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Oser et réussir sa métamorphose

Les étapes COAA

 

. La Connaissance de Soi

Se connaître, c’est ouvrir un livre secret, où chaque page révèle un morceau de vérité. C’est plonger dans l’océan de son être, découvrir les trésors enfouis et affronter les tempêtes qui y dorment. Qui regarde en lui-même éclaire le chemin de son âme.

 

 . L’Introspection

Comme un miroir intérieur, l’introspection éclaire nos zones d’ombre. C’est l’art d’explorer nos profondeurs pour y trouver la lumière. En se connaissant, on s’éveille, on guérit, et l’on se réconcilie avec ses peurs. Chaque pas vers soi-est un pas vers la même liberté.

 

 . Les Talents

Nos talents sont des éclats de lumière que nous portons dès la naissance. Ils sont là, prêts à être découverts, prêts à briller. Les reconnaître, c’est libérer un potentiel immense, une énergie créatrice qui ne demande qu’à fleurir dans le monde.

 

 . Les Valeurs

Les valeurs sont les racines de notre être. Elles ancrent nos choix, guident nos pas. Quand nous les égarons, nous dérivons, mais les retrouver, c’est revenir à l’essentiel, à cette force qui nous fait avancer droit, dans l’harmonie de l’être.

 

 . Les Blessures

Chaque âme porte des cicatrices. Le rejet, l’abandon, la trahison, ces blessures profondes façonnent notre chemin. Mais les reconnaître, c’est aussi commencer à les guérir. Derrière chaque douleur, il y a une lumière, un chemin vers la renaissance.

 

 . Les Émotions

Nos émotions sont des vagues qui nous traversent. Certaines apportent la tempête, d’autres la paix. Les comprendre, les accepter, c’est naviguer plus sereinement sur l’océan de la vie. La colère s’apaise, la joie grandiose et l’amour peut éclore.

 

 . Les Croyances Limitantes

Nos croyances limitantes sont des chaînes invisibles. Elles nous empêchent de voir la grandeur qui est en nous. Les briser, c’est ouvrir les portes du possible, et laisser la lumière entrer, pour enfin vivre pleinement notre légende personnelle.

 

 . L’Instant Présent

Le seul moment qui existe vraiment, c’est l’ici et maintenant. Vivre dans le présent, c’est savourer chaque seconde comme un cadeau. Plongeons dans cet instant, débarrassés du poids du passé et des illusions du futur, pour être en paix.

 

 . L’ouverture à soi et au monde

S’ouvrir à soi, c’est se reconnecter à son essence. S’ouvrir au monde, c’est vibrer avec tout ce qui est vivant. Chaque souffle est une communion, chaque rencontre, une opportunité de grandir dans l’amour et la compréhension.

 

  . L’Ouverture du Cœur

Ouvrir son cœur, c’est s’épanouir comme une fleur au soleil. C’est vivre dans l’amour et la compassion, se connecter profondément à soi-même et aux autres. L’amour, dans sa pureté, est une force qui dissipe toutes les peurs.

 

  . L’ouverture de la conscience

Éveiller sa conscience, c’est voir le monde avec des yeux neufs. C’est comprendre que tout est connecté, que chaque action, chaque pensée a un impact. Grandir dans cette conscience, c’est s’élever, en harmonie avec l’univers.

 

  . La Reconnexion à l’Âme

Revenir à son âme, c’est écouter cette petite voix intérieure qui connaît le chemin. Elle guide nos pas vers la lumière, vers la joie. En nous reconnectant à elle, nous vibrons à notre plein potentiel, libres et en paix.

 

  . L’Amour Inconditionnel

Aimer sans condition, c’est s’élever au-dessus des jugements. C’est donner sans attendre en retour, c’est accepter l’autre dans toute sa différence. L’amour inconditionnel est une source infinie qui nourrit notre âme et celle des autres.

 

  . L’Amour Cosmique

L’amour cosmique est une énergie infinie qui nous enveloppe. Se connecter à cette source, c’est vibrer en harmonie avec l’univers, ressentir la légèreté et la paix. Cet amour dépasse tout, il est la clé de notre union avec le tout.

 

  . La Synchronicité

Quand la vie nous parle à travers des signes, des coïncidences mystérieuses, c’est la synchronicité. Accueillir ces moments magiques, c’est écouter les murmures de l’univers. Ils sont des guides subtils, nous orientant sur le chemin de l’éveil.

 

  . L’Abondance Universelle

L’abondance est partout, dans chaque instant, chaque souffle. Elle n’est pas matérielle, elle est une conscience. S’ouvrir à l’abondance universelle, c’est recevoir ce que l’univers a à offrir, sans peur du manque, dans la plénitude du cœur.

 

  . L’Affirmation de Soi

S’affirmer, c’est reconnaître sa propre valeur, c’est oser être soi, pleinement. L’excellence n’est pas un acte isolé, c’est une habitude, une manière d’être. En s’affirmant, nous créons notre réalité et nous avançons avec confiance.

 

  . L’Acceptation

Accepter la vie telle qu’elle est, avec ses joies et ses épreuves, c’est se libérer. Accepter ne signifie pas se résigner, mais comprendre que tout a sa raison d’être. Cette paix intérieure nous permet d’accueillir les changements avec sérénité.

 

  . Le Lâcher-Prise

Lâcher prise, c’est arrêter de tout contrôler, c’est faire confiance à la vie. En laissant aller les attentes, nous créons de l’espace pour l’inattendu, pour la magie. Le lâcher-prise est une porte vers la liberté intérieure.

 

  . L’Estime de Soi

S’aimer soi-même, c’est le premier pas vers une vie épanouie. L’estime de soi, c’est reconnaître sa valeur, sans arrogance, mais avec douceur. En cultivant cette estime, nous attirons à nous les personnes et les situations qui nous élèvent.

 

  . La Confiance en Soi

La confiance en soi est la clé de toute réussite. Elle se cultive chaque jour, dans les petites et grandes actions. En croyant en nos capacités, nous pouvons déplacer des montagnes. Cette confiance nous pousse à réaliser nos rêves.

 

  . La Maîtrise de Soi

Maîtriser ses émotions et ses pensées, c’est reprendre le contrôle de sa vie. Par la respiration, par la méditation, nous pouvons cultiver cet état de calme et de sérénité. La maîtrise de soi nous permet de rester cœurs, même dans la tempête.

 

  . Apprendre à S’Aimer

S’aimer, c’est s’accepter avec toutes ses imperfections, c’est se regarder avec bienveillance. En apprenant à s’aimer, nous libérons une énergie puissante qui transforme notre vie. L’amour de soi est le fondement de toute transformation.

 

  . L’Alignement

Être aligné, c’est vivre en accord avec son âme, avec ses valeurs profondes. C’est ressentir cette harmonie intérieure qui se reflète dans chaque aspect de notre vie. L’alignement est un chemin de lumière qui nous guide vers notre destinée.

 

  . L’Accomplissement de Soi

L’accomplissement de soi, c’est réaliser sa légende personnelle. C’est suivre son chemin avec détermination, patience et amour. Lorsque nous sommes en accord avec notre véritable nature, nous déployons nos ailes et nous dansons avec la vie.

 

  . La Créativité

La créativité est un souffle divin qui nous traverse. Elle jaillit lorsque nous nous connectons à nos émotions, à notre enfant intérieur. Chaque idée, chaque geste créatif est une célébration de la vie, une expression de notre essence sacrée.

 

  . La Sérénité

La sérénité est un état d’esprit qui s’acquiert par l’expérience et la sagesse. C’est une paix intérieure, une tranquillité d’âme qui nous permet de rester calme face aux défis. La sérénité nous ouvre les portes d’une vie équilibrée.

 

  . La Joie

La joie est notre essence naturelle. Elle naît de l’instant présent, de l’ouverture du cœur. Vivre dans la joie, c’est retrouver la spontanéité de l’enfant, c’est s’émerveiller devant la beauté de la vie. La joie est un feu sacré qui illumine notre chemin.

 

Ces étapes sont un voyage vers la de soi, une invitation à embrasser pleinement la transformation intérieure et à s’épanouir dans l’amour et la lumière.

Méditations maçonniques

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Ecoutez un extrait : De l’Amour – Je t’offrirai des larmes célestes et des éclats de lune…

 

Au Cœur des Symboles : Une Quête Spirituelle et Poétique

 

Découvrez ce voyage transcendantal au cœur de l’existence humaine, les abysses des questions fondamentales qui ont traversé l’humanité à travers les âges : la quête de la vérité, la pureté de l’humilité, l’agonie de l’attente, la mélodie mélancolique de l’absence, la flamme éternelle de l’amour, et le paradis perdu du jardin d’Éden.

 

Un regard méditatif et lyrique sur la condition humaine

Ce livre offre une approche méditative, spirituelle et poétique de ces énigmes qui touchent au cœur de notre être. Chaque page est une invitation à contempler et à ressentir, à se perdre dans les méandres de l’inconscient et à en émerger avec une nouvelle compréhension, enrichie par le symbolisme qui entrelace notre psyché.

 

La Franc-maçonnerie révélée dans toute sa splendeur spirituelle

Au-delà de la poésie et de la méditation, l’ouvrage propose une exploration saisissante du sens profond de la Franc-maçonnerie. Loin des clichés et des idées préconçues, cette exploration nous emmène dans un voyage où la spiritualité et la symbolique maçonnique se fondent en une seule et même danse, belle et envoûtante.

Une écriture qui éveille et éclaire

L’auteur, avec une plume à la fois poétique et explicative, construit un pont entre le mystique et le rationnel, entre le cœur et l’esprit. Ses mots ne sont pas seulement une lecture, mais une expérience, une immersion dans un monde où le tangible et l’intangible se rencontrent, s’entrelacent et se transforment mutuellement.

Pourquoi lire “Méditations maçonniques” ?

Si vous êtes en quête de réponses, si vous cherchez à comprendre les mystères de l’existence ou si vous désirez simplement vous laisser emporter par une prose magnifiquement écrite qui parle à l’âme, ce livre est pour vous. C’est plus qu’un ouvrage, c’est une porte ouverte vers une nouvelle dimension de compréhension et de ressenti.

 

Quelques thèmes

 

La danse délicate entre la foi et le doute : une introspection spirituelle

Une plongée profonde dans les nuances de la foi, du doute et de la raison, explorant leurs intersections, leurs conflits et leurs complémentarités à travers les âges.

 

Imaginez

Sur une mer agitée, une barque isolée vacille sous la pression des vagues tumultueuses. C’est dans ce décor que Jésus s’avance, marchant sur les eaux, vers ses disciples effrayés. Un tableau tiré de Mathieu 14.22-33, qui illustre le constant ballet entre la foi et le doute. La question se pose alors : qu’est-ce que la foi ? Est-elle simplement une croyance aveugle ou quelque chose de plus profond ?

Dans le labyrinthe de la foi, se perdre est facile. Sa nature complexe transcende la simple croyance religieuse pour plonger dans la confiance fondamentale que nous accordons au monde qui nous entoure. Dérivé du latin “fides”, le concept de foi évoquait autrefois une confiance sans aucune nuance religieuse. Il représentait la fiabilité, la constance et la loyauté.

Mais comme le montre la marche de Pierre sur l’eau, la foi n’est pas à l’abri du doute. Dans sa tentative de rejoindre Jésus, Pierre est rattrapé par la peur et commence à sombrer. De même, la foi et le doute sont deux facettes d’une même pièce, se nourrissant mutuellement.

La foi, pourtant, ne se réduit pas à la croyance. Elle est aussi une quête de vérité, une expression de notre liberté intérieure. Elle est cette force motrice qui guide nos actions, même en l’absence de preuves concrètes. Et contrairement à la certitude, qui s’enracine dans le dogme, la foi embrasse l’incertitude et ouvre la porte à la question, au défi.

Si la raison est la lumière qui éclaire notre chemin, la foi est le pont qui nous permet de le traverser. L’une est l’épine dorsale de la logique, l’autre est le cœur palpitant de l’intuition. Et c’est dans cette dynamique que la foi et la raison coexistent, chacune enrichissant l’autre.

La foi est un acte d’amour, une confiance en l’inconnu. Elle nous permet de voir au-delà des apparences, de croire en l’amour divin et de trouver un sens à notre existence. Même le Christ, dans son dernier souffle, a ressenti le doute, prouvant que la foi est profondément humaine.

En fin de compte, la foi et le doute sont les gardiens de notre âme, nous guidant à travers les méandres de la vie. Par leurs questions, ils témoignent de notre quête incessante de vérité et de sens.

 

 

“Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance”


Au sein de ces pages le sacré se dévoile, non pas comme une simple idée, mais comme une épopée spirituelle qui traverse les époques et les âmes. Tel un vent mystérieux soufflant sur les cimes des montagnes, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” s’insinue doucement dans nos pensées, éveillant notre curiosité.

A la manière d’un voyageur solitaire marchant à travers des forêts denses et des vallées ombragées, l’auteur nous guide dans les méandres des traditions, des rituels et des croyances, avec une plume pleine de poésie.

Ce n’est pas simplement un livre, mais une symphonie de mots, une danse des idées. Comme les vagues qui se brisent sur les rochers, les chapitres éclatent de révélations, invitant le lecteur à se perdre et à se retrouver dans le vaste espace du sacré.

Si vous avez déjà ressenti le frisson du mystère, l’appel silencieux de l’inconnu, ce livre est une promesse murmurée à l’oreille de votre âme. Ce n’est pas une simple lecture, c’est une quête.

Dans la tradition où chaque mot est choisi avec soin et chaque phrase résonne avec émotion, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” se présente comme une toile vivante, tissée avec les fils d’or de la sagesse ancienne. Laissez-vous entraîner dans ce tourbillon d’érudition et de poésie. Car au bout du chemin, ce n’est pas seulement la connaissance que vous trouverez, mais peut-être, un reflet de votre propre âme.

Extraits

Le jardin d’Eden n’est plus une origine perdue dans un temps sans retour. C’est le germe présent d’une naissance à une vie à venir, dans l’éternité retrouvée ».
Véronique Lévy

Le Jardin d’Éden

Synonyme de Pardès, paradis en hébreu, Gan Eden, renvoie à Eden, délice, et fait du paradis le jardin des délices et le symbole de la connaissance spirituelle. Délices de l’amour innocent où la béatitude des âmes se mêle au plaisir des corps ; de
la connaissance de l’autre dans sa vérité biblique, en un temps où l’être est sans égo ; temps d’altérité où nul n’a conscience de ses propres limites ni de celles de l’autre, tant les deux se confondent. Avec l’apparition de la conscience, le mythe d’Adam rejoint celui de Pandore et le Jardin d’Éden, celui des Hespérides. Chacun se réduit désormais à la conscience de soi et l’autre devient inaccessible ; autre à jamais. Seul l’amour fait lien entre les consciences, permet leur communion, parfois. Il est la vérité de l’humain et, de la connaissance à la transcendance, nous relie de l’ancien au nouvel Adam. Paradis perdu de l’innocence par l’initiation à la connaissance, paradis retrouvé au-delà. Nostalgie et espérance, comme les deux faces d’une réalité identique.
Le mythe fondateur de l’humanité intègre dès l’origine, l’aspiration à la transcendance. Ainsi l’Éden est à la fois l’Alpha et l’Oméga de l’aventure humaine.

 

L’enfer est tout autant dans la présence des autres que dans l’absence de Dieu ; c’est selon.

L’Absence

L’absence se définit, simultanément, comme ce qui n’est pas présent, comme l’état juridique d’une personne disparue, dont on ignore si elle est encore en vie, ou comme la
perte momentanée de conscience. Elle sous-entend que quelque chose ou quelqu’un devrait être et n’est pas, ou que quelque chose ou quelqu’un a été et n’est plus. Ainsi, paradoxalement, l’absence atteste de ce qui
n’est pas, d’un vide qui ne devrait pas être en ce sens qu’il est ressenti comme anormal, dans le cas d’un manque par exemple, voire comme inquiétant, dans le cas d’absence de nouvelles.
En fait, il est dans la nature même de l’absence d’être paradoxe dès lors qu’elle n’atteste que du manque ; de ce qui est censé être et n’est pas. Ainsi, l’absence de bruit n’est pas tout à fait le silence ou, plus précisément, elle est plus que le silence puisque là où je
devrais entendre quelque chose, je n’entends rien ; de même s’agissant de l’absence de lumière ou de toute autre absence du même ordre. L’absence est la forme en creux de l’existence, dont elle témoigne par l’absurde. La place vide de l’absent atteste de sa réalité plus sûrement que ne le ferait sa présence effective ; d’une certaine façon en devenant abstraite sa réalité devient plus dense, parce que plus singulière, plus chargée de souvenirs, d’émotions ou d’affect. L’ordre des choses a été rompu, bouleversé ; l’absent devrait être et il n’est pas. Ainsi, sa présence naturelle, anodine en soi, se métamorphose, par défaut, en une absence lourde d’interrogations et de questionnements. Toute absence est quête de sens car le manque interroge plus que l’acquit, la gratuité d’un geste plus que son mobile.

Méditation en poésie

Emma Pujar a trouvé une très belle voie spirituelle : celle de la poésie.
Une voie où sa parole évoque aussi son expérience spirituelle.
La méditation : expirer – inspirer dit le titre du livre qui résume ses 2 parties :

Expirer : ” J’inspire – S’envolent alors mes rêves, mes secrets, quelques rires
Parfois spirituels, souvent teintés de passion.
Inspirer : ” Je dresse des portraits, en chacun, je décèle un trésor
J’espère que tu y trouveras de la joie et du réconfort,
J’y ai trouvé l’envie de me battre, et d’expirer encore.”

“Ensemble,
Inspirons l’air, légers,
Expirons l’espoir.”

L’attente à cueillir
Je médite
Parfois je crois échouer
Je sens seulement mon cœur palpiter.
Je m’agace
Moi qui voulais me relier à l’immensité
Me voilà coincée dans ma petite intimité.
J’explore
Les palpitations et leurs répercussions
Leurs sources et leurs points de tension.
Je découvre
L’état de mes plaies délaissées
L’ouverture de ce que je ne voulais affronter.

Je descends
Je monte
Entre Terre et Ciel, je joue à la marelle.
J’inspire
J’expire
Je lâche
Je prends
Perpétuel
Mouvement.
J’ouvre les yeux
L’instant est mon souvenir
Je referme hâtivement les yeux
La lumineuse Immensité a manqué de m’éblouir.

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Le ballet des sept chakras
Tout commence en bas, tout part des orteils,
Nus sur le sol, ils se font oreilles
Grondements du monde et Vie féconde.
Guidés par d’incertains instincts
Les jambes s’élancent sur le chemin.
Un centre vital couleur carmin
Diffuse l’énergie depuis le bassin……………….

L’enfant de la haute mer

Jules Supervielle.
Le début :
« Comment s’était formée cette rue flottante ? Quels marins, avec l’aide de quels architectes, l’avaient construite dans le haut Atlantique à la surface de la mer, au-dessus d’un gouffre de six mille mètres ? Cette longue rue aux maisons de briques rouges si décolorées qu’elles prenaient une teinte gris-de-France, ces toits d’ardoise, de tuile, ces humbles boutiques immuables ? Et ce clocher très ajouré ? Et ceci qui ne contenait que de l’eau marine et voulait sans doute être un jardin clos de murs, garnis de tessons de bouteilles, par-dessus lesquels sautait parfois un poisson ? Comment cela tenait-il debout sans même être ballotté par les vagues ? Et cette enfant de douze ans si seule qui passait en sabots d’un pas sûr dans la rue liquide, comme si elle marchait sur la terre ferme ? Comme se faisait-il… ? Nous dirons les choses au fur et à mesure que nous les verrons et que nous saurons. Et ce qui doit rester obscur le sera malgré nous. »

Une interprétation très poétique par les étudiants d’une école de média

Supervielle, et quelques poètes de l’époque

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