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Un témoignage bouleversant sur l’amour, le deuil et la communication avec l’au-delà, à travers les yeux d’Emmanuelle Grandchamp
La veille de Noël 2023, Michel, compagnon d’Emmanuelle, décède. Dès le lendemain, il va entrer en contact avec elle, lui faire écrire des messages, et c’est ainsi que ce livre va débuter.
L’histoire d’un amour transcendant
Emmanuelle Grandchamp raconte une histoire d’amour exceptionnelle avec Michel. La spiritualité est au cœur de leur lien. Leur relation, marquée par des moments de profonde connexion, témoigne de la puissance des énergies comme celles associées à la Vierge Marie. Bien que la santé physique de Michel ait été fragile, son soutien émotionnel et spirituel a joué un rôle fondamental dans leur cheminement commun. Leur amour dépasse les frontières de la vie terrestre, s’inscrivant dans une quête de sens et de spiritualité partagée.
La médiumnité et les manifestations spirituelles
Lorsque Michel quitte ce monde en décembre 2023, Emmanuelle commence à percevoir des signes et des manifestations prouvant sa présence. À travers l’écriture médiumnique, elle capte ses messages d’amour et d’espoir, confirmant que les mondes spirituels et terrestres sont intimement liés. Ces expériences sont autant de preuves que la médiumnité peut offrir un moyen de communication profond avec l’au-delà, soulignant le rôle essentiel des Guides spirituels dans ce processus.
Deuil et résilience spirituelle
Emmanuelle partage ses réflexions sur le processus de deuil et la manière dont la spiritualité peut aider à transcender la douleur. Les signes envoyés par Michel, qu’ils soient des apparitions, des sensations ou des interactions avec des objets du quotidien, lui ont permis de rester connectée à lui. Elle explique comment ces manifestations, bien qu’émotionnellement intenses, peuvent être une source de réconfort et de force pour avancer.
Une mission de partage et de transformation
Au-delà de son expérience personnelle, Emmanuelle considère que son parcours avec Michel lui donne une mission : aider ceux qui traversent le deuil. À travers ses écrits, elle souhaite démontrer que la vie continue sous une autre forme, et que l’amour reste le fil conducteur. Elle explore également les leçons spirituelles tirées de sa relation avec Michel, en insistant sur l’importance de l’ouverture d’esprit et du pardon pour accéder à une transformation intérieure.
Les enseignements des Guides et de l’énergie universelle
Michel a partagé avec Emmanuelle des enseignements précieux sur la vie après la mort, la continuité de l’âme et le rôle des Guides spirituels. Ces entités, qu’il s’agisse de proches disparus ou d’énergies supérieures, accompagnent les vivants dans leur parcours de vie, tout en respectant leur libre arbitre. Emmanuelle souligne l’importance de ces Guides pour apporter clarté et sérénité dans les moments de doute ou de difficulté.
L’importance des signes dans le quotidien
Les manifestations spirituelles ne se limitent pas aux moments de méditation ou de prière. Emmanuelle raconte comment Michel continue à se manifester à travers des objets qui bougent, des messages électroniques ou des phénomènes naturels, comme la présence récurrente de coccinelles. Ces signes sont pour elle des rappels de l’amour éternel qui les unit, et une invitation à rester ouverte aux miracles du quotidien.
Un outil de guérison : le livre comme témoignage
Emmanuelle travaille actuellement sur un livre inspiré par son expérience, dans lequel elle explore les thématiques de la réincarnation, du pardon et de la lumière spirituelle. Ce projet vise à offrir un guide pour ceux qui souhaitent mieux comprendre la continuité de l’existence et trouver des réponses à leurs propres questionnements. Elle espère que son témoignage servira d’inspiration et apportera un apaisement à ceux qui souffrent de la perte d’un être cher.
L’amour au-delà des frontières physiques
Pour Emmanuelle, son histoire avec Michel prouve que l’amour est un lien indestructible, transcendant la mort physique. Elle décrit comment cette connexion continue à nourrir sa résilience et son cheminement spirituel. L’amour, dans sa forme la plus pure, devient un moteur de transformation et une source d’inspiration infinie pour ceux qui choisissent d’y croire.
Les grandes questions sur la spiritualité et le deuil
Emmanuelle aborde des interrogations universelles qui transcendent sa propre expérience. Comment reconnaître les signes envoyés par les défunts ? Quelle est la nature des Guides spirituels ? Que signifie la continuité de l’âme dans une perspective universelle ? À travers ces thématiques, elle propose des pistes de réflexion et partage les enseignements qu’elle a reçus grâce à Michel. Elle insiste sur le fait que ces connexions ne sont pas réservées à quelques initiés, mais accessibles à tous ceux qui souhaitent s’ouvrir à la lumière.
L’histoire de Michel à tout jamais est un témoignage émouvant et universel sur la puissance de l’amour et de la spiritualité. À travers ce récit, d’une belle écriture, Emmanuelle Grandchamp invite chacun à explorer les mystères à la fois de la vie et de l’au-delà. L’amour et la lumière sont des forces éternelles qui transcendent les mondes visibles.
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Pour vous procurer ce livre magnifique
L’Inde comme un espace d’émotions et d’humanité
Christian Boisson, photographe passionné, nous invite dans un voyage visuel qui dépasse la simple contemplation. Loin des clichés, ses images capturent l’âme vibrante de l’Inde, et plus particulièrement celle du Gange , fleuve sacré.
À travers 117 photographies au format 18/27, réunies dans un ouvrage de 24/30, l’artiste offre une rencontre intime avec le sacré . Chaque cliché devient une fenêtre sur un univers spirituel riche et complexe, où se mêlent ferveur, quotidien et transcendance.
Le Gange, entre mythes et réalités
Le Gange , incarnation divine et fleuve maternel, est le fil conducteur de cette œuvre. Ses eaux, calmes ou tourmentées, accueillent les gestes des pèlerins, porteurs de rituels millénaires.
Les images de Christian Boisson révèlent des instants où le sacré et le profane se rejoignent. Une femme offre des fleurs dans un récipient flottant éclairé, un homme s’immerge lentement dans les eaux froides, tandis qu’un enfant joue, insouciant, au bord du fleuve. Chaque scène, baignée de lumière naturelle, raconte une histoire universelle.
La profondeur de la foi hindoue
Dans les gestes simples des pèlerins se cachent toute la profondeur de l’hindouisme . Les rituels capturés par l’objectif de Christian Boisson ne sont jamais artificiels, mais témoignent d’une foi vivante, ancrée dans le quotidien.
Que ce soit une prière murmurée à l’aube ou une cérémonie collective animée par des chants et des tambours, chaque image invite le spectateur à ressentir l’écho de cette spiritualité millénaire. Le Gange , avec son rôle de purification, devient le point de convergence de ces quêtes d’élévation.
Le langage des images
Les photographies de Christian Boisson possèdent une puissance narrative unique . Chacun de ses clichés évoque des sensations presque tangibles : la chaleur du soleil levant, la fraîcheur de l’eau, ou encore le bourdonnement des foules silencieuses dans la brume.
Chaque image, soigneusement composée, témoigne d’un équilibre subtil entre l’humain et le divin. En observant ces scènes, le spectateur est transporté, invité à méditer sur sa propre quête de sens.
Trois méditations visuelles
Dans ce livre, certaines images frappent par leur puissance poétique.
- Les gouttes du temps : Un vase argenté laisse échapper une cascade d’eau scintillante, symbole d’un rituel offert au fleuve. L’image capte une tendresse silencieuse, où chaque goutte devient une prière suspendue dans le temps.
- Les eaux vivantes : Des femmes rient et jouent dans le Gange, incarnant une joie brute et universelle. Autour d’elles, l’eau devient un lien entre générations, une étreinte douce qui repose chaque être à quelque chose de plus grand.
- Le silence sur l’eau : Un homme solitaire, dos tourné, contemple le fleuve dans une brume enveloppante. La barque et la structure en bois qui l’entourent traduisent une symbiose entre humilité et grandeur, entre introspection et connexion au cosmos.
Une œuvre d’art à offrir
Ce livre est bien un recueil photographique. Mais au-delà c’est un objet précieux , à la fois visuel et spirituel. Ses dimensions généreuses (24/30) et ses images minutieusement sélectionnées en font un cadeau génial pour les amateurs de voyage, de culture et de spiritualité.
Chaque page invite à la contemplation, à un voyage intérieur autant qu’extérieur. Posé sur une table basse ou soigneusement rangé dans une bibliothèque, cet ouvrage devient un compagnon de réflexion et d’émerveillement.
Une Inde intemporelle capturée dans l’instant
Les photographies de Christian Boisson nous rappellent que certains lieux et certains moments transcendent les époques. Le Gange, dans sa majesté silencieuse, devient ici un miroir de l’humanité.
À travers ses images, l’artiste parvient à cristalliser l’émotion, à figer l’éphémère pour en révéler l’éternité. Ses clichés ne sont pas des souvenirs d’un voyage, mais des fragments d’un dialogue universel entre l’homme et le sacré.
Conclusion : un hommage à la beauté du sacré
Ce livre, conçu avec une précision d’orfèvre, est une invitation à ralentir . En feuilletant ses pages, on ne découvre pas seulement l’Inde et ses rituels, mais aussi une part de soi.
Entre lumière et brume, gestes sacrés et regards pleins d’humanité, l’œuvre de Christian Boisson est un hommage vibrant à la beauté du monde et à la spiritualité universelle.
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Le soir d’hiver enveloppe le monastère dans un silence mélodieux, interrompu uniquement par les chants grégoriens qui s’élèvent comme des vagues mystiques, témoignant de la présence divine. Chaque mot, chaque silence, semble peint avec les pinceaux d’une divinité qui transcende le réel, plaçant les moines et leurs hôtes dans un espace entre ciel et terre.
“Sagesse Cachée des Monastères” nous invite dans ce monde mystérieux et sacré, un endroit où la foi est plus qu’un mot, elle est une expérience vécue, un passage intime qui guide l’âme vers des eaux plus profondes. L’auteur nous dévoile un monde où le chant des bénédictins imprègne l’air, chaque note portant la promesse de l’éternité.
Le livre est une exploration, une rencontre avec des âmes qui ont trouvé leur repos dans le sacré, et pourtant, il ne s’agit pas d’une fuite du monde, mais d’une immersion plus profonde en lui. À travers les récits des monastères, le lecteur est invité à un voyage qui est autant intérieur qu’extérieur. Entre les murs de pierres séculaires, une sagesse ancienne résonne, offrant des réponses aux questionnements éternels de l’humanité.
Sœur Aubierge, une figure clé, dévoile une malice et une sagesse qui défient le temps. Son récit, intense et illuminé, est un miroir dans lequel le lecteur peut se voir, non pas comme un être fini, mais comme une âme en voyage. Le monastère n’est pas une fin, mais un passage, une porte qui s’ouvre vers une lumière qui ne connaît pas de déclin.
Le silence et la solitude ne sont pas une privation, mais une plénitude, un espace où le divin se révèle dans son intégralité. Les mots sont insuffisants pour capturer l’essence de cette rencontre. C’est une danse de l’âme, un écho du divin qui résonne à travers les âges, invitant chaque lecteur à une danse sacrée qui transcende le temps et l’espace.
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Quelques présentations selon la sensibilité de chacun
- Dans les dédales silencieux de ces pierres sacrées, où l’écho d’une prière se perd depuis des siècles, ce livre nous révèle les mystères que même Notre-Dame pourrait envier. “Sagesse cachée des monastères” est un hymne à l’éternité, une quête de lumière dans les ombres de notre existence.
- C’est un livre simple, direct. Des moines, des murs anciens, des chants. La vérité est là, dans le silence entre les mots. “Sagesse cachée des monastères” est une rencontre avec l’éternité, sans fioritures.
- Dans le cadre solennel des monastères, où chaque pierre semble raconter une histoire d’amour et de dévotion, ce livre offre un aperçu des passions subtiles et des délices spirituels qui animent le cœur de ces résidents pieux.
- Au milieu du faste et de la frénésie du monde moderne, il y a un sanctuaire où l’éclat de la sagesse brille plus lumineusement que n’importe quelle fête. “Sagesse cachée des monastères” est ce sanctuaire en papier, une invitation à une élégance spirituelle.
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Les textes sacrés de la tradition tantrique du Cachemire, le Vijñanabhairava Tantra, inspirent à Nathalie Delay un yoga de l’instant. Revenir à notre vraie nature. Découvrir l’ultime, la non-dualité, entrer en contact direct avec nos perceptions, nos émotions, nos pensées et nos actes, pour revenir vers notre vraie nature.
« Ce que nous avons ici est irrésistible. Nous devons remercier Nathalie d’avoir su humblement et lumineusement rendre à ce texte son sens universel au-delà de ses spécificités religieuses traditionnelles. »
La joie de manger et de boire
Lors de l’expansion causée par la joie de savourer nourriture et boisson, adhérer de tout son ête à cet état d’abondance et devenir la suprême Félicité
Les ASMR – La joie de manger et de boire
Créations originales de Jean-Marc Blancherie, à partir du texte de l’auteur
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Ecoutez le podcast ***
Lieux sacrés : Mathieu LOURS et Benoit de SAGAZAN sur KTO
Le livre édité par Larousse “100 destinations pour s’éveiller à la spiritualité” pose d’emblée la question. Une question que l’auteur, Clare Gogerty, a dû se poser pour choisir ces 100 lieux… et elle ne s’est pas trompée.
Sa première réponse est sans doute la plus intéressante : ce sont des lieux qui recèlent une inexplicable magie. Ils suscitent en nous une impression profonde et mémorable.
Je pense en fait que c’est notre part de sacré qu’éveille le lieu. Un moment dans l’espace et le temps lui fait écho et résonne.
L’auteur nous parle aussi des voyages qui transforment. C’est au retour que nous le savons : “il s’est produit un changement intérieur, un approfondissement de la conscience de soi.”
L’intériorité et le lieu partagent une vibration, aménagent un espace où l’âme et le monde se rencontrent.
Nous avons aimé
Quelques conseils pour un voyage d’éveil spirituel
1 ÉCOUTEZ L’APPEL
Y a-t-il un lieu qui vous attire plus particulièrement ? Êtes-vous prêt à vous lancer dans une quête spirituelle, une quête de sens ? Prenez conscience des lieux et des idées qui trouvent un écho en voUs. Suivez leur appeL Qui sait où cela vous mènera…
2 PRÉPAREZ-VOUS AU VOYAGE
Faites des recherches sur les lieux que vous allez visiter servez-vous de ce livre comme point de départ !
Tracez un itinéraire approximatif en laissant suffisamment de place à la spontanéité.
3 FRANCHISSEZ LE SEUIL
Les préparatifs sont terminés, le voyage commence.
4 VOYAGEZ INTENTIONNELLEMENT ET EN PLEINE CONSCIENCE
Partez dans l’intention de vous imprégner de la sagesse de cultures différentes de la vôtre. Investissez-vous mentalement et émotionnellement dans vos pérégrinations. Regardez vraiment ce qui s’offre à vous. Arrêtez-vous souvent pour réfléchir à ce que vous voyez. Accueillez les gens en gardant l’esprit ouvert. Marchez d’un pas léger. Soyez attentif. Notez vos expériences dans un journal.
5 RENTREZ CHEZ VOUS ET RÉFLÉCHISSEZ
Songez à la signification de votre voyage et aux changements qui se sont opérés en vous.
6 CONTINUEZ À CHANGER
Appliquez ce que vous avez appris dans votre vie quotidienne, Continuez à évoluer. Le voyage extérieur a beau être terminé, le voyage intérieur ne fait que commencer.
Voyages spirituels, tourisme
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L’amour
Ce mystérieux sentiment inconditionnel des animaux présents à nos cotés est une opportunité inespérée pour sortir de siècles de conditionnements qui nous ont désorientés de notre désir, nous éloignant de notre nature authentique. Nous pouvons retrouver le chemin de cette première source accessible qui nous ramènera progressivement a considérer une source première, à la fois plus lointaine mais si proche ; je l’appellerai Source divine, christique Source de vie. A cette condition, nous pourrons nous libérer progressivement de nos monstres intérieurs qui hantent depuis si longtemps notre abîme d’inconscience comme des ombres captivantes de notre caverne. Séparés du dedans, la folie meurtrière s’est emparée de l’esprit humain. Elle cessera son emprise dans la conscience d’être de nouveau reliés à la grande toile cosmique qui enveloppe et harmonise tout ce qui est. Il nous faut donc remettre en dedans de nous ce que nous avons, pendant si longtemps, projeté en dehors. Pour cela, il est nécessaire de comprendre la réalité extérieure comme une création illusoire à interpréter. A cette condition seulement, nous pouvons accéder au monde sensible, celui que les animaux connaissent bien et que notre âme vient reconnaître ici-bas à travers l’expérience humaine.
Tout est vivant de nous et nous sommes vivants du tout
Tout attend d’être contacté et c’est cette expérience que nous faisons quand nous vivons au plus près de la nature extérieure ou de notre intériorité, ou bien des deux ! La résurgence du chamanisme et, comme nous le disions plus haut, la parole donnée progressivement aux peuples autochtones montrent à quel point nous avons besoin de rester cri lien avec notre nature « sauvage » qui est avant tout énergétique, Mais celle-ci nous effraie comme nous paraît hostile ce monde fascinant de nos propres profondeurs parce qu’il s’en racine dans des temps immémoriaux quand la conscience n était pas encore émergente. Nous touchons là au vaste champ de l’inconscient si cher à l’expérience intérieure (le C. Jung. L’être humain porte en lui les mémoires des différents règnes. C’est ainsi que, pendant la vie intra-utérine et jusque vers trois ans, l’enfant passe par tous ces stades et récapitule la phylogénèse (histoire de l’évolution des espèces). Les médecines traditionnelles ne s’y trompent pas quand elles nous soignent avec la lithothérapie grâce au minéral, avec la phytothérapie et l’aromathérapie grâce au végétal et enfin avec des substances actives extraites d’animaux en homéopathie. La recherche s’est même emparée du domaine des venins par exemple pour proposer des applications thérapeutiques scientifiquement validées.
L’âme, une énergie
Revenons sur une notion qui n’est pas toujours très claire : celle de l’âme. Nous devons avant tout la considérer comme une énergie, ce qu’elle est bien évidemment. Mais le préciser permet d’éviter l’éternelle préoccupation comptable ! En effet, nous sommes tellement identifiés à notre individualité que nous assimilons l’âme à notre corps. Pour la plupart des gens, une personne = une âme. Mais la réalité spirituelle est bien plus complexe et il conviendrait davantage de raisonner en termes de collectif (un soleil) dont les rayons sont les émanations qui viennent déclencher l’expérience dans la matière à travers tous les règnes. L’espèce humaine porte donc l’émanation qui est à la fois dans le minéral, le végétal et l’animal. Ce n’est pas une question de chronologie, de temporalité, mais de coexistence. La seule différence réside dans l’éveil de la conscience qui embrasse simultanément tous les règnes. Cette conscience est Une, c’est pourquoi il est possible d’entrer en contact avec l’ensemble du vivant à tout instant. Le primatologue Frans de Waal donne cette image toute simple de l’iceberg : sa partie immergée, la plus importante, correspond à ce qui réunit toutes les espèces animales, nous compris. La minuscule partie émergée correspond à la spécificité humaine. Les sciences humaines sont dingues de ce tout petit bout-là ! Mais pour moi, scientifique, l’iceberg est intéressant dans son ensemble.
Notre nature sauvage
(…) nous avons besoin de rester en lien avec notre nature « sauvage » qui est avant tout énergétique, Mais celle-ci nous effraie comme nous paraît hostile ce monde fascinant de nos propres profondeurs parce qu’il s’en racine dans des temps immémoriaux quand la conscience n était pas encore émergente. Nous touchons là au vaste champ de l’inconscient si cher à l’expérience intérieure (C. Jung). L’être humain porte en lui les mémoires des différents règnes. C’est ainsi que, pendant la vie intra-utérine et jusque vers trois ans, l’enfant passe par tous ces stades et récapitule la phylogénèse (histoire de l’évolution des espèces). Les médecines traditionnelles ne s’y trompent pas quand elles nous soignent avec la lithothérapie grâce au minéral, avec la phytothérapie et l’aromathérapie grâce au végétal et enfin avec des substances actives extraites d’animaux en homéopathie. La recherche s’est même emparée du domaine des venins par exemple pour proposer des applications thérapeutiques scientifiquement validées.
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Un témoignage. A la fois d’émotions et de découverte spirituelle
Ce livre inattendu de Christophe André révèle à chacun ce qui a été pour l’auteur sa propre révélation : un besoin immense de consolation, qui reste souvent masqué derrière d’autres problématiques. Il nous propose ici tout un “art de la consolation”
Extrait
Biophilie et bioconsolation (la nature)
Il suffit d’ouvrir un livre témoignant de la traversée d’épreuves de toutes sortes pour découvrir que la nature y est souvent une source immense de réconfort. Et que ses bienfaits vont bien au-delà d’une simple fuite d’un réel trop douloureux; ils relèvent davantage d’une intelligence vitale et profonde, d’un réflexe immémorial.
Se tourner vers la nature lorsqu’on est dans la peine et l’adversité, c’est plus qu’une distraction, c’est une forme de consolation. Qui prend le visage d’une régression, mais consolante : une régression comprise comme un réenracinement. Redevenir des animaux, voire des végétaux, sans mots et donc sans maux superflus. Etty Hillesum écrit ainsi : « Il faut devenir aussi simple et aussi muet que le blé qui pousse ou la pluie qui tombe. Il faut se contenter d’être93. » En quittant le monde du mental, on découvre qu’on peut quitter parfois l’univers de la souffrance mentale et se contenter d’affronter l’adversité qui est là, sans en rajouter par nos pensées.
À la source de l’amour des humains pour la nature, se trouve la biophilie : ce sentiment obscur et profond que notre place est là, et que s’y trouve aussi l’essentiel de ce qui peut nous nourrir, nous porter, nous réparer, nous consoler. L’audelà est peut-être magnifique, tout y sera peut-être restauré et réparé, toutes nos blessures y seront peut-être guéries pour toujours ; mais l’ici-bas est consolateur…
Les consolations de la nature vont au-delà d’une aide ponctuelle, liée à un instant de soulagement offert par sa contemplation. Elles s’exercent aussi sur la durée, pour tenir bon face à une adversité prolongée, comme le raconte Rosa Luxemburg :
Lettre du 15 mars 1917 : Et à la fin, sans doute, tout s’éclaircira […]; après tout, je me réjouis déjà tellement de la vie.
Tous les jours je rends visite à une toute petite coccinelle rouge avec deux points noirs sur le dos, que je maintiens en vie depuis une semaine sur une branche, malgré le vent et le froid, dans un chaud bandage de coton
A testimony. Both emotional and spiritual discovery
This unexpected book by Christophe André reveals to everyone what was for the author his own revelation: an immense need for consolation, which often remains hidden behind other problems. Here he proposes a whole «art of consolation»
Excerpt
Biophilia and bioconsolation (nature)
It is enough to open a book testifying to the crossing of trials of all kinds to discover that nature is often an immense source of comfort. And that its benefits go far beyond a mere flight from a reality that is too painful; they are more the result of a vital and profound intelligence, of an immemorial reflex.
To turn to nature when one is in pain and adversity is more than a distraction, it is a form of consolation. Which takes the face of a regression, but consoling: a regression understood as a re-engagement. To become again animals, or even plants, without words and therefore without superfluous evils. Etty Hillesum writes: “You have to become as simple and as dumb as the wheat that grows or the rain that falls. You have to be content to be.” When we leave the world of the mind, we discover that we can sometimes leave the universe of mental suffering and be content to face the adversity that is there, without adding anything by our thoughts.
At the source of human love for nature is biophilia: the obscure and profound feeling that our place is there, and that there is also the essence of what can nourish us, carry us, repair us, console us. The Aude may be beautiful, everything may be restored and repaired, all our wounds may be healed forever; but the here below is comforting…
The consolations of nature go beyond a one-time help, linked to a moment of relief offered by his contemplation. They also last for a long time to keep up with prolonged adversity, as Rosa Luxemburg says:
Letter of March 15, 1917: And in the end, no doubt, everything will be clear […]; after all, I am already so happy with life.
Every day I visit a tiny little red ladybug with two black dots on my back, which I have kept alive for a week on a branch, despite the wind and the cold, in a warm cotton bandage
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Extraits
« Si tu nies pas très occupé, médite vingt minutes ; si tu es occupé, médite une heure, » SAGESSE ZEN
J’enquêtais sur un phénomène de la méditation quand je découvris la formation à la pleine conscience. Huit semaines pour apprivoiser une pleine présence au quotidien. Cet art de l’attention est inspiré des pratiques et connaissances de la philosophie bouddhiste et éclairé par la recherche actuelle en sciences du cerveau et de la pensée. Cette pratique individuelle répond à nos besoins contemporains de ralentir, de faire preuve d’attention et de douceur pour mieux se reconnecter avec soi et avec le monde
UNE CONSCIENCE EN MARCHE
Si la présence était une science, elle s’appellerait pleine conscience. Une qualité d’attention dans le mouvement de la vie que je découvre ce matin clair de juin face au splendide panorama d’un paysage alsacien.
Lentement, je déroule mon pas, attaque par le talon, puis tout en douceur avance la plante du pied, maintenue un instant comme en suspension. L’équilibre se cherche à quelques centimètres du sol, puis le pied tout entier se déploie et la pointe enfin se pose…
Et je recommence de l’autre côté. Voici près d’une heure qu’en cette journée printanière, sur les hauteurs du mont Sainte-Odile, nous nous essayons à la marche méditative. Sur la terrasse qui surplombe la forêt vosgienne, quelques spectateurs interloqués n’osent ni commenter ni traverser. Car le ballet au ralenti d’une vingtaine de pratiquants, certains nu-pieds et regards perdus vers l’horizon boisé, a de quoi dérouter le touriste pressé. Quelques-uns, séduits, nous ont emboîté le pas. D’autres sont passes, furtifs, sur la pointe des pieds. Un grand silence s’est installé sur l’esplanade, dédiée d’ordinaire aux pèlerins réguliers et aux randonneurs bien chaussés.
La marche lente est l’une de mes toutes premières leçons de « pleine conscience ». Ou comment m’entraîner à garder tout au long de mes journées et de mes activités le fil de l’attention… C’est dans le ralentissement volontaire de mes pas, dans un regard ouvert et disponible à ce qui est, que je me rends présente de tous mes neurones à mon environnement mouvement de la vie que je découvre ce matin clair de juin face au splendide panorama d’un paysage alsacien. Lentement, je déroule mon pas, attaque par le talon, puis tout en douceur avance la plante du pied, maintenue un instant comme en suspension. L’équilibre se cherche à quelques centimètres du sol, puis le pied tout entier se déploie et la pointe enfin se pose… Et je recommence de l’autre côté. Voici près d’une heure qu’en cette journée printanière, sur les hauteurs du mont Sainte-Odile, nous nous essayons à la marche méditative. Sur la terrasse qui surplombe la forêt vosgienne, quelques spectateurs interloqués n’osent ni commenter ni traverser. Car le ballet au ralenti d’une vingtaine de pratiquants, certains nu-pieds et regards perdus vers l’horizon boisé, a de quoi dérouter le touriste pressé. Quelques-uns, séduits, nous ont emboîté le pas. D’autres sont passes, furtifs, sur la pointe des pieds. Un grand silence s’est installé sur l’esplanade, dédiée d’ordinaire aux pèlerins réguliers et aux randonneurs bien chaussés.
La marche lente est l’une de mes toutes premières leçons de « pleine conscience ». Ou comment m’entraîner à garder tout au long de mes journées et de mes activités le fil de l’attention… C’est dans le ralentissement volontaire de mes pas, dans un regard ouvert et disponible à ce qui est, que je me rends présente de tous mes neurones à mon environnement
Comme pour chaque thème, l’autrice nous propose des exercices
Ici… devinez… tout simplement : pratiquez une de vos habitudes quotidiennes en ralentissant chaque geste
Méditer comme la montagne
Méditer la montagne c’est apprendre faire l’expérience du changement dans la tranquillité. Le corps assis devient la montagne, la tète son sommet, les bras ses côtés, le bassin et les jambes sur le coussin sa base inébranlable. Passent le jour et la nuit, le vent et les intempéries, et la montagne est toujours là, immuable. L’exercice me ramène ma nature changeante : comme les incertitudes de la météo, des émotions, imprévisibles, me traversent. Méditer, je le comprends, n’est pas s’extraire du mouvement de la vie pour s’en protéger, mais se laisser toucher sans perdre pour autant sa stabilité. En demeurant cette base solide sur laquelle les autres peuvent compter.
ET VOUS ? des exercices
Voulez-vous méditer comme la montagne ?
Assis, respirant, le dos droit, stable sur un coussin, visualisez le sommet de votre choix, une belle montagne avec sa base solide enracinée dans la roche et son sommet élancé qui tutoie les nuages Vous y êtes ? Alors vous pouvez maintenant « intégrer » cette montagne en vous, accueillir sa force et sa dignité.
Vous pouvez retrouver le détail de cette pratique dans des CD de méditation.