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Prendre soin de mes parents qui vieillissent

L’ouvrage Prendre soin de mes parents qui vieillissent d’Annick Taquet-Assoignons aborde une problématique universelle mais souvent négligée : le rôle de l’enfant aidant face à la vieillesse et la dépendance de ses parents. L’intention de l’auteure est claire : offrir des outils de réflexion et de gestion à ceux qui se retrouvent dans cette position, souvent imposée et peu préparée. Voici un résumé détaillé de l’intention, du message, de l’approche et de la méthode de l’auteure, ainsi que sa singularité :

Annick Taquet-Assoignons vise à sensibiliser et accompagner les “enfants aidants”, ceux qui prennent soin de leurs parents âgés et souvent dépendants. Elle cherche à reconnaître la complexité émotionnelle et physique de ce rôle, tout en offrant des outils concrets pour mieux l’appréhender. L’auteure souhaite prévenir l’épuisement et les difficultés psychologiques qui en découlent, en mettant l’accent sur l’importance de protéger ses propres ressources.

Le message central du livre est que la prise en charge d’un parent vieillissant n’est pas une tâche simple, ni naturelle, et qu’elle peut avoir un impact profond sur la vie personnelle, émotionnelle et sociale de l’aidant. Il est essentiel de ne pas négliger son propre bien-être, tout en assumant cette responsabilité. Le livre propose de réhabiliter ce rôle, souvent vu comme un devoir, en montrant qu’il est possible de trouver un équilibre entre l’aide apportée au parent et le respect de ses propres limites.

L’approche de l’auteure est à la fois personnelle et professionnelle. Elle utilise des témoignages, des expériences personnelles et son expertise en psychologie pour aborder les multiples facettes du rôle d’aidant. Le livre est structuré pour guider les lecteurs dans une réflexion progressive sur leur propre situation, en posant des questions à chaque étape pour les amener à prendre du recul sur leurs responsabilités.

Chaque chapitre aborde une thématique liée à la prise en charge d’un parent vieillissant, suivi de questions introspectives et de conseils pratiques.

 Cette méthode vise à permettre aux aidants de mieux comprendre leur situation, d’identifier les domaines où ils se sentent en difficulté et d’appliquer des stratégies concrètes pour améliorer leur quotidien. L’auteure met aussi en avant des outils spécifiques, comme l’échelle de Zarit, pour évaluer la charge mentale et physique.

  1. La perte d’autonomie du parent
  • Thématique : La perte d’autonomie du parent peut être progressive ou soudaine, causant un bouleversement familial.
  • Réponses essentielles :
    • L’importance de préserver la dignité et l’autonomie du parent, même en situation de dépendance.
    • La nécessité pour l’enfant aidant de trouver un équilibre entre l’aide apportée et la non-infantilisation du parent.
    • Recommandation de valoriser les petites réussites du parent plutôt que de se focaliser sur ses échecs​ .
  1. Un « fardeau » trop lourd à porter ?
  • Thématique : Le sentiment de fardeau ressenti par les aidants, souvent écrasant.
  • Réponses essentielles :
    • Utilisation de l’échelle de Zarit pour évaluer l’ampleur du fardeau.
    • L’aidant est encouragé à revenir régulièrement sur cette évaluation pour mieux comprendre sa situation émotionnelle et matérielle​.
  1. Des pertes et des deuils
  • Thématique : Les pertes (physiques, émotionnelles) et les deuils associés à la maladie du parent.
  • Réponses essentielles :
    • Chaque étape de la maladie entraîne une nouvelle forme de deuil.
    • L’aidant doit s’adapter à ces pertes tout en évitant de se laisser submerger par la tristesse​ ​ .
  1. Pourquoi moi ?
  • Thématique : Pourquoi certains enfants prennent la responsabilité principale d’aidant.
  • Réponses essentielles :
    • Les motivations des enfants aidants varient (solidarité, sentiment de dette, désir de reconnaissance).
    • La perception de ce rôle peut être influencée par des attentes familiales ou sociétales​ .
  1. Et lorsque je suis un professionnel de la santé ?
  • Thématique : Le cas des aidants qui sont aussi professionnels de la santé.
  • Réponses essentielles :
    • Distinguer son rôle de soignant et celui de proche est difficile.
    • L’importance de déléguer certaines tâches pour préserver la relation parent/enfant​ .
  1. Des besoins ?
  • Thématique : Reconnaître les besoins des aidants.
  • Réponses essentielles :
    • Les besoins de l’aidant sont souvent ignorés ou mis de côté.
    • Il est crucial de reconnaître ces besoins pour éviter l’épuisement et maintenir un équilibre​ .
  1. Où et comment m’informer ?
  • Thématique : Les sources d’information pour les aidants.
  • Réponses essentielles :
    • Rechercher des ressources et des informations sur les aides disponibles peut soulager la charge mentale et logistique de l’aidant.
  1. Gérer mes émotions
  • Thématique : La gestion des émotions des aidants, souvent contradictoires.
  • Réponses essentielles :
    • Reconnaître et accepter ses émotions (colère, tristesse, amour) est essentiel pour préserver une relation saine avec le parent malade.
    • La gestion des émotions passe par la pleine conscience et des techniques comme l’Analyse Transactionnelle​ ​ .
  1. Développer mon assertivité
  • Thématique : L’importance de l’assertivité dans la relation aidant/parent.
  • Réponses essentielles :
    • L’assertivité permet de poser des limites et de protéger ses propres besoins tout en respectant ceux du parent​

 

Ce qui distingue cet ouvrage, c’est l’attention particulière portée à l’aspect émotionnel et psychologique du rôle d’aidant. L’auteure n’hésite pas à aborder les sentiments négatifs, comme la colère, la culpabilité, et la tristesse, tout en soulignant que ces émotions sont normales et doivent être reconnues. Sa vision se démarque par l’idée que devenir l’aidant de son parent n’est pas seulement un devoir filial, mais un chemin qui demande une adaptation psychologique profonde. Enfin, elle insiste sur l’idée que ce rôle peut révéler des aspects inattendus des relations familiales, tant positifs que négatifs, et qu’il est important de se préparer à ces changements.

Questions clés à se poser en tant que lecteur

  1. Comment me suis-je retrouvé dans ce rôle d’aidant ? Est-ce une obligation ou un choix ?
  2. Quels sont les impacts émotionnels que ce rôle a sur ma vie quotidienne ?
  3. Ai-je identifié mes limites dans ce rôle ? Comment puis-je les respecter sans culpabiliser ?
  4. Comment équilibrer mon besoin de prendre soin de mes parents tout en préservant mon propre bien-être ?
  5. Comment puis-je demander de l’aide ou déléguer certaines responsabilités sans me sentir dévalorisé ?
  6. Est-ce que j’accepte ou refuse la réalité de la maladie et de la dépendance de mon parent ?
  7. Comment gérer mes relations avec les autres membres de ma famille autour de cette responsabilité partagée ?
  8. Quelles stratégies puis-je mettre en place pour éviter l’épuisement émotionnel et physique ?

La spiritualité dans ce livre

Dans Prendre soin de mes parents qui vieillissent, la spiritualité apparaît sous diverses formes, particulièrement dans le lien entre l’âme et le corps. L’auteur, Annick Taquet-Assoignons, consacre un chapitre intitulé Les soins de l’âme et du corps pour aborder cette dimension. Le message central de ce chapitre est que la prise en charge d’un parent vieillissant ne concerne pas seulement le physique, mais aussi l’aspect spirituel et émotionnel de l’aidant et du parent.

L’ambivalence

L’auteure explore l’idée d’ambivalence émotionnelle, une coexistence simultanée de sentiments opposés. Cette ambivalence, dit-elle, est omniprésente chez l’aidant, qui ressent à la fois de l’amour et de la frustration, de la tendresse et de l’épuisement. Elle compare cette ambivalence à une lutte intérieure entre un “ange” et un “démon” (référence à Milou dans Tintin), des voix qui symbolisent les forces opposées dans le psychisme de l’aidant. Cette lutte révèle l’aspiration à prendre soin et à changer tout en se sentant prisonnier de ses obligations .

La parole intérieure et la pleine conscience

Le livre incite les aidants à se libérer de leur parole intérieure constante, ce flux de pensées qui accompagne leur quotidien et peut devenir oppressant. L’auteur propose de cultiver la pleine conscience (mindfulness), une pratique spirituelle qui permet de se concentrer sur l’instant présent, de mettre de côté les pensées négatives et de retrouver une forme de paix intérieure. Cette approche, bien que simple en apparence, exige une attention quotidienne, en particulier pour ceux qui, comme les aidants, vivent des situations émotionnellement et physiquement éprouvantes .

La méditation, intégrée dans la pratique de la pleine conscience, est également proposée comme un moyen de se reconnecter à soi-même et de prendre du recul par rapport aux difficultés du quotidien. En faisant cet “arrêt sur image”, les aidants peuvent mieux comprendre leurs insatisfactions et ainsi puiser dans leurs ressources internes pour trouver un équilibre entre leurs pensées positives et négatives .

La bienveillance envers soi-même

Dans une approche profondément spirituelle, l’auteure exhorte les lecteurs à faire preuve de bienveillance envers eux-mêmes, à accepter leurs erreurs et à ne pas se juger trop sévèrement. La quête de perfection, souvent présente chez les aidants, est une source de souffrance, et la pratique spirituelle devient ici un moyen de renouer avec l’acceptation de soi et la réalité de ses limites .

Une histoire imaginée à la lecture de ce livre

En un temps lointain, dans une maison nichée entre collines et forêts, vivait une femme prénommée Catherine, qui autrefois, avec une gaieté naturelle, trouvait le monde empli de mélodies. Pourtant, la lumière de sa joie s’était estompée, car un fardeau invisible s’était posé sur ses frêles épaules : sa mère, autrefois vive et alerte, était désormais prisonnière des rets de l’âge. Catherine, veuve de longue date et mère de deux fils, se tenait, seule et résignée, dans l’ombre du devoir filial. Son cœur était lourd, oppressé par les devoirs quotidiens qui s’imposaient à elle depuis que la déchéance physique de sa mère avait pris le pas sur leur relation d’antan.

Chaque matin, le chant du coq annonçait une nouvelle journée de lutte, non contre un dragon ou un chevalier ennemi, mais contre le temps, ce dévoreur implacable. “Autrefois,” pensait-elle, “je pouvais savourer des heures paisibles, occupée à mes propres affaires. Mais désormais, ma vie n’est plus la mienne.” Ses rêves d’indépendance, longtemps construits avec soin, s’étaient dissipés comme la brume au lever du jour. Désormais, elle passait ses journées à s’occuper de sa mère, tout en contemplant de loin ces heures précieuses qu’elle espérait un jour retrouver.

Un matin d’hiver, alors que les premières lueurs du jour teintaient les cimes des arbres, Catherine s’en allait chercher sa mère, celle-ci alitée et incapable de se lever seule. Tandis qu’elle se penchait sur le corps frêle et recroquevillé, elle sentit une ombre s’étendre dans son cœur, une colère sourde qui, jusque-là, avait été refoulée. Cette colère, cette frustration, n’était point dirigée contre sa mère, mais plutôt contre la destinée cruelle qui avait inversé les rôles entre elles.

Sa mère, autrefois maîtresse de maison et pilier de la famille, se tenait là, dépendante, fragile, semblable à un enfant. “Pourquoi dois-je porter seule ce fardeau ?” se demandait Catherine. Elle n’avait point de frères ou de sœurs avec qui partager cette tâche harassante. “Je n’ai jamais imaginé que ma vie, celle que j’avais envisagée sereine et libre, se transformerait en une suite interminable de soins et de sacrifices.”

Les semaines passaient, et la tension entre les deux femmes ne faisait que croître, malgré le silence qui régnait dans la demeure. Ce silence, tel un poison, s’insinuait dans chaque recoin de leur relation. Catherine voulait aimer sa mère comme autrefois, mais chaque soin apporté, chaque heure passée à la toilette, à préparer les repas ou à l’assister pour ses besoins les plus élémentaires, lui semblait une perte de sa propre vie, un coup de poignard dans ses propres rêves. “Comment supporter cette charge sans perdre mon âme ?” pensait-elle chaque nuit avant de sombrer dans un sommeil agité.

Puis, un jour, alors qu’elle s’évertuait à maintenir les apparences de la sérénité, la colère refoulée éclata. “Mère,” dit-elle avec un ton qu’elle ne se reconnaissait point, “je ne puis plus porter ce poids seule. Pourquoi suis-je la seule à m’occuper de toi ? Ai-je été désignée ainsi par quelque sortilège ? Où sont les autres, ceux qui devraient aussi veiller sur toi ?”

Sa mère, ébranlée par ces mots, la regarda avec des yeux emplis de tristesse et de désarroi. “Ma chère fille,” répondit-elle avec une voix tremblante, “je n’ai jamais voulu que tu deviennes ma seule gardienne. Mais le destin nous a piégées toutes deux. Je suis prisonnière de mon corps défaillant, et toi, tu es prisonnière de ton devoir envers moi.”

Ces paroles résonnèrent dans le cœur de Catherine comme une cloche lourde de sens. La rage s’effondra, laissant place à une immense tristesse. Elle comprit alors que sa mère aussi était enchaînée par cette situation. Elles étaient toutes deux captives, non pas l’une de l’autre, mais des aléas impitoyables du temps.

Les jours qui suivirent, Catherine chercha des réponses dans les écrits anciens et dans les conseils de sages, espérant découvrir comment alléger ce fardeau partagé. Elle apprit qu’il était possible de demander de l’aide, de ne point porter seule cette charge. Et, bien que la culpabilité ne disparût point totalement, elle trouva des moyens de déléguer certaines tâches à d’autres, pour que son cœur puisse, ne serait-ce que pour quelques instants, retrouver une once de légèreté.

Ainsi, l’histoire de Catherine et de sa mère devint une leçon pour ceux qui, tels des chevaliers affrontant des batailles invisibles, luttaient contre l’usure des années et les responsabilités imposées par le destin.

Écoutons notre petite musique

Dans “Écoutons notre petite musique”, Catherine Mirande nous livre une réflexion intime et universelle sur la résilience et l’espoir face aux épreuves de la vie. Cet ouvrage, publié en 2024 par Les Éditions du Panthéon, est une invitation à la réflexion sur notre capacité à surmonter les aléas et les tragédies qui jalonnent notre existence. À travers une prose empreinte de sensibilité et de justesse, Catherine Mirande nous guide dans un voyage introspectif et réparateur, dévoilant les différentes étapes de la reconstruction personnelle après un choc ou une perte.

L’auteure, qui a elle-même été frappée par le deuil soudain de son père, partage avec courage et authenticité son processus de guérison, proposant au lecteur de l’accompagner dans cette quête de sens. Elle nous rappelle que, malgré les drames, les pandémies et les catastrophes naturelles qui secouent notre monde et notre intimité, il existe toujours une lumière au bout du tunnel. “Écoutons notre petite musique” est un hymne à la vie, invitant à l’écoute de notre musique intérieure pour retrouver la voie de la joie et de l’épanouissement.
Catherine Mirande s’adresse à tous ceux qui ont été confrontés à la douleur et à la solitude, mais aussi à ceux qui cherchent à comprendre le chemin de la résilience. Les personnes en quête de réconfort, d’inspiration ou simplement curieuses de comprendre les mécanismes du deuil et de la reconstruction trouveront dans ce livre un compagnon précieux et éclairant.

“Écoutons notre petite musique” intéressera particulièrement les personnes en deuil, les lecteurs en recherche de sens après une épreuve, les amateurs de récits de vie inspirants, ainsi que les professionnels de l’accompagnement et de la santé mentale à la recherche d’une source de réflexion et de compréhension des processus de résilience.

Le Reflet de la Rivière

La rivière s’écoulait paisiblement, bordée de saules pleureurs dont les branches effleuraient la surface de l’eau. C’était là que Solène aimait se réfugier, loin du tumulte de la ville, emportant avec elle “Écoutons notre petite musique” de Catherine Mirande. Elle ouvrait le livre à une page au hasard, comme si le destin devait choisir les mots qu’elle devait lire. Ce matin-là, les mots de Catherine Mirande résonnèrent particulièrement en elle. Le chapitre sur la résilience semblait faire écho à sa propre histoire, une mélodie silencieuse qui n’attendait que d’être entendue. Solène posa le livre sur ses genoux, les yeux perdus dans le courant, et laissa son esprit voguer.

“Pourquoi suis-je ici ?”, se demanda-t-elle. La question n’était pas géographique. Elle savait pourquoi elle avait choisi ce lieu, pour son calme, pour la sérénité qu’il dégageait. Sa question était plus profonde, plus introspective. “Pourquoi suis-je encore à lutter, à survivre plutôt qu’à vivre ?” Elle se rappela soudain d’une scène décrite par Catherine Mirande, où l’auteure, après la perte soudaine de son père, trouvait refuge dans la simplicité d’un moment partagé avec un inconnu, qui, sans le savoir, avait apporté un réconfort inattendu. “La vie continue, malgré tout,” se répétait Solène, “et c’est dans les petits riens qu’elle trouve son écho.”
La veille, lors d’une réunion, elle avait tenté d’appliquer cette philosophie. Thomas, son collègue, semblait perdu, l’ombre de lui-même depuis plusieurs semaines. Solène, inspirée par son livre, avait choisi de rompre son habituelle réserve pour lui demander simplement comment il allait. L’échange qui s’en était suivi avait été bref mais intense. Thomas s’était confié sur la perte récente de sa mère. Solène l’avait écouté, sans jugement, offrant juste sa présence. Elle avait vu ses épaules se détendre, comme si ce simple acte d’écoute avait allégé son fardeau. Solène sourit, réalisant que, malgré ses propres tourments, elle avait été capable de tendre la main. “Peut-être que, finalement, je commence à comprendre,” songea-t-elle. “La petite musique dont parle Catherine Mirande… n’est-ce pas justement ce partage, ce soutien que l’on peut apporter aux autres, même quand on est soi-même brisé ?” Elle se leva, déterminée. La rivière, avec son flot constant, lui semblait maintenant une métaphore de sa propre vie : il y avait des remous, des obstacles, mais l’eau trouvait toujours son chemin. Elle aussi, elle trouverait le sien.
De retour au bureau, elle affronta son quotidien avec une nouvelle perspective. Les difficultés ne disparaissaient pas, mais sa manière de les aborder avait changé. Elle s’ouvrait plus, partageait davantage, écoutait vraiment. Et chaque soir, elle revenait à la rivière, à son livre, renouvelant son dialogue intérieur, approfondissant sa compréhension de cette “petite musique” qui, désormais, guidait ses pas.

Répétons en divers styles  


1. Récit classique

Julie traversa la ville, ses pas résonnant sur le pavé humide. La perte récente de son frère l’avait plongée dans une profonde introspection. Chaque jour était une épreuve, mais elle sentait au fond d’elle une étincelle de résilience. Soutenue par ses amis, elle commençait doucement le processus de guérison. Elle se rendit compte que la vie, malgré les deuils, offrait des moments d’espoir et de reconstruction. La solidarité de ses proches lui montrait que l’amour persistait au-delà de la douleur.

2. Style humoristique

“Alors, Julie, on fait la tête ?” lui lança le vieux lampadaire de la rue principale, avec un clin d’œil lumineux. “Laisse-moi, je suis en plein deuil”, répondit-elle en soupirant. Mais comment rester sombre quand les poubelles du quartier lui chantaient des airs d’espoir et que le vent lui chatouillait les cheveux en signe de soutien ? La résilience, c’était un peu comme manger un énorme gâteau d’anniversaire tout seul : indigeste au début, mais finalement plutôt gratifiant. “La vie, c’est pas un long fleuve tranquille, mais avec des bouées de solidarité, on flotte mieux !” conclut-elle, saluant les nuages qui passaient, complices de son introspection.

3. Poétique

Dans le jardin de son âme, Julie arrosait les fleurs de la résilience, baignées de larmes de deuil. L’espoir, tel un papillon, se posait délicatement sur chaque pétale, apportant des couleurs de reconstruction. La guérison s’insinuait comme la mélodie d’une douce introspection, chantant la promesse de jours meilleurs. Autour d’elle, le vent murmurait des mots de soutien, tissant un voile de solidarité qui l’enveloppait dans un cocon protecteur. La vie, malgré ses épines, éclosait à nouveau dans son cœur.

4. Policier

Sergeant Julie était sur l’affaire la plus complexe de sa carrière : l’énigme de sa propre résilience. Le deuil était le principal suspect, laissant des indices de désespoir partout. Mais l’espoir n’était jamais loin, laissant des preuves de sa présence. Julie savait qu’avec le soutien de son équipe, la reconstruction était possible. Elle plongea dans une introspection profonde, cherchant des indices pour la guérison. Dans les méandres de la vie, elle trouva la force de surmonter les épreuves, soutenue par la solidarité indéfectible de ses collègues.

5. Science-fiction

Dans le vaisseau de l’esprit de Julie, elle naviguait à travers la galaxie du deuil. Les planètes de la résilience étaient en orbite autour, émettant des ondes d’espoir. Grâce aux technologies avancées de l’introspection, elle déchiffrait les codes de la guérison. Chaque étoile était une épreuve, chaque comète un fragment de vie à reconstruire. Ses amis, formant une coalition de soutien, activaient le bouclier de solidarité, protégeant son cœur des météorites du désespoir.

6. Conte de fées

Dans le royaume lointain de son cœur, Princesse Julie affrontait le dragon sombre du deuil. Armée de son épée de résilience et de son bouclier d’espoir, elle entreprit un long voyage d’introspection à travers la forêt des épreuves. Avec l’aide de ses fidèles compagnons, les animaux de la forêt de la solidarité, elle trouva le chemin de la guérison. Au sommet de la montagne de la vie, elle reconstruisit son château d’espérance, illuminant le royaume de son nouveau bonheur.

7. Style journal intime

Cher Journal, très cher Journal,  aujourd’hui, je sens la résilience venir. Le deuil est toujours là, mais l’espoir commence à percer, comme un rayon de soleil après la pluie. J’ai passé la journée en introspection, me perdant dans les méandres de ma pensée, cherchant un chemin vers la guérison. Les épreuves que j’ai affrontées semblent moins insurmontables grâce au soutien indéfectible de mes amis. Leur solidarité est un phare dans la nuit sombre de mon âme. Chaque jour est un pas de plus sur la route de la reconstruction, un pas de plus vers une vie retrouvée. Je me sens moins seule, moins égarée. Merci, cher Journal, de m’offrir cet espace pour exprimer mes peurs et mes espoirs.

8. Théâtral

(Lumière sur Julie, seule en scène, plongée dans une introspection profonde.)

Julie : (Se levant lentement, elle s’adresse au public.) Comment jouer le rôle d’une personne brisée par le deuil mais qui, petit à petit, trouve la résilience ? Où puiser l’espoir lorsque les ténèbres envahissent votre cœur ? (Elle fait quelques pas.) Ici, sur cette scène de la vie, je vous présente mon histoire : une lutte acharnée contre les épreuves, un voyage à travers la douleur vers la guérison. (Elle sourit faiblement.) Mais je ne suis pas seule. Les coulisses de mon âme sont peuplées de visages aimants, d’amis, de familles – le soutien, la solidarité en action. (Julie s’incline légèrement.) Et c’est ainsi que je reconstruis, pas à pas, la scène de ma vie.

9. Épistolaire

Chère Madeleine,

Je t’écris ces mots dans un moment de calme après la tempête. La résilience est devenue mon credo, mon mantra dans le chaos du deuil. J’ai trouvé, dans les pages usées de mon journal, des souvenirs empreints d’espoir et de douleur. La reconstruction de mon âme est en cours, lentement mais sûrement. Tes lettres, tes mots, ont été le soutien dont j’avais tant besoin, la preuve que la solidarité peut prendre la forme de simples phrases, mais qui réchauffent le cœur. Merci d’être ma bouée dans l’océan tumultueux de la vie.

Avec toute ma gratitude,

Julie

10. Slam poétique

Sur la scène de mon esprit, j’affronte le micro, cœur battant, voix tremblante. Résilience, espoir, mots résonnant dans l’écho de mon âme. Le deuil, cet invité indésirable, a pris place dans ma vie, mais je ne me laisse pas faire. Introspection, mon guide à travers les brumes de la confusion, mène-moi vers la lumière de la guérison. Je me dresse, épreuves après épreuves, construisant sur les ruines, rebâtissant ce qui a été détruit. Et là, dans le public, je les vois – les visages du soutien, les sourires de la solidarité. Ensemble, on crée une symphonie de vie, une harmonie de survie. Je slamme pour toi, pour moi, pour nous – reconstruire, revivre, renaître.

Le shadow work Journal de Keila Shaheen

“The Shadow Work Journal” de Keila Shaheen se concentre sur le concept de “Shadow Work”, une pratique psychologique visant à explorer et accepter les aspects les plus sombres de notre personnalité. Shaheen, une psychologue américaine formée à diverses méthodes alternatives, propose un guide pratique pour entreprendre ce voyage intérieur.

Thème central : Le livre aborde le concept de “Shadow Work” ou “travail sur ses parts d’ombre”. Ce processus implique de reconnaître et d’accepter les parties de nous-mêmes que nous considérons comme négatives ou indésirables. Shaheen suggère que cette acceptation est cruciale pour une vie équilibrée et saine.

Structure et contenu : Le “Shadow Work Journal” est structuré comme un outil interactif, comprenant des guides, des exercices, et des espaces de réflexion personnelle. Il guide le lecteur à travers les étapes pour identifier ses “parts d’ombre”, comprendre leurs origines, et travailler à leur acceptation et guérison.

Méthodologies utilisées : Shaheen intègre des approches variées telles que la thérapie cognitivo-comportementale, la pleine conscience, et la psychologie énergétique. Ces méthodes visent à fournir une approche holistique pour traiter les aspects psychologiques profonds.

Bénéfices promis :

  1. Amélioration des relations interpersonnelles : En comprenant et en acceptant ses propres parts d’ombre, on peut développer des relations plus saines et apaisées avec les autres.
  2. Guérison de traumatismes transgénérationnels : Le livre propose des techniques pour aborder et guérir des blessures qui peuvent être transmises de génération en génération.
  3. Développement de l’autonomie personnelle : Il encourage à poser ses propres limites et à développer une meilleure compréhension de soi.
  4. Perspective élargie sur le monde : En se confrontant à ses propres ombres, on peut acquérir une vision plus nuancée et empathique du monde extérieur.

Public cible : Le livre s’adresse à toute personne intéressée par le développement personnel, la psychologie, ou cherchant à surmonter des problèmes personnels profondément enracinés.

Conclusion : “The Shadow Work Journal” de Keila Shaheen se présente comme un guide pratique et introspectif pour ceux qui cherchent à se comprendre et à s’améliorer en affrontant et en acceptant les aspects les plus sombres de leur personnalité. Il offre une approche unique et complète pour le développement personnel et la guérison émotionnelle.

 

Jung et l’ombre

Le concept de “Shadow Work” dans le livre “The Shadow Work Journal” de Keila Shaheen s’inspire fortement des théories du psychologue suisse Carl Jung. Voici quelques éléments clés issus de la psychologie jungienne présents dans ce livre et ces méthodes :

  1. La Notion de l’Ombre (Shadow) :
    • Origine Jungienne : Carl Jung a introduit le concept de l’ombre comme étant une partie de l’inconscient, composée de rejets, d’instincts, et de faiblesses que l’individu ne reconnaît pas en lui-même.
    • Application dans le Livre : Le “Shadow Work” consiste à explorer et accepter ces aspects cachés ou refoulés de la personnalité.
  2. L’Intégration de l’Ombre :
    • Origine Jungienne : Jung croyait que la santé mentale et l’équilibre nécessitent l’intégration de l’ombre dans la conscience.
    • Application dans le Livre : Les exercices et réflexions proposés visent à aider les individus à reconnaître, accepter, et intégrer leurs parts d’ombre.
  3. Le Processus d’Individuation :
    • Origine Jungienne : L’individuation est un processus de développement personnel où l’individu devient un “soi” intégré et distinct.
    • Application dans le Livre : En travaillant sur ses parts d’ombre, l’individu avance vers une plus grande intégration de soi.
  4. L’Analyse des Rêves et Symboles :
    • Origine Jungienne : Jung accordait une grande importance à l’analyse des rêves et à l’interprétation des symboles comme moyen d’accéder à l’inconscient.
    • Application dans le Livre : Bien que non explicitement mentionné, les techniques de pleine conscience et de réflexion personnelle peuvent inclure l’exploration de rêves et de symboles personnels.
  5. L’Importance de l’Inconscient :
    • Origine Jungienne : Jung a souligné le rôle crucial de l’inconscient dans le développement psychologique.
    • Application dans le Livre : Le “Shadow Work” encourage l’exploration de l’inconscient pour une meilleure compréhension de soi.
  6. La Guérison par la Confrontation :
    • Origine Jungienne : Jung croyait que la confrontation avec les parties inconnues ou non acceptées de soi-même était essentielle pour la guérison.
    • Application dans le Livre : Le livre guide les lecteurs à travers ce processus de confrontation et d’acceptation.

“The Shadow Work Journal” s’inspire largement des idées de Carl Jung, en particulier son concept de l’ombre et le processus d’individuation, pour aider les individus à atteindre une meilleure compréhension et intégration de soi.

Une petite histoire ?

Je m’appelle Sarah, et bien que je sois un personnage fictif, mon histoire est celle que beaucoup pourraient vivre. C’est l’histoire de ma transformation, grâce à “Le Shadow Work Journal” de Keila Shaheen, et c’est une histoire qui pourrait bientôt être la vôtre.
Ma vie était comme un labyrinthe de ruelles sombres, chaque tournant révélant des ombres que j’avais longtemps cherché à éviter. Jusqu’au jour où j’ai découvert ce journal. Au début, c’était juste un exercice d’écriture, mais rapidement, il est devenu un voyage dans les profondeurs de mon âme.
Je me souviens de ma première entrée dans le journal. Mes mains tremblaient légèrement alors que je tenais le stylo. “Qui suis-je vraiment ?” écrivis-je. Ces mots ont ouvert une porte, et ce qui a suivi fut une cascade de révélations, de larmes, de rires, et de guérisons.
Chaque page du journal m’invitait à plonger plus profondément, à affronter les peurs et les douleurs que j’avais enfouies. Je rencontrais des aspects de moi-même que je n’avais jamais osé explorer. Parfois, c’était douloureux, parfois libérateur, mais toujours, c’était authentique.
Au fil des jours, je commençai à voir des changements dans ma vie. Mes relations, autrefois tendues, devenaient plus harmonieuses. Je trouvais du courage pour affronter des situations que j’avais toujours fui. Des opportunités inattendues se présentaient, comme si l’univers répondait à ma nouvelle ouverture d’esprit.
Ce n’était pas seulement un journal; c’était un miroir de mon âme. Il reflétait non seulement qui j’étais, mais aussi qui je pouvais être. Avec chaque mot que j’écrivais, je me libérais des chaînes de mes propres pensées limitantes.
Dans ce voyage, j’ai appris que les ombres ne sont pas à craindre. Elles font partie de nous, et les embrasser, c’est embrasser notre intégralité. “Le Shadow Work Journal” m’a appris à aimer toutes les parties de moi, même celles que je croyais indésirables.
En racontant mon histoire, je veux vous dire que ce voyage peut être le vôtre. Oui, je suis un personnage fictif, mais les émotions et les transformations que j’ai vécues sont bien réelles. Ce journal a le pouvoir de changer des vies, de révéler des vérités cachées, et de guider vers un chemin de guérison et d’amour-propre.
Alors, si vous vous retrouvez à la croisée des chemins, cherchant une direction ou un sens, souvenez-vous de mon histoire. Prenez ce journal entre vos mains et commencez à écrire. Vous pourriez être surpris de découvrir ce qui vous attend.

Stratégies d’auto-coaching

Les Editions GERESO qui éditent des livres très clairement présentés, une auteure – Mireille VIE – qui est une professionnelle du coaching, expérimentée, très méthodique et progressive : voici un livre qui peut servir de base à tous ceux qui veulent se prendre en main par eux-mêmes ou avec un minimum d’intervention extérieure… puisqu’il s’agit d’auto-coaching.

Choisir nos pensées

Mireille VIE part de la plus simple et de la plus puissante des idées : nous pouvons choisir nos idées, choisir correctement nos pensées, et c’est cela qui nous permet de faire face sereinement à la plupart des situations qui se présentent à nous. 
Une autre façon de le dire : la réalité est faite
1/ de faits observables : nous ne pouvons agir à ce niveau, nous acceptons
2/ d’interprétations, de biais, de préjugés, de déductions… bref de représentations. Celles-ci dépendent de nous. Nous pouvons agir au niveau de nos réactions à ce qui se passe.
Le livre va développer 20 situations de la vie quotidienne pour lesquelles le simple usage de notre cerveau, notre pensée, va permettre d’adopter la bonne stratégie, et de nous sentir bien mieux !

Nous sommes invités, avec quelques efforts, à modifier notre façon de penser. Cela en vaut la peine nous dit l’auteure… Je confirme !

Etre un avec – l’acceptation

Arnaud Desjardin – Extraits

Tout non et toute forme ne sont que des vagues limitées changeantes, expression d’une unique énergie, elle, infinie et éternelle.

Le refus

Si vous refusez un tant soit peu une de ces vagues une de ces formes vous lui donnez existence et plus vous la refusez plus vous lui donnez existence. Si au contraire vous dite un oui parfait, mais le mot parfait est toujours sous-entendu, vous êtes parfaitement un avec cette forme. La vague s’efface et c’est l’océan qui se révèle. La vague s’efface en tant que vague limitée et c’est l’océan qui se révèle et le monde dans lequel nous vivons qui est fait de formes limitées, ici un magnétophone, un micro, un Roland, une Jeanne, ce monde en effet révèle son secret. Il ne peut le révéler que dans la perfection de l’adhésion et ce que vous appelez vous aujourd’hui le monde est fait bien sûr de la sensation actuelle ici et maintenant. Mais il fait surtout du passé. Une mémoire qui n’apparaît plus comme une fonction utile mais comme un fardeau, le plus lourd de tous.

Un œil neuf

Si vous pouviez voir chaque chose d’un œil neuf, vierge, ce serait déjà différent. Mais vous ne voyez rien qui ne soit pas vu en référence au passé et le passé à consisté à refuser : 5% d’acceptation 95 pourcent de refus.

Tout tout le secret est là et comme je l’ai dit en commençant cette réunion : si je ne me moque pas de vous je n’ai rien d’autre utile ou important à vous dire. Ce refus c’est un refus qui continue aujourd’hui. Ce mot refus, refus où négation, c’est le refus que ce qui est soit. Le contraire exactement le contraire de l’acceptation ou être un avec la vie. L’existence a été vécue en termes de refus chaque fois que vous refusez quoi que ce soit vous lui donnez une réalité.

Et tout ce qui a été pleinement parfaitement accepté ne laisse aucune trace en nous

Tout ce qui a été tant soit peu refusé laisse une trace et le monde a donc été, le monde pour vous, constitué de tous les refus, tous les refus que ce qui est soit, de toutes les tentatives pour nier la réalité de cette dualité qui disparaît avec le oui. Il se maintient et se renforce avec le non si bien qu’on peut dire que ce que vous êtes aujourd’hui c’est le produit du refus et le monde dans lequel vous vivez c’est le produit du refus. C’est vrai que vous abordez le monde à travers les expériences passées c’est l’enseignement ancien fondamental, et c’est bien l’enseignement aussi de la psychologie moderne.

Qu’est-ce que c’est que ce passé qui vient recouvrir la réalité c’est tout ce qui a été refusé.

Il est vrai que la naissance pour beaucoup d’êtres humains est douloureuse comme l’affirme le Dr Leboyer comme le confirment les naissances revécues auprès de bien des médecins ou des psychothérapeutes cette naissance est déjà un refus. le bébé n’a pas été un avec un avec, sans dualité, avec toutes les sensations diverses qui l’ont assailli pendant les contractions et une fois émergé à l’air libre. (…)

Que serait l’existence sur la planète Terre et que serait mon existence si…

Mais que serait l’existence sur la planète Terre et que serait mon existence à moi simplement s’il n’y avait jamais eu refus je dis bien refus que ce qui est soit. (…)

le refus dont nous parlons ici c’est refuser ce qui en vérité ne peut pas être refusé il est parfaitement possible de dire non merci je ne veux pas de gâteau puis on vous en offre une plus mais il n’est pas possible au petit bébé qui étant un être de dire non merci je ne veux pas ressentir les contractions de ma de l’utérus de ma maman ou non merci je ne veux pas être compressé dans le vagin ou non merci je ne veux pas être assailli par les bruits et les lumières de l’extérieur et cetera (…)

Et ce que nous appelons le passé Dieu sait s’il est question d’être libre du passé de se libérer du passé dans tous les enseignements spirituels ce que nous appelons le passé c’est simplement l’accumulation des refus si vous aviez toujours puis votre naissance était un avec chaque 2nde de votre vie vous seriez tous libres du passé.

Et si vous êtes libre du passé vous êtes libre du futur

Le futur tel que vous l’imaginez tel que vous espérez tel que vous le craigniez ça n’est que là projection où l’élongation du passé. Donc vous seriez ici maintenant donc vous auriez accès à la réalité et l’éveil l’illumination sera à portée de votre main. Comme il est à portée de ma main de toucher ce micro.

Peut-être qu’il vous vient à l’esprit une objection il y a eu bien des moments dans ma vie où j’ai dit oui de tout mon cœur. D’accord mais vous n’avez pas dit oui de tout votre cœur c’est au fait que ces moments heureux n’ont pas duré. Donc tout oui a toujours débouché sur un non. Peut être que comme enfant vous avez dit oui de tout votre cœur au fait de partir en vacances avez-vous dit oui de tout votre cœur au fait de rentrer en classe au mois d’octobre comme on rentrait dans ma jeunesse. Ce à quoi vous avez dit oui n’a jamais duré. Vous n’avez pas dit oui au fait que ça cesse par conséquent tous les oui ont débouché sur un non, sur un refus. Je dis bien le passé le poids du passé, le passé qui vous maintient dans le temps et vous interdit l’éternel présent, tous les mots de la métaphysique que vous avez lu dans un livre ou dans un autre peuvent y passer.

L’inconscient est fait de tout ce qui a été refusé éventuellement refuser dans une vie antérieure si dans une vie antérieure, en admettant que vous accordez quelque valeur à cette doctrine, si tel ou tel d’entre vous retrouve au fin fond de sa conscience les souvenirs de vie antérieure pénibles douloureux limitatif qui viennent le gêner dans cette vie ci l’empêcher d’être à l’aise en harmonie il s’agit toujours des souvenirs de situations qui ont été refusées. Parfois c’est retrouver des moments de bonheur mais on ne les retrouve que parce que ces moments de bonheur se sont arrêtés brusquement par la mort, la tragédie, le drame.

Ecoutez la conférence complète…

Une autre manière de dire l’acceptation…

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