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Au mélancolique je n’ai qu’une chose à dire : « Regarde au loin. » Presque toujours le mélancolique est un homme qui lit trop. L’œil humain n’est point fait pour cette distance ; c’est aux grands espaces qu’il se repose. Quand vous regardez les étoiles ou l’horizon de la mer, votre oeil est tout à fait détendu ; si l’oeil est détendu, la tête est libre, la marche est plus assurée ; tout se détend et s’assouplit jusqu’aux viscères. Mais n’essaie point de t’assouplir par volonté ; ta volonté toi, appliquée en toi, tire tout de travers et finira par t’étrangler ; ne pense pas à toi ; regarde au loin.
Ce beau livre, magnifiquement illustré, s’ouvre sur cette citation, choisie fort à propos, du philosophe Alain. Et c’est bien loin qu’il nous amène : dans le monde et à l’intérieur de nous-mêmes.
Partir et méditer nous amène en Argentine, en Australie, en Espagne, aux États-Unis, au Portugal, en Israël, à Madagascar ou au Pérou, dans les petites Antilles, en Allemagne, en Chine… et j’en passe.
Il nous emmène aussi beaucoup en France. Il fait tout cela sous 4 angles successifs : explorer, méditer, ressentir, se mettre en quête. Pour chaque endroit il nous donne une description mais sous l’angle d’une connaissance approfondie et intéressante du lieu.
Et ce n’est pas tout. il fait voir les lieux sous l’angle de l’expérience de l’expérimentation du territoire par exemple des hommes historiques ou des explorateurs.
Il s’agit par exemple d’aller en Terre de Feu, l’archipel du bout du monde, en Argentine. Il nous parle de Fitzroy qui connaît bien ce lieu. En 1830 lors d’un premier voyage il y a capturé 4 Amérindiens pour les ramener en Angleterre et les présenter à la Reine. Plus tard il les reconduit lors d’un nouveau voyage avec le même navire dans lequel prend place le jeune Charles Darwin. Pour lui ce voyage d’exploration en Terre de Feu puis au-delà vers les Galápagos sera à l’origine de sa théorie de l’évolution des espèces.
Sensations et vertige seront aussi au rendez-vous. Mais c’est aussi une autre sensation une autre dimension que vise l’auteur : aller plus loin pour voir plus loin. Déjà par exemple dans l’île de Norfolk, l’île des descendants des mutins de la Bounty comment une communauté Anglo-tahitienne a pu ici rester soudée fière de ses racines et dépositaire d’une histoire légendaire. Un début de réponse donnée par une citation de Albert jacquard : je suis les liens que je tisse. Plus proche il nous parle ensuite de la Catalogne : des vœux et des feux pour la Saint-Jean.
Puis on repart plus loin dans l’Arizona : ici s’offre une sensation troublante à la fois d’immensité et de solitude. il décrit les monolithes de grès rouge et leurs allures de cathédrale, puis la petite ville et ses environs qui sont considérés comme des lieux sacrés et puissants, un pouvoir d’attraction qui ne se limite pas à la géologie particulière et à la beauté des panoramas. Il parle d’un pouvoir neurostimulant des lieux, des roches rouges chargées de la mystérieuse force cosmique des vortex. Des endroits où la terre semble particulièrement vivante, tourbillonnante d’énergie propice à la méditation à l’exploration de soi. Un ensemble de lieux nous sont présentés ensuite sous l’égide d’une citation du prologue de la règle de Saint Benoît : « écoute et prête l’oreille de ton cœur ». Où aller pour faire circuler, utiliser, les énergies des pierres, pour méditer et se sentir bien puis toucher les étoiles : au pic du Midi. On emprunte plus loin le chemin de Saint-Jacques de Compostelle. Ces chemins qui ne sont pas seulement religieux. Ils se sont ouverts à tous ceux qu’ils soient randonneurs amateurs de sites historiques et surtout à tous ceux qui cherchent à redonner un sens à leur vie car tous finalement se sont donné rendez-vous à eux-mêmes, en mettant leurs pas dans ceux, ancestraux, de milliers de pèlerins qui ont fait cette même expérience, face au même paysage. Dans un pareil mouvement lent qui confère nous dit l’auteur le sentiment d’être pleinement vivant et tout à fait à sa place ici et maintenant.
Plus loin il s’agit de faire l’expérience d’être relié au monde. Alain est de nouveau cité : « quelle chose merveilleuse serait la société des hommes si chacun mettait de son bois au feu au lieu de pleurer sur des cendres ». On nous propose cheminer avec Steven sonne dans les Cévennes communier avec la nature et avec l’animal puis on fait un bond jusqu’à une capitale Maya, Tikal. Tikal habité durant plus de 1500 ans depuis le 6e siècle avant Jésus Christ. Les premiers temples pyramides érigés par groupe de 3 durant l’âge préclassique. Interrogeons-nous sur une vision cosmogonique du monde. Et plus loin nous nous retrouvons au Pérou avec les Géoglyphes des Nazcas, mystérieuses lignes tournées vers le ciel. Il s’agit ensuite de renouveler les rituels magiques dans les petites Antilles Trinidad et Tobago. L’art de prendre son temps nous entraîne ensuite en Sibérie. L’île d’Orkhon lieu sacré du chamanisme rituel établit un dialogue avec les esprits qu’il s’agisse d’une montagne d’un animal ou d’une forêt.
Et maintenant méditer. Méditer encore. Si vaste et si petit est le monde.
Un écrin de verdure abrite les trésors d’une fabuleuse civilisation disparue. L’auteur donne des indications sur le symbolisme Khmer. Et dans un prochain chapitre nous voilà du côté de chez Swann, le temps retrouvé, le jardin philosophique d’Ermenonville. Pour nous retrouver tout à fait ailleurs ensuite dans les Alpes de Haute Provence pour pousser la porte du monde. C’est le lieu tibétain de Samten-Dzong. Nous irons aussi à Notre-Dame de Paris expérience intime de l’espace-temps. Puis Chartres haut lieu de ce qui sera ensuite désigné par l’expression d’humanisme chrétien. Saint Martin du Canigou pour les vertus d’une vie contemplative : s’isoler du monde puis se retirer du monde sur le mont Athos en Macédoine et le voyage continue. Ainsi je ne peux pas tout vous citer. Allons encore en Écosse afin de trouver un refuge inspirant, méditer pour demain. Trouvons l’hospitalité du grand Saint-Bernard.
Puis vient le chapitre se mettre en quête le temps du rêve sur une terre mythique les aborigènes ont accosté il y a près de 50000 ans le temps du rêve. Puis le temps des origines, la contemplation mystique, Montserrat près de Barcelone. bien plus loin un culte qui dépasse l’entendement Axoum en Éthiopie. Puis des monastères dont on n’avait jamais entendu parler, en tout cas moi-même. Le temps de la contemplation. D’autres lieux encore. Certains très connus mais abordés avec toute la puissance de l’esprit et d’autres largement méconnus mais qui vaudraient tant le voyage. Le mystérieux ailleurs. Comme le site archéologique de Vat Phou, au Laos pour terminer au couvent de Tomar au Portugal, dans une ancienne forteresse de l’ordre des Templiers qui ont bâti là une citadelle sur un surplomb rocheux.
Allez ! Partez en voyage avec « Partir et méditer » un voyage de l’esprit mais pourquoi pas osez… Osez partir dans l’un de ces lieux lointains que ce beau livre va vous faire découvrir !
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Méditations guidées pour rencontrer l’esprit de diverses huiles essentielles, découvrir en vous-même le questionnement, la préoccupation, le changement souhaité, pour lesquels elle peut vous accompagner, vous conduire dans une dimension plus ample, plus libre, de vous-même.
Vous vous laissez pénétrer par l’esprit même de cette huile essentielle, vous lui permettez d’agir en vous, au plus profond de vous.
Les lieux nous parlent, apprenons à les écouter. Car ils nous parlent avec tous ceux qui sont passés par là, au-delà des pensées, des émotions : les lieux sont enchantés par l'Esprit.Laissez les enchanter votre Esprit, entre ciel et terre !Tous les articles méditation...
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C’est la première fois que je vous parle de Spiritualité à partir d'une BD. Le titre laisse rêveur : « Quelques pas vers l'infini » (Editions Les Arènes). Mais le sous-titre est plus explicite : « Un voyage au cœur de la méditation » Un bel album C'est une BD de...
Spiritualités Magazine et la force symbolique des Tarots
L’ouverture de la méditation et la force des symboles qu’offrent les Tarots
Méditation et laïcité vont de pair, loin de la religion.
Matthieu Ricard nous conseille de ne pas se prendre la tête… Relaxer, faire le vide, ce n’est pas ça qui marche. C’est, comme être humain, devenir meilleur, et s’affranchir des causes de la souffrance : l’arrogance, la confusion mentale, la jalousie, l’animosité, l’obsession, l’attachement
Pour Spiritualités Magazine la méditation est une pratique essentielle, libératrice, qui nous facilite l’accès au plus profond de nous même, à des niveaux de conscience élargie, à la bienveillance aimante, l’amour bienveillant.
Intériorité, fragile
Médecine de l’âme et voie d’éveil. 50 huiles essentielles Cœur Corps Esprit.
Le grand livre des huiles essentielles est ici
Tous ceux qui s’intéressent aux médecines douces, qui les pratiquent, ont rencontré les huiles essentielles et souvent ils s’en sont servis.
Dès le départ l’auteur indique en quoi cette approche est originale : elle accueille les huiles essentielles non pas comme un soin parmi d’autres, mais en tant que médecine de l’âme et comme voie d’éveil.
Le livre va passer en revue 50 huiles essentielles… cœur corps et esprit. Dans la globalité de l’être donc, et ces huiles essentielles vont chacune être reliée à nos chakras. Ce sont donc des problématiques subtiles qui nous sont proposées et qui nous permettent de singulariser nos usages des huiles essentielles.
Et ce n’est pas tout question originalité : ce livre dépasse la question de la puissance thérapeutique des composants des huiles essentielles. Il explore une voie d’approche nouvelle fondée sur l’observation prolongée et attentive des effets d’une odeur sur le corps et sur la sphère psychique C’est la puissance globale d’une huile essentielle que cette méthode cherche à saisir pour une compréhension vraiment fine des propriétés thérapeutiques.
Il s’agit nous dit l’auteur d’une aromathérapie sensible. Et de façon très concrète elle nous propose de pratiquer des méditations olfactives : un chemin de transformation et de guérison. Elle nous enseigne ses méditations de manière très simple. En prenant appui sur la respiration pour revenir en nous et observer et accueillir ce qui s’y passe avec bienveillance, sans préjugés, sans juger. Embrasser d’une respiration paisible les tensions et malaises quel qu’ils soient, physiques ou psycho-émotionnels. Les reconnaître, les accepter pour ce qu’ils sont mais sans s’identifier. Les laisser évoluer et se transformer pour arriver au lâcher-prise, à une vraie détente. Peu à peu la sensation et le sentiment d’une unité corps esprit nous enveloppent et nous ressourcent.
Du centre de notre être, nous dit l’auteur, un espace se libère et des prises de conscience peuvent émerger. Celles-ci naissent de notre vision profonde et de notre sagesse, et non pas de l’activité de notre mental trop bavard. Nous goûtons une qualité de présence qui nous ramène à notre demeure véritable. Le cœur s’ouvre. Voyageons donc au pays des plantes médicinales aromatiques. Vivons avec ce livre un chemin d’éveil à soi-même en même temps qu’à l’âme des plantes.
Pratiquer la méditation olfactive c’est très simple. Il faut d’abord choisir évidemment une huile essentielle en affinité avec la question que l’on se pose, et avec le chakra auquel cela correspond. Par exemple le chakra couronne et le chakra racine sont des grands maîtres des portes et des transformations. Quelques médicinales de la perception éclairée, comme l’hélichryse, le gattilier, le séquoia géant ou le ravintsara et le Tea Tree, entre autres, nous accompagnent pour cheminer en conscience, pour intégrer les expériences de vie, l’ombre et la lumière. Appelez vos propres huiles essentielles guides en utilisant la voie qui vous convient : celle de l’instant présent, celle du ressourcement, celle de la transformation ou de la connaissance, car l’auteur nous introduit aux différentes voies permettant de choisir une huile essentielle. Celles qui nous accompagnent par exemple dans les passages de l’existence et nous donnent avec la méditation olfactive guidée les clés d’un nouveau départ.
Agnès Addey nous explique comment en pratique mener cette méditation en formulant des intentions, en identifiant la période que l’on souhaite fermer, puis dans la méditation guidée se succèdent plusieurs phases extrêmement enrichissantes, logiques, cohérentes. Cette pratique qui est révélée à la fin du livre permet de vivre pleinement les indications qui sont données pour chacune des huiles essentielles et pour chacun des chakras. Toutes ces correspondances deviennent une sorte de grande encyclopédie au fond de vous-même. Et la délivrance de messages pour vous guider dans votre cheminement intérieur. Avec plus de 50 huiles essentielles qui sont détaillés dans toute leur dimension psycho-émotionnelle et énergétique. Et avec des clés de correspondance et d’harmonisation par chakra, l’ouvrage d’Agnès Addey est une belle invitation au voyage intérieur quelle que soit la façon dont vous allez pratiquer l’huile essentielle (par massage, onction, par méditation olfactive ponctuelle où régulière. C’est un très bel ouvrage, très bien illustré, que Spiritualités Magazine vous recommande chaudement.
Dans le calme, il semble que c’est notre être profond qui se réorganise. Le Ravintsara nous apprend à nous retirer des affaires du monde, sereinement, à naviguer sur les ailes de la conscience, à retrouver des forces physiques, psychiques, spirituelles, pour ensuite revenir à notre chemin dans la matière, allégé, plus en contact avec notre source, notre âme, le Soi. Il raccorde aux chakras supérieurs, de la gorge au coronal, sans perdre son ancrage.
Guide accompli, il nous invite à vivre la vibration de la pleine conscience. Celle-ci peut prendre la forme du geste délié d’une main servant le thé, d’une main qui épluche les légumes, qui écrit un poème. « Chaque fois que le corps et l’esprit se joignent en parfaite harmonie, je suis… », pourrait nous dire ce grand maître. Il nous conduit à retrouver une certaine discipline intérieure, un art de vivre qui nous convient en profondeur, qui nous fait du bien. C’est le sens de sa guidance, il identifie nos besoins de corps et d’âme, véritables. Repos, activité, espace, liberté, acception, paix… La voie qu’il nous propose est sobre. Il nous donne les moyens d’instaurer de nouvelles énergies et habitudes pour que nous apprenions à changer de programmation.
JM Blancherie pratique, pour Spiritualités Magazine, une méthode de tirage qui n’est pas divinatoire mais a pour but d’accompagner le consultant dans une recherche de cohérence globale, à partir d’un éclairage des éléments importants de son existence et de leur sens. Vous pouvez le contacter : spiritualitesmagazine@gmail.com
Quelques extraits permettent de mesurer la profondeur du positionnement de celui qui pratique l’art du Tarot, et l’attente que peuvent avoir celles et ceux qui le consultent.
La taromancie parle de « mancie mot issu du grec manteia qui signifie « divination » C’est essentiellement ce concept de divination qui va donner accès au sens de la « mancie. Les interprétations du terme divination » sont multiples. Si l’étymologie nous révèle une origine latine — divinatio, divinare ou divina agor (« accomplir une chose divine ») -y retenons l’explication de Georges Contenau : la divination est la connaissance des choses cachées, qu’il s’agisse de l’avenir, du passé ou du présent ; elle porte aussi bien sur le temps que sur l’espace et ne doit pas être confondue avec la magie. Or il s’avère que nombre de manifestations resteront hermétiques à une explication rationnelle et ne se laisseront ranger sur aucune des étagères définies par le scientisme. L’ignorance engendre la peur, et cela explique les termes vifs souvent prononcés à l’encontre de ce qui relève du divinatoire.
La pratique d’une mancie constitue un effort et une recherche importants. Les qualités humaines qu’elle requiert et les chemins qu’elle emprunte sont rarement légitimés par les sociétés modernes. Pourtant, il semble indiscutable que les travaux de la parapsychologie et, en amont encore, ceux de chercheurs Carl Gustav Jung ont révélé que le potentiel d’un individu ne se réduit pas à ce qu’il manifeste. Certains miracles, on le sait bien, sont considérés tels par manque de connaissances ou par omission de ce qui est possible.
Le mancien n’a rien d’un « sorcier » il se contente de faire usage de certaines capacités tombées dans l’oubli pour ses contemporains. Notons par ailleurs que le seul versant technique d’une mancie ne suffit pas. L’opérateur devra se mettre au service de celui qui le sollicite.
Le tarot et ses lames, formées de symboles régis par la loi d’analogie, constituent un support permettant de décrypter et de comprendre un consultant, sa vie et l’évolution future de sa situation, par l’accès rendu possible à une zone de la conscience très développée chez le mancien. Déchiffrer un tirage revient à savoir décoder, grâce à son alidade, un ensemble symbolique.
La Connaissance contenue dans le tarot constitue un enseignement initiatique et ésotérique. La taromancie représente l’un de ses usages, mais son champ d’investigation est infiniment plus étendu, puisqu’il donne accès au monde des symboles. Il devient alors la tarologie.
Notons cependant que faire usage d’un tarot ne confère aucun pouvoir particulier.
« Faire parler » le tarot doit demeurer une démarche guidée par l’amour, celui de soi, celui de l’autre ou simplement l’amour et le respect de la vie.
Le versant exotérique d’un enseignement, d’une science se tient dans tout ce qui a trait à une pensée, un savoir accessible à tous, vulgarisés et adressés à un public élargi et sans compétence particulière. L’exotérique est destiné aux profanes. Le contenu est clair et intelligible par le plus grand nombre. Il est sans mystère, sans secrets. Il se porte vers l’extérieur.
L’ésotérique, pour sa part, se cantonne à l’intérieur d’un cercle d’initiés aptes à saisir et à comprendre les subtilités cachées d’une doctrine ou d’un enseignement. Ici règne le mystère. Ici, la Connaissance reste dissimulée et réservée à un petit nombre. Familier du sacré, tendant vers le Divin, le langage de l’ésotérisme est sibyllin, obscur, énigmatique. Impénétrable, il se protège par des clés de lecture et d’interprétation qu’il faudra apprendre.
Espérance, beauté, poésie… En annonçant les luminaires, l’Étoile, dix-septième arcane, ouvre une étape lumineuse. Après les turbulences précédentes, à cet instant, l’apparition de notre « bonne étoile » apporte joie et réconfort. La nature est une fête, la vie est joyeuse, la beauté est partout, le message de douceur retentit… Comment se fait-il que, bien souvent, nous n’entendions pas, que nous ne voyions pas ?Le rôle fondamental de cette source de lumière est de protéger et de guider dans la nuit. Ainsi, même la nuit la plus noire n’apparaît plus aussi terrifiante et angoissante. Au-delà de la météorologie, qu’en est-il de notre nuit psychique et de ses traversées les plus chaotiques ? Sans cette illumination intérieure, bien souvent cachée, et aussi quelquefois via des êtres providentiels, nous serions désespérés, voire anéantis.
Pour autant n’oublions jamais la richesse du contenu de l’obscurité qui, grâce à cette allégorie, se révèle à nous. « Croire en sa bonne étoile » c’est avant tout « croire », avoir la foi. La foi s’imbrique et s’implique inexorablement dans sa relation avec les contenus de l’ombre le dialogue ombre et lumière, une fois encore indispensable à la révélation. Si, sur le chemin parcouru, le Bateleur avait eu quelque raison de perdre espoir, et c’est sûr, il y en a eu, c’est le moment de reprendre confiance et de garder aspiration. Que penser de cette définition de « l’inaccessible Étoile » pourtant si proche et bienveillante ? Garder l’idéal mais s’affranchir des illusions, nous enseigne l’Étoile. Difficile en effet d’abandonner nos projections chimériques tant elles nourrissent nos rêves les plus invraisemblables.
Source de vie, l’eau qui circule sur cet arcane désaltère, fluidifie, fertilise et féconde la terre qui la reçoit. Cette eau bienfaisante étanche la soifde l’âme qui dans l’illustration se manifeste via le personnage dévêtu, dans sa vérité et sa pureté ; l’Étoile se montre nue. Si sa nudité révèle son identité originelle et sa fragilité, sa position agenouillée quant à elle la montre dans son humilité,
Pour prendre contact avec l’Étoile, c’est très simple car il en existe de nombreuses ; polaire, fixe, filante, du matin ou du soir… Il suffit de lever les yeux vers l’infini du ciel, de percer l’obscurité avec pour seule intention de rencontrer le divin et de fusionner avec l’Univers, Ainsi l’initié, volontaire et courageux, pourra affronter sa nuit (Lune) et, via sa conscience (Soleil), saura y donner Sens.
Carole Sédillot approfondit ensuite les composants symboliques de la lame :
Un très beau livre aux Editions Plume de carotte
Ils sont aussi plein de mystères plein des légendes les superstitions des croyances que nos aïeux ont inventées et puis transmis au fil du temps, tous ces petits êtres de la nature qui protègent faune et flore.
Ils dessinent les forêts et les monts les fleuves les fées les elfes les géants les lutins, tous nous offrent ces tableaux qui chaque jour nous émerveillent et nous emplissent de curiosité. C’est dans cet ailleurs que ce livre nous conduit.
Dans l’antiquité les divinités qui vivaient avec les hommes, célébraient la nature, la nature féconde et porteuse de vie, à travers l’eau des sources, des rivières, des fleuves. Neptune jusqu’au nymphes garde chaque point d’eau. Les forêts personnifiées par des vierges mères, des déesses telle Arduinna, qui viennent de ces entités primordiales bien plus anciennes que les dieux masculins des mythologies.
Dans le jura par exemple la dame blanche qui nourrit les enfants perdus qu’il faut relier au culte d’une telle déesse. Dans la forêt de Poligny les cultes rendus aux arbres et aux pierres les fées sont là, juste sous nos yeux. Il suffit de gratter un peu de cet arbre, associé à une chapelle, de ce rocher sanctifié, pour trouver la croyance qui a précédé l’actuelle.
Tout cela remonte bien loin. Une pierre étrangement isolée, un chêne âgé, tout tordu, et les légendes s’y accrochent, les dieux y naissent volontiers. Ce livre va nous mettre en contact avec des paysages des fées des nains… Blocs erratiques ou formes fantasmagoriques, lacs aux reflets inhabituels, sources aux vertus miraculeuses, les signes que des fées ou des lutins habitent ces lieux sont d’une évidence certaine… du moins pour ceux qui savent écouter les légendes qui nous racontent la genèse de toutes ces merveilles naturelles.
« Terres enchantées » nous fait voyager vers des lieux bien réels, mais derrière leur nom il nous fait découvrir des dieux, des bergères, des lacs et des petits êtres. Par exemple Bormanus, le dieu bouillonnant : on le trouve derrière les stations thermales de La Bourboule de Bourbonne ou encore de Bourbon-l’Archambault, et pour cette dernière il y a une histoire, celle d’une fée chassée par des hommes trop curieux, qui transporta dans une urne la précieuse eau qui coulait à plusieurs lieues de là. Et dans sa fuite l’urne se brisa en trois morceaux. Chacun donnant naissance à l’une et trois sources d’eau chaude miraculeuse.
Il nous explique aussi que le peuple des nains n’aime pas être dérangé. Les traces de jets de pierres d’éboulis, dont ils sont souvent la cause prouvent leur caractère irascible. Gare à celui qui tente de les déloger ou essaie de les rencontrer.
Interrogeons-nous, disent les auteurs, ne manquons-nous pas d’attention aux signes que nous lance la nature et à travers celle ces petits gardiens. Les dérèglements climatiques que nous connaissons ces dernières années ne sont-ils pas en grande partie dus au manque de respect de l’homme vis-à-vis de son environnement ?
N’est-ce pas là la leçon de toutes ces légendes qui répètent sans cesse la fuite des fées, la disparition des esprits, la mort des géants.
Nous allons trouver l’arbre isolé, l’arc en ciel, les baies et golfes, le bocage, les brumes et brouillard, les caps et pointes, chutes d’eau, collines, éboulis, étoiles, falaises, fleuves et rivières, forêts, galets, givres et gelées, et puis les mares et marais, l’eau douce, les montagnes, la neige, les nuages, les prés et les champs, les récifs, le sable, le sel, le soleil, la tempête, les torrents, les vagues, les vallées, et les vents, les volcans… J’en oublie.
Tout comme pour les hommes, la forêt fut le berceau des êtres féeriques. Un lieu qui les a vu naître les a fait naître et fut quelques fois lui-même ensemencé par ces derniers. sans doute les « Trotte-vieilles » de la Haute Saône se souviennent de celui dont elles sont les dignes descendantes ce dieu des forêts primaires ou bois de cerf « Cernunnos », cette divinité remontant à la préhistoire liée à l’animal roi de la forêt a insufflé sa magie, dans les fées prenant l’apparence de biches blanches, rencontre inoubliable pour l’homme qui les découvre au détour d’un sentier forestier. La grande forêt obscure est le refuge du sauvage, des ogres, des géants. C’est sous les feuillages des chênes, des hêtres et des épicéas, que courent les Bassajaun basques, le Seniors Salvaje ibérique, le Lechy slave qui, l’automne venu, sisiffle et hurle sa colère, sa folie… Depuis la nuit des temps les forêts sont bien gardées.
Fées des bois espiègle lutins apprécient la fraîcheur des bois, l’ombre des chênes anciens…
Les Dames Vertes du Jura s’aperçoivent au printemps, lorsque les fleurs diffusent leurs premiers parfums. Le Mazzarot di bosc frappe les troncs mousseux d’Italie de sa massue afin de les débarrasser de leurs branches desséchées, de leur écorce pourrie et des lichens s’y accrochant.
Et savez-vous que la forêt de fontainebleau est hantée par un curieux personnage qui mène une troupe bien effrayante. à la suite du Chasseur Sauvage une armée de fantômes ,d’elfes, et de lutins grimaçants poursuit l’imprudent qui aurait eu l’audace de se promener dans les bois lors d’une nuit d’orage. N’a-t-il pas entendu le corps retentir au-dessus des feuillages ? est-il fou pour se perdre sous les chênes au risque de rencontrer cette meute damnée ? Bien d’autres forêts connaissent encore le bruit des sabots de feu, les hurlements des revenants, la grande marche des fées, en ces nuits agitées, sous la lune rouge, aux solstices fêtés. Quiconque croise l’une de ces courses folles se voit immédiatement entraîné, maudit, ou perd la raison à l’instant. Prudence !
Mais prenons maintenant les trésors sylvestres. Pour demeurer invisibles aux yeux des hommes, les esprits des bois choisissent avec soin leurs tenues. Les femmes de mousse du nord de la France, les Moosweibchen allemandes, et Moswijfjes hollandaises, se parent de vêtements de mousse tissée, ornée de lichens. C’est encore d’une mousse, agrémentée de feuilles sèches cette fois, que s’habille le Trenty ce lutin résidant sous les arbres de Cantabrie durant l’été avant de regagner ses dolines l’hiver venu. ce fieffé coquin s’amuse à se cacher dans les bois, camouflé comme il est, pour suivre la jeune fille s’y promenant, afin de lui agripper la jupe. Enfin moins discret le Nuton ardennais porte des habits vert bleu ou gris. Mais il est souvent trahi par son petit bonnet rouge, à l’instar dû Kabouter flamand.
Toutes ces créatures sont susceptibles d’offrir des feuilles, des glands, des morceaux de charbon d’or, qui bien souvent retournent à leur état d’origine une fois leurs héritiers sortis de la forêt. Mais chercher le trésor des fées vaut bien de s’y attarder.
La fleur de la fougère s’ouvrant uniquement le jour de la Saint-Jean vous sera précieuse et d’autres herbes magiques tout autant, à moins que fouler l’une d’entre elles ne vous perde à jamais.
L’écologie profonde a une portée immédiatement spirituelle : elle pense la transformation du rapport de l’homme à la nature. Elle comporte une démarche éthique et spirituelle, un décentrement. Il s’agit de penser autrement qu’à partir du seul point de vue humain. Penser globalement, à la fois l’Homme, l’animal, le sol, et bien sûr la terre, le cosmos.
Un article d’Erice Charmetant dans la revue PROJET (Charmetant Eric, « Écologie profonde : une nouvelle spiritualité ? », Revue Projet, 2015/4 (N° 347), p. 25-33. DOI : 10.3917/pro.347.0025. URL : https://www.cairn.info/revue-projet-2015-4-page-25.htm
Enfin un livre de spiritualité écrit dans une belle langue ! Ecoutez les passages que nous vous présentons !
Et ce n’est pas la seule originalité de ce bel objet qui est un compagnon d’exploration et de progrès pour chacun : c’est un GRIMOIRE ! Un livre de magie… pour créer des enchantements !
Il ne s’agit pas de lancer des sorts, de se livrer à la divination, de fabriquer des objets magiques ou d’invoquer des entités surnaturelles, anges, démons, esprits et divinités… La magie va venir de toutes ces pages dont vous disposez pour dire, personnellement, le plus profond de vous-même. « C’est un lieu qui ressemble aux couleurs de votre âme », dit l’auteure, Amala Klep Kremmel. Le texte vous accompagne, les anges vous accompagnent… En fait, ce livre de spiritualité vient chercher pour vous et par vous-même ce qui est depuis toujours à votre disposition, à portée de l’humanité profonde de l’homme : le rêve ! Il nous guide vers le Soi.
Il propose un passionnant voyage vers soi-même, une présence quotidienne à soi, active, enchanteresse.
Dans un premier temps, il vous indique des « rituels oniriques », les moyens du dialogue avec son âme, d’une « relation intime avec le sacré ». Au travers de vos rêves, qui vous ouvrent à une réalité bien différente de celle qui nous accapare normalement : la réalité d’une perspective emplie de magie et de mystères, celle de votre âme. C’est bien de l’intérieur de nous-même, de ce fil tendu par nos rêves, que vient l’ouverture. Pour laisser parler le désir, le dialogue entre conscient et inconscient, le Soi, entièreté psychique de nous-même, centre éternel de la conscience aux fondements essentiels et à l’appartenance commune dans la continuité du vivant.
La belle idée qui anime ce livre, qui va le transformer en grimoire, c’est une méthode inédite pour coopérer avec votre vie intérieure. Au fil des nuits et des jours vous allez éduquer, faire surgir, le langage de votre âme. Dévoiler le sens caché qu’elle manifeste, les actes qui sont là, significatifs, et ceux vers lesquels votre âme vous guide.
Un effort est nécessaire ? Certes ! Mais il est pétri de joie et d’intimité réjouissante !
Les énergivores
Amala kLEP nous fait prendre conscience du potentiel que recèlent nos rêves. Ils permettent un dialogue essentiel avec notre âme. Notre monde intérieur, notre relation intime avec le sacré s’inscrivent dans nos rêves ; rêver c’est la clé secrète pour matérialiser notre désir. L’auteur nous fait prendre conscience des vertus et des bénéfices des rêves, par exemple nous donner les informations importantes de la journée et la mettre et les mettre dans la mémoire à long terme, nous révéler les émotions refoulées, trouver des ressources et des alternatives, développer sa créativité, clarifier son rôle, vivre des expériences avec d’autres points de vue que celui que nous donne notre conscience. Le rêve va nous guider personnellement et spirituellement dans notre évolution. Il peut nous aider aussi à prendre des décisions il y a comme une sorte d’alchimie onirique.
L’auteur va nous aider à nous sortir du cauchemar, à ne plus s’identifier à nos blessures et à choisir d’exprimer notre lumière dans le monde elle nous explique, car c’est toujours notre interprétation qui est importante, le langage des rêves puis diverses catégories de rêves. Les rêves d’évolution, les rêves récurrents, les rêves spirituels, le rêve télépathique…
Toute une équipe – la plupart autour du Lab Management et Spiritualité (Partager, diffuser, collaborer, informer), propose un ouvrage d’une belle profondeur de réflexion… un ouvrage orienté largement vers les pratiques, et la diversité des thèmes et des personnalités des auteurs nous font voyager dans un univers tellement plus étendu que celui auquel l’entreprise nous a habitué.
Voyons ce que les uns et les autres disent de ce qu’est la spiritualité, et quel contexte sémantique proposent-ils ? Et pour commencer, interrogeons le titre…
Il marque, dans une optique traditionnelle, la césure entre une personne et un groupe, pour caractériser ensuite son influence, ses méthodes, son style… On peut aussi se référer à la théorie des Mondes, avec Boltanski et Thévenot. Alors le leader se définit par sa capacité à créer un monde auquel les autres veulent appartenir.
Pour Catherine Voynnet Fourboul le leadership se définit comme “un processus mettant en scène la personne du leader et de ses suiveurs ou équipiers”. Pour elle l’enjeu c’est que l’entreprise peut, avec le leadership spirituel, remédier à la désertion du champ du bien commun par les dirigeants politiques et les médias. Elle va inciter les dirigeants à “se concentrer sur les mécanismes positifs d’influence”
Les maîtres mots sont le pouvoir informel qui joue sur l’univers relationnel et la compétence clé du dirigeant est l’influence vertueuse. Le leadership spirituel est proche du leadership transformationnel qui a pour objet une influence transformatrice au nom d’une vision. Mais quelle est la qualité de cette vision ? Comment la dignité des personnes est-elle assurée ? Au moins, le leadership spirituel va lui proposer un cadre vertueux. Et il va rapprocher les personnes, faciliter les équipes, équilibrer les intérêts de toutes les parties prenantes. “Ce qui est crucial c’est la communication qui aide les membres à faire sens“. Et l’auteur, qui est aussi la coordinatrice de l’ouvrage, passe alors de la notion traditionnelle de leader à la notion de communautés de pratiques, et d’équipes projets, puisque “il n’est pas question ici de dépendre d’un leader désigné”. “Chaque membre dispose d’autonomie dans ce contexte partagé”.
Quelques mots clés : pratiques collaboratives, interdépendance, long terme, travail sur la conscience, intuition, créativité, élargissement de la conscience, méditation, marche dans la nature, art, empathie, intégré, connexion à soi, aux autres, à la nature, l’épanouissement humain…
Catherine Voynnet Fourboul parle ensuite du leadership quantique. Pourquoi se priverait-on de champs métaphoriques inspirant la spiritualité et la gestion ? Voir le terme d’entropie (Carnot 1824) ; le temps fonction de l’observateur, et le couplage espace-temps (Einstein) ; l’influence du processus de mesure sur le système mesuré… Le principe d’incertitude, la notion d’intrication, la non-localité… interpellent “le champ des possibles de la spiritualité”.
Nous reprendrons plus tard les différents auteurs. Mais l’une des vertus de ce livre c’est de reprendre des concepts de la spiritualité d’aujourd’hui, à l’aune d’un terrain concret, qui est le vécu de milliards d’individus : le travail, le groupe, le management, le leadership… Nous allons donc renvoyer, au fil du temps, des éléments clés qui nous parlent particulièrement, choisis dans le livre, pour les explorer plus largement dans la perspective de notre magazine. Ce n’est pas la manière habituelle de procéder ? Justement : nous avons le temps !
Ralentir
L’âme désigne à la fois la vie et la spiritualité, en fait l’être vivant en tant que tel.
Comment différencier l’âme de l’esprit ? L’âme concerne notre activité psychique, nos états de conscience, elle reflète, traduit, exprime, notre moi profond.
L’esprit, c’est le souffle, le principe créateur. Il spiritualise aussi bien l’âme que le corps. C’est le “noûs” de l’antiquité grecque, développée par Platon, Aristote et Plotin.
Pour Platon « c’est l’âme qui est l’homme ».
Un film qui ravira votre âme
Le parcours initiatique est une re-naissance. Le passage d’un ancien moi et d’un ancien monde à un nouveau. Il ouvre notre vie à la spiritualité, à la liberté inconditionnelle de l’Esprit, et à un vécu plus ample, d’amour et de bienveillance.
Mais cette renaissance suppose la mort, une mort symbolique, certes, mais que l’initié reçoit pleinement, vitalement.
Il s’agit de passer de l’apparence à l’être… et c’est vrai aussi, nous explique Patrick Burensteinas, de la santé.
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Transcription partielle de l’interview de Patrick Burensteinas
Mon frère Patrick que pourrais-tu dire sur la relation entre santé et parcours initiatique ?
Un lien étroit, à tel point que quand quelqu’un est malade et qu’on ne peut rien pour lui, on dit qu’il est perdu. Donc on peut dire que si on se retrouve on est guéri.
Finalement pour moi être malade c’est d’avoir perdu son chemin si on est capable de le retrouver bien à ce moment-là on n’a plus cette notion de dette de travers d’être malade c’est pour moi c’est une désorientation sens littéral du terme. Donc retrouver l’orient évidemment est une manière de recouvrer sa santé.
Donc je pense que c’est indissociable. La vie c’est une initiation.
D’ailleurs, quand on arrive ici dans ce monde on nait, naître. Quand on meurt on disparaît. Donc la question c’est qu’on ne fait que paraître on peut dire on n’est quand, puisque j’apparais, je disparais. La clé c’est la clé de l’être. Donc peut-être que tout notre chemin initiatique mais aussi celui de ma propre santé c’est de passer de l’apparence à l’être.
D’ailleurs c’est bizarre parce que le contraire de la vie c’est la mort. Mais le contraire de la naissance c’est quoi ? Et bien naître c’est non-être. Je ne suis plus. Donc peut-être que la mort c’est une manière d’être de nouveau peut-être que la naissance, l’arrivée dans ce monde, c’est un fractionnement comme une feuille sur un arbre et le but du chemin initiatique c’est non seulement d’avoir conscience de la feuille mais d’être capable de remonter au tronc, retrouver cette unité et surtout se rendre compte qu’on est un arbre et pas seulement une feuille.
Tout ça est lié aussi à ma conscience du corps c’est à dire est ce que je me sens en unité avec mon corps ou est-ce que je me sens fractionné. Est-ce que je vais retrouver le chemin de mon corps d’ailleurs on parle aussi de retour aux sources donc de retour aux sources c’est bien un chemin à faire
D’ailleurs il y a certains certaines cérémonies ont dit retournez-vous. Qu’est-ce qu’on entend par là est-ce que c’est mécanique je me retourne où est ce que je me retourne comme un gant c’est à dire est ce que je regarde à l’intérieur de moi ? Ce qui est à l’intérieur est comme ce qui est à l’extérieur…
La suite : écouter ci-dessus
Ecoutez le podcast *** Sur téléphone Par le Dr Deborah CRACKNELL Voici un livre, disponible ici, qui est aussi beau qu'intéressant. Nous le présentons aussi ici de manière personnelle, vivante, dans nos Podcasts ici Présentation par l'éditeur : L’immensité des mers...
Ce n’est pas la recherche du “bien-être” qui permet une vie heureuse, mais ces mouvements intérieurs qui permettent de grandir en perfection, en orientation du désir, en joie… Mais parmi les multiples données rationnelles et techniques de recherche de bien-être, chacun peut trouver des orientations dans un contexte de vie complexe et mouvant, et des moyens qui vont dans ce sens et lui correspondent.
Quelques livres et documents : histoires de guérisseurs COUPEURS DE FEU ET PANSEURS DE SECRETS Techniques, secrets, et prièresJean-Luc CARADEAUParution Septembre 2015 Il y aurait, en France, six mille « coupeurs de feu »… Qu’ils apaisent le feu ou...
Nous ne sommes pas ici dans les phénomènes de mode concernant les pratiques chamaniques.
The Conversation France propose un ensemble de podcasts aussi intéressants que ses articles, écrits par des universitaires. “Secrets de terrain” s’intéresse particulièrement au chamanisme.
Ici l’expérience d’une chercheuse dans un village du Népal
Ecoutez, pour commencer, ce très bel extrait audio du livre de Anne Ducrocq “Pauses spirituelles” présenté ici
L’enjeu va bien au-delà d’une reconnexion personnelle avec la nature. La nature nous rattache à l’universel. Le grand tout inclut l’homme et la nature, on peut les distinguer mais jamais les séparer, particulièrement pour prétendre, en tant qu’humain, dominer la nature et s’en servir, l’asservir. La prise de conscience aujourd’hui amène à se poser la quetion à un niveau spirituel. Et en distinguant : la nature à l’extérieur de soi et la nature à l’intérieur de soi, tout en sachant que l’une et l’autre interfèrent constamment et se fécondent mutuellement.
Bien d’autres questions sont posées par notre lien avec la nature, et sa dimension spirituelle. Nous vous en parlerons progressivement
On les appelle aussi les élémentaux. En introduction, écoutons le podcast de présentation du livre d’Anne Givaudan Rencontre avec les êtres de la Nature
Textes et podcasts à venir
Un extrait du livre de Didier Lafargue : La personne humaine dans l’œuvre de Jung – T. 2 Âme et spiritualité – Disponible ici
« L’alchimie reprend et prolonge le Christianisme. Le christianisme a sauvé l’homme, mais non la nature ». Précisément, dans son intérêt pour le monde naturel, l’alchimie proposait un remède aux défaillances issues de la voie où s’était engagée l’Église officielle.
Dans sa volonté de connaître toutes les formes de spiritualité connues par l’humanité, Jung s’est intéressé à celles les plus cachées, les plus ésotériques et les plus en marge des croyances officielles, afin de déceler des traces visibles des symboles archétypiques dont il voulait montrer l’universalité. Ainsi a-t-il éprouvé un vif intérêt pour l’alchimie, cet art occulte, mystérieux et original que certains hommes ont pratiqué aux époques médiévales et modernes et qui a exercé une fascination indéniable sur les esprits de leur temps. « L’alchimie est la mère des contenus essentiels de la pensée » soutenait-il.
La tradition a présenté l’alchimie comme l’art de transmuter les métaux. Ceux qui le pratiquaient supposaient que ces derniers étaient vivants, et que leur destination était de se transformer en or, métal parfait. A terme, ils rêvaient d’obtenir la pierre philosophale censée communiquer à son détenteur toute sorte de pouvoirs merveilleux. L’alchimie est ainsi passée à la postérité comme étant « l’art de faire de l’or », en vertu de quoi ses adeptes furent considérés comme des hommes uniquement préoccupés de s’enrichir par la découverte des secrets de la matière. Pourtant, au-delà de buts aussi matériels existait une alchimie mystique davantage attachée à la vie du cosmos régi par Dieu ainsi qu’à l’âme humaine et à son devenir spirituel. Ce choix était celui d’hommes profondément croyants dont toute la vie était réglée par le sens du sacré et qui avaient pour désir véritable de faire naître un nouvel être humain, accompli et spiritualisé.
A partir de là, on en est venu de nos jours à désigner sous le terme d’alchimie toute opération de transformation quelle que puisse être sa nature. Peut-être en effet considérée comme alchimique chaque tentative pour faire passer les choses d’un état initial et élémentaire à un état élaboré et achevé. Principe tourné vers l’action et le dynamisme, l’alchimie s’oppose à tout ce qui est sur terre inerte et immobile, fait en sorte que ce qui existait déjà à l’état latent émerge et s’anime. A l’image de l’agriculture qui permet que d’une graine naisse une plante, elle exprime la vie animant la matière et le pouvoir de Dieu dans la nature. Ce qui est vrai pour celle-ci l’est aussi bien pour l’homme, car le but de son existence est de mener à bien l’opération alchimique visant à transcender son âme.
Par conséquent, le but de l’alchimiste n’est pas tant la recherche de l’or dans son acceptation la plus stricte que l’épuration de l’âme et les métamorphoses de l’esprit, et son action expérimentale n’existe qu’en relation avec les plus nobles idéaux. La transmutation du plomb en or représente l’effort de l’être humain tendant vers le Beau et le Vrai, assurant par là sa transmutation spirituelle. Aussi, une fois dépassé le préjugé de vulgaires sorciers entachant l’image des alchimistes, force est de voir en eux des philosophes au sens le plus complet du terme. On comprend en même temps que leur art ait suscité l’intérêt de notre psychologue si l’on considère la richesse spirituelle qu’elle représentait pour l’âme. Tous les symboles dont usaient les alchimistes étaient autant de projections de l’inconscient.
Dans le but de favoriser l’accomplissement de chacun, les alchimistes ont voulu fonder leur art sur une connaissance approfondie de la nature. Selon eux, sous la diversité des choses naturelles, existe une essence commune à laquelle l’homme participe nécessairement. Minéraux, végétaux, animaux, chacun a une âme et la Création entière s’affirme comme l’expression même du Tout puissant. Ainsi ont-ils axé leur intérêt sur la science des corps, laquelle correspondait pour eux à une vision plus naturelle de l’être humain, et donné de la sorte une importance accrue à notre monde intérieur.
En définitive, l’alchimie serait la connaissance des lois de la vie de l’homme et de la nature, et la reconstitution du processus par lequel cette vie, souillée par la faute d’Adam, peut recouvrer sa pureté et sa plénitude. Si l’on considère que les « métaux vils » sont l’image de la chair et des désirs les plus triviaux et que la pierre philosophale représente la perfection, le passage du premier au second état serait celui de l’âme succombant à elle-même pour renaître en une existence supérieure. Trouver la Pierre philosophale n’est pas autre chose qu’approcher l’Absolu et posséder la Connaissance parfaite. Elle symbolise la victoire de l’esprit sur la matière, la communion avec Dieu, trouve son expression dans la passion du Christ. Les alchimistes font en effet revivre le mythe du Dieu qui meurt et ressuscite et pensent que la Résurrection de chacun peut être accomplie dans cette vie même. Il suffit pour cela de suivre une ascèse et de renoncer à tout ce qui sur terre entrave le développement de l’être humain authentique. L’alchimie, par son désir de s’élever au dessus des impuretés des passions terrestres, donne tout son sens au mystère de la sainte Trinité. « C’est tout le problème […] du processus de devenir de la personnalité, appelé processus d’individuation, qui s’exprime dans la symbolique alchimiste ».
Rien ne permet d’appréhender au mieux l’apport de l’alchimie dans l’épanouissement de l’individu que sa différence de nature avec la chimie moderne. Certes, celle-ci a succédé à l’alchimie et a concrétisé des intuitions que sa devancière avait formulées. Pourtant elle est avant tout une science et comme telle axe ses préoccupations sur l’analyse des corps simples et leur action les uns sur les autres. Elle ne tourne ses investigations que vers leurs formes extérieures, non leur transformation, et après chaque réaction chimique n’existent que les éléments présents auparavant. C’est plutôt à l’idée de purification, de transcendance et de développement que l’alchimie est attachée. Plus que vers les objets eux-mêmes, elle oriente son attention vers les préoccupations spirituelles de l’individu. Dans le principe d’évolution elle trouve sa vocation pour le plus grand bonheur de la personne humaine.
Par-dessus tout, cet idéal tire sa force du mystère entourant toute sa trame symbolique, car ce n’est que dans la mesure où le langage reste caché qu’il se rendra efficace auprès de l’individu. En cela, l’alchimie est une religion du mystère et montre au mieux l’importance détenue par le secret dans le cheminement spirituel de l’individu. Les alchimistes étaient peu soucieux de dévoiler la clef de leurs symboles car ils estimaient que cela eut enlevé toute leur efficacité à leur science. Révéler un secret est lui ôter toute valeur et l’on ne saurait faire un usage vulgaire de ces supports de sagesse. L’art du Grand Œuvre se rapproche là des célèbres mystères d’Eleusis, ainsi que de toutes les religions ésotériques au sein desquels la spiritualité dépend d’une tradition réservée aux initiés. Du moment que le message religieux n’est pas révélé au plus grand nombre, il dépend seulement de l’individu qui accepte de se soumettre à cette révélation d’en ressentir en lui les bienfaits et de laisser guider son âme par les images qui lui sont proposées. Un fait religieux resté caché fait ainsi toujours la part belle à l’individu indépendamment de la collectivité à laquelle il appartient. La promesse de ne pas dévoiler à ses semblables le contenu du message spirituel garantit l’effet exercé par ce dernier sur sa personne en même temps que reste intacte son indépendance d’esprit. Cela, Jung l’avait relevé lors de ses voyages, ainsi dans le nouveau monde où il fut frappé par le mystère de la religion des Indiens Pueblo. La force maintenant ce peuple, la personnalité qu’il avait su garder, lui venaient de ce secret renfermant ses croyances et grâce auquel survivait sa culture. « La préservation du secret donne au Pueblo fierté et force de résistance en face du Blanc tout-puissant ».
De fait, il est indiscutable que l’art alchimique offre à l’individu une vie de l’âme plus authentique, plus personnelle et plus mystique que celle renvoyée par les croyances officielles. Les alchimistes ont su proposer une voie spirituelle ayant pour avantage de faire connaître à leurs adeptes une vie intérieure plus intime, tout en leur donnant conscience de ce que le culte de leur temps pouvait avoir de figé. Au-delà des dévotions populaires qui étaient le lot de la multitude, leur sagesse se présentait comme une mystique visant à intérioriser Dieu en leur âme par étapes successives. Son but était à terme de trouver l’illumination et c’est en ce sens qu’elle suscitait l’inquiétude de la théologie traditionnelle. L’Église, qui n’avait pour but que de rassembler les fidèles dans une même vie communautaire cimentée par des traditions, n’éprouvait que méfiance envers tout ce qui pouvait détourner les croyants de la vie sociale, en dépit de son attachement au dogme du Saint Esprit. « Alors que, dans l’Église, la différenciation grandissante du rite et du dogme éloignait la conscience de ses racines naturelles dans l’inconscient, l’alchimie et l’astrologie se préoccupaient inlassablement de ne pas laisser tomber en ruine le pont les reliant à la nature, c’est-à-dire à l’âme inconsciente »29. Le secret dont l’alchimie s’entourait faisait passer celle-ci pour un art occulte et comme tel suspect de magie et de superstitions, toutes choses propres à laisser perplexes les membres reconnus de l’autorité ecclésiastique. La tendance à laquelle ceux-ci cédaient vouait l’individu à vivre uniquement en conformité avec des usages imposés. Tout en acceptant les principes du dogme chrétien, l’alchimie proposait à ses adeptes d’ouvrir leur âme à un savoir plus large et une vie religieuse plus profonde. Jung voyait dans la Pierre philosophale, tant rêvée par les alchimistes, un symbole de notre Soi, et considérait que cette philosophie pouvait apporter un intéressant complément au dogme religieux en aidant à l’épanouissement personnel de chacun.
Il existe un conte de fée qui exprime cet approfondissement, Blanche neige et les sept nains. « Ah ! que n’ai-je un enfant blanc comme la neige, rouge comme le sang et noir comme le bois de ce cadre ! » dit la mère de Blanche-neige. L’œuvre au blanc, l’œuvre au noir, l’œuvre au rouge, ces trois couleurs marquant les étapes du travail alchimique jusqu’à la pierre philosophale, image du Soi. Le travail des nains s’activant dans leur mine pour en extraire des diamants va dans le même sens, représentent ce désir de l’âme d’extraire en elle le joyau mystérieux et caché. Blanche-neige elle-même meurt finalement à la vie profane pour renaître à la lumière.
Entre cette renaissance prônée par l’art royal et les principes de l’ordre maçonnique existe une intime corrélation. Du statut d’apprenti à celui de maître existent une succession de grades jalonnant le parcours du franc-maçon, lesquels représentent autant de renaissances successives. Chacun doit progressivement acquérir la maturité et la sagesse. Les couleurs blanche, noire et rouge présentes dans les rituels maçonniques en témoignent, même si leur ordre de valeur n’est pas le même que dans l’alchimie. Le tablier blanc de l’apprenti, les draps mortuaires noirs, la couleur rouge visible dans les décors sont autant de symboles à la signification évocatrice.
A travers l’alchimie se perçoit au regard de Jung la faiblesse inhérente à l’évolution de la croyance religieuse. Le message de liberté et d’humanité que Jésus était venu apporter au monde avait été détourné de sa vraie valeur par la civilisation occidentale. Aussi d’autres cultures devaient-elles proposer à l’homme des choix différents visant à lui faire prendre conscience des excès du monde moderne.
Colm Holland nous propose de le suivre dans ce que le livre de Paulo Coelho, “L’alchimiste”, lui a apporté d’essentiel : la possibilité de devenir alchimiste de son propre monde.
A vous, à votre tour, en suivant les conseils de l’auteur, de vivre la transmutation, votre transformation face aux obstacles, que vous transformez en expériences qui peuvent bouleverser votre existence.
L’alchimie, c’est la transformation.
En écrivant ce livre, Colm Holland a demandé à l’Amour de vous donner tout ce dont vous avez besoin pour chercher avec succès votre propre accomplissement, influencer à la fois le cours de votre vie et votre environnement, votre monde.
Sur l’inspiration apportée par L’alchimiste” de Paulo Coelho, et les circonstances de cette rencontre assez extraordinaire
“Il faut retourner au dialogue avec l’Esprit, il faut reprendre le chemin du silence.
C’est en cessant de faire du bruit avec nous-même que nous entendons la musique éternelle” Maurice Zundel
Anne Ducrocq nous offre 100 lieux qui sont 100 occasions de se tourner vers nous-mêmes, l’intime, l’unité de soi avec la nature, les autres, le silences… Une pause spirituelle.
Le sens de ce livre, des extraits de l’auteur : Ecoutez !
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Ce très beau livre, l’objet et son contenu, on peut le laisser posé, bien en vue, chez soi : il sera une invitation permanente à “reprendre le chemin du silence”, à laisser derrière soi “l’Homme du Torrent”, le “Vieil Homme” en permanence balloté entre le limité et l’illimité. Une invitation à trouver dans notre belle France des lieux, des groupes, pour revenir à l’essentiel… Et même si vous ne bougez pas de chez vous, si vous parcourez simplement ces “100 lieux originaux pour se ressourcer”, vous bougerez quand même, intérieurement !
Avec son corps, ami du chemin, avec la marche, authentique exercice spirituel. Et dans des lieux qu’Anne Ducrocq nous propose : Le Centre Saint-Hugues de Biviers, le Prieuré Sainte Thérèse, le Cantal avec la méthode Wim Hof…
Des lieux d’altitude, aussi, comme Saint-Martin-du-Canigou…
Puis l’aventure spirituelle-marine ; des lieux de silence et de concentration ; de spiritualité avec une autre forme de la nature, le jardin, tel le jardin Zen d’Erik Borja destinés à la méditation (parcimonie des mousses et des azalées
Spiritualités Magazine développe ce thème ici
La jeunesse… attend tout, espère tout. Les rassemblements de jeunes sont comme un oxygène ; respirer, partager, communier, faire des rencontres. “Quelques jours où il semble que tout est nouveau, comme eux, et le monde à construire”.
“Seul on va vite, ensemble on va plus loin” Proverbe africain
Pour tous, des lieux : Taizé, “la colline des jeunes”. La fondation protestante John-Bost, et les personnes handicapées. L’abbaye d’Ourscamp. L’abbaye de Hautecombe, Venez et chantez…. etc…
Où méditer en groupe. Jeûne et randonnée. Retraite de femmes. Pour les carrefours de la vie. Au service de l’amour…
De nombreux lieux nous sont proposés, et l’auteur les choisit en fonction des recherches et chemins personnels possibles..
“L’art est une des manifestations privilégiées de la vie de l’esprit, une voie royale (…) La beauté soigne, élève, caresse, fouette, éveille”
Entendre la création : le chant grégorien (Saint Pierre de Solesmes, Abbaye de Sylvanes…). L’icône, une fenêtre sur le Royaume (Monastère de Saint-Silouane, Abbaye de Belloc…). Du spirituel dans l’art.
“Les sagesses n’ont pas de frontières…”
Les bouddhismes.
Descendre dans l’instant : Le village des Pruniers, la pagode Khan-Anh…
Tibétains : la nature de la réalité. L’Institut Karma Ling, l’Institut Pleins Présence…
Les bouddhismes Zen : vers l’Eveil. La Gendronnière, la Demeure sans limite, la Falaise verte, le Centre Pierre Chatel…
Vipassana : l’une des techniques de méditation les plus ancienne de l’Inde
Les ashrams : une sagesse ancestrale. Hauteville (Arnaud Desjardins), l’ashram de Gretz
Le Yoga : un art de l’intériorisation
Pause ayurvédique
“J’ai toujours aimé le désert point on s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence point”. Antoine de Saint-Exupéry
Les sons du cosmos, le bruit du cosmos, n’est pas un bruit c’est un espace de silence habité
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Tout est énergie, dans l’univers, bien au-delà du corps physique. Les structures vibratoires qui manifestent ces énergies, ces forces vitales, sont les auras.
Dans sa belle collection “Les clés de l’ésotérisme“, Albin Michel publie un livre de Joylina Goodings : AURAS
Bien sûr ce livre va vous aider à visualiser les auras, à voir leurs couleurs, à connaître son corps éthérique… Mais il va bien plus loin que cela, comme l’explique le podcast.
L’ aura est en interaction avec le bien-être physique, mental, émotionnel et spirituel. Elle traduit et influence notre potentiel énergétique, que nous pouvons travailler… et des exercices très intéressants permettent ce travail sur soi-même et pour les autres. La recherche d’un changement en profondeur, d’un équilibre, peut passer par ce travail qui concerne par exemple les divers types d’enveloppe (physique, émotionnelle, mentale, etc.) ou le soin de l’aura dans sa globalité.
Joylina Goodings propose des outils et techniques à notre portée, stimulants et vraiment bénéfiques. Vous apprendrez à purifier et énergiser le taux vibratoire de votre aura, grâce aux cristaux, couleurs, huiles essentielles.
Elle nous conduit à mieux ressentir et nourrir notre énergie vitale !
Dans la belle collection Les clés de l’ésotérisme, vous trouvez
Les Clés de l’ésotérisme – Auras
Les Clés de l’ésotérisme – Géométrie sacrée
Les Clés de l’ésotérisme – Numérologie
Les Clés de l’ésotérisme – Les Lignes de la main
Les Clés de l’ésotérisme – Tarot
Les Clés de l’ésotérisme – Cristaux
Les Clés de l’ésotérisme – Astrologie
Les Clés de l’ésotérisme – Chakras
Les guides dont je parle dans ce podcast se trouvent ici, et concernent particulièrement l’Aquitaine
Le souci de soi vient de l’attention accrue de l’individu et des efforts concernant le corps
Il peut s’agir du respect de l’hygiène, du sport, de la découverte de l’intime…
Un point de repère essentiel : ce n’est qu’au XIXe siècle que le sentiment d’individualité se déploie vraiment. Conséquences : les prénoms se transforment, le portrait est la mode, la photographie se répand et le journal intime se diffuse dans certaines classes sociales.
C’est la division entre l’espace privé et l’espace de réception : l’intérieur de la maison bourgeoise est réorganisé. Le corps, le corps si présent aujourd’hui, suscite un intérêt essentiel. Le bain ne devient un réflexe d’hygiène (cela dit pas encore quotidien).
Nous insistons sur l’importance, sur un chemin spirituel, de la vie intérieure. La méditation permet d’arrêter le flot de la pensée, Mais s’agirait-il de ne plus penser ? Dans certaines pratiques, peut-être. Mais c’est alors un danger tel que celui que pointe Philosophie Magazine en parlant de “détournement spirituel” : un détachement excessif, un refus de toute émotion négative…
Le sens de notre pensée et maitrisable. Il peut se faire dans une perspective de renforcement de l’égo, mais inversement vers la compassion, vers une pensée de l’intérêt général… et vers justement le subtil de la vie intérieure.
Ecoutez le podcast : un dialogue socratique qui montre comment le souci de soi n’est pas évident du tout. Vous comprendrez la mise à mort de Socrate ! Et ce que nous vivons dans notre société actuelle.
Il ne s’agit donc pas de se réfugier dans la “forteresse intérieure”. Ni d’une maîtrise des affects, mais d’un dessaisissement libérateur.
La méditation socratique nous explique l’essentiel… Ecoutez !
Ce coffret vous ouvre un cheminement vers vous-même, au travers de belles images évocatrices, et des sept chakras.
Le pèlerinage est symbolique en même temps que physique, dans l’espace. Dans son rapport au temps, il ouvre des perspectives étranges, car s’y côtoient le temps de la marche, celui des rencontres, et un temps intérieur qui nous libère du temps linéaire, du temps des contraintes externes.
Ce coffret que composent de belles images de paysages, de personnes, d’ambiances, vous met sur la voie d’une méditation scandée, au long cours, de carte en carte. Et sur la concentration sur un chakra, au fur et à mesure. L’auteur vous donne quelques conseils pour pratiquer, mais vous allez vous trouver dans une grande liberté de cheminement : laissez aller votre esprit au-delà du mental, cheminez sans contrainte.
Vous trouverez le coffret aux éditions Guy Trédaniel
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Chaque lame du Tarot, lorsque l’on s’ouvre à elle par méditation, sans chercher à construire une pensée à son égard, nous offre une énergie singulière.
« Mythologos » nous embarque sur un chemin initiatique inattendu : avec des héros des philosophes et des dieux de la Grèce antique.
Sous la forme d’un roman, et on ne s’ennuie pas, nous allons vivre les Jeux Olympiques avec le jeune Milon de Crotone, rencontrer des sages, tirer les leçons d’histoires mythiques dont les détails et généalogies nous sont contés, et nous allons même vivre les heurs et malheurs d’une famille antique comme si nous y étions.
Des regards multiples et vivants s’enchainent de manière suffisamment cohérente pour que nous gardions le fil qui nous conduira, avec le héros, vers peut-être la sagesse. Entre les travaux d’Héraclès et les réflexions philosophiques de Pythagore, nous voici plongés dans une histoire où se succèdent le Lion de Némée, l’Hydre de Lerne, Jason et la toison d’or, les Juments mangeuses d’homme, le jardin des Hespérides, la tunique de Nessos, et bien d’autres moments extraordinaires et subtils.
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Né de rencontres, durant la crise sanitaire, c’est un projet que mènent 6 femmes enthousiastes et inspirées.
Les sessions qu’elles organisent s’adressent aux adultes et aux enfants. Ils y pratiquent des pédagogies innovantes, des jeux libérateurs. Une belle occasion de laisser resurgir son enfant intérieur.
En vidéo, une belle rencontre avec Spiritualités Magazine
https://www.youtube.com/watch?v=zUDEdZ79FEc
Les voies du changement sont-elles impénétrables ? Elles prennent ici la forme d’un « manuel de réveil » !
Cet ouvrage, qui est le fruit de beaucoup de réflexion et de travail est drôle, follement pédagogique, et il explore autant avec la science qu’avec le cœur, l’intuition, l’esprit, les chemins de l’harmonie… Avec nous-même, nos entourages, et avec l’existence elle-même. Dans cette exploration nous rencontrons notre corps, mais sa matérialité, et la matière elle-même, n’est-elle pas création de la conscience ? L’inconscient, son immensité, son rôle essentiel dans notre vie mentale, et ses composantes : le subconscient qui dans l’ombre joue des ficelles de notre destin, le surconscient auquel nous ouvrons la porte si nous voulons changer, au-delà de l’égo. Outils psychologiques, outils spirituels, détermination, confiance, investissement personnel, persévérance… Les atouts sont présentés, mais ne pensez pas changer d’un coup, il y a de l’inertie !
Et puis, il y a le sens que nous donnons au réel, et ce que peut y faire la méditation, les dynamiques fonctionnelles cérébrales qu’elle peut induire.
Changeons de paradigme… avec l’aide de quelqu’un de compétent, extérieur à nos croyances nous conseille l’auteur ; pour percevoir le global, sur différents niveaux de compréhension ; et l’esprit va guider nos actions. Cela vous parait un peu abstrait ? C’est en fait que ce résumé ne peut rendre compte du cheminement précis et lumineux de l’analyse, de l’opposition entre croyances et expériences, de la démystification de la mystique, des problèmes que crée le mental… Ce livre conduit, en nous portant au-delà de nos conditionnements à nous ouvrir à l’intelligence de la vie, à la rencontre de l’esprit. Et il ne nous laisse pas seuls et dépourvus, dans cette rencontre…
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Se tourner vers une vie différente parait aujourd’hui évident. La question c’est de le commencer soi-même. Nous souhaitons faciliter la possibilité de se relier à sa dimension spirituelle, intuitive, bienveillante, réveiller les potentiels… avec simplicité, en donnant un cadre géographique précis, des lieux, des hôtes, des pratiques de ressourcement très libératrices.
Plusieurs séjours, à différentes dates sont possibles, avec des activités et suivis variés. Par exemple :
Reconnexion (méditations guidées, travail sur son intériorité, histoires imaginales pour retrouver du sens, massages…). Accords Toltèques. Reconnaître les plantes sauvages utiles. Apprendre à fabriquer soi-même en rapport avec la nature (cosmétiques, produits ménagers, fromages…).
Quant au lieu, le premier se trouve au cœur du Périgord Noir, à Domme, dans une ancienne ferme transformée en maison d’hôtes. D’autres seront proposées dans les temps qui viennent en Périgord et Nouvelle Aquitaine.
Les personnes intéressées peuvent prendre date ici en nous laissant leurs coordonnées et un message indiquant leurs souhaits pour que nous puissions les orienter.
Un témoignage de Patrice Marty, celui qui a très tôt reçu la légende Maya (les Mayas, “gardiens du temps”) des crânes de cristal comme une lumière. Une interview qui nous donne des clés pour aller plus loin… notamment grâce à la représentation de 52 crânes dont il nous donne une clé d’interprétation, ou plutôt de méditation, et qui peuvent nous accompagner. Étonnant, intéressant : une voie, une approche, peu courante de la spiritualité ! Pour se procurer le coffret directement auprès de l’auteur
Spiritualités Magazine vous présente ici des pratiques, liées à des chemins spirituels, de bien-être, de contact avec la nature.
C’est à chacun de reconnaître celles qui les accompagneront sur leur chemin, dans leur réflexion, dans leur transformation, leur élévation. L’idée, c’est de vous aider au mieux, et non pas de dire que nous distribuons des solutions !
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Dans cette interview exclusive pour Spiritualités Magazine, Philippe Lenaif, créateur de la méthode Mahorikatan, nous plonge dans son parcours fascinant et les bienfaits remarquables de cette danse de transe douce. Philippe Lenaif utilise la musique comme élément central de Mahorikatan. Expert en sémantique musicale, il choisit des morceaux capables d’harmoniser émotionnellement les participants. Mahorikatan se développe principalement en Belgique et en France, avec des sessions régulières à Bruxelles, Paris, Lyon et l’île de Ré. Philippe prévoit également de former de nouveaux animateurs pour étendre cette pratique à travers l’Europe. En parallèle, il collabore avec des chercheurs en neurosciences pour valider scientifiquement les bienfaits de Mahorikatan et prépare la publication d’un livre qui détaillera sa démarche et ses découvertes.
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