulement en tant qu’individus mais aussi en tant que membres d’une communauté, qu’elle soit visible ou invisible. L’auteur aborde la notion troublante de la façon dont la société moderne nous a façonné. Elle suggère que nous avons été conditionnés à oublier qui nous sommes vraiment, perdus dans les mirages de la matérialité. Toutefois, le message central de cet ouvrage est un appel vibrant à raviver notre relation avec le monde naturel, à renouer avec nos racines sauvages et ancestrales qui semblent avoir été oubliées.
L’essence de son message est claire : nous sommes bien plus que ce que la société contemporaine prétend que nous sommes. En explorant les profondeurs de notre âme, nous pouvons déterrer les racines de cette illusion de déconnexion – une illusion qui nous a fait croire que nous sommes séparés de nous-mêmes, des autres et de notre planète. Mais le voyage vers cette redécouverte n’est pas dépourvu de défis. Comme l’auteure le souligne, faire face à l’inconfort d’une telle transformation est essentiel. C’est un rappel puissant que la plénitude de la vie réside en chacun de nous et qu’elle attend simplement d’être reconnue et célébrée. Elle nous guide vers une guérison systémique : “en réapprenant à danser sur le plan physique, émotionnel et spirituel avec l’ensemble de la Vie”. Plutôt que de chercher des solutions isolées, elle encourage à embrasser une transformation holistique, en réapprenant à interagir sur les plans physique, émotionnel et spirituel avec l’intégralité de la Vie.

L’authentique identité de nos ancêtres préhistoriques : bien plus qu’un simple cliché

La première partie de l’ouvrage met au défi les préconceptions tenaces que nous entretenons à propos de nos ancêtres préhistoriques. Loin de l’image des brutes primitives, souvent véhiculée par les médias et l’éducation, l’auteur dévoile une image bien différente et infiniment plus riche. Nos ancêtres préhistoriques étaient en réalité le produit de millions d’années d’évolution et d’adaptation à leur environnement. Ils possédaient une sagesse, des connaissances et des pratiques ancestrales qui ont laissé des empreintes indélébiles, encore visibles aujourd’hui. Pour preuve, l’auteur évoque la richesse culturelle des tribus autochtones contemporaines, qui, malgré les assauts de la colonisation, ont conservé des traditions et des croyances profondément enracinées.
L’un des messages les plus percutants de cette première partie est l’importance des mythes, des légendes et de la cosmogonie. Ces récits, bien plus que de simples histoires, sont des témoins précieux de la relation intime que nos ancêtres entretenaient avec la Terre. Ils respectaient et honoraient chaque territoire pour sa singularité, reconnaissant les besoins spécifiques de chaque lieu. Elle met également en lumière un point crucial : avant de s’aventurer à adopter les pratiques de cultures étrangères, il est essentiel de comprendre et d’honorer ses propres racines. Cette prise de conscience est un appel à la responsabilité et à l’intégrité, et un rappel que la véritable sagesse réside dans la compréhension de notre propre héritage.

 

À la croisée des chemins spirituels : l’impact occidental et le retour aux sources

La deuxième partie du livre jette un regard critique sur l’engouement spirituel de l’Occident et son influence souvent non désirée sur les cultures vers lesquelles il gravite. L’auteur met en lumière une réalité troublante : bien que la quête spirituelle soit intrinsèquement noble, elle peut involontairement prolonger les ombres du passé colonial. Cependant, loin de s’attarder sur la critique, le cœur de cette partie est un vibrant appel à un retour aux sources. L’auteur nous incite à renouer avec le dialogue interspèces, à nous réinsérer dans le paysage naturel et à redécouvrir le sol sacré sous nos pieds. Il évoque une triste réalité : de nombreux rituels et traditions occidentaux ont été perdus au fil du temps. Toutefois, l’espoir n’est pas perdu. En se tournant vers nos ancêtres et en écoutant attentivement la Terre, il est possible de retrouver l’essence de ces pratiques et de les adapter à notre époque moderne. Retrouver la sagesse de nos ancêtres va au-delà de simples rituels. C’est un voyage pour redécouvrir ce que signifie réellement être humain. Elle nous défie de dépasser les tabous et les conditionnements sociétaux pour embrasser une humanité plus authentique, déconditionnée.

 

Réintégrer l’émotion et la sagesse corporelle : la clé pour un futur respectueux de la Vie

La troisième partie plonge profondément dans l’importance des émotions et de la sagesse corporelle pour vivre en harmonie avec la philosophie de nos ancêtres. Elle souligne la nécessité urgente de se reconnecter à nos corps et à nos communautés pour assimiler pleinement les expériences que la vie nous offre. L’auteur nous présente une vision claire : le retour aux rituels n’est pas seulement une tendance, mais une nécessité. Dans notre société moderne, où la dissociation et la déconnexion sont monnaie courante, les rituels agissent comme des ponts, nous guidant vers une intégration profonde de notre être. Ils sont le miroir d’une transition intérieure qui, lorsqu’elle est vécue pleinement, nous permet de jouer un rôle actif dans la création d’un avenir plus lumineux. Ce n’est pas un appel à l’individualisme. L’auteur insiste sur le fait que notre transformation intérieure a le pouvoir de déclencher des changements collectifs. En embrassant pleinement notre humanité, en honorant nos émotions et en célébrant la sagesse de notre corps, nous sommes mieux armés pour construire un monde qui respecte la Vie et qui chérit les générations futures.

En glanant quelques idées dans l’ouvrage

Au-delà du Chamanisme : La Conscience Universelle de l’Humanité

La profonde connexion que partagent les peuples autochtones avec la nature est à la fois édifiante et déconcertante pour le monde occidental. Cette symbiose, où le chaman puise sa force, sert de prisme à travers lequel l’auteur explore le mal-être fondamental de l’Occident : notre déconnexion croissante d’avec le monde naturel. Plutôt que de s’aventurer immédiatement dans le néo-chamanisme ou de rechercher des enseignements auprès de tribus traditionnelles, l’auteur suggère une introspection authentique. Il nous incite à évaluer la profondeur de notre lien avec la nature. Comment pouvons-nous renouer, nous immerger de manière intuitive et sensorielle dans le monde qui nous entoure, avant de prétendre assimiler la richesse des enseignements autochtones ? Au cœur de cette quête se trouve une observation percutante. Dans les communautés tribales, ceux qui guérissent ne se glorifient généralement pas de leur rôle. Ils l’acceptent avec humilité, comme tout autre membre de la tribu assurant des fonctions essentielles. La guérison, bien que précieuse, n’est pas perçue comme une vocation exceptionnelle, mais plutôt comme une contribution parmi tant d’autres à la communauté. Cette vision démocratise notre lien ancestral avec la Terre. Nous sommes tous, à la base, des êtres de la nature, dotés d’un patrimoine culturel riche et respectueux du vivant. La capacité de percevoir les mondes invisibles ne nous confère pas un statut spécial mais renforce plutôt notre humanité. Il ne s’agit pas de revendiquer des titres exotiques pour justifier une affinité avec le spirituel. Chaque individu possède en lui le potentiel de renouer avec cette sagesse ancestrale, à condition de le cultiver avec intention et persévérance. L’auteur nous lance un défi : retrouver nos racines en puisant l’inspiration des cultures traditionnelles, sans les usurper. Il nous invite à réapprendre l’art de l’écoute, en prêtant attention à la Terre sous nos pieds, signe tangible de notre appartenance à un tout plus vaste.

Laisser la Terre nous porter

Citation

“Ici en France, la Terre m’appelle à un rééquilibrage, à laisser couler mes larmes et à ressentir mes émotions pour pouvoir à nouveau ouvrir mon cœur, aimer, honorer, et vénérer la Vie. Je pense qu’elle nous invite à danser, prier, jouer et chanter à nouveau, à joindre nos voix à la sienne pour que, dans l’écho des montagnes, des déserts, des rivières, des forêts et des grottes du monde entier, nos voix atteignent chaque humain, comme une invitation à rejoindre le mouvement. Ce n’est qu’en renouant avec la Terre nourricière, individuellement et collectivement, que nous pourrons ramener l’équilibre dans un monde dominé par l’homme.”

L’écopsychologie

“C’est en m’intéressant à l’écopsychologie que j’ai pu mettre du sens sur ce que je ressentais et comprendre que notre éloignement progressif du monde naturel influence nos vies au quotidien. Une blessure collective que l’auteur Chellis Glendinning qualifie de « traumatisme originel 1 », rappelant que notre nature humaine profonde est vouée à vivre en participant et en étant en relation avec le monde naturel. Elle suggère que « la dégradation de ces relations a eu un impact majeur sur la façon dont nous construisons notre identité personnelle et collective ». Que « ce traumatisme originel se traduit par une désorientation constante, un manque de sentiment d’appartenance, vécu consciemment ou inconsciemment » qui « influence également la façon dont nous traitons la Terre, dont nous nous traitons les uns les autres ».
Une blessure qui entrave nos capacités « à atteindre une pleine maturité émotionnelle et psychologique »”

Conclusion

Devenir l’ancêtre de demain

Esther Magnétiseuse

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L’Amour au-delà du Temps : Un Voyage Spirituel

Au fil des pages, je me suis perdu dans le dédale d’une histoire qui ne s’apparente à aucune autre. “Esther Magnétiseuse” de Lina Chelli, est une fenêtre ouverte sur un monde où l’au-delà rencontre le quotidien, où le destin frappe à la porte d’une famille à la croisée des chemins. Si j’ai un conseil à donner, ce serait de s’aventurer avec un cœur ouvert dans ce récit, car il pourrait bien bouleverser votre vision de la vie et de la mort.

Dès les premières lignes, Lina Chelli nous convie à une danse entre la réalité et le surnaturel. Une jeune fille, Esther, se trouve à la lisière de deux mondes : celui des vivants et celui des défunts. Sa transition vers un autre univers est décrite avec une sensibilité qui m’a touché au plus profond. J’ai ressenti la fragilité de la vie, l’importance de chaque instant et la force invisible de l’amour qui unit les êtres.

Le choix du cadre temporel, le Tunis des années 1940, n’est pas anodin. C’est une période de bouleversements, de tensions, où les destins individuels peuvent basculer en un clin d’œil. Dans ce contexte, les prédictions d’Esther prennent une résonance particulière. Elles sont le reflet des espoirs, des craintes et des secrets enfouis des personnages qui gravitent autour d’elle. Et chacune de ses prophéties est une clé pour comprendre un pan de leur histoire.

Esther, avec son innocence et sa sagesse d’enfant, est le prisme à travers lequel nous découvrons les autres personnages. Moshé, le boucher; Myriam, la coiffeuse; Tina, avec son passé mystérieux; Bernard, le propriétaire du bar, et bien d’autres. Chacun d’eux est un univers en soi, avec ses rêves, ses désillusions, ses batailles intérieures.

Ce qui est magnifique dans ce récit, c’est cette manière dont le surnaturel se mêle à la vie quotidienne, nous rappelant que la magie peut surgir à tout moment. Il suffit d’y être attentif. À travers les épreuves, les réconciliations, les miracles et les tragédies, une leçon émerge : celle de la force indomptable de l’amour, qui survit même à la mort.

Lina Chelli nous offre une œuvre qui est à la fois un voyage initiatique, une chronique familiale, et une réflexion sur le sens de la vie. À chaque page, j’ai été emporté par la puissance de son écriture, la richesse de ses personnages et la profondeur de ses thèmes. “Esther Magnétiseuse” est un hymne à la vie, à la destinée et à la quête éternelle de la lumière dans l’obscurité. Chaque lecteur y trouvera une résonance personnelle, une émotion qui le suivra longtemps après avoir tourné la dernière page.

Alors, plongez-vous sans attendre dans cette histoire, laissez-vous emporter par la magie d’Esther et découvrez le pouvoir mystérieux de l’amour qui transcende le temps.

Sagesse cachée des monastères : Une odyssée spirituelle éclairée

Le soir d’hiver enveloppe le monastère dans un silence mélodieux, interrompu uniquement par les chants grégoriens qui s’élèvent comme des vagues mystiques, témoignant de la présence divine. Chaque mot, chaque silence, semble peint avec les pinceaux d’une divinité qui transcende le réel, plaçant les moines et leurs hôtes dans un espace entre ciel et terre.

“Sagesse Cachée des Monastères” nous invite dans ce monde mystérieux et sacré, un endroit où la foi est plus qu’un mot, elle est une expérience vécue, un passage intime qui guide l’âme vers des eaux plus profondes. L’auteur nous dévoile un monde où le chant des bénédictins imprègne l’air, chaque note portant la promesse de l’éternité.

Le livre est une exploration, une rencontre avec des âmes qui ont trouvé leur repos dans le sacré, et pourtant, il ne s’agit pas d’une fuite du monde, mais d’une immersion plus profonde en lui. À travers les récits des monastères, le lecteur est invité à un voyage qui est autant intérieur qu’extérieur. Entre les murs de pierres séculaires, une sagesse ancienne résonne, offrant des réponses aux questionnements éternels de l’humanité.

Sœur Aubierge, une figure clé, dévoile une malice et une sagesse qui défient le temps. Son récit, intense et illuminé, est un miroir dans lequel le lecteur peut se voir, non pas comme un être fini, mais comme une âme en voyage. Le monastère n’est pas une fin, mais un passage, une porte qui s’ouvre vers une lumière qui ne connaît pas de déclin.

Le silence et la solitude ne sont pas une privation, mais une plénitude, un espace où le divin se révèle dans son intégralité. Les mots sont insuffisants pour capturer l’essence de cette rencontre. C’est une danse de l’âme, un écho du divin qui résonne à travers les âges, invitant chaque lecteur à une danse sacrée qui transcende le temps et l’espace.


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Quelques présentations selon la sensibilité de chacun

  1. Dans les dédales silencieux de ces pierres sacrées, où l’écho d’une prière se perd depuis des siècles, ce livre nous révèle les mystères que même Notre-Dame pourrait envier. “Sagesse cachée des monastères” est un hymne à l’éternité, une quête de lumière dans les ombres de notre existence.
  2. C’est un livre simple, direct. Des moines, des murs anciens, des chants. La vérité est là, dans le silence entre les mots. “Sagesse cachée des monastères” est une rencontre avec l’éternité, sans fioritures.
  3. Dans le cadre solennel des monastères, où chaque pierre semble raconter une histoire d’amour et de dévotion, ce livre offre un aperçu des passions subtiles et des délices spirituels qui animent le cœur de ces résidents pieux.
  4. Au milieu du faste et de la frénésie du monde moderne, il y a un sanctuaire où l’éclat de la sagesse brille plus lumineusement que n’importe quelle fête. “Sagesse cachée des monastères” est ce sanctuaire en papier, une invitation à une élégance spirituelle.

1 AN POUR BOUSCULER TON QUOTIDIEN

Voir aussi un exemple concret : l’écoute de podcasts !

Quentin Turquet nous prend doucement par la main…

 

Il n’est pas rare de sentir un léger malaise face à la répétition du quotidien. « 1 AN POUR BOUSCULER TON QUOTIDIEN » vient à la rescousse de ceux qui cherchent à injecter un vent de fraîcheur dans leur vie quotidienne, sans avoir à se plonger dans des tomes complexes sur le développement personnel ou la psychologie humaine. L’auteur dévoile avec délicatesse un chemin élégant mais efficace pour réinventer la routine. En prenant la plume, il offre aux lecteurs une mosaïque d’habitudes à explorer. Chaque mois se voit attribuer une valeur fondamentale – de la santé à l’authenticité, en passant par le bonheur et la discipline – engendrant ainsi un parcours équilibré et harmonieux tout au long de l’année.
Cette démarche ne prône pas un changement radical et instantané. Au contraire, le lecteur est encouragé à adopter ces nouvelles pratiques à son propre rythme, en s’octroyant la liberté de les ajuster selon ses besoins et aspirations personnelles. Ce livre n’est pas une doctrine, mais un compagnon silencieux qui marche aux côtés de ceux désireux de donner une nouvelle profondeur à leur existence.
Pour ceux qui ressentent l’appel de l’aventure, des challenges supplémentaires s’ajoutent à ces habitudes, pour titiller la curiosité et provoquer des étincelles d’énergie et d’enthousiasme. Rien d’imposé, tout est invitation. C’est dans cette souplesse que réside la beauté de l’ouvrage. « 1 AN POUR BOUSCULER TON QUOTIDIEN » est une œuvre à la fois subtile et puissante, un délicat équilibre entre l’élégance de l’écriture et la pragmatique quotidienne. L’occasion peut-être, pour les couples, les amis, les familles, d’unir leurs forces, de partager cette quête et d’enrichir l’expérience par le prisme des perspectives multiples.

 

Storytelling

La vallée était verdoyante, et chaque arbre et chaque brin d’herbe lui semblait baigné d’une lumière sereine. Élise, pourtant, se trouvait à un carrefour de sentiers. Elle était là, hésitante, chaque chemin offrant un horizon différent, une promesse distincte.
Un vieux sage, à la barbe aussi blanche que la neige, la regardait avec des yeux emplis d’une douceur infinie. Il s’approcha, son sourire évoquait une chaleur réconfortante : « Je vois l’orage des questionnements dans ton regard, jeune Élise. » Élise leva les yeux, et ses mots, comme chargés d’une douce mélancolie, trouvèrent le chemin de l’air. « Je suis prisonnière d’une routine qui érode mon âme. Je cherche le changement positif, mais il me fuit, insaisissable. » Le vieux sage hocha la tête, « La transformation personnelle, mon enfant, est un voyage, non une destination. » Il pointa vers le sentier du milieu, « C’est un chemin d’apprentissage continu. Une voie où chaque pas est une découverte de soi. »
« Mais comment puis-je acquérir la vitalité nécessaire pour emprunter ce chemin ? » demanda Élise.
Le vieux sage sourit, son rire résonnant avec la douce mélodie du vent dans les arbres. « La vitalité naît du bien-être. Prends soin de ta santé, nourris ton corps et ton esprit, et tu seras une rivière débordante d’énergie. » Élise regarda le sentier, ses yeux emplis d’une curiosité naissante. « Et le bonheur ? Est-il une fleur que l’on cueille sur ce sentier d’apprentissage ? »
« Le bonheur, chère enfant, n’est pas une quête mais une création. C’est l’essence même du développement personnel. Tu le façonneras dans l’atelier de tes actions et de tes pensées. Cultive de bonnes relations, avec toi-même et avec les autres, et le bonheur fleurira comme le printemps après un hiver rigoureux. » Élise semblait absorbée par chaque parole du vieux sage. Il y avait dans ses mots une lumière qui dissipait l’obscurité de ses doutes.
« Mais comment briser la chaîne de la routine ? » Elle posa cette question avec une ardente soif de libération. Le vieux sage la prit par la main et la guida vers le sentier du milieu. « Vois-tu, Élise, la routine est un sol fertile où la graine de l’anti-routine peut être semée. Embrasse chaque jour comme une terre inexplorée. Que chaque aube soit une invitation à la découverte, et chaque crépuscule, un miroir de réflexion. »
Élise, les yeux brillants d’une nouvelle lumière, s’engagea sur le sentier. Chaque pas résonnerait-il de la promesse d’une aube nouvelle ?
Le vieux sage, avec la sagesse de ses années et la douceur de ses paroles, avait allumé une flamme. Une flamme qui danserait et grandirait au rythme des pas d’Élise, illuminant son chemin de transformation personnelle dans l’abondante forêt de la vie.

Un peu plus tard Élise s’avançait sur le sentier, les paroles du vieux sage résonnant en elle comme une mélodie douce et envoûtante. Chaque mot était une étincelle, illuminant les recoins sombres de ses pensées et de ses incertitudes. Le vent caressait ses cheveux, chaque souffle de la nature semblant porter les échos des sages paroles qu’elle venait de recevoir. Elle murmurait chaque mot : “transformation personnelle”, “développement personnel”, “bien-être”… Ces termes, autrefois abstraits et lointains, prenaient désormais une forme et une substance, comme des pierres précieuses qu’elle pouvait toucher et sentir. Mais alors qu’elle progressait, une question se posait, insistant et insistante. Comment ces mots, aussi beaux et puissants soient-ils, s’articuleraient-ils dans la trame complexe et imprévisible de la vraie vie ? Comment le “changement positif” se traduirait-il au-delà du sentier, dans le monde tumultueux et bruyant où la routine et le quotidien gouvernent impitoyablement ?
“Énergie”, “santé”, “vitalité”… Elle réfléchissait à ces mots, les retournant dans son esprit comme on caresse des pierres lisses au bord d’une rivière. Elle comprenait leur importance, leur valeur, mais le pont entre la compréhension et la mise en pratique était un territoire non cartographié, un mystère qu’elle se sentait à la fois impatiente et anxieuse de démystifier. “Relations”, “bonheur”, “découverte de soi”… Comment ces éléments s’entrelacent-ils dans le dance complexe de l’existence ? Comment, dans le rythme effréné du monde, trouve-t-on le temps et l’espace pour cultiver, arroser et nourrir ces graines pour qu’elles fleurissent en un jardin luxuriant ? “Apprentissage”, “anti-routine”… Élise était à ce carrefour de la connaissance et de l’action, où les mots et les idées doivent prendre racine dans le sol fertile des actes et des choix quotidiens pour révéler leur vrai pouvoir.  Ces mots étaient désormais ses compagnons de voyage, et la jeune femme savait qu’à chaque étape de son périple, elle devrait les inviter, les consulter, et les laisser guider ses pas, à travers la vallée sereine et au-delà, dans le vaste, complexe et magnifique paysage de la vie.

Cette vie et au delà – Dr Christophe Fauré

Docteur Christophe Fauré : Une exploration au-delà du cartésien

La vie, la mort et ce qui pourrait exister après celle-ci ont toujours suscité de nombreuses interrogations. Parmi les chercheurs et experts qui se sont penchés sur ces questions, le Dr Christophe Fauré, médecin, se démarque par son approche unique et sa volonté de comprendre au-delà de la vision cartésienne.
Lorsqu’un patient commence par dire : “Docteur, je suis quelqu’un de très cartésien mais…”, on peut s’attendre à ce qui suit. Une histoire d’Expérience de Mort Imminente (EMI), d’Expérience de Fin de Vie (EFV) ou de contact avec un défunt qui remet en question tout rationalisme.

Le Dr Fauré a été témoin de ces témoignages bouleversants à de nombreuses reprises. Au-delà de l’étrangeté apparente, ce qui a réellement retenu son attention, c’est l’impact positif profond qu’ont ces expériences sur ceux qui les vivent. Nombreux sont ceux qui sont revenus de ces épisodes transformés, avec une perspective renouvelée sur la vie. Sa mission, en tant que médecin, est claire : aider et apaiser. Ces récits, sources inestimables de réconfort pour de nombreuses personnes, ne pouvaient donc pas être ignorés. Cela l’a poussé à approfondir ses recherches, à consulter diverses sources et à se plonger dans une quête de compréhension. Aujourd’hui, Dr Fauré nous invite à explorer ces phénomènes avec lui. Une exploration qui promet d’aller bien au-delà de ce que l’on pourrait imaginer. Nous plongeant dans les questions qui ont hanté l’humanité depuis la nuit des temps : qu’existe-t-il après la mort ? Notre conscience survit-elle à notre départ physique ? Quelle est véritablement la nature de notre conscience ?
Si ces questions vous intriguent, sachez que vous n’êtes pas seul. Rejoignez le Dr Fauré dans cette quête fascinante et peut-être trouverez-vous des réponses à vos propres interrogations.

L’étude des phénomènes insaisissables à travers la phénoménologie : Un regard scientifique

Plongeons-nous dans une problématique fascinante : comment étudier des expériences aussi éthérées que les Expériences de Mort Imminente (EMI), les Vécus Subjectifs de Contact avec un Défunt (VSCD) et les Expériences de Fin de Vie (EFV)? La seule source d’information provient des témoignages, mais sont-ils suffisamment robustes pour soutenir des études scientifiques ?
La réponse est affirmativement positive, grâce à une méthode de recherche profonde et respectée : la phénoménologie.

Qu’est-ce que la phénoménologie ?
La phénoménologie est une démarche scientifique axée sur l’étude des expériences vécues. Issue des grandes écoles de pensée du XXe siècle, elle a inspiré des penseurs de renom comme Merleau-Ponty, Sartre et Levinas. Sa pertinence s’étend à divers domaines comme la psychiatrie, les sciences humaines et de l’éducation. Cette approche cherche à comprendre l’essence d’une expérience, en s’affranchissant des doctrines ou des idées préconçues. La phénoménologie, dans sa pureté, s’efforce d’éviter toute interprétation en capturant la réalité de l’individu. Le Dr. Christophe Fauré a adopté cette méthode pour étudier les témoignages de centaines de milliers de personnes ayant vécu ces expériences extraordinaires. C’est un point crucial, car cela valide leur pertinence dans un cadre scientifique.

Dans son ouvrage, le Dr. Fauré choisit une démarche méthodique.
La première partie explore divers phénomènes tels que les EMI, VSCD, EFV et les souvenirs de vies antérieures.
La deuxième partie confronte ces expériences avec les objections et contre-arguments contemporains, tout en remettant en question les hypothèses actuelles sur la conscience.
Enfin, la troisième partie est consacrée aux enseignements que l’on peut tirer de ces phénomènes et comment ils peuvent éclairer notre quotidien.

Quelques unes des leçons qu’en tire l’auteur à la fin de l’ouvrage

Les bouleversements induits par les Expériences de Mort Imminente (EMI)

Les Expériences de Mort Imminente (EMI) constituent un phénomène fascinant et mystérieux qui, une fois vécu, laisse rarement la personne inchangée. Ces expériences profondes transforment la vision de la vie, le rapport à soi, à autrui, mais aussi les perceptions et les valeurs matérielles. Voici comment.

1. Conception renouvelée de la vie et de la mort
Suite à une EMI, une transformation profonde de la perspective sur la vie et la mort s’opère. Cette vision modifiée se manifeste par :

  • Diminution de la peur de la mort : Une confiance renforcée en la survie de la conscience après la mort physique émerge.
  • Éveil spirituel : Bien que moins religieuses, les personnes se déclarent plus spirituelles, se détachant des dogmes pour embrasser une quête de spiritualité personnelle.
  • Joie de vivre et sérénité : Vivre pleinement le moment présent, minimiser les tracas quotidiens et ressentir parfois une mission de vie définie devient une réalité.

2. Reconnaissance et acceptation de soi
Une EMI engendre également :

  • Soif de connaissance : Beaucoup affirment avoir eu accès à la “connaissance universelle”, suscitant un désir d’apprendre et de développement personnel.
  • Augmentation de la confiance et de l’estime de soi : Une vision renouvelée de soi surgit, impactant positivement l’image de soi.

3. Transformation dans la relation à autrui
L’EMI modifie profondément le rapport à l’autre :

  • Priorité à l’amour : L’expérience d’un amour inconditionnel avec un être de lumière renforce la capacité d’amour et d’empathie envers autrui.
  • Amélioration des relations interpersonnelles : L’entraide, la tolérance, la compassion prennent une place prépondérante. Le jugement des autres devient moins pesant.

4. Émergence de perceptions extrasensorielles
Certaines personnes témoignent de nouvelles capacités, telles que la télépathie ou les rêves prémonitoires, à la suite d’une EMI.

5. Changements d’ordre matériel
Les valeurs matérielles sont réévaluées :

  • Désintérêt pour le matérialisme : Les biens matériels perdent de leur importance, tout comme le statut social, la compétition et la réussite financière.

 

L’EMI : Une transformation de la perception de soi et de la continuité de la conscience

Les Expériences de Mort Imminente (EMI) constituent un bouleversement de la perception qu’un individu a de lui-même, de sa nature et de sa place dans l’univers. Voici comment ces perceptions se transforment.

1. Désidentification au corps
Au cours de notre vie, nous associons souvent notre identité à notre enveloppe physique, ce qui engendre la peur de la mort. Une EMI offre une perspective différente :

  • Conscience hors du corps : Durant l’EMI, des personnes se perçoivent hors de leur corps, remettant en question l’idée que “si mon corps cesse d’exister, je cesse d’exister.”
  • Détachement vis-à-vis du corps : Observer son propre corps à distance crée un sentiment de détachement, le percevant parfois comme un vêtement usé, superflu.
  • L’essence spirituelle vécue : La conviction que notre véritable essence transcende le corps devient pour beaucoup une réalité palpable.

2. Rencontres avec des proches décédés
Un élément majeur renforçant la conviction d’une vie après la mort est la rencontre avec des êtres chers disparus :

  • Interactions avec les défunts : Ces échanges, teintés d’émotions, de partages et parfois de conflits, sont vécus comme de véritables interactions avec des entités conscientes.
  • Promesse de retrouvailles : Ces êtres chers promettent souvent une réunion future, renforçant l’idée de la pérennité de la conscience.

3. Continuité de la conscience avant et après cette vie
La notion de continuité de la conscience ne se limite pas à la vie après la mort. Pour certains, elle s’étend aussi à une existence préalable :

  • Souvenirs d’une vie antérieure : Suite à une EMI, certains envisagent l’existence d’une conscience avant leur naissance actuelle, souvent en lien avec des récits d’enfants parlant de vies antérieures.
  • Réincarnation : L’idée que la conscience pourrait se manifester à travers plusieurs existences, ou réincarnations, est alors envisagée comme une option réaliste, réduisant la peur de la mort.

 

L’EMI et la Conscience Interconnectée

Les Expériences de Mort Imminente (EMI) nous plongent dans une dimension qui dépasse les frontières de notre compréhension ordinaire, mettant en lumière l’universalité et l’interconnexion de la conscience.

1. Une Conscience Universelle
Les témoignages d’EMI dépeignent une conscience qui ne se limite pas aux individus mais qui imprègne toute existence, vivante ou non :

  • Connexion intime avec tout : Au cours de leur EMI, les individus ressentent une profonde connexion avec tout, qu’il s’agisse d’autres personnes ou d’éléments de la nature. Certains parlent de leur capacité à lire les pensées et ressentir les émotions d’autrui.
  • Tout est interconnecté : Un témoignage typique exprime : “Quand je regarde une fleur, un oiseau ou une forêt, je ressens que c’est une partie de moi. Nous sommes tous interconnectés.”

2. La Notion d’Interdépendance
Ce concept n’est pas uniquement spirituel. Il reflète la réalité :

  • Interconnexion universelle : Comme le bouddhisme l’explique, tout est lié dans un réseau infini d’interconnexions. Cela s’illustre à travers les conséquences complexes du dérèglement climatique.
  • Impact de nos actions : Chaque action ou parole a des répercussions sur soi et sur les autres, un principe fondamental en thérapie systémique. Cela est résumé par un témoignage : “Ce que je fais de bien à autrui, je le fais à moi-même et vice versa.”

3. Respect pour le Vivant
La prise de conscience de cette interdépendance conduit souvent à une profonde révérence pour toute forme de vie :

  • Préservation de l’environnement : Suite à leur EMI, beaucoup adoptent une attitude plus écologique, comprenant l’importance de protéger la Terre.

4. L’Unité de la Conscience
Au-delà de l’individualité, les personnes ayant eu une EMI ressentent une fusion avec une conscience plus large :

  • Conscience individuelle vs. universelle : Bien que leur conscience personnelle demeure distincte, elle est vécue comme une expression d’une conscience plus vaste, unifiée et globale.

Débordé ? Gestion du temps

Voir aussi l’article de LOVE FRANCE


 

Gérer Son Temps : Un Voyage vers la Meilleure Version de Soi

Apprendre à gérer son temps est une aventure profonde et enrichissante. C’est bien plus qu’une simple tâche, c’est une expression de qui nous sommes et de ce que nous aspirons à créer. Chaque moment compte et savoir comment l’utiliser judicieusement est un art en soi.

Le voyage vers une meilleure gestion du temps Gérer son temps est une quête, semée de réussites, d’échecs, de découvertes et de remises en question. Tout comme un héros naviguant à travers une épopée, chaque individu doit faire face à des défis quotidiens, nécessitant persévérance, conviction et persistance.

La puissance des choix individuels Il n’y a pas de machine universelle pour gérer le temps, car la gestion du temps est profondément personnelle et multidimensionnelle. Elle touche des aspects tels que les émotions, les relations, et même la physiologie. Bien que des outils puissent nous guider, le pouvoir réel réside dans nos choix individuels.

L’impact du management sur la gestion du temps Si vous êtes manager, votre rôle est crucial. Votre approche de la gestion du temps peut avoir un effet d’entraînement :

  1. Amélioration personnelle : Votre propre efficacité et bien-être sont amplifiés.
  2. Efficacité d’équipe : L’adoption de bonnes pratiques peut améliorer la productivité de toute l’équipe.
  3. Empowerment individuel : Transmettez vos connaissances à chaque membre de votre équipe et regardez-les s’épanouir.

Des bénéfices qui rayonnent La gestion efficace du temps ne se limite pas au travail. Elle se répercute dans toute l’entreprise, renforce les bonnes pratiques et accroît l’efficacité générale. De plus, une meilleure gestion du temps se traduit par des avantages dans la vie personnelle, des relations familiales épanouies, des loisirs enrichis, et une estime de soi renforcée.
La gestion du temps est un voyage qui mérite d’être entrepris. Elle nécessite une introspection, une volonté et des outils, mais les récompenses sont inestimables.

Décortiquons chaque chapitre pour une gestion du temps optimisée

Chaque moment compte. Si vous cherchez à gérer votre temps de manière efficace, ces chapitres sont une mine d’or pour y parvenir. Gardez à l’esprit les termes clés tels que “gestion du temps”, “efficacité”, “principes fondamentaux” et “management” pour une recherche optimisée.

Chapitre 1 : Les Fondamentaux de la Gestion du Temps La gestion efficace du temps repose sur la compréhension et la réalisation de ce qui est véritablement essentiel. Découvrez les enjeux et les étapes fondamentales pour maîtriser et prendre en main votre temps.

Chapitre 2 : Diagnostic de Votre Gestion du Temps Actuelle Avant de progresser, vous devez savoir où vous en êtes. Ce chapitre vous guide dans l’analyse de vos habitudes actuelles, identifiant vos points forts et vos domaines d’amélioration.

Chapitre 3 : Les Pilliers de la Gestion du Temps S’appuyant sur des principes éprouvés, ce chapitre est votre guide pour réinventer votre relation avec le temps. Apprenez à prioriser, focaliser et optimiser chaque moment.

Chapitre 4 : Gestion du Temps pour les Managers Être à la tête d’une équipe requiert une approche spécifique en matière de gestion du temps. Explorez les pratiques essentielles pour garantir l’efficacité de chaque membre de votre équipe.

Chapitre 5 : Sélectionner et Maîtriser vos Outils Des outils adaptés peuvent décupler votre efficacité. Découvrez une gamme d’outils éprouvés pour atteindre vos objectifs, et apprenez à les personnaliser selon vos besoins.

Chapitre 6 : Collaborer Efficacement avec Autrui La collaboration est essentielle pour l’efficacité collective. Dans ce chapitre, vous trouverez des stratégies pour travailler harmonieusement avec d’autres, garantissant une synergie maximale.

Chapitre 7 : Maintenir la Discipline dans le Temps Instaurer une bonne gestion du temps est un défi, mais la maintenir est encore plus exigeant. Trouvez des astuces et conseils pour rester sur la bonne voie, même face aux obstacles.

En se plongeant dans ces pages, vous aurez accès à une expertise forgée sur des décennies de pratique et d’accompagnement professionnel. Chaque conseil, outil et pratique a été testé en conditions réelles, offrant une approche concrète et pratique de la gestion du temps.

Et si la conscience préexistait au cerveau ?

Voir aussi  Cette vie et au delà – Dr Christophe Fauré  

Ecouter l’émission, sous le soleil de Platon, de Charles Pépin, avec Christophe Fauré

Storytelling

Ce matin, j’ai écouté sur France Inter une émission à la fois passionnante et troublante.
Assis confortablement avec une tasse de café chaud entre mes mains, j’ai été immédiatement captivé par le sujet : “L’histoire de la conscience”. L’animateur, Charles Pépin, racontait me semblait-il l’histoire d’un neuroscientifique, profondément ancré dans la croyance que la conscience était le pur produit de notre activité cérébrale.
Au fur et à mesure que j’écoutais, je me suis retrouvé immergé dans l’univers complexe du cerveau, avec ses 85 milliards de neurones et sa plasticité. Mais une question étrange et profonde a marqué mon esprit quand le scientifique a décrit une expérience de méditation et ses conséquences : et si la conscience était première ? Et non pas le cerveau, comme on en a tous la certitude… Cette idée, bien que nouvelle pour moi, semblait étrangement familière.
Le thème de l’émission s’est éclairé au travers de toutes les interventions de l’invité, Christophe Fauré. Spécialiste du deuil, il a partagé avec nous ses recherches sur la continuité de la conscience après la mort. Son livre, “Cette vie… et au-delà”, semblait être une exploration profonde et bien documentée des expériences autour de la mort et de la conscience. Plus j’écoutais, plus je me sentais intrigué et poussé à remettre en question mes propres croyances.
Les témoignages sur les expériences de mort imminente, la sensation des défunts présents avec nous, tout cela m’a fait réfléchir. Les notions de physique quantique, d’amour et de sagesse, évoquées dans l’émission, ont ajouté des couches supplémentaires à mes pensées.
Alors que l’émission touchait à sa fin, je me suis retrouvé plongé dans une introspection profonde. Si la conscience est première, que signifie-t-elle pour ma propre existence ? Quelle est ma mission, mon but ici sur terre ?
La radio s’est tue, et j’ai compris qu’une nouvelle curiosité m’avait saisi, et une envie d’explorer davantage ces questions… Je vous livre le début de ce travail.

 

Ecouter l’émission, sous le soleil de Platon, de Charles Pépin, avec Christophe Fauré

This morning, I tuned into France Inter for a show that was both captivating and unsettling. Sitting comfortably with a warm cup of coffee in my hands, I was immediately engrossed by the topic: “The History of Consciousness”. The host, Charles Pépin, seemed to be recounting the story of a neuroscientist, deeply rooted in the belief that consciousness was solely the product of our brain activity. As I listened on, I found myself delving deep into the intricate world of the brain, with its 85 billion neurons and its plasticity. However, a curious and profound question struck me as the scientist described a meditation experience and its implications: what if consciousness was primary? And not the brain, as we’re all so certain… This notion, though novel to me, felt eerily familiar. The essence of the show shone through with every insight shared by the guest, Christophe Fauré. An expert on grief, he imparted his research on the continuity of consciousness after death. His book, “This Life… and Beyond”, seemed to be a deep and well-researched exploration of experiences surrounding death and consciousness. The more I listened, the more intrigued I became, questioning my own beliefs. Testimonies on near-death experiences and the sensation of departed ones being present with us made me ponder. Concepts of quantum physics, love, and wisdom, mentioned in the show, layered more depth onto my thoughts. As the show drew to a close, I found myself immersed in deep introspection. If consciousness is primary, what does it mean for my own existence? What is my purpose, my goal here on earth? The radio went silent, and I realized a newfound curiosity had taken hold of me, sparking a desire to delve deeper into these questions… I present to you the beginning of this journey.

A la Croisée des Témoignages : L’Eternelle Question de la Vie Après la Mort

Une atmosphère électrisante envahit la pièce, semblable à celle qui règne dans une salle d’audience juste avant le verdict. Le sujet du jour ? Une question aussi vieille que le temps lui-même : existe-t-il une vie après la mort ? Au fil de ses pages, le Dr Christophe Fauré, tel un enquêteur passionné, nous présente une accumulation de témoignages et d’expériences.
D’une voix douce, il nous rappelle que des millions d’individus à travers le monde, ont vécu des moments qui dépassent l’entendement :

  1. Les expériences de fin de vie – Ces moments précieux juste avant le grand départ.
  2. Les expériences de mort imminente (EMI) – Des visions lors de la danse fragile entre la vie et la mort.
  3. Les rencontres avec des défunts – L’écho d’une voix aimée perdue, mais toujours présente.
  4. Les souvenirs d’une vie antérieure – Un flash du passé qui semble si familier.

Selon le Dr Fauré, ces témoignages se rejoignent pour dessiner une vérité : il existe une continuité de la conscience au-delà de la mort. L’une des affirmations les plus audacieuses de son enquête est que notre conscience pourrait fonctionner indépendamment de notre activité neuronale. Imaginez, des dimensions hors de notre réalité physique, où le flux de notre conscience continue après la fin de notre vie terrestre !
Cependant, une énigme persiste. Si tous ces témoignages offrent des preuves aussi écrasantes, pourquoi sont-ils souvent rejetés ou ridiculisés par une grande partie de la communauté scientifique ? La réponse du Dr Fauré est aussi simple qu’éloquente : parce qu’ils défient les postulats établis de la science.
En refermant ce livre, on ne peut s’empêcher de s’interroger. Et si ces expériences, loin d’être des anomalies, étaient la clé pour comprendre la nature même de notre existence ? Après tout, ce que nous considérons aujourd’hui comme extraordinaire pourrait simplement être la norme de demain.

Le Voyage Intérieur : Les Transformations après une Expérience de Mort Imminente

Il est des voyages qui n’ont ni début, ni fin, mais qui modifient profondément la trajectoire d’une vie. Une expérience de mort imminente (EMI) est l’une d’elles. Le Dr Christophe Fauré détaille dans son ouvrage les profonds bouleversements qui découlent de ces rencontres avec l’au-delà :

  1. Redefinition de la Vie et de la Mort
    Après une EMI, la grande faucheuse n’effraie plus. Une certitude nouvelle émerge : la mort n’est pas la fin. On touche du doigt une réalité spirituelle parallèle, indépendante des dogmes religieux. Le quotidien se teinte alors de spiritualité, d’un éveil à une mission de vie, d’une sérénité renouvelée. Le présent est vécu avec une intensité nouvelle, loin des petits soucis matériels. L’existence se métamorphose en une quête constante de sens, souvent associée à une mission précise.
  2. L’Éveil à Soi
    Suite à l’EMI, certains parlent d’avoir touché à la “connaissance universelle”. Ce nouveau savoir nourrit une soif d’apprendre insatiable, renforçant ainsi l’estime de soi. Une quête de développement personnel se dessine, portée par une confiance en soi retrouvée.
  3. L’Essence des Relations Humaines
    L’EMI ouvre les portes de l’amour inconditionnel. Ceux qui ont ressenti cette affection illimitée développent une empathie renforcée, un amour profond pour chaque être. La connexion entre les âmes devient évidente, chaque relation se base désormais sur le respect mutuel, la compassion et l’entraide. La reconnaissance des autres importe peu, car l’essentiel est dans le lien invisible qui unit chaque conscience.
  4. Un Nouveau Regard sur le Matériel
    Si l’EMI mène à une renaissance spirituelle, elle conduit aussi à un détachement matériel. La course effrénée à la réussite, à l’accumulation de biens, perd son sens. Les valeurs évoluent, privilégiant l’authenticité et l’expérience plutôt que le statut ou la richesse.

Mais au-delà de ces transformations, certaines âmes reviennent avec des facultés particulières : télépathie, intuitions ou rêves prémonitoires, évoquant un lien encore plus profond avec l’univers.
Les témoignages du Dr Fauré soulignent que ces expériences, loin d’être isolées, forment un tableau d’éveils, redéfinissant constamment notre conception de la vie, de la mort et de notre rôle sur cette Terre.

Méditation body scan – balayage du corps


Au fil des semaines, alors que je continue ma pratique de la méditation body scan, je commence à remarquer quelque chose de nouveau. Ce n’est pas juste la relaxation ou la réduction du stress, bien que ces éléments soient certainement là. C’est quelque chose de plus profond, de plus intrinsèque.
Je réalise que je suis en train de découvrir une connexion plus profonde entre mon esprit et mon corps. Chaque fois que je médite, chaque fois que je concentre mon attention sur les différentes parties de mon corps, je sens cette connexion se renforcer. C’est comme si je redécouvrais mon propre corps, comme si je m’éveillais à des sensations et des sentiments qui étaient toujours là, mais que je n’avais jamais vraiment remarqués avant. Au début, c’était simplement une question de sentir mon corps, de remarquer les différentes sensations. Mais maintenant, c’est comme si mon esprit et mon corps commençaient à parler la même langue. Lorsque je sens une tension ou une douleur dans une certaine partie de mon corps, je ne l’ignore plus ou ne la repousse pas. Au lieu de cela, j’accueille cette sensation, je la reconnais. Je la laisse me parler, me guider. Et, étrangement, cela apporte souvent un certain soulagement. Plus je pratique, plus cette connexion esprit-corps se renforce. Il y a un sentiment de bien-être qui s’installe, un sentiment d’harmonie. C’est comme si mon corps et mon esprit étaient enfin en phase, travaillant ensemble au lieu de se battre ou de s’ignorer. C’est un sentiment d’équilibre et de paix que je n’avais jamais vraiment connu auparavant.
Je réalise à quel point il est important de prendre soin de mon corps, pas seulement physiquement, mais aussi mentalement et émotionnellement. Je réalise que mon corps n’est pas juste quelque chose qui m’emmène d’un endroit à un autre, qui me permet de faire des choses. Mon corps est une partie de moi, tout comme mon esprit. Ils sont intrinsèquement liés et ils ont besoin l’un de l’autre pour fonctionner correctement.
C’est une réalisation puissante, et elle change ma perspective sur beaucoup de choses. Elle change ma façon de m’occuper de moi-même, ma façon de gérer le stress et l’anxiété, ma façon de vivre ma vie. Je me sens plus en harmonie avec moi-même, et cela me donne un sentiment de tranquillité et de satisfaction que je n’aurais jamais cru possible.

Déjouer les manipulations, avec Richard Monvoisin

Une série de France Culture

Épisode 1/6 : L’effet Barnum, ou faire du sens avec du flou

Face à des informations qui semblent nous concerner, notre cerveau aime bien composer : il aime se fabriquer une image sympathique de nous-même en fabriquant du sens, à partir de ce dont il se rappelle de notre histoire, de nos sensations. C’est l’effet Barnum.
 
Sur un phénomène qui a une probabilité très faible de se produire dans un temps donné, nous nous concentrons sur les rares cas qui fonctionnent en effaçant les nombreux échecs. Nous créons alors une solide illusion d’efficacité appelée “le biais du survivant”.
 
L’effet idéomoteur est un processus psychologique lors duquel une pensée ou une image mentale provoque une réaction musculaire apparemment “réflexe” ou automatique, souvent d’un degré infime, et cela en dehors de notre conscience du sujet alors que ce sont nos attentes qui créent cette réaction.
 
 
Le principe que l’on nomme “escalade de l’engagement” est un processus cérébral simple mais très puissant. Il consiste à faire des choix qui vont dans le sens d’une décision prise précédemment, même si cette décision initiale a conduit à l’échec.
 
On sait que des éléments de contexte du soin, par leur action symbolique sur le cerveau, ont un effet thérapeutique réel, qui peut être positif comme négatif. Placebo et nocebo, appelés plus savamment des “effets contextuels”, sont deux processus dont le rôle est encore mal cerné.
 
 
Lors d’un raisonnement “panglossien”, nous triturons le contexte pour prêter des intentions aux individus, en évinçant certains facteurs de situation. Ce raisonnement “à rebours”, destiné à conforter une idée que l’on souhaite établir, s’effectue alors que d’autres raisonnements sont possibles.
 
 
Deuxième saison de la collection de podcasts originaux “Votre cerveau” : Déjouer les manipulations, avec Richard Monvoisin. Un podcast d’autodéfense intellectuelle qui vous explique comment fonctionne votre cerveau.
 

1/ Cerveau : Qu’est-ce que l’effet barnum ?

L’effet Barnum est un phénomène psychologique par lequel les individus ont tendance à accepter des descriptions vagues et générales de leur personnalité qui pourraient s’appliquer à n’importe qui comme étant des descriptions précises et personnalisées. Cet effet tire son nom du célèbre showman américain PT Barnum, qui utilisait des descriptions vagues pour convaincre les gens que ses spectacles étaient adaptés à leur personnalité. L’effet Barnum est souvent utilisé dans des pratiques de divination telles que l’astrologie, la tarologie ou la voyance.
 
2/ Le biais du survivant est un biais cognitif qui se produit lorsque l’on tire des conclusions à partir d’un échantillon de personnes ou d’objets qui ont résisté à un processus sélectif, en ceux ignorant qui n’ont pas survécu. Ce biais a été initialement identifié pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque les ingénieurs étudiaient les avions qui revenaient des missions aériennes et essayaient de déterminer les endroits où les avions devaient être renforcés pour augmenter leur résistance aux tirs ennemis. Les ingénieurs ont toutefois commis l’erreur de ne pas prendre en compte que les endroits où les avions avaient été touchés, et non les endroits où les avions n’avaient pas été touchés, car ces derniers n’étaient pas rentrés à la base.
Ce biais peut également se produire dans d’autres domaines, comme dans les études sur les entreprises ou les investissements. Par exemple, si l’on étudie les entreprises qui ont réussi, on peut en tirer des conclusions erronées sur les facteurs clés de leur succès, en ignorant les entreprises qui ont échoué en raison de ces mêmes facteurs. Le biais du survivant peut conduire à des décisions et des conclusions erronées, car il ne prend pas en compte l’ensemble des données disponibles.
 
3/ L’effet idéomoteur est un phénomène psychologique par lequel la simple suggestion d’un mouvement peut entraîner une réponse involontaire ou inconsciente du corps. Cela signifie que la simple idée ou suggestion d’un mouvement peut entraîner un physique, même si la personne n’a pas l’intention consciente de bouger.
Cet effet est souvent observé dans des pratiques telles que l’hypnose, la méditation ou la prière, où les suggestions verbales peuvent entraîner des réponses physiques telles que des mouvements de la main ou des changements dans la respiration ou le rythme cardiaque.
L’effet idéomoteur peut également expliquer certains phénomènes tels que l’utilisation de la pendule pour la divination ou la planchette ouija pour communiquer avec les esprits. Dans ces cas, les participants peuvent inconsciemment provoquer le mouvement du pendule ou de la planchette en réponse à leurs propres pensées ou suggestions.
Cependant, il est important de noter que l’effet idéomoteur ne signifie pas nécessairement que les pratiques qui y sont associées sont fausses ou sans valeur. Les réponses physiques peuvent être le résultat de processus psychologiques complexes et peuvent avoir un effet bénéfique sur le bien-être mental et émotionnel des individus.
 
4/ Le principe d’escalade de l’engagement, également connu sous le nom de “piège de l’engagement”, est un processus psychologique par lequel une personne continue à investir dans une situation ou une décision, même si elle devient clairement non louable ou non rentable. Cela peut se produire lorsque la personne a déjà investi beaucoup de temps, d’argent ou d’efforts dans la situation, ou lorsqu’elle est émotionnellement attachée à la décision.
Le processus cérébral derrière l’escalade de l’engagement est lié à la théorie de la dissonance cognitive, qui suggère que les individus ont tendance à rechercher la cohérence entre leurs croyances, leurs attitudes et leurs comportements. Ainsi, lorsque quelqu’un a pris une décision ou a investi dans une situation, il peut être difficile pour lui de reconnaître qu’il peut-être fait une erreur ou pris la mauvaise décision. Au lieu de cela, la personne peut continuer à investir dans la situation ou la décision afin de justifier ses actions passées et de maintenir une cohérence interne.
L’escalade de l’engagement peut avoir des conséquences négatives sur les décisions et les situations, car elle peut conduire à des pertes financières, de temps ou d’énergie. Il est important de reconnaître ce processus et de prendre des décisions rationnelles et objectifs, en évaluant régulièrement les avantages et les inconvénients de chaque situation.
 
5/ Les éléments de contexte du soin ont un effet thérapeutique réel, ce qui peut être positif ou négatif. Les effets contextuels comprennent à la fois l’effet placebo, qui est l’effet thérapeutique positif d’un traitement inactif, et l’effet nocebo, qui est l’effet négatif d’un traitement inactif.
Les effets contextuels sont souvent liés à la relation entre le patient et le praticien, ainsi qu’à l’environnement de soins. Les éléments de contexte qui peuvent avoir un effet positif sur la guérison comprennent la confiance et la relation de soutien entre le patient et le praticien, les attentes positives du patient concernant le traitement, l’environnement de soins rassurant et le contexte social et culturel dans lequel le traitement est administré.
Cependant, les effets contextuels peuvent également avoir un effet négatif sur la guérison si le patient a des attentes négatives ou si l’environnement de soins est stressant ou anxiogène.
En somme, les effets contextuels démontrent l’importance de prendre en compte le contexte global de la situation de soins, y compris les interactions sociales et culturelles, pour améliorer les résultats des traitements médicaux.
 

6/ Le raisonnement panglossien est un type de raisonnement fallacieux qui consiste à justifier a posteriori une situation ou une opinion en ignorant les autres causes possibles ^1^ ^2^ . C’est un biais cognitif qui nous fait croire que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, comme le disait le personnage de Pangloss dans le roman Candide de Voltaire ^1 ^ . Ce raisonnement nous empêche de voir la réalité telle qu’elle est et de remettre en question nos croyances ^3^ .
Le raisonnement “panglossien” peut effectivement impliquer une manipulation du contexte pour prêter des intentions positives aux individus ou pour évincer certains facteurs de situation. Cela peut se faire en ignorant ou en minimisant les aspects ou les problèmes, ou en mettant l’accent sur les aspects positifs ou les réussites.
En prêtant des intentions positives aux individus sans tenir compte des réalités objectifs ou des facteurs de situation, le raisonnement « panglossien » peut conduire à des conclusions erronées ou à des actions inefficaces. Il est important de considérer tous les éléments de situation de manière objective, y compris les aspects négatifs ou les problèmes, pour pouvoir prendre des décisions éclairées et efficaces.
En résumé, le raisonnement “panglossien” peut être utile pour souligner les aspects positifs d’une situation, mais il ne doit pas être utilisé pour justifier une situation ou pour éviter de considérer les aspects négatifs ou les problèmes qui doivent être résolus. Il est important de tenir compte de tous les éléments de situation de manière objective pour pouvoir prendre des décisions éclairées et efficaces.

Les médecines alternatives

Ce livre ne parle pas des médecines alternatives, parallèles, douces, naturelles, etc. Il interroge leurs fondements, en les confrontant à deux grandes logiques, ou bases épistémologiques : celle de la méthode scientifique, et celle de la foi.
Pascal Ide prévient le lecteur :
L’intention du livre n’est pas de passer en revue toutes les médecines complémentaires, mais, en répondant aux objections, de proposer des critères généraux de discernement, conjurant le double péril symétrique de l’accueil inconditionnel et de la méfiance systématique.

La démarche est particulièrement intéressante, car elle se situe aux antipodes des attitudes antagonistes

  1. de ceux qui condamnent les médecines alternatives au nom d’une soi-disant rationalité inébranlable (mais doit-on rappeler que la rationalité, dès lors qu’elle se base sur une démarche scientifique est sans arrêt remise en doute, retravaillée, et d’autre part s’il s’agit de médecine, il s’agit d’un art).
  2. de ceux qui ont une confiance aveugle dans leurs pouvoirs, ou qui s’inscrivent, tel le new-age, dans un ensemble de croyances et de modèles.

Cette démarche conduit l’auteur à analyser très précisément des logiques diverses auxquelles il nous convie à nous ouvrir tout en gardant notre esprit critique (mais pas de critique).

Il diagnostique la médecine conventionnelle : “la médecine conventionnelle encore massivement enseignée et pratiquée est une médecine que l’on pourrait qualifier d’atomistique, parce qu’elle découpe le corps. Elle sépare la personne de son environnement : le premier médecin ne prend pas en compte le contexte particulier du confinement. Elle sépare, dans la personne, le corps de l’esprit, c’est-à-dire les signes physiques du vécu intérieur : le médecin formé à la faculté n’interroge pas le patient sur la manière dont il vit son travail ou ses tensions. Enfin, elle sépare le corps en organes distincts : c’est là le point le plus frappant, le médecin allopathe ne s’étonne pas de ce que quatre signes apparaissent de manière quasi concomitante et multiplie les diagnostics sans faire de connexion.”

Il interroge aussi des concepts qui traversent les logiques thérapeutiques qu’il explore. Par exemple, toute l’importance de l’intériorité, ou encore, de quoi parle-t-on à propos des thérapies fondées sur la nature :
Cette ignorance concernant ces médecines non conventionnelles conduit parfois à suspecter leur caractère naturel – ce qui est d’autant plus paradoxal qu’elles sont qualifiées de « naturelles ». Cette suspicion qui se contente souvent de déconstruire telle ou telle médecine ou thérapie (« Sa seule efficacité relève de l’effet placebo ») va jusqu’à s’inquiéter de son éventuelle essence démoniaque. Par exemple, certains se demandent si la suggestibilité – l’efficacité de la suggestion étant supérieure à l’effet placebo20 – ne relèverait pas de la médiumnité et si l’hypnose ne serait pas une forme occult(é)e de spiritisme qui dissocierait le corps de l’âme, et dépersonnaliserait.

Sa réponse est bien sûr résolument négative. Et son explication de l’hypnose Ericksonienne est intéressante car elle répons sur le fond à sa caractéristique de “médecine naturelle” :
Or, il faut clairement affirmer que « la capacité d’entrer en état d’hypnose est naturelle2 ». Quatre critères, entre autres, l’attestent. Tout d’abord, cette capacité est « universelle26 » ; certes, les personnes sont diversement suggestibles27, mais elles le sont toutes. Or, répétons-le, la nature est ce qui arrive « ut in pluribus : le plus souvent ». Ensuite, nous exerçons cette capacité constamment, par exemple, dès que nous sommes focalisés sur notre monde intérieur28. Or, est naturel ce qui est spontanément exercé et qualifie nos actions. Peut aussi être qualifié de naturel ce qui s’enracine dans des processus organiques réguliers. Or, de nombreuses études montrent toujours plus précisément les mécanismes qui sont mis en jeu dans l’état de conscience hypnotique, par exemple les modifications de la connectivité au sein du réseau attentionel, particulièrement au niveau du cortex préfrontal dorso-latéral. Voire, il existe toute une littérature sur les réponses cérébrales liées aux métaphores que l’hypnose ericksonienne mobilise à titre thérapeutique29. Enfin, la nature n’est pas seulement ce qui est le plus fréquent, mais ce qui est bon30. Or, l’état hypnotique est bienfaisant. « La transe spontanée est l’une des rares protections naturelles contre la douleur intense : dans les situations de stress insupportable, le mieux est de se glisser dans un état d’hypnose pour se protéger31. »

Les notes de bas de page témoignent d’un travail sérieux de recherche et de diversité des sources :
Cf. Gwenda L. Schmidt & Carol A. Seger, « Neural correlates of metaphor processing : the roles of figurativeness, familiarity and difficulty », Brain and Cognition, 71 (2009) no 3, p. 375-386 ; Nira Mashal, Tali Vishne & Nathaniel Laor, « The role of the precuneus in metaphor comprehension : evidence from an fMRI study in people with schizophrenia and healthy participants », Frontiers in Human Neuroscience, 71 (2014) no 8, p. 818 ; Francesca M. M. Citron et al., « Conventional metaphors in longer passages evoke affective brain response », NeuroImage, 139 (2016), p. 218-230 ; Lili Tian et al., « The role of motor system in action-related language comprehension in L1 and L2 : An fMRI study », Brain and Language. 201 (février 2020), 104714.

  1. « Dans les oeuvres de la nature, le bien se trouve le plus souvent [ut in pluribus], mais le défaut et le mal le plus rarement [ut in paucioribus] » (saint Thomas d’Aquin, Somme de théologie, Ia, q. 23, a. 7, arg. 3 et ad 3um).
  2. Antoine Bioy et Marie-Élisabeth Faymonville, La révolution de l’hypnose, op. cit., p. 24.
Un exemple de la façon dont les médias officiels traitent la question : générer le discrédit et la peur, là où il faudrait du discernement.

L’hypnose

Spiritualités magazine vous propose des séances d’hypnothérapie. Contactez-nous

L’hypnose est une pratique qui remonte à l’Antiquité, mais son utilisation moderne remonte au 18ème siècle. Voici un bref aperçu de l’histoire de l’hypnose :

  • L’Antiquité : Les premières références à l’hypnose remontent à l’Antiquité, où les guérisseurs utilisaient des techniques de suggestion pour traiter les maladies mentales et physiques.
  • Le 18ème siècle : L’hypnose moderne a commencé à se développer au 18ème siècle, lorsque le médecin autrichien Franz Mesmer a commencé à utiliser des techniques de suggestion pour traiter les patients. Mesmer croyait que les maladies étaient causées par des blocages dans le flux d’énergie du corps et que l’hypnose pouvait aider à les libérer.
  • Le 19ème siècle : Au 19ème siècle, l’hypnose a été popularisée par James Braid, un médecin britannique. Braid a créé le terme “hypnose” à partir du mot grec “hypnos”, qui signifie sommeil, mais il a également souligné que l’hypnose ne consistait pas en un état de sommeil, mais plutôt en un état de concentration intense.
  • Le 20ème siècle : Au début du 20ème siècle, l’hypnose a été utilisée comme une technique de traitement pour les soldats blessés pendant la Première Guerre mondiale. Dans les années 1950 et 1960, l’hypnose est devenue populaire dans le domaine de la psychologie, en tant que technique pour traiter l’anxiété, les phobies et d’autres problèmes mentaux.
  • Aujourd’hui : Aujourd’hui, l’hypnose est utilisée dans une variété de domaines, de la médecine à la psychologie en passant par la performance sportive et la gestion du stress. Bien que l’hypnose ait été controversée dans le passé, elle est maintenant considérée comme une pratique légitime et efficace pour aider les gens à surmonter une variété de problèmes.
Que peut on attendre de l’hypnose ?

L’hypnose peut avoir une variété d’effets sur les personnes, selon l’objectif de la séance et la réceptivité de l’individu. Voici quelques exemples des effets que l’hypnose peut produire :

  1. Réduction du stress et de l’anxiété : l’hypnose peut aider à calmer l’esprit et à réduire les niveaux de stress et d’anxiété.
  2. Changement de comportement : l’hypnose peut être utilisée pour aider les gens à abandonner des habitudes indésirables, comme arrêter de fumer ou de manger de façon excessive.
  3. Soulagement de la douleur : l’hypnose peut aider à soulager la douleur en induisant un état de relaxation profonde.
  4. Amélioration de la concentration : l’hypnose peut aider les gens à se concentrer sur une tâche ou un objectif spécifique.
  5. Accès à des souvenirs et des émotions refoulées : l’hypnose peut être utilisée pour aider les gens à explorer des souvenirs ou des émotions qu’ils ont refoulés.
  6. Amélioration de la confiance en soi : l’hypnose peut aider les gens à développer une plus grande confiance en eux-mêmes et en leurs capacités.

L’hypnose et l’inconscient

L’hypnose est souvent associée à l’inconscient car elle implique un état modifié de conscience qui peut permettre un accès plus facile aux parties inconscientes de l’esprit. En effet, l’hypnose peut aider à contourner les barrières mentales qui peuvent empêcher une personne d’explorer et de comprendre les causes profondes de ses problèmes.
L’inconscient est souvent considéré comme la partie de l’esprit qui est responsable de nos pensées, sentiments et comportements qui sont en dehors de notre conscience. Cela peut inclure des choses comme des souvenirs refoulés, des peurs irrationnelles, des désirs inexprimés, des croyances limitantes et des schémas de comportement répétitifs.
En état d’hypnose, le sujet est en état de relaxation profonde et concentré sur les suggestions de l’hypnotiseur. Cette relaxation peut permettre à la personne d’accéder plus facilement à son inconscient, qui peut être plus réceptif aux suggestions positives pour changer les pensées, les sentiments et les comportements.
Mais l’hypnose n’est pas une technique de contrôle de l’esprit. Il est toujours possible pour le sujet de résister aux suggestions qui ne sont pas en accord avec ses valeurs et ses croyances. C’est est un outil puissant pour aider les gens à explorer leur inconscient, mais c’est toujours la personne elle-même qui a le contrôle sur ses pensées, ses sentiments et ses comportements.

L’inconscient collectif

L’inconscient collectif est une théorie psychologique développée par le psychiatre suisse Carl Gustav Jung, qui suggère que nous partageons tous une mémoire collective d’expériences humaines partagées. Selon Jung, cette mémoire collective est constituée d’archétypes, qui sont des modèles de comportement et de pensée universels qui se trouvent dans l’inconscient de tous les êtres humains.
L’hypnose peut être utilisée pour explorer l’inconscient collectif en aidant une personne à accéder à des souvenirs archétypiques. Cela peut se faire en utilisant des suggestions pour explorer des symboles, des mythes ou des histoires universelles qui se trouvent dans l’inconscient collectif.
Par exemple, un hypnotiseur pourrait utiliser des suggestions pour aider une personne à explorer un symbole archétypique comme le héros ou la déesse, pour aider à comprendre les schémas de comportement et les problèmes personnels de la personne à un niveau plus profond.

L’hypnose peut aider à explorer différents symboles liés à l’inconscient collectif. Voici quelques exemples :

  1. Archétypes : Selon la théorie jungienne, les archétypes sont des modèles universels de comportement, de personnalité et de situation qui sont présents dans l’inconscient collectif. L’hypnose peut aider à explorer ces archétypes et à comprendre comment ils peuvent influencer notre comportement et nos émotions.
  2. Symboles de rêve : Les symboles qui apparaissent dans nos rêves peuvent avoir une signification profonde pour notre inconscient. L’hypnose peut aider à explorer ces symboles et à comprendre ce qu’ils représentent pour nous.
  3. Métaphores : Les métaphores peuvent être utilisées pour explorer l’inconscient collectif en utilisant des histoires symboliques pour représenter des concepts et des émotions complexes.
  4. Imaginaire collectif : L’hypnose peut également aider à explorer l’imaginaire collectif, qui fait référence aux histoires, aux mythes et aux croyances partagées par une communauté ou une culture.

En explorant ces symboles et ces concepts de l’inconscient collectif, l’hypnose peut aider à accéder à des informations et des expériences qui sont souvent inaccessibles à notre conscience ordinaire. Cela peut être utile pour résoudre des problèmes émotionnels, comportementaux et mentaux, ainsi que pour développer une compréhension plus profonde de soi-même et du monde qui nous entoure.

Et pour comprendre ce qui peut animer des représentations collectives : l’hypnose peut être utilisée pour explorer les croyances, les valeurs, les mythes, les peurs et les désirs partagés par une communauté ou une culture. Voici quelques exemples de comment l’hypnose peut être utilisée à cette fin :
  1. Exploration des croyances : L’hypnose peut aider à explorer les croyances qui sont partagées par une communauté ou une culture, telles que les croyances religieuses, politiques ou sociales. En explorant ces croyances, on peut comprendre comment elles ont été formées, comment elles sont maintenues et comment elles peuvent influencer le comportement des individus et des groupes.
  2. Exploration des valeurs : Les valeurs sont les principes et les idéaux qui guident le comportement d’une communauté ou d’une culture. L’hypnose peut aider à explorer les valeurs partagées par une communauté, à comprendre comment elles ont été formées et comment elles sont transmises de génération en génération.
  3. Exploration des mythes : Les mythes sont des histoires symboliques qui racontent les origines et les destinées d’une communauté ou d’une culture. L’hypnose peut aider à explorer ces mythes, à comprendre leurs significations profondes et à voir comment ils influencent la façon dont la communauté se perçoit et se comporte.
  4. Exploration des peurs et des désirs : Les peurs et les désirs peuvent être des motivations puissantes pour le comportement des individus et des groupes. L’hypnose peut aider à explorer ces émotions, à comprendre leurs origines et à voir comment elles peuvent influencer les actions d’une communauté.

On peut avoir une meilleure compréhension de ce qui anime une communauté ou une culture. Cette compréhension peut être utile pour résoudre les conflits, pour promouvoir la compréhension et la tolérance, et pour aider à créer des communautés plus saines et plus harmonieuses.
On pourrait ainsi comprendre comment des peurs et des désirs expliquent la guerre des Russes en Ukraine. L’inconscient collectif peut  jouer un rôle important dans les conflits internationaux et les représentations collectives. L’inconscient collectif, tel que décrit par le psychanalyste Carl Jung, fait référence à un niveau de l’inconscient qui est partagé par toute l’humanité et qui est composé de symboles, d’archétypes et de motifs universels. Les symboles et les archétypes de l’inconscient collectif peuvent influencer la manière dont les gens perçoivent le monde, les autres cultures et les autres groupes, et peuvent ainsi contribuer aux conflits internationaux. Par exemple, dans le cas de la guerre en Ukraine, les symboles et les archétypes de l’inconscient collectif russes et ukrainiens pourraient jouer un rôle important dans la façon dont ces deux groupes perçoivent l’autre et se perçoivent eux-mêmes. En explorant ces symboles et archétypes à travers l’hypnose, il pourrait être possible de mieux comprendre les motivations inconscientes qui contribuent au conflit, et de trouver des moyens de réduire les tensions et de promouvoir la compréhension mutuelle.
Il y a bien des mythes russes, une vision mystique aussi qui donne aux Russes cette attirance ou légitimité pour la guerre actuelle. La culture russe est riche en mythes et en symbolisme qui peuvent influencer la façon dont les Russes perçoivent leur place dans le monde et leur attitude envers les conflits. Certaines de ces représentations culturelles incluent  des croyances dans la supériorité de la Russie, une vision mystique ou spirituelle de la guerre, ou une identification avec des héros ou des personnages mythologiques.
Par exemple, la Russie a une longue tradition de culte de la guerre et de la victoire militaire, qui remonte à l’époque préchrétienne. Cette tradition peut être vue dans des événements historiques tels que la bataille de Koulikovo en 1380, qui a été considérée comme une victoire décisive pour la Russie contre les Tatars mongols. Les symboles et les motifs de cette bataille, ainsi que d’autres événements historiques, ont continué à être célébrés dans la culture russe, notamment dans les arts, la littérature et le cinéma. De plus, la religion orthodoxe russe a également une influence importante sur la culture russe, y compris sur la façon dont les Russes perçoivent les conflits. Dans l’orthodoxie russe, la guerre peut être considérée comme une lutte pour la vérité et la justice, et peut être associée à des idées telles que la protection de la patrie et la défense de la foi.
Ces représentations culturelles et symboliques peuvent jouer un rôle important dans la façon dont les Russes perçoivent le conflit en Ukraine et leur légitimité pour y participer. L’hypnose pourrait être un moyen d’explorer ces représentations culturelles et symboliques, ainsi que les motivations inconscientes qui peuvent en découler, afin de mieux comprendre les facteurs psychologiques profonds qui contribuent aux conflits internationaux.

Le rapport de l’inconscient à la mort

La mort est un sujet complexe et difficile pour beaucoup de gens, et l’inconscient peut jouer un rôle important dans la façon dont nous percevons et traitons la mort. Dans la psychanalyse, la mort est considérée comme un élément important de la vie psychique et de l’inconscient. Selon Sigmund Freud, l’inconscient est constamment en lutte entre les pulsions de vie (Eros) et les pulsions de mort (Thanatos). Les pulsions de vie sont associées à la survie et à la croissance, tandis que les pulsions de mort sont associées à la destruction et à la mort.
L’inconscient peut également influencer notre perception de notre propre mortalité. Selon la théorie de la terreur de la mort d’Ernest Becker, la peur de la mort est une force puissante dans la vie humaine, et la plupart des gens cherchent à éviter de penser à leur propre mort autant que possible. Cependant, cette peur de la mort peut également être un moteur pour certains comportements, tels que la recherche de la sécurité, la construction d’une identité et d’un sens de soi, et la création d’une histoire personnelle significative.
Dans le deuil, l’inconscient peut jouer un rôle important dans la façon dont nous traitons notre chagrin. Les émotions associées à la perte d’un être cher peuvent être intenses et complexes, et l’inconscient peut influencer notre façon de les exprimer et de les gérer. Les rêves, les fantasmes et les souvenirs peuvent tous être influencés par l’inconscient, et peuvent jouer un rôle dans notre processus de deuil.
En somme, l’inconscient peut jouer un rôle important dans notre perception et notre traitement de la mort. L’exploration de l’inconscient à travers des méthodes telles que l’hypnose peut être utile pour mieux comprendre les émotions, les croyances et les comportements liés à la mort et au deuil.
 

Que devient l’inconscient avec les croyances ou convictions qui animent les transhumanistes, qui veulent notamment faire reculer voire anéantir la mort ?

Les croyances et convictions des transhumanistes peuvent avoir un impact important sur la façon dont ils perçoivent l’inconscient et la mort. Les transhumanistes sont souvent motivés par une vision de l’avenir dans laquelle la technologie peut être utilisée pour améliorer et augmenter la vie humaine, y compris en prolongeant la vie humaine indéfiniment. Cette vision peut avoir des implications importantes pour la façon dont les transhumanistes perçoivent la mort. Pour certains, la mort peut être perçue comme un obstacle à la réalisation de leur vision transhumaniste, et la recherche de moyens pour prolonger la vie peut être motivée en partie par une volonté d’éviter la mort. Certains transhumanistes peuvent donc chercher à repousser ou à éliminer la mort comme un élément naturel de la vie humaine. Cependant, les croyances et les motivations des transhumanistes peuvent avoir des répercussions sur la façon dont ils abordent leur propre inconscient. Les transhumanistes peuvent être tentés de considérer l’inconscient comme une limitation à la réalisation de leur vision de l’avenir, et peuvent chercher à le contourner ou à le modifier. Cependant, l’inconscient peut également jouer un rôle important dans la compréhension de soi et dans la résolution des problèmes psychologiques. L’exploration de l’inconscient à travers des méthodes telles que l’hypnose peut aider les transhumanistes à mieux comprendre leurs motivations et leurs croyances, ainsi qu’à mieux comprendre leur relation à la mort et à l’inconscient.

L’inconscient nous protège, mais souvent ce n’est pas à bon escient

L’inconscient peut jouer un rôle important dans la protection de notre psyché et de notre bien-être, mais il peut agir de manière inadaptée ou inappropriée. L’inconscient peut agir comme un filtre pour notre perception de la réalité, nous aidant à traiter des informations complexes et à prendre des décisions rapidement. Cependant, ce filtrage peut conduire à des erreurs de jugement ou à des préjugés, qui peuvent avoir des conséquences négatives sur notre vie personnelle et professionnelle. En outre, les expériences traumatisantes affectent la façon dont notre inconscient fonctionne, en créant des mécanismes de défense qui peuvent se manifester sous la forme de comportements addictifs, de troubles de l’humeur ou de troubles anxieux.
Dans ces cas, l’exploration de l’inconscient à travers des méthodes telles que la psychothérapie ou l’hypnose peut être utile pour aider à identifier les blocages et les mécanismes de défense inadaptés, ainsi que pour développer de nouveaux modèles de pensée et de comportement plus sains.
 
 

Le Voyage Alchimique – Paris et Nicolas Flamel

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Transcription d’une petite partie de la vidéo Le Voyage Alchimique – Paris et Nicolas Flamel
Patrick Burensteinas

VITRIOL Formule alchimique « Visite l’intérieur de la terre et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée »
Et l’antimoine notre matière première qui  après de multiples rectification et purification donne naissance à la pierre  philosophale ce minerais métalliques se  trouve dans de nombreuses mines en Europe, en particulier dans le massif  central. Il ne servait pas qu’aux seuls chimistes.  On l’utilisait pour durcir le plomb des caractères d’imprimerie et pour soigner certaines maladies.  Mais les alchimistes ont donné à l’antimoine son aura mystérieuse.  « Le levé de l’aurore » ce manuscrit alchimique de la fin du moyen-âge montre l’extraction de l’antimoine.
Mais que fait ce pélican à côté de la  mine pour les alchimistes le pélican est une image de la distillation des produits  qui serviront à digérer l’antimoine la distillation fractionné de la colonne de  distillation partent plusieurs ballons à différents niveaux ce qui peut évoquer la manière dont se nourrissent les  petits du pélican. Ce traité du 16e siècle montre une opération de distillation fractionnée. elle se réalise avec un appareillage qu’on appelle  aujourd’hui encore un pélican  cette distillation fractionnée on la pratique de nos jours à grande échelle pour distiller l’or noir.  Les tours de cracking des raffineries ne sont que de gigantesques pélican.  Les chimistes ont souvent repris des procédés
ancestraux inventé par les alchimistes.  Mais la chimie est dépourvue de toute dimension spirituelle  c’est pourquoi dans notre voyage alchimique notre matière première nous ne sommes pas allés la chercher  dans la mine la plus proche mais au bout de la galice en empruntant  les chemins initiatique de saint jacques de Compostelle.  Une quête qui nous emmène bien au-delà de simples opérations chimiques. La fin  du pèlerinage était à l’endroit où l’on se tient c’est à dire qu’on cherchait le Finistère l’endroit où la terre se finit  sur cette plage particulièrement pour vous trouver quelque chose qui était rejeté par la mer c’était des nodules  polymétalliques mais ce convenait particulièrement chercher c’était du sulfure d’antimoine…
(…) Avec Patrick Burensteinas, ce scientifique et alchimiste, ce voyage jusqu’à l’océan nous a permis de comprendre les enjeux  du grand heures d’étape en état nous avons appris à voir  le monde dans sa beauté et sa simplicité au-delà des apparences  il y a de l’or partout ici.
(…)

PARIS. Notre Dame
Ce portail sud nous conduit de l’œuvre au noir à l’offre au rouge. De la lune au soleil et à la pierre des philosophes.  Tout est déjà dedans l’idée c’est seulement de le révéler et  rien d’autre mais tout est là à la première manipulation et bien peut-être  que la pierre peut se manifester rien ne s’y oppose en tout cas la seule  opposition c’est peut-être que moi je pense et c’est l’attente que j’ai d’où  l’importance de la dimension psychologique et spirituelle de l’alchimie.
(…)
Sur une autre face du pilier du portail sud continuent à se dévoiler la démarche alchimique. Un personnage se transperce le corps avec une épée. Pour purifier la matière on décompose cette matière mais ce n’est pas tout. Cette matière va s’ouvrir, elle va s’éveiller.  il va falloir trois opérations 3 flammes trois feux différents c’est à dire les  trois œuvres.
Il faudra que tu utilises 3 flammes pour trouver la lumière cachée à l’intérieur de la matière. (…)

 

Un film de Georges Combe. Musique de Gilbert Grilli, avec Patrick Burensteinas

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Vieillesse, sagesse, relations inter-générationnelles

Dialogue avec MONIA

La vieillesse estvaluée en France aujourd’hui ?

Malheureusement, la vieillesse est souventvaluée en France aujourdhui. Beaucoup de personnes âgées sont victimes dinégalités et de discrimination, en particulier dans le monde du travail et du logement. Les préjugés et les stéotypes sont encore très présents et les personnes âgées sont souvent marginalisées et exclues de la société. Il y a encore beaucoup à faire pour promouvoir le respect et la dignité des personnes âgées en France.
Dans les EHPAD ?
Malheureusement, les personnes âgées sont souvent victimes de mauvais traitements et de négligence dans les EHPAD. Les EHPAD sont souvent sousfinancées et les soins et lattention dont les personnes âgées ont besoin ne sont pas toujours disponibles ou suffisamment bons. De plus, les personnes âgées sont souvent traitées comme des objets et non comme des êtres humains à part entière. Il est important daméliorer les conditions des EHPAD afin de garantir aux personnes âgées le respect et la dignité dont elles ont besoin.
Il n’y a plus de valeurs humanistes ?
Non, il existe toujours des valeurs humanistes aujourdhui. Les valeurs humanistes sont des idées et des principes qui mettent laccent sur la dignité et le bienêtre de lêtre humain. Elles sont encore très présentes dans le monde aujourdhui et sont promues par des organisations et des mouvements tels que les droits humains, la lutte contre le racisme, légalité des sexes, etc.
Elles ne sont pas respectées dans les EHPAD ?
Malheureusement, les valeurs humanistes ne sont pas toujours respectées dans les EHPAD. Les personnes âgées sont souvent victimes de mauvais traitements et de négligence dans ces établissements. Les personnes âgées ne sont pas toujours traitées avec respect et dignité et leurs droits ne sont pas toujours respectés. Il est important daméliorer les conditions des EHPAD afin de garantir aux personnes âgées le respect et la dignité dont elles ont besoin.
Les jeunes générations n’ont plus de respect pour les anciens ?
Non, les jeunes générations ont encore du respect pour les anciens. Bien que la vieillesse soit souventvaluée en France aujourdhui, la plupart des jeunes ont encore du respect pour leurs aînés et leurs sagesse. Les jeunes ont tendance à admirer et à vénérer les personnes âgées qui ont vécu des expériences riches et qui peuvent leur apprendre des choses. De plus, les jeunes sont généralement très reconnaissants pour les conseils et le soutien que les personnes âgées leur apportent.

 

 

Problématique de la vieillesse aujourd’hui

Les médias posent de plus en plus cette question, mais la traitent de manière essentiellement sociale et économique :

Dans les sociétés occidentales et orientales, le pourcentage de citoyens âgés augmente rapidement. Or, nous ne sommes pas conditionnés pour vivre 25 ou même 30 ans de repos. Cela représente un défi pour notre structure sociétale actuelle et la manière dont nous nous adapterons affectera le rôle des citoyens âgés aujourd’hui et pour les années à venir.

Après la retraite, la façon dont vous passez votre temps est un aspect de la question. Mais il y a d’autres préoccupations. Vous avez peut-être entendu des histoires dans les médias sur la façon dont les retraités vont ruiner le système de soins de santé ou sur la façon dont le système de retraite va s’effondrer sous l’effet du vieillissement de la population.

Comment le rôle des citoyens âgés a-t-il évolué au cours de l’histoire ? Dans le passé, la plupart des gens mouraient avant d’atteindre la vieillesse. Aujourd’hui, cependant, la population âgée augmente rapidement. D’un point de vue biologique, avant le 20e siècle, l’espérance de vie était souvent inférieure à 60 ans. Par conséquent, personne n’a prédit la longévité que nous observons aujourd’hui. D’un point de vue sociologique, la vieillesse a toujours présenté une certaine ambiguïté. La vieillesse a été perçue comme une source de sagesse et de prestige, mais aussi comme une étape de décrépitude et une source de souffrance.

Dans l’Antiquité, la vieillesse n’était pas un état d’être que les gens avaient hâte d’atteindre. Bien que certaines personnes fortes et en bonne santé puissent atteindre l’âge de 70 ans, la plupart d’entre elles mouraient avant leur 50e anniversaire. Les quadragénaires encore en forme étaient traités avec respect, tandis que les plus faibles étaient considérés comme un fardeau, laissés pour compte, voire tués. Dans les temps anciens, la catégorie des “vieux” n’était pas attribuée en fonction de l’âge, mais de la perte de la capacité à accomplir des tâches utiles. Les Athéniens, à l’époque d’Aristote, n’aimaient pas les personnes âgées et se rebellaient souvent contre elles. Même si elles étaient respectées pour leurs connaissances et leur expérience, elles n’étaient pas vénérées comme aujourd’hui. Les Grecs pensaient que la vieillesse était un élément naturel de la vie, mais elle était également associée à la souffrance et à la maladie. Les Romains ne partageaient pas ce point de vue. Ils traitaient leurs aînés avec un grand respect, en particulier ceux qui avaient obtenu des honneurs militaires ou d’autres réalisations au cours de leur vie.

Les sociétés du Moyen Âge et de la Renaissance ne considéraient généralement pas la vieillesse comme une étape digne de la vie. Certaines personnes étaient respectées pour leur sagesse, mais d’autres étaient méprisées pour leur faiblesse ou leur cruauté. Dans certains cas, la société célébrait le vieillissement ; dans d’autres, elle punissait les personnes âgées pour tout signe de faiblesse ou de dépendance à l’égard des autres.
Dans les sociétés européennes médiévales, l’espérance de vie était faible – environ 45 ans. Par conséquent, ces sociétés étaient principalement composées de jeunes gens. Il y avait bien quelques personnes très âgées qui atteignaient l’âge de 90 ans ou plus, mais il s’agissait clairement d’exceptions. Dès lors, il n’y a évidemment plus besoin d’établissements destinés à accueillir les personnes âgées. Néanmoins, le Moyen Âge a beaucoup réfléchi à la vieillesse et au vieillissement…
Au 7e siècle, Isidore de Séville distingue la vieillesse de la sénilité. Au XIIIe siècle, le scientifique anglais Roger Bacon distingue trois stades : la vieillesse (senectute), la sénilité (senium) et la décrépitude (decrepitam). Il insiste surtout sur le fait que le vieillissement s’accélère de plus en plus : il faut 30 ans pour passer de l’âge moyen à la vieillesse, quelques années pour tomber dans la sénilité, quelques jours pour devenir décrépit – et quelques heures pour mourir. La vieillesse n’est pas une maladie. C’est simplement une étape de la vie où votre corps commence à se détériorer. Vous pouvez avoir besoin d’aide pour effectuer des tâches quotidiennes comme marcher ou prendre un bain. Vous aurez peut-être du mal à vous souvenir des choses aussi bien qu’avant. Ces changements peuvent être difficiles pour vous et pour les membres de votre famille qui vous connaissent depuis si longtemps.
Dans le Roman de la Rose (un poème français médiéval), le Jardin des Plaisirs accueille toutes les vertus et les joies. A l’extérieur, au contraire, se cachent les vices et les erreurs : notamment la Lâcheté, la Tristesse… et la Vieillesse. Dans la poésie courtoise (souvent écrite par des nobles d’âge mûr), la vieillesse est également dépeinte sous un jour extrêmement négatif : elle est comme l’hiver, froide et cruelle, égoïste et méchante, loin de la douce générosité de la jeunesse et du printemps.

AUJOURD’HUI
L’espérance de vie des hommes et des femmes a augmenté de façon spectaculaire au cours des dernières décennies, les hommes vivant en moyenne 79 ans et les femmes 83 ans. Cependant, les personnes âgées se retrouvent souvent déplacées en raison de contraintes financières ou d’une incapacité à vivre de manière indépendante. Nombre d’entre eux sont contraints d’emménager dans des maisons de retraite, des maisons de repos et des établissements médicaux. Les Nations unies ont proposé une convention sur les droits de l’homme visant à protéger spécifiquement les personnes âgées ; toutefois, de nombreuses familles ne sont pas en mesure de s’occuper de leurs membres âgés en raison de l’évolution de la dynamique au sein de la cellule familiale.
La violence physique ou psychologique envers les personnes âgées est considérée comme de la maltraitance, qu’il s’agisse de coups, de brimades ou de négligence. Les comportements passifs qui portent atteinte à une personne âgée sont également considérés comme de la maltraitance : privation de soins, de nourriture et de logement ; abandon en tout lieu…. Ces actes sont punis par la loi, quelle que soit la personne qui les commet : membres de la famille, médecins personnels ou aides à domicile… Toute personne ayant connaissance d’une situation de maltraitance envers les personnes âgées doit alerter le procureur de la République compétent.
Le désir et le plaisir constituent le fil conducteur
A 75 ans et plus,
le corps change et de nouvelles situations se présentent auxquelles il faut s’adapter. Les conseils et les paroles des professionnels de la santé abordent – de manière transversale – le lien social et intergénérationnel, les fonctions cognitives, l’alimentation, l’activité physique, le partage avec les autres ou encore la prévention santé, et invitent les seniors à prendre le temps de penser à eux. Ils les aident également à développer l’optimisme comme un état d’esprit qui leur permet de traverser les étapes de la vie avec plaisir.

ET LA SPIRITUALITE ?
Les questions sur le sens de la vie sont universelles et intemporelles, mais elles prennent un sens plus personnel à mesure que nous vieillissons. En vieillissant, nous devenons plus conscients de la finitude de la vie et commençons à nous demander quel est son sens. La spiritualité est un élément essentiel de l’être humain, mais comment affecte-t-elle notre bien-être en vieillissant ?

Ce que dit Frédéric Lenoir à propos de son père est très émouvant: “Ce qui est beau, c’est quand les personnes âgées acceptent que le handicap de la vieillesse puisse être l’occasion d’aller plus loin dans d’autres domaines. Le lien, le cœur, l’attention.” 

Jung et l’alchimie 2 – F Furon & M Rafecas

La problématique Jungienne de l’alchimie est passionnante, et traverse toute son œuvre
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Abordons la ici au travers de l’ouvrage que nous avons présenté ici, La revanche du cerveau droit
Voir aussi la page Jung et l’alchimie 1 – Didier Lafargue et la page Jung de Frédéric Lenoir

Podcast

Extraits

La rencontre de Jung avec l’alchimie a bouleversé sa vie. Toute son œuvre a été influencée par cette philosophie qui brave les âges et les époques. Son histoire à travers diverses civilisations est fascinante.
(…) l’alchimie a aussi un côté « vie de l’esprit » qu’il faut se garder de sous-estimer, un côté psychologique dont on est loin d’avoir tiré tout ce qu’il y a à en tirer. Il existait une philosophie alchimique, précurseur titubant de la psychologie la plus moderne (…). Son secret est le fait de la métamorphose de la personnalité grâce aux mélanges et à la synthèse de ses facteurs nobles et de ses constituants grossiers, de l’alliage des fonctions différenciées et de celles qui ne le sont pas. En bref, des épousailles dans l’être de son conscient et de son inconscient. »
(…) Selon Jung, « le secret des alchimistes consistait, comme le processus d’individuation, en une transmutation de la personnalité par le mélange et la combinaison d’éléments nobles et vils, des fonctions différenciées et intérieures du conscient et de l’inconscient. »

Le processus d’individuation de Jung peut être considéré comme une transformation alchimique qui conduit à une métamorphose de la psyché. Son aboutissement conduit à l’harmonisation et à la réconciliation de toutes les instances psychiques qui la composent par la conjonction des contraires. Cette transmutation interne tend la psyché vers l’unité qui intègre la lumière et l’ombre (conscient et inconscient) comme les deux faces d’une même pièce. C’est la raison pour laquelle nous symbolisons la voie jungienne par celle du « cerveau droit ». On pourrait appeler ce chemin initiatique « la voie de l’âme ». En effet selon Jung, « c’est le désir de l’âme qui sous-tend le processus d’individuation et nourrit son élan créateur ». Il recentre l’être humain vers son individualité propre (personnalité véritable) qui se libère de ses conditionnements qui pèsent sur lui. L’être individué se sépare de la structure collective à laquelle il s’insère. Jung disait que « le but et le sens de ce processus d’individuation sont de réaliser dans son intégration, avec tous ses aspects, la personnalité originellement préfigurée dans le genre embryonnaire ». Cette métamorphose conduit à un élargissement de conscience de la totalité de ce que l’on est.

blancheriejm@gmail.com
Jung et l’alchimie – Éléments essentiels
 
Carl Jung (1875-1961) était un psychologue suisse et fondateur de la psychologie analytique. Il était intéressé par l’alchimie et a consacré une grande partie de sa vie à l’étude de ses symboles et de ses concepts. Selon Jung, l’alchimie était une forme de psychothérapie antérieure à la psychologie moderne, qui travaillait à la transformation intérieure de l’individu.

Pour Jung, l’alchimie symbolisait un processus de transformation personnelle, qui passait par une série de stades décrits en termes d’opérations alchimiques. Il a établi des correspondances entre les concepts alchimiques tels que le “Grand Œuvre” et la “Naissance du Philosophe” avec des processus psychologiques tels que l’individuation, la guérison et la maturation personnelle.

Jung a également vu dans l’alchimie une référence à l’inconscient collectif, qui était un concept clé de sa théorie de la psychologie. Il considérait que l’inconscient collectif était constitué de symboles et d’archetypes universels qui étaient présents dans la conscience humaine depuis la nuit des temps. Les symboles alchimiques, selon Jung, étaient des expressions de cet inconscient collectif.

En conclusion, pour Jung, l’alchimie était un système symbolique qui reflétait les processus de transformation personnelle et qui pouvait être utilisé pour comprendre les processus psychologiques de l’individu. Il a considéré l’alchimie comme une source d’inspiration pour la psychologie et une aide pour comprendre les processus de guérison et de maturation personnelle.

Carl Jung, le psychanalyste suisse, a été fortement influencé par la tradition alchimique dans son travail de développement de la psychologie analytique. Il a vu des similitudes entre les étapes du processus alchimique et le développement personnel, et a utilisé les images et les métaphores alchimiques pour aider ses patients à comprendre leur propre processus de croissance psychique.

Pour Jung, l’alchimie était un système symbolique qui pouvait être utilisé pour explorer les processus psychiques inconscients. Il a interprété les images et les symboles alchimiques en les reliant aux archétypes de l’inconscient collectif, que Jung croyait être des modèles de comportement et de pensée universelles qui étaient présents dans l’inconscient de tous les êtres humains.

Selon Jung, le processus alchimique consiste en un cheminement intérieur vers la transformation et la métamorphose personnelle, et peut être vu comme un parallèle au développement psychologique et spirituel de l’individu. En utilisant les symboles et les images de l’alchimie pour explorer les processus psychiques inconscients, Jung a aidé ses patients à comprendre et à intégrer leurs propres aspects inconscients, ce qui a conduit à une croissance personnelle et spirituelle.

En somme, pour Jung, l’alchimie était plus qu’un simple système pour transmuter les métaux en or. C’était un système symbolique riche qui pouvait être utilisé pour explorer les processus psychiques inconscients et pour aider les gens à atteindre une transformation personnelle et spirituelle.

La revanche du cerveau droit

Un livre de Ferial Furon (Auteur) et Marjorie Rafécas-Poeydomenge Bruno Giuliani (Préface) 

Notre société a cultivé son cerveau gauche, la rationalité, le cartésianisme… Au détriment du droit, de la pensée globale, créative, intuitive.
Comment notre société peut se transformer, permettre de nouvelles façons de voir, par une vraie reconnexion avec notre cerveau droit ?
C’est aussi cela que Spiritualités Magazine propose, car la raison ne mène à rien sans l’imagination, la vision globale, la créativité… et la spiritualité !
Dans ce livre, 40 auteurs dans leur diversité et avec des angles d’approche très divers entrelacent de leurs témoignages les propos des auteurs,

CITATIONS

A propos de la spiritualité

Préface de Bruno Giuliani

“À la suite de Spinoza et Bergson, j’appelle « sagesse intuitive » la pensée globale qui intègre science (connaissance objective analytique) et spiritualité (savoir subjectif synthétique) au sein d’une intelligence affective qui culmine dans l’art de vivre. C’est finalement à emprunter la voie symbolique de l’intuition – la pensée qui relie, unifie et s’accorde au sens évolutif de la vie – que ce livre nous invite. Le contraire de la voie diabolique du mental qui sépare, détruit et conduit à l’absurdité du monde transhumaniste. Après des siècles de dissociation entre l’Homme et la Nature, ce nouveau courant de pensée se place avant tout sous le signe de l’unification des polarités.” P. 21

Citations des auteurs

“Celles et ceux qui seraient « à droite » – cérébralement et non politiquement bien sûr – auraient des appétences particulières pour la spiritualité.” P. 39

“Si l’on considère par exemple l’intelligence spirituelle, Howard Gardner estime que la spiritualité est un mélange d’intelligences inter et intrapersonnelle. Ainsi, nous pouvons tricoter d’autres intelligences à partir de deux formes d’intelligences. Nos capacités se démultiplient” P. 53

“Spinoza, qui a réussi une parfaite alliance entre la logique et le cerveau droit plus mystique, a défendu un sentiment d’unité avec son concept de monisme : « Nous faisons partie de la Nature, rien ne nous sépare de l’univers ». C’est l’idée d’harmonie qu’a toujours prônée la philosophie grecque. Ou encore l’expérience numineuse de Jung qui réveille en nous cette envie de spiritualité”. P. 95

Pourriez-vous nous indiquer les pistes pour aller vers le meilleur futur ?
Philippe Guillemant
: ce sont nos pensées et nos émotions qui engendrent le futur. Or nous sommes plongés dans un conditionnement. Nous ne pouvons pas changer avec le mental. Il faut réussir à faire taire ce « petit vélo ». Nous sommes prisonniers de l’analyse permanente de notre mental que la méditation permet d’atténuer grâce au lâcher-prise. Ainsi pour aller vers le meilleur futur, il faudrait se mettre en état de captation, se libérer des conditionnements pour nous mettre dans un état spirituel.” P. 152

 

A propos de la méditation : un rempart à l’ultraconnexion technologique ?

“En neurosciences, il est aujourd’hui démontré scientifiquement que la méditation modifie favorablement la chimie de notre cerveau. Ce sont les mêmes ondes alpha (13 Hz) que nous utilisons pour l’hypnose et la méditation pour se débrancher, comme nous l’a expliqué l’hypnologue Philippe Genest. Pratiquer la méditation permet de mieux connecter les deux hémisphères de notre cerveau et d’atteindre une meilleure harmonie.” P. 299

“La méditation est aussi un excellent moyen de développer sa créativité, car elle permet d’améliorer à la fois la pensée divergente (cerveau droit) et la pensée convergente (cerveau gauche). L’artiste David Lynch explique le potentiel créatif de la méditation dans son livre Catching the Big Fish : Meditation, Consciousness, and Creativity” P. 300

A propos d’un bouleversement du monde du travail. Interview d’Audrey Chapot, anthropologue

“Plus que tout, c’est notre rapport au travail qui est en train de basculer, et la place qu’il prend dans notre quotidien. Les conditions de travail et relations managériales sont actuellement trop souvent toxiques, d’où les arrêts maladie, les burn out, les décisions de reconversion en masse. Ce sont les signes précurseurs de changements profonds. Les modalités de travail ne sont plus en adéquation avec nos besoins et aspirations. Même si des évolutions sont déjà visibles, le chemin est long car les mentalités et les comportements n’évoluent pas au même rythme.” P. 364

“Les managers sont en fait déjà hybrides : il leur faut à la fois des capacités organisationnelles et une intelligence relationnelle pour stimuler au mieux la performance de leurs équipes. Le problème est que ces fameuses compétences « couteau Suisse » sont difficiles à acquérir car si on en revient à l’asymétrie cérébrale, cela demande aux managers de savoir jongler avec les deux hémisphères de leur cerveau et d’avoir une approche résolument bicéphale de leurs collaborateurs entre le savoir-faire et le savoir-être. Ainsi, les dirigeants devront dans le futur, être de plus en plus souples et holistiques.” P. 366  

 

Oracle hypnotique

Des cartes à tirer pour vous reconnecter à vous-même

Hypnose. Au-delà de l’hypnose l’oracle hypnotique : vous tirez chaque jour où chaque semaine une carte. C’est la clarté d’un Oracle qui va résonner en vous, qui va révéler des émotions enfouies, éclairer vos questionnement.
Vous accédez à un message intérieur puissant, délivré par une image symbolique, image envoutante. Peu à peu votre inconscient se libère. Peu à peu l’inconscient libéré vous appelle à l’action. Autohypnose, alignement de la tête, du cœur, du corps, et transformations profondes, profondes.

Oracles

Pour tirer au hasard un oracle du jour, rendez-vous sur le Facebook de spiritualités Magazine

  • La vigne – Le plaisir
  • Le nénuphar – Epanouissement

Les scientifiques s’intéressent à la transe

BAGLISTV aborde la transe sur le plan de la spiritualité, de l’ésotérisme ou de la psychologie des profondeurs, du sacré, comme ici. Je dirai, aujourd’hui, sur le plan aussi de la psychologie transpersonnelle et des états modifiés de conscience.
“Les phénomènes de transe ont de tout temps existé et cependant, la pensée officielle dominante ne les prend pas vraiment au sérieux. Nous nous interrogeons pourtant: que se passe-t-il lors d’une transe ? Quelle partie de l’humain y est-elle convoquée ?”
Extraits de BAGLISTV
– Les phénomènes de transe sont connus depuis très, très longtemps et je dirais qu’ils sont restés dans toutes les autres cultures que la culture occidentale. Et encore, il faudrait voir du point de vue de l’histoire de l’Occident (…).
Je pense par exemple aux possédés de Saint Médard au dix-huitième siècle
(1) Voir en bas de page l’émotion de Voltaire ! dans laquelle on voit quand même que c’est quelque chose qui est très communément partagé. Mais on voit bien comment aujourd’hui aussi souvent on a une espèce de réticence devant ce genre de phénomène. Comme si on n’arrivait pas à les penser comme si on ne pouvait pas les faire rentrer. Dans le cadre de notre part. Mais notre pensée officielle acceptée est dominante et justement, nous voudrions réfléchir à nouveaux frais, à à ce genre de phénomène, se demander ce qui s’y passe exactement, ce qui est convoqué de l’humain et pour aborder ce sujet (…)
– On peut regarder en France ce qui se passe notamment dans les centres antidouleurs où je pense à peu près 80% des centres antidouleurs où intégrés la Transe à travers l’Hypnose et l’Hypnose est notre façon actuelle et culturelle d’utiliser la transe qui est pratiquée dans un tas d’autres cultures. Et depuis très longtemps. Et on voit bien les effets dans le domaine de la douleur, de l’utilisation de cette de cette transe avec une meilleure gestion de l’émotionnel liée à la douleur. Et puis même sur la sensation elle-même de de la douleur. Et puis on voit aussi l’efficacité de la transe à travers l’hypnose pour un tas de pathologies différentes.
– La transe nous ouvre sur un monde différent c’est à dire une autre réalité. C’est pour ça que je, j’ai rejoins Yung dans la majorité de ses concepts et ses pensées car je trouve que effectivement la transe permet ce processus d’individuation car la transe permet de toucher des registres de la psyché qu’on n’arrive pas à toucher dans des contextes de thérapie classique.
–  La transe est un objet extrêmement sérieux à étudier dans toutes ses dimensions (…). L
a transe qui qui signifie en fait passer d’un État à un autre. On sait que les états de conscience peuvent être modifiées. Des États qui sont extrêmement favorables à l’accès à un matériel qui est impossible d’avoir ou de voir se présenter où se présentifie lors de d’approches classiques pour certains et aussi des expériences. Enfin, la transe transite vers des états élèves de la conscience, c’est à dire que peuvent avoir effectivement permettre au sujet de mettre à jour ce qui pose problème et qui était complètement enfoui dans le fin fond de la psyché de la vie psychique.

Mais pour les esprits sceptiques et rationalistes, il fallait bien que, aujourd’hui en 2022, France Culture… s’intéresse à la transe, aux états modifiés de conscience.
Enfin la légitimation arrive !

 Ecoutez !

Verbatim de l’émission

Les scientifiques s’intéressent de plus en plus à la Transe, et oui, soit l’exercice qui consiste à transiter vers un État modifié de conscience, et ce par des moyens divers, chamaniques, hypnotiques, médiumniques bien d’autres longtemps.
La culture occidentale l’ont approchée au prisme de l’Ethnologie et maintenant Guillaume les États modifiés de conscience suscités par la transe rencontrent dans la communauté scientifique un intérêt renouvelé. Pourquoi cette fois ? Pour leurs vertus thérapeutiques ? Illustration parmi d’autres de ce changement d’approche et de réputation. Depuis le mois de novembre dernier, l’Université Paris 8 propose des cours d’introduction à “Transe et état de conscience modifiée destiné aux professionnels de santé”. Une première mondiale. Antoine bioy, Psychologue, professeur de psychologie clinique et psychopathologie, co-responsable de cette formation, nous explique le regain d’intérêt.
J’ai toujours un intérêt croissant pour le fait de savoir qu’est ce qui provoque le changement en fait chez les personnes du point de vue thérapeutique. On va dire au début du 20e siècle et particulièrement la 2e partie du 20e siècle. On a commencé à isoler ce que l’on a appelé les États de conscience modifiés. Alors en fait, on les connaît sous d’autres termes : la sophrologie qui sont des pratiques, utilisant déjà ce que l’on va appeler, donc, les états de transe et le fait que ces états là soient déjà utilisés dans le champ du thérapeutique ouvre aussi la possibilité à d’autres pratiques telles que là transe cognitive auto induite et puis également d’autres pratiques. Qui commencent à se développer dans différents pays pour arriver à formaliser les modalités de prise en charge qui conviennent à une catégorie de patients qui va croissant, c’est à dire globalement de l’enfant, jusque à la personne âgée.

Dans Le Monde, Annick COJEAN, a enquêté sur le sujet
https://www.lemonde.fr/podcasts/article/2022/02/11/quand-la-science-s-interesse-aux-pouvoirs-de-la-transe_6113216_5463015.html
“Comment la transe modifie-t-elle l’activité cérébrale ? Cette pratique ancestrale présente dans de très nombreuses cultures est désormais étudiée dans les laboratoires. Dans ce podcast, Annick Cojean, grande reporter au « Monde », revient sur les recherches en cours sur cet état modifié de conscience.”

Intégralité ici

(1) Voltaire, Le Siècle de Louis XIV, chap. 37 « Du jansénisme », 1751
Quelques personnes du parti, qui allèrent prier sur le tombeau, eurent l’imagination si frappée, que leurs organes ébranlés leur donnèrent de légères convulsions. Aussitôt la tombe fut environnée du peuple ; la foule s’y pressait jour et nuit. Ceux qui montaient sur la tombe donnaient à leurs corps des secousses, qu’ils prenaient eux-mêmes pour des prodiges. Les fauteurs secrets du parti encourageaient cette frénésie. On priait en langue vulgaire autour du tombeau : on ne parlait que de sourds qui avaient entendu quelques paroles, d’aveugles qui avaient entrevu, d’estropiés qui avaient marché droit quelques moments ; les prodiges étaient même juridiquement attestés par une foule de témoins qui les avaient presque vus, parce qu’ils étaient venus dans l’espérance de les voir… Le tombeau du diacre Pâris fut le tombeau du jansénisme dans l’esprit de tous les honnêtes gens. Ces farces auraient eu des suites sérieuses dans des temps moins éclairés. Il semblait que ceux qui les protégeaient ignorassent à quel siècle ils avaient affaire2.

Techniques spirituelles de guérison

La démarche d’Idris LAHORE est pleinement, sereinement, systématiquement holistique. Il va chercher tous les éléments qui interagissent entre eux pour proposer un système complet de guérison.
A commencer par l’introduction de ce que, nous dit-il, la médecine conventionnelle comme les médecines alternatives ignorent presque toujours : les niveaux de thérapie.

Les niveaux de thérapie

Ce tableau donne la vision d’ensemble de l’être humain qui permet d’ajuster les thérapies et de les rendre réellement efficace : elles ne traitent plus des symptômes, elles ne déploient pas des thérapies d’un niveau inférieur, capables de se transformer en nouvelles atteintes et symptômes.

Chaque niveau correspond à des types de thérapie spécifiques reliées aux éléments qui composent ce niveau.

  • Ainsi le niveau corporel est structurel, biochimique, biophysique et appelle des thérapies de cette nature (corporelles, biochimiques, biophysiques
  • Les niveaux émotionnel et intellectuel appellent des psychothérapies
  • Le niveau énergétique appelle des médecines et psychothérapies énergétiques, le reiki…
  • Le niveau relationnel systémique appelle des techniques transgénérationnelles et constellations
  • Le niveau spirituel – essentiel, repose sur la pratique spirituelle

Le principe de globalisation

Extrait
L’intelligence du corps va, de manière naturelle, vers une globalisation. C’est nous qui fragmentons les choses. Le corps a une intelligence globale : si tu agis à droite, il y a aussi un effet à gauche.
Si tu donnes un sens à ce que tu fais, les autres ont tendance à s’associer à ton projet. Si tu comprends réellement une indication avec ton mental, ton Cœur a tendance à suivre et ton corps aussi. Cependant, pour retrouver cette globalité, il faut s’entraîner à sortir petit à petit de la fragmentation.

Les centres

Extrait 
L’être humain est composé de trois centres dits inférieurs : • le centre intellectuel : siège de l’activité pensante. C’est là que se forment pensées, représentations, concepts, idées, raisonnement, logique…

  • le centre émotionnel : siège des émotions, des sentiments, des désirs.
  • le centre physique composé du :
  • centre instinctif (mouvements intérieurs) : fonctionnement inné et automatique de la respiration, circulation, digestion, métabolisme ainsi que les sens et les réflexes.
  • centre moteur (mouvements extérieurs) : tout mouvement appris (marche, parole, écriture, mastication… )
  • centre sexuel: il produit de l’énergie sexuelle pour la reproduction, la conservation et l’évolution de l’espèce humaine et permet à l’individu de faire naître ce qu’il a de plus élevé en lui.

En lui se trouvent également en germe deux centres dits supérieurs et que le chemin vers l’Esprit lui propose de développer :

  • le centre émotionnel supérieur, qui se développe à partir de ce qui existe de plus réel chez l’être humain (son essence, son vrai Soi) et qui harmonise les centres inférieurs. Ce centre ne connaît pas la négativité.
  • le centre intellectuel supérieur qui se développe à partir du centre émotionnel supérieur.

La santé dépend de l’harmonie globale de chaque individu

Extrait
Le praticien des différentes branches du Samadeva, que nous appelons un “euphoniste-énergéticien“, utilise des méthodes pour rééquilibrer l’ensemble de la vie de son client, considérant que la santé ne peut être maintenue ou se rétablir que si tous les domaines de la vie de l’individu sont en harmonie : seule cette harmonie globale garantit une circulation énergétique harmonieuse. L’euphoniste est donc avant tout un praticien qui, avec l’aide d’autres thérapeutes spécialisés comme les médecins ou les psychologues, essaie de faire comprendre à son client sa part de responsabilité quant à sa propre santé, en l’aidant à la maintenir grâce à ces techniques. Meilleure santé et vie plus ongue, connaissance de soi, développement de la conscience de soi, e la présence, harmonisation de l’état énergétique et amélioration de vitalité : tels sont les buts recherchés par les pratiques euphoniques.

Les Arkanas thérapeutiques du Samadeva

Pour comprendre la spécificité de ces approches thérapeutiques, voici des éléments de base… Mais il faut entrer complètement dans le livre (et les 2 tomes précédents), pour en mesurer la portée et commencer à travailler vraiment sur soi (ou les autres), encore que… une compréhension en profondeur et une pratique spirituelle bien ancrée peut s’inspirer de bien des apports de Idris Lahore

Extrait
A cette sagesse de l’organisme (celle qui régule notre température  cicatrise nos plaies, etc.), nous appliquons trois principes thérapeu_ tiques spécifiques du Samadeva, qui consistent à associer :
•             la posture ou le mouvement spécifique à chaque douleur ou chaque handicap ;
•             la concentration intensive sur les sensations provoquées, c’est-à-dire la mobilisation de l’attention ;
•             une technique respiratoire spécifique
Ces trois éléments combinés forment ce que nous nommons un “Arkana thérapeutique” qui va guérir ou réduire notablement, et souvent d’une façon étonnamment efficace, la douleur ou le handicap du pratiquant.
La combinaison spécifique de ces trois éléments a un effet sur toute la colonne vertébrale (muscles, tendons, nerfs, vaisseaux, articulations) et semble permettre à tout le corps de se redresser tout en se détendant. La colonne vertébrale ainsi redressée et détendue, tous les organes profitent de la libération et de l’espace créés par l’Arkana thérapeutique. Le processus curatif d’auto-régulation peut ainsi entrer en action. Cette technique agit à la fois sur les blocages musculaires et articulaires ou vertébraux, sur les flux énergétiques et sur la transmission de l’information par la voie des neuro-transmetteurs.
Les Arkana thérapeutiques s’appliquent évidemment en priorité aux malades. Il en existe cependant des variantes dont le but est la prévention des troubles ainsi que le maintien de la guérison ou du soulagement, une fois ceux-ci obtenus. Ceci nous fait comprendre que le Samadeva Thérapeutique était (et est toujours !) une méthode d’auto-guérison naturelle, efficace, simple et facile à apprendre.

Blocage énergétique

Extrait
Du point de vue énergétique, c’est encore le même processus. Le problème est un blocage énergétique et les pensées ou émotions s’y fixent. Les gens pensent que leur problème est dû à leur situation, leurs pensées ou leurs émotions. En réalité, le vrai problème est le refus de rester dans le flux de la vie : voilà ce qui perturbe le flux de l’énergie. L’énergie intérieure ne circule plus et la vie extérieure ne circule plus non plus. Il s’agit de rendre à cette énergie sa fluidité et à la vie, la fluidité. Cela ne se fera pas en pensant au problème ou en l’analysant, ou bien si : trente ans après… On finit toujours par comprendre ! Mais les problèmes du mental (donc les pensées et les émotions) ne peuvent pas être réglés par le mental. On peut agir sur le problème en rétablissant le flux de l’énergie et en emmenant la personne dans la vie : en la faisant bouger ! Voilà aussi pourquoi on dit que l’oisiveté est la mère de tous les vices. Paresse, oisiveté, passivité entretiennent les problèmes, elles vous sortent et vous maintiennent hors du flux de la vie, donc les énergies stagnent et les humeurs aussi, ce qui signifiera tôt ou tard maladie et mal-être.

La Psychologie Spirituelle ou Essentielle

Le tableau des thérapies ci-dessus situe, bien sûr, le spirituel au dessus de toutes les autres formes de notre existence. La Psychologie Spirituelle ou Essentielle nous fait découvrir notre “étincelle divine”.

Extraits

Dévoiler notre essence

Alors que la Psychologie de l’Ennéagramme nous permet de mieux comprendre notre personnalité, nos modes de fonctionnement, toutes les stratégies que nous avons mises en place depuis l’enfance pour nous permettre de survivre et de nous adapter à notre environnement, la Psychologie Spirituelle, derrière ce masque de la personnalité, nous fait découvrir une autre réalité qui transcende l’ego, un autre élément qui ne s’est pas développé sur la base d’apprentissages, de conditionnements, de réponses à l’environnement : un élément qui est déjà là à la naissance et qui vient d’autres mondes. Il s’agit de cette “étincelle divine” dont parlent certains courants, notamment religieux, la partie la plus authentique, la plus vraie, la plus élevée de nous-mêmes, celle qui porte toutes nos impulsions vers le bien, le beau, le vrai. C’est ce que nous appelons l’essence spirituelle, qui est en germe au plus profond de nous et qui ne peut pas se développer naturellement : pour manifester notre essence spirituelle, nous devons apprendre à nous connaitre et nous devons progressivement la dévoiler, enlever les voiles de notre (fausse) personnalité.

 

Une autre vision de la vie et de la mort

Extrait
Le corps physique étant trop dense pour l’esprit, c’est comme si, lors de l’incarnation, une force l’obligeait à entrer dans le corps physique. L’incarnation humaine se fait dans la violence. Or, lorsqu’on veut s’éveiller à sa propre nature, sa nature véritable, donc sa nature spirituelle, il faut pouvoir s’incarner avec douceur. Ce n’est possible que si, à la fin d’une vie, on parvient à se désincarner avec douceur.

La Roue Médecine – Chamanisme Amérindien

ASMR pour un chamanisme. Ecoutez  le chuchotement !

Quand les Anciens formaient un cercle avec des pierres, ils représentaient l’Univers, pour en comprendre les mystères et accéder à la connaissance.
Le chuchotement à effet hypnotique que nous vous proposons vous transporte au coeur de l’univers des chamanes.

Pour aller plus loin dans cette voie, offrez-vous ce livre qui nous emporte.

Extraits

 

 

L’équipe de Spiritualités Magazine vous accompagne personnellement

Rêver votre vie, vivre votre rêve

Ici, l’équipe de Spiritualités Magazine vous accompagne au travers d’exercices en ligne et de rendez-vous en vidéo-conférence. 
Par ailleurs nous organisons divers séminaires, ainsi que des formations pour des groupes ou des entreprises.

Vous avez remarqué que nombre d’articles du site portent sur des livres récemment parus. La plupart ont comme intention d’accompagner un changement personnel et global. Les méthodes, les fondements théoriques, les traditions sous-jacentes, varient largement. Ce n’est pas contradictoire, et vous pouvez accompagner votre travail intérieur dans la variété des approches, ou dans l’enthousiasme d’avoir découvert ce qui vous convient parfaitement. L’important  est d’y travailler régulièrement et de persévérer. Certaines pratiques, comme la méditation, fait partie de toutes les voies de changement et d’élévation individuelle et collective.

Nous vous proposons une continuité de réflexions, de pratiques, d’exercices, issues à la fois de l’expérience de notre équipe et de notre interprétation ou de notre aménagement de passages des livres que nous présentons. Ainsi, les livres qui vous conviennent le plus pourront, eux-aussi vous accompagner dans une démarche libre et éclairée.

Les accompagnements de Spiritualités Magazine

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Je me lève du mauvais pied. Comment faire ?

 

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Stratégies d’auto-coaching

Les Editions GERESO qui éditent des livres très clairement présentés, une auteure – Mireille VIE – qui est une professionnelle du coaching, expérimentée, très méthodique et progressive : voici un livre qui peut servir de base à tous ceux qui veulent se prendre en main par eux-mêmes ou avec un minimum d’intervention extérieure… puisqu’il s’agit d’auto-coaching.

Choisir nos pensées

Mireille VIE part de la plus simple et de la plus puissante des idées : nous pouvons choisir nos idées, choisir correctement nos pensées, et c’est cela qui nous permet de faire face sereinement à la plupart des situations qui se présentent à nous. 
Une autre façon de le dire : la réalité est faite
1/ de faits observables : nous ne pouvons agir à ce niveau, nous acceptons
2/ d’interprétations, de biais, de préjugés, de déductions… bref de représentations. Celles-ci dépendent de nous. Nous pouvons agir au niveau de nos réactions à ce qui se passe.
Le livre va développer 20 situations de la vie quotidienne pour lesquelles le simple usage de notre cerveau, notre pensée, va permettre d’adopter la bonne stratégie, et de nous sentir bien mieux !

Nous sommes invités, avec quelques efforts, à modifier notre façon de penser. Cela en vaut la peine nous dit l’auteure… Je confirme !

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