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La loi d’attraction

Pilule bleue, pilule rouge : décrypter la loi d’attraction et ses mystères

La loi d’attraction, concept fascinant et parfois controversé, est au cœur de l’ouvrage Pilule bleue, pilule rouge, publié par les Éditions du Désir. Dans ce livre captivant, Valérie Havez propose une exploration inédite de cette loi universelle, en mêlant réflexion philosophique, anecdotes inspirantes et explications scientifiques.


Une approche multidimensionnelle de la loi d’attraction

Dans Pilule bleue, pilule rouge, la loi d’attraction est présentée comme une force fondamentale qui structure notre réalité. Valérie Havez l’aborde sous un angle novateur, en soulignant l’interconnexion entre les pensées, les émotions et les événements qui jalonnent nos vies.

L’autrice explique comment les pensées agissent comme des vibrations énergétiques, influençant les opportunités et les obstacles que nous rencontrons. À travers des exemples concrets et des métaphores parlantes, le livre illustre comment nos croyances, conscientes ou inconscientes, façonnent le monde qui nous entoure.


Une plongée dans les mécanismes de la manifestation

L’un des aspects remarquables du livre est sa capacité à rendre accessibles des concepts complexes. Valérie Havez décompose la loi d’attraction en étapes clés, permettant de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents. Elle explique notamment :

  • L’impact des pensées négatives sur la fréquence vibratoire de l’individu.
  • L’importance de cultiver des émotions positives pour aligner ses désirs avec la réalité.
  • Le rôle de l’intention et de la clarté dans la manifestation.

Le tout est enrichi par des exercices pratiques et des récits inspirants, invitant le lecteur à réfléchir à ses propres schémas de pensée et à leurs effets.


La loi d’attraction et les lois universelles

Dans Pilule bleue, pilule rouge, la loi d’attraction est replacée dans le cadre plus vaste des lois universelles. L’autrice s’appuie sur des principes issus de la philosophie hermétique et de la physique quantique pour montrer que cette loi ne fonctionne pas isolément.

Les concepts de correspondance, de vibration et de polarité sont explorés avec finesse, mettant en lumière l’importance de l’équilibre et de l’harmonie pour activer pleinement le potentiel de la loi d’attraction. Cette approche multidimensionnelle enrichit la réflexion et permet de mieux saisir l’étendue de cette force universelle.


Entre science et spiritualité

L’un des atouts majeurs du livre réside dans son approche équilibrée, qui mêle science et spiritualité. En s’appuyant sur des recherches en physique quantique, Valérie Havez explique comment les particules subatomiques réagissent aux champs d’énergie, une métaphore puissante pour comprendre la manière dont les pensées influencent la matière.

En parallèle, l’autrice s’intéresse aux dimensions spirituelles et philosophiques, offrant une vision holistique de la loi d’attraction. Ce dialogue entre deux disciplines souvent opposées donne au livre une profondeur qui captive les esprits curieux.


Une écriture entre profondeur et accessibilité

Le style de Valérie Havez est un véritable atout. Alliant clarté et profondeur, elle parvient à aborder des sujets exigeants tout en maintenant une lecture fluide et engageante. Les chapitres alternent entre réflexions théoriques, anecdotes personnelles et exercices pratiques, créant un équilibre parfait entre théorie et application.

Chaque page semble conçue pour nourrir la curiosité du lecteur, en laissant suffisamment de mystère pour inciter à explorer davantage. Cette écriture vivante et évocatrice rend Pilule bleue, pilule rouge accessible à un public varié, qu’il soit novice ou adepte des pratiques spirituelles.


Pourquoi lire Pilule bleue, pilule rouge ?

Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui cherchent à mieux comprendre le rôle de leurs pensées dans la création de leur réalité. Que l’on soit sceptique ou convaincu, il offre une perspective enrichissante sur la manière dont les émotions et les intentions influencent notre quotidien.

En explorant la loi d’attraction à travers le prisme des lois universelles, Valérie Havez propose un contenu original et inspirant, qui incite à repenser notre rapport au monde.

La loi d’attraction selon Alexandra Raillan : transformer vos pensées en réalité

Dans son livre captivant, Alexandra Raillan propose une exploration unique de la loi d’attraction, un concept universel qui transcende le temps et les cultures. À travers une approche claire et engageante, elle nous guide pour comprendre comment nos pensées et nos émotions façonnent notre réalité quotidienne.


Un principe universel ancré dans la vibration

Selon Alexandra Raillan, la loi d’attraction repose sur un fondement énergétique : tout dans l’univers est vibration. Nos pensées, qu’elles soient positives ou négatives, émettent une fréquence qui entre en résonance avec ce qui nous entoure. En d’autres termes, ce que nous ressentons et croyons attire à nous des expériences qui vibrent à la même fréquence.

Elle explique avec précision que cette loi n’est pas une simple méthode de pensée positive, mais un véritable mode de vie impliquant une harmonisation entre pensées, émotions et actions.


Les étapes pour activer la loi d’attraction

Dans son ouvrage, Alexandra Raillan décrit plusieurs étapes pour mettre en pratique cette loi et transformer nos désirs en réalités :

  • Formuler des intentions claires : L’autrice insiste sur l’importance de définir précisément ce que l’on souhaite. Une intention floue ne peut pas se manifester avec efficacité.
  • Visualiser son objectif : Imaginer mentalement le résultat souhaité dans ses moindres détails permet de le rendre tangible.
  • Cultiver des émotions alignées : Ressentir les émotions positives associées à la réalisation de nos désirs élève notre vibration et renforce notre pouvoir d’attraction.
  • Passer à l’action : Contrairement aux idées reçues, la loi d’attraction nécessite une implication active. Pour Alexandra, l’action est un catalyseur qui renforce nos intentions.

Une approche entre science et spiritualité

Ce livre se distingue par son approche équilibrée, qui mêle philosophie ancienne, physique quantique et réflexions personnelles. Alexandra Raillan s’appuie sur des principes issus de traditions hermétiques et de recherches scientifiques modernes pour donner du sens à la loi d’attraction.

Elle souligne également le rôle clé de l’introspection et de la gratitude dans ce processus. Reconnaître les bénédictions de notre vie actuelle permet de cultiver un état d’esprit d’abondance, un élément essentiel pour attirer des expériences positives.


Des bienfaits multiples

Adopter la loi d’attraction, telle que décrite dans cet ouvrage, offre de nombreux avantages :

  • Reprendre le pouvoir sur sa vie : En changeant nos pensées, nous modifions notre réalité.
  • Élever notre vibration : Cultiver des émotions positives crée un cercle vertueux, attirant davantage de situations favorables.
  • Clarifier nos valeurs : La pratique de cette loi invite à une réflexion sur ce qui est vraiment important pour nous, renforçant ainsi notre alignement intérieur.

Comparaison entre les deux livres traitant de la loi d’attraction, écrits par Alexandra Raillan et Valérie Havez


Approche générale

Alexandra Raillan – La loi d’attraction : Transformer vos pensées en réalité
Alexandra Raillan propose un guide pratique et inspirant qui met l’accent sur les étapes concrètes pour appliquer la loi d’attraction. Son approche repose sur une synthèse équilibrée entre science, philosophie ancienne et introspection personnelle, rendant ses principes accessibles à un large public.

Valérie Havez – Pilule bleue, pilule rouge : Une réflexion sur les lois universelles
Valérie Havez place la loi d’attraction dans un cadre plus vaste des lois universelles, comme celles de vibration, correspondance et polarité. Son livre explore non seulement le pouvoir des pensées, mais aussi leur interconnexion avec d’autres principes métaphysiques, enrichissant ainsi la réflexion par une approche holistique.


Thématiques principales

  • Focus d’Alexandra Raillan :
    • Application pratique de la loi d’attraction dans la vie quotidienne.
    • Importance des émotions positives et de la gratitude.
    • Processus étape par étape pour clarifier ses désirs et manifester ses intentions.
  • Focus de Valérie Havez :
    • Compréhension des lois universelles et leur impact global sur l’existence.
    • Exploration philosophique des principes qui sous-tendent la réalité.
    • Intégration de concepts tels que la physique quantique et la spiritualité pour une vision multidimensionnelle.

Style d’écriture

  • Alexandra Raillan :
    Son style est accessible, pratique et engageant. Elle privilégie une écriture fluide, simple et motivante, destinée à guider le lecteur à travers des exercices concrets et des exemples faciles à comprendre.
  • Valérie Havez :
    Son style oscille entre profondeur philosophique et pragmatisme. Plus littéraire, il mêle anecdotes personnelles, réflexions théoriques et poétiques, offrant une lecture plus contemplative et immersive.

Cible principale

  • Alexandra Raillan :
    • Les lecteurs recherchant un guide simple pour appliquer rapidement la loi d’attraction.
    • Ceux souhaitant des outils pratiques pour transformer leurs pensées en résultats tangibles.
  • Valérie Havez :
    • Les passionnés de métaphysique, de spiritualité et de réflexion philosophique.
    • Ceux intéressés par une compréhension globale des lois universelles, au-delà de la seule loi d’attraction.

Similitudes entre les deux livres

  • Les deux auteurs partagent l’idée que nos pensées et émotions sont des vibrations énergétiques influençant notre réalité.
  • Les ouvrages insistent sur l’importance de cultiver des émotions positives, comme la gratitude, pour élever sa vibration et attirer des expériences alignées avec ses désirs.
  • Tous deux mêlent des notions scientifiques (physique quantique) et spirituelles pour enrichir leur discours.

Différences clés

  1. Envergure du sujet :
    • Alexandra Raillan se concentre exclusivement sur la loi d’attraction, tandis que Valérie Havez l’intègre dans un cadre plus large des lois universelles.
  2. Application pratique :
    • Raillan offre une méthode claire et directe avec des étapes pratiques, idéale pour ceux qui veulent des résultats concrets.
    • Havez propose une réflexion plus globale, incitant à une introspection profonde et à une compréhension philosophique.
  3. Style et profondeur :
    • Raillan privilégie une écriture didactique et concise.
    • Havez adopte un ton plus littéraire et contemplatif, convenant aux amateurs de textes riches en nuances.

Recommandation en fonction des attentes

  • Si vous cherchez un guide pratique et motivant pour appliquer la loi d’attraction, le livre d’Alexandra Raillan est idéal.
  • Si vous souhaitez explorer la philosophie et la profondeur métaphysique de la loi d’attraction dans un contexte plus vaste, le livre de Valérie Havez vous offrira une réflexion enrichissante.

Les Frontières De La Vie : Expériences de mort imminente à la lumière de la science et de la spiritualité

Quand la science rencontre l’infini : plongée au cœur des expériences de mort imminente

Les expériences de mort imminente (EMI) fascinent depuis des décennies par leur mystère et leur impact sur les individus qui les vivent. Entre science et spiritualité, ces expériences questionnent nos croyances sur la conscience et la vie après la mort. L’ouvrage « Les Frontières de la Vie », de Pim van Lommel, explore ces phénomènes avec une rigueur scientifique tout en ouvrant la voie à une compréhension holistique de la conscience humaine.

Comprendre les EMI selon Pim van Lommel

Les EMI se produisent souvent lors d’épisodes critiques comme un arrêt cardiaque. Le cardiologue Pim van Lommel a mené une étude multicentrique aux Pays-Bas, incluant 344 patients interrogés après une réanimation. Ces témoignages révèlent des expériences similaires : sensation de flotter hors du corps, vision d’un tunnel lumineux ou encore émotions intenses de paix. Contrairement aux théories réductionnistes, van Lommel propose que ces expériences évoquent une conscience non localisée, indépendante du cerveau. Cette approche défie le paradigme traditionnel selon lequel la conscience serait une simple émergence de l’activité neuronale.

Hypothèses scientifiques et limites actuelles

Les théories intracérébrales attribuent les EMI à des processus biologiques comme l’hypoxie, l’hypercapnie ou la sécrétion de DMT. Cependant, ces hypothèses ne peuvent expliquer certains aspects clés, comme les souvenirs clairs rapportés en état d’EEG plat. La science réductionniste rencontre ainsi des limites face à des phénomènes transcendant les modèles classiques. Pim van Lommel avance que le cerveau agit comme un émetteur-récepteur, plutôt que comme un producteur de conscience. Cette vision rejoint la physique quantique, qui explore les interactions entre la matière et la conscience.

L’impact transformateur des EMI

Les personnes ayant vécu une EMI rapportent souvent des changements profonds dans leur manière de percevoir la vie. Elles développent une plus grande empathie, une diminution de la peur de la mort et une compréhension accrue des liens universels entre les êtres vivants. Cette transformation spirituelle soulève des questions fondamentales : la mort est-elle un simple passage ? Ces expériences reflètent-elles une réalité plus vaste, accessible au-delà de la perception sensorielle ?

EMI et spiritualité

Les EMI forment un pont entre science et spiritualité. Le concept d’énergie universelle, présent dans plusieurs traditions spirituelles, trouve un écho dans les descriptions des « conscience non locale ». Les patients rapportent des épisodes de connexion intense à une source lumineuse, parfois interprétée comme une entité divine ou l’essence de l’univers. En replaçant la conscience au centre des débats scientifiques, Pim van Lommel invite à une réflexion plus large sur les questions métaphysiques et l’évolution de nos paradigmes.

L’exploration des EMI remet en question nos certitudes sur la conscience et la mort. « Les Frontières de la Vie » propose un dialogue entre science et spiritualité, ouvrant la voie à une compréhension plus profonde de l’existence. Ces expériences nous rappellent que la recherche de sens transcende les disciplines et unit les êtres humains dans une quête universelle.

Michel à tout jamais : une connexion entre l’ici et l’au-delà

Vous pouvez vous procurer le livre ici

 

Un témoignage bouleversant sur l’amour, le deuil et la communication avec l’au-delà, à travers les yeux d’Emmanuelle Grandchamp

La veille de Noël 2023, Michel, compagnon d’Emmanuelle, décède. Dès le lendemain, il va entrer en contact avec elle, lui faire écrire des messages, et c’est ainsi que ce livre va débuter.

L’histoire d’un amour transcendant

Emmanuelle Grandchamp raconte une histoire d’amour exceptionnelle avec Michel. La spiritualité est au cœur de leur lien. Leur relation, marquée par des moments de profonde connexion, témoigne de la puissance des énergies comme celles associées à la Vierge Marie. Bien que la santé physique de Michel ait été fragile, son soutien émotionnel et spirituel a joué un rôle fondamental dans leur cheminement commun. Leur amour dépasse les frontières de la vie terrestre, s’inscrivant dans une quête de sens et de spiritualité partagée.

La médiumnité et les manifestations spirituelles

Lorsque Michel quitte ce monde en décembre 2023, Emmanuelle commence à percevoir des signes et des manifestations prouvant sa présence. À travers l’écriture médiumnique, elle capte ses messages d’amour et d’espoir, confirmant que les mondes spirituels et terrestres sont intimement liés. Ces expériences sont autant de preuves que la médiumnité peut offrir un moyen de communication profond avec l’au-delà, soulignant le rôle essentiel des Guides spirituels dans ce processus.

Deuil et résilience spirituelle

Emmanuelle partage ses réflexions sur le processus de deuil et la manière dont la spiritualité peut aider à transcender la douleur. Les signes envoyés par Michel, qu’ils soient des apparitions, des sensations ou des interactions avec des objets du quotidien, lui ont permis de rester connectée à lui. Elle explique comment ces manifestations, bien qu’émotionnellement intenses, peuvent être une source de réconfort et de force pour avancer.

Une mission de partage et de transformation

Au-delà de son expérience personnelle, Emmanuelle considère que son parcours avec Michel lui donne une mission : aider ceux qui traversent le deuil. À travers ses écrits, elle souhaite démontrer que la vie continue sous une autre forme, et que l’amour reste le fil conducteur. Elle explore également les leçons spirituelles tirées de sa relation avec Michel, en insistant sur l’importance de l’ouverture d’esprit et du pardon pour accéder à une transformation intérieure.

Les enseignements des Guides et de l’énergie universelle

Michel a partagé avec Emmanuelle des enseignements précieux sur la vie après la mort, la continuité de l’âme et le rôle des Guides spirituels. Ces entités, qu’il s’agisse de proches disparus ou d’énergies supérieures, accompagnent les vivants dans leur parcours de vie, tout en respectant leur libre arbitre. Emmanuelle souligne l’importance de ces Guides pour apporter clarté et sérénité dans les moments de doute ou de difficulté.

L’importance des signes dans le quotidien

Les manifestations spirituelles ne se limitent pas aux moments de méditation ou de prière. Emmanuelle raconte comment Michel continue à se manifester à travers des objets qui bougent, des messages électroniques ou des phénomènes naturels, comme la présence récurrente de coccinelles. Ces signes sont pour elle des rappels de l’amour éternel qui les unit, et une invitation à rester ouverte aux miracles du quotidien.

Un outil de guérison : le livre comme témoignage

Emmanuelle travaille actuellement sur un livre inspiré par son expérience, dans lequel elle explore les thématiques de la réincarnation, du pardon et de la lumière spirituelle. Ce projet vise à offrir un guide pour ceux qui souhaitent mieux comprendre la continuité de l’existence et trouver des réponses à leurs propres questionnements. Elle espère que son témoignage servira d’inspiration et apportera un apaisement à ceux qui souffrent de la perte d’un être cher.

L’amour au-delà des frontières physiques

Pour Emmanuelle, son histoire avec Michel prouve que l’amour est un lien indestructible, transcendant la mort physique. Elle décrit comment cette connexion continue à nourrir sa résilience et son cheminement spirituel. L’amour, dans sa forme la plus pure, devient un moteur de transformation et une source d’inspiration infinie pour ceux qui choisissent d’y croire.

Les grandes questions sur la spiritualité et le deuil

Emmanuelle aborde des interrogations universelles qui transcendent sa propre expérience. Comment reconnaître les signes envoyés par les défunts ? Quelle est la nature des Guides spirituels ? Que signifie la continuité de l’âme dans une perspective universelle ? À travers ces thématiques, elle propose des pistes de réflexion et partage les enseignements qu’elle a reçus grâce à Michel. Elle insiste sur le fait que ces connexions ne sont pas réservées à quelques initiés, mais accessibles à tous ceux qui souhaitent s’ouvrir à la lumière.

L’histoire de Michel à tout jamais est un témoignage émouvant et universel sur la puissance de l’amour et de la spiritualité. À travers ce récit, d’une belle écriture, Emmanuelle Grandchamp invite chacun à explorer les mystères à la fois de la vie et de l’au-delà. L’amour et la lumière sont des forces éternelles qui transcendent les mondes visibles.

 

 

La saturation des besoins matériels

La France entre dans une nouvelle ère, celle de la déconsommation. Ce phénomène est principalement influencé par le vieillissement de la population, la saturation des besoins matériels et une prise de conscience écologique croissante. Les seniors, représentant 20% de la population, adoptent des habitudes plus frugales, tandis que la majorité des ménages, déjà suréquipés, ne renouvellent leurs biens

Parallèlement, la hausse des dépenses, telles que le logement et les factures, limite les possibilités d’achats non essentiels. Les consommateurs, de plus en plus critiques envers la société de consommation, sont nombreux à privilégier des comportements responsables comme la réparation ou l’économie du partage. Les campagnes publicitaires, telles que celles de l’ADEME, incitent même à moins consommer.

Ce mouvement de déconsommation n’est pas perçu comme un signe de décroissance, mais comme une opportunité de réinventer l’économie autour de modèles durables. Les entreprises doivent s’adapter, tandis que l’innovation devient un moteur de cette transition en proposant des produits plus efficaces et durables. Cette révolution de la consommation, en quête de “moins mais mieux”, promet une société où sobriété et responsabilité s’unissent pour vous.

Une petite histoire édifiante ? L’ère du partage

Dans une clairière baignée de lumière douce, au milieu d’une forêt où les arbres semblent veiller depuis des siècles, une étrange atmosphère régnait. Il y avait quelque chose dans l’air, une tension presque palpable, comme si la nature elle-même s’apprêtait à révéler un secret ancien.

Ce jour-là, Élise, une jeune femme qui avait grandi dans ce village reculé, s’aventura plus profondément dans les bois qu’elle ne l’avait jamais fait. Le monde changeait autour d’elle, et elle ressentait le besoin de comprendre ce bouleversement. Depuis quelque temps, les villageois parlaient d’une nouvelle ère : celle de la déconsommation. Ce mot, étrange et fascinant, se murmurait dans les rues, se glissait dans les conversations. On racontait que les temps où l’on achetait sans réfléchir étaient révolus, remplacés par une époque où chaque achat, chaque objet prenait une signification nouvelle.

Elle se souvenait encore des paroles de la vieille Amandine, sage du village, qui lui avait un jour révélé une prophétie ancienne :

— Le monde se détournera du “toujours plus” pour embrasser le “toujours mieux”. Quand viendra l’heure, vous saurez que l’abondance matérielle ne signifie pas le bonheur. Seule la simplicité offrira la véritable paix.

Ces mots avaient longtemps résonné dans l’esprit d’Élise. Alors que l’époque moderne avançait avec une voracité insatiable, elle avait observé les changements autour d’elle. Les anciens du village, autrefois insouciants et avides de nouveautés, avaient peu à peu laissé place à une sobriété inattendue. Comme ensorcelés par une force mystérieuse, ils consomment moins, se contentant de l’essentiel. Les plus de 65 ans étaient devenus les champions de cette frugalité nouvelle, presque en harmonie avec une nature que l’on commençait à redécouvrir.

Mais ce n’était pas seulement une question d’âge. Les pancartes débordants des familles, remplies d’objets que l’on croyait indispensables, criaient “assez”. Les machines, les gadgets, tout ce qui autrefois semblaient représenter le progrès, devenaient soudainement obsolètes. Un ras-le-bol collectif prenait forme. Les tiroirs refusaient de s’ouvrir, comme pour rappeler aux habitants qu’ils avaient déjà trop accumulé.

Élise, elle, sentait ce changement plus profondément que quiconque. C’était comme une force invisible qui l’aspirait, la poussant à chercher autre chose, au-delà du simple confort matériel. Elle pensait à l’eau de la rivière qui coulait lentement près de sa maison. Sa grand-mère lui disait toujours : « L’eau n’a besoin de rien pour être. Elle est là, pure, sans artifice, et pourtant elle nous donne tout. »

Un jour, alors qu’Élise méditait sur ces transformations, un étranger arriva dans le village. Il portait un grand manteau noir et, dans ses mains, il tenait un objet brillant. Les villageois se rassemblèrent autour de lui, curieux. L’homme parle d’une voix basse mais claire :

— Nous entrons dans une nouvelle ère. L’ère où réparer vaut mieux qu’acheter, où partager l’emporter sur posséder. Ce que vous voyez ici, dit-il en montrant son trésor, n’est qu’un symbole. Ce n’est pas l’objet qui importe, mais l’usage que vous en ferez.

Il expliqua alors comment, dans d’autres contrées, des familles entières louaient leurs outils au lieu de les acheter, comment les objets étaient réparés plutôt que jetés. La foule l’écouta, captivée, comprenant peu à peu que ce qu’il proposait n’était pas une simple économie. C’était un retour à une sagesse ancestrale, celle où l’équilibre régnait entre les besoins et les ressources.

Élise comprit alors que la prophétie de la vieille Amandine s’accomplissait sous ses yeux. Le monde basculait vers un avenir incertain, mais porteur d’espoir. Ce n’était pas un renoncement, mais une transformation. L’abondance inutile laissait place à une richesse immatérielle, celle des relations humaines, de la nature préservée, du temps retrouvé.

Tandis que l’étranger disparaissait dans la nuit, une lueur nouvelle brillait dans les yeux des villageois. Ils savaient désormais que la déconsommation n’était pas une fin, mais un commencement. Un chemin vers un monde où l’on vivrait mieux avec moins.

Ethique, déontologie, et technologies

Transcription

Ethique, déontologie, technologie

De la philo, de la tech, C’est philothèque alors ? Emmanuelle, quand on évolue dans le monde de l’i a, on entend souvent parler d’éthique, mais aussi de déontologie. Et j’ai l’impression qu’on met souvent les   mots sur le même plan. Du coup, je me demandais s’il y avait une différence entre les   alors.

Effectivement, il y a une différence, éthique et déontologie sont   mots qui sont très souvent utilisés de manière interchangeable ou utilisés comme s’ils étaient   choses équivalentes. Pourtant, si on regarde vraiment de plus près ces   substantifs, Eh bien on s’aperçoit qu’il renvoie à   choses à la fois différentes et intrinsèquement liées.

Bien qu’il n’y ait pas de définition arrêtée de l’éthique, il est admis que c’est la discipline de la philosophie qui traite du bien et du mal. Ou plus précisément, en tout cas selon moi, de l’évaluation axiologique d’un acte sur le spectre qui va de l’acceptable à l’inacceptable.   

La déontologie, quant à elle ?Eh bien, c’est une théorie, une des théories de l’éthique. Une dimension qui renvoie, comme son étymologie l’indique, au discours sur les devoirs ou à la science des devoirs. Et donc l’éthique et la déontologie sont   choses différentes, la  seconde étant incluse dans la première. Y a donc pas de pertinence à utiliser un mot pour l’autre, ni de les mettre sur le même plan.    

Ah d’accord, donc on a la philosophie dont fait partie l’éthique, qui elle même est inclus dans la déontologie. Donc la déontologie, c’est une branche de l’éthique, c’est ça ?Alors c’est.C’est exactement ça et c’est le point très important. La déontologie, c’est en effet une théorie de l’éthique, donc une sous branche de la philosophie.    

Pourtant, elle est aussi très utilisée dans le monde juridique. Les déontologues ou les responsables de la déontologie dans les entreprises sont d’ailleurs très rarement des philosophes ou des éthiciens, mais très majoritairement des juristes. Et c’est ce qui pose problème. Quand un éthicien parle avec un ou une déontologue, les   utilisent le même mot, mais ils n’en ont pas la même compréhension.  

Alors pour comprendre ça, il faut faire un petit passage par l’histoire. Le mot déontologie est inventé en      par Jamie Bentham, qui est un des pères du conséquentialisme qui, avec la déontologie, tu le sais, et l’éthique de la vertu font ce que l’on appelle les théories continentales de l’éthique. Bentham, qui était un contemporain, Kant, était avant tout un jurisconsulte et donc pétri de pensée juridique.

Quand il crée le terme, il leur donne une définition assez sommaire, ce qu’on appelle une définition nominale. La déontologie, selon Bentham, Eh bien, c’est une division de l’éthique, également appelée éthique dichastique, qui a pour objet, je le cite, d’indiquer si telle ou telle action doit ou ne doit pas être faite.

En l’occurrence, comme l’affirme Bentham, Eh bien, la déontologie, elle cherche à influer sur la volonté. Donc ce qu’on constate, c’est un tropisme juridique très marqué et une conception de la déontologie très top down pour dire ça en anglais. Les règles, en fait, sont établies par une autorité légitime et doivent être suivies.    

On doit s’y conformer. Oh là là, d’accord, donc tout ça, ça sonne un peu comme un combat entre la philosophie et les juristes, c’est ça, non ?Bah c’est là où le bât blesse en fait, hein.Si pour Bentham, la déontologie, elle vise l’édiction de règles qui doivent être suivies, pour Kant, qui est philosophe et pas juriste, il s’agit de se donner à soi-même des règles qui, si et seulement si elles passent le test d’universalité, deviendront des impératifs catégoriques et donc des règles qui qui devront être pardon appliquées.    

Contrairement à Bentham, Kant, qui ne se contente pas de définir mais théorise la déontologie, adopte une approche bottom up et c’est l’individu qui, au travers de ce qu’on appelle la volution, c’est à dire sa capacité de vouloir autonome, se donne des règles et vérifie leur validité avant de les rendre obligatoires.   

La déontologie n’influe donc pas sur la volonté, comme chez Bentham, elle en est l’émanation. Ce que Kant nous dit, Eh bien, c’est que si j’agis d’une manière acceptable sur le plan éthique par simple conformité à une norme. Notamment en raison du risque de sanction. Alors mon acte a moins de valeur sur le plan moral que si j’agis par devoir, c’est à dire en suivant une conviction profonde que je me suis faite.    

Si par ailleurs, l’acte posé par conformité à la norme n’est pas le produit de ma volonté, alors il perd toute sa valeur morale. Le problème, au final, ne réside pas dans la légitimité ou l’illégitimité de l’une ou l’autre des   approches, mais dans la difficulté d’articuler une approche juridique et une approche philosophique de la déontologie.    

Si le signifiant, c’est à dire le mot déontologie est commun aux   approches, c’est signifié, c’est à dire leur sens diffère grandement selon moi. La difficulté avec l’approche juridique par la conformité, Eh bien, c’est qu’elle est rapidement, ou en tout cas elle peut rapidement se transformer en conformisme et devenir un frein à l’esprit critique.   

French tech, esprit critique pour tech éthique.

 

La Guerre des Ombres Numériques : Asma Mhalla et le Règne des BigTech

UN CONTE : D’après un article de philosophie Magazine : Asma Mhalla : “L’IA change la nature même de nos concepts politiques”

En un temps où les royaumes étaient secoués par des forces invisibles et puissantes, où les mystères du monde ancien se trouvaient mêlés aux prodiges des nouvelles technologies, une voix s’éleva pour mettre en garde les seigneurs de l’époque. Asma Mhalla, érudite et sage parmi les sages, portait dans son cœur le fardeau de ceux qui voient les ombres grandir là où les autres n’aperçoivent que lumière.

Un jour, alors que les dignitaires de l’Union européenne s’apprêtaient à graver dans le marbre une loi inédite sur l’intelligence artificielle, Asma Mhalla fut conviée à donner son avis. “Ne vous méprenez pas,” commença-t-elle, d’une voix aussi douce que l’acier affûté, “l’intelligence artificielle n’est pas qu’un simple assemblage de techniques. Elle est le socle d’une nouvelle ère, une infrastructure colossale où se tissent les destins des nations.”

Elle parlait des câbles sous-marins, des satellites en orbite, des systèmes d’information et des supercalculateurs, tous aux mains des puissants marchands du numérique, ces BigTech qui, à l’instar des barons d’autrefois, avaient su capter non des terres, mais des milliards de données. Karl Marx, dont les écrits résonnaient encore comme un écho lointain dans les couloirs des châteaux, avait désigné l’infrastructure comme l’ensemble des moyens de production, alors détenus par le grand capital. Asma Mhalla, elle, voyait ces nouveaux maîtres du monde comme l’InfraSystème, une force insidieuse qui, bien que hors de portée des lois classiques, façonnait désormais le fait social, économique, et même militaire.

“Il est bien que l’IA soit enfin encadrée,” poursuivit-elle, ses yeux perçant les esprits présents comme la pointe d’une épée, “mais ce que vous proposez n’est qu’un voile jeté sur un gouffre sans fond.” En effet, les seigneurs européens, dans leur noble ambition, avaient rédigé des lois pour contraindre ces géants à respecter leurs règles. Mais les failles étaient déjà visibles : des amendes infligées à ces titans n’étaient que des grains de sable sur leurs vastes plages dorées. De plus, les exemptions accordées à certains États laissaient entrevoir des brèches béantes dans cette nouvelle législation.

Mais la profondeur du problème, expliqua Asma Mhalla, résidait ailleurs. “L’IA, par sa nature même, transforme nos concepts politiques. Le réel et le virtuel, le vrai et le faux, le privé et le public, tous ces dualismes que nous chérissons se fondent désormais l’un dans l’autre.” Elle évoqua la démocratie symbiotique, un concept où l’État, jadis tout-puissant, sous-traite ses pouvoirs à des entités privées, ces dernières devenant autant de leviers dans les mains des gouvernants. “La souveraineté n’est plus verticale, elle est mouvante,” déclara-t-elle, révélant ainsi l’étendue de la transformation qui attendait les nations.

Cependant, la véritable inquiétude de Asma Mhalla était plus profonde encore. Les technologies, dans leur double usage, servaient des causes aussi bien justes que malveillantes. “Comment séparer le bienveillant du malveillant quand l’un et l’autre se cachent sous le même masque ?” s’interrogea-t-elle. Les États tentaient de réguler, mais toujours en retard, comme un chevalier tentant de pourfendre un dragon déjà envolé.

Mais le plus inquiétant, aux yeux de Asma Mhalla, était la mutation de la guerre elle-même. “Les combats cyber-hybrides ne sont pas seulement des affrontements classiques. Ils épaississent le brouillard de la guerre, mêlant le vrai au faux, le civil au militaire, dans une danse macabre où les acteurs privés se mêlent aux armées.” Ainsi, la guerre moderne se jouait sur des fronts multiples et invisibles, où la désinformation et les attaques cybernétiques devenaient des armes plus redoutables que les épées et les canons d’autrefois.

La sage Asma Mhalla n’était cependant pas pessimiste pour autant. Elle voyait dans ce monde nouveau des opportunités pour les États capables de comprendre et de manier ces nouvelles forces. Mais, avertissait-elle, seuls les BigStates, ces États qui ont su faire éclore leurs propres BigTech, pourraient survivre dans cette arène impitoyable. “La souveraineté, de nos jours,” expliqua-t-elle, “n’est plus l’indépendance, mais la capacité de tenir un rapport de force, d’être opportuniste, de jouer sur plusieurs fronts à la fois.”

Asma Mhalla termina son discours par un appel à la clairvoyance. “Nos dirigeants doivent cesser de se bercer d’illusions, de s’accrocher à des rêves irréalistes. Il est temps de reconnaître la réalité telle qu’elle est, de préparer nos stratégies non pas pour un futur idéal, mais pour le présent, avec ses défis et ses dangers bien réels.”

Ainsi, dans cette cour où les alliances se nouaient et se dénouaient comme des fils dans un métier à tisser, Asma Mhalla laissa les esprits en ébullition, sachant que son avertissement, tel un poison doux mais puissant, s’infiltrerait dans les consciences des seigneurs du royaume. La bataille pour le contrôle des esprits et des machines ne faisait que commencer, et ceux qui en comprendraient les règles en sortiraient vainqueurs. Les autres, hélas, seraient condamnés à n’être que des spectateurs impuissants du grand jeu de la souveraineté technologique.

Débordé ? Gestion du temps

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Gérer Son Temps : Un Voyage vers la Meilleure Version de Soi

Apprendre à gérer son temps est une aventure profonde et enrichissante. C’est bien plus qu’une simple tâche, c’est une expression de qui nous sommes et de ce que nous aspirons à créer. Chaque moment compte et savoir comment l’utiliser judicieusement est un art en soi.

Le voyage vers une meilleure gestion du temps Gérer son temps est une quête, semée de réussites, d’échecs, de découvertes et de remises en question. Tout comme un héros naviguant à travers une épopée, chaque individu doit faire face à des défis quotidiens, nécessitant persévérance, conviction et persistance.

La puissance des choix individuels Il n’y a pas de machine universelle pour gérer le temps, car la gestion du temps est profondément personnelle et multidimensionnelle. Elle touche des aspects tels que les émotions, les relations, et même la physiologie. Bien que des outils puissent nous guider, le pouvoir réel réside dans nos choix individuels.

L’impact du management sur la gestion du temps Si vous êtes manager, votre rôle est crucial. Votre approche de la gestion du temps peut avoir un effet d’entraînement :

  1. Amélioration personnelle : Votre propre efficacité et bien-être sont amplifiés.
  2. Efficacité d’équipe : L’adoption de bonnes pratiques peut améliorer la productivité de toute l’équipe.
  3. Empowerment individuel : Transmettez vos connaissances à chaque membre de votre équipe et regardez-les s’épanouir.

Des bénéfices qui rayonnent La gestion efficace du temps ne se limite pas au travail. Elle se répercute dans toute l’entreprise, renforce les bonnes pratiques et accroît l’efficacité générale. De plus, une meilleure gestion du temps se traduit par des avantages dans la vie personnelle, des relations familiales épanouies, des loisirs enrichis, et une estime de soi renforcée.
La gestion du temps est un voyage qui mérite d’être entrepris. Elle nécessite une introspection, une volonté et des outils, mais les récompenses sont inestimables.

Décortiquons chaque chapitre pour une gestion du temps optimisée

Chaque moment compte. Si vous cherchez à gérer votre temps de manière efficace, ces chapitres sont une mine d’or pour y parvenir. Gardez à l’esprit les termes clés tels que “gestion du temps”, “efficacité”, “principes fondamentaux” et “management” pour une recherche optimisée.

Chapitre 1 : Les Fondamentaux de la Gestion du Temps La gestion efficace du temps repose sur la compréhension et la réalisation de ce qui est véritablement essentiel. Découvrez les enjeux et les étapes fondamentales pour maîtriser et prendre en main votre temps.

Chapitre 2 : Diagnostic de Votre Gestion du Temps Actuelle Avant de progresser, vous devez savoir où vous en êtes. Ce chapitre vous guide dans l’analyse de vos habitudes actuelles, identifiant vos points forts et vos domaines d’amélioration.

Chapitre 3 : Les Pilliers de la Gestion du Temps S’appuyant sur des principes éprouvés, ce chapitre est votre guide pour réinventer votre relation avec le temps. Apprenez à prioriser, focaliser et optimiser chaque moment.

Chapitre 4 : Gestion du Temps pour les Managers Être à la tête d’une équipe requiert une approche spécifique en matière de gestion du temps. Explorez les pratiques essentielles pour garantir l’efficacité de chaque membre de votre équipe.

Chapitre 5 : Sélectionner et Maîtriser vos Outils Des outils adaptés peuvent décupler votre efficacité. Découvrez une gamme d’outils éprouvés pour atteindre vos objectifs, et apprenez à les personnaliser selon vos besoins.

Chapitre 6 : Collaborer Efficacement avec Autrui La collaboration est essentielle pour l’efficacité collective. Dans ce chapitre, vous trouverez des stratégies pour travailler harmonieusement avec d’autres, garantissant une synergie maximale.

Chapitre 7 : Maintenir la Discipline dans le Temps Instaurer une bonne gestion du temps est un défi, mais la maintenir est encore plus exigeant. Trouvez des astuces et conseils pour rester sur la bonne voie, même face aux obstacles.

En se plongeant dans ces pages, vous aurez accès à une expertise forgée sur des décennies de pratique et d’accompagnement professionnel. Chaque conseil, outil et pratique a été testé en conditions réelles, offrant une approche concrète et pratique de la gestion du temps.

Nouveau monde cherche nouveaux dirigeants – Leadership humaniste

​Ce livre est hors du commun, car il a pour vocation de rejoindre les questions de direction, en termes de recherche de sens, et de direction en termes de leadership et de vie commune. Un champ de réflexion bien rare dans le domaine de la spiritualité qui ignore généralement la vie collective et tous ceux qui ont une force d’entrainement. La perspective humaniste, qui nous manque tant dans l’approche des questions collectives, y est abordée en regard des changements individuels indispensables. C’est profond et très élaboré comme démarche.

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Nathalie Rodary, “Nouveau Monde cherche Nouveaux Dirigeants pour Nouveaux Business models”

 

Storytelling

Autrefois, dans un monde stable et prévisible, le monde des affaires était telle une mer paisible. Les entreprises étaient des navires majestueux, naviguant calmement, leurs dirigeants tenant fermement la barre, guidant leur entreprise à travers les eaux calmes du business as usual. Les modèles économiques étaient immuables, les stratégies à long terme. Le monde du commerce était un ballet bien réglé.
Mais tout comme le climat, le monde des affaires a changé.

Des tempêtes se sont levées, secouant les industries, renversant des géants autrefois inébranlables comme Thomas Cook. L’ère disruptive est arrivée. Des ouragans d’innovation, de nouvelles technologies et de transformation digitale ont balayé le paysage commercial, créant de nouveaux courants, de nouvelles routes à naviguer. Dans ce nouveau monde, les dirigeants ont dû trouver de nouvelles boussoles, apprendre de nouvelles compétences de navigation.
Le livre de Nathalie Rodary, “Nouveau Monde cherche Nouveaux Dirigeants pour Nouveaux Business models”, raconte cette transformation. Pensez à un business model comme un navire. Sa conception, sa construction, la façon dont il est piloté – tout cela détermine comment il navigue, comment il génère des revenus. Mais lorsque les courants changent, lorsque les tempêtes se lèvent, il doit être capable de s’adapter. Sinon, il dépérira, pris au piège dans des eaux turbulentes qu’il ne peut plus naviguer. Le livre de Nathalie Rodary parle de la gouvernance, le capitaine du navire. La gouvernance décide du cap à suivre, elle choisit comment le navire est piloté. Elle n’est pas déterminée par le marché, mais elle y répond. Si le marché dit “Votre manière de faire ne fonctionne pas”, c’est à la gouvernance d’imaginer la suite. Le livre de Nathalie offre des aperçus fascinants sur le destin des entreprises qui ont su s’adapter – ou qui n’ont pas su. Des géants comme LEGO, qui ont frôlé le désastre avant de se réinventer avec un nouveau dirigeant et un business model renouvelé. Ou la SNCF, l’entreprise française de transport, qui a souffert sous le poids d’un business model obsolète et d’une gouvernance réticente au changement. Enfin, elle offre des conseils précieux pour ceux qui cherchent à naviguer dans ce nouveau monde. Elle parle du besoin de libérer le poids du passé, d’acquérir de nouvelles compétences, de diversifier la gouvernance et de cultiver une conscience du présent et du futur.
“Nouveau Monde cherche Nouveaux Dirigeants pour Nouveaux Business models” serait-il un véritable phare dans la tempête, offrant des conseils et des stratégies pour ceux qui cherchent à naviguer dans les eaux incertaines et tumultueuses de l’ère disruptive ? Capitaines d’entreprise, prenez note : pour survivre et prospérer dans ce nouveau monde, vous devez changer de gouvernance !

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