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Magicultrice

Magicultrice, dès qu’on le tient dans les mains devient un objet magique : ses couleurs de fond, les pages dont chacune est conçue de manière à marier les formes et les textes, donnent envie de le toucher et le parcourir autant que de le lire.

“Magicultrice” est bien plus qu’un livre ; c’est un voyage initiatique au cœur de la magie personnelle et de la redécouverte de soi à travers l’archétype ancestral et puissant de la sorcière. Symbolisant la force, l’indépendance, et une connexion profonde avec le monde naturel, la figure de la sorcière a longtemps été source de fascination, de mystère et de malentendus. Dans cet ouvrage révolutionnaire, Ariane Legale dévoile les voiles de la magie, invitant chaque lecteur à s’aventurer dans les profondeurs de sa propre âme, à la rencontre de sa force intérieure et de son potentiel créatif.
Le terme “Magicultrice” combine habilement la magie et la culture, offrant une perspective unique sur la manière dont chacun peut cultiver et partager sa propre essence magique. Contrairement aux idées reçues, la magie n’est pas un domaine réservé à une élite ou entouré de secrets obscurs ; elle est accessible à tous et se manifeste dans les aspects les plus quotidiens de notre vie. À travers des récits personnels, des références culturelles et des exercices pratiques, l’auteure nous guide sur le chemin de l’autodécouverte et de l’empowerment.

Ariane Legale nous invite à repenser notre relation avec le monde qui nous entoure, à reconnaître la magie dans les cycles de la nature, les rites de passage, et même dans nos interactions quotidiennes. Elle aborde des thèmes variés tels que la maternité, la guérison, la créativité et la solitude, en les reliant toujours à la pratique magique et à la quête de sens. Chaque page de “Magicultrice” est imprégnée d’une sagesse profonde et d’une invitation à embrasser la vie avec émerveillement et respect.

Ce livre s’adresse à ceux et celles qui ressentent l’appel de la magie, mais qui ne savent pas par où commencer. Il est destiné à ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la sorcellerie moderne tout en explorant leur propre pouvoir intérieur. Que vous soyez novice en matière de pratiques magiques ou que vous soyez déjà sur le chemin de l’éveil spirituel, “Magicultrice” offre des clés pour déverrouiller les portes de la perception et découvrir la richesse de votre propre nature magique.

En redéfinissant ce que signifie être une sorcière à l’ère moderne, Ariane Legale brise les stéréotypes et ouvre la voie à une nouvelle compréhension de la magie comme moyen d’autonomisation et de transformation personnelle. Le livre encourage les lecteurs à réfléchir sur leur propre vie, à identifier et à cultiver leur magie unique, et à devenir des agents de changement dans leur communauté et dans le monde. “Magicultrice” est une célébration de la vie, de la féminité, de la nature et de la magie qui réside en chacun de nous. C’est un appel à reconnaître et à honorer notre part la plus profonde, magique et authentique. Ce livre est un compagnon précieux pour toutes celles qui souhaitent parcourir un chemin épanouissant, teinté de magie et de sens, et il s’adresse tout particulièrement à celles qui sont prêtes à embrasser pleinement leur pouvoir personnel et à contribuer à un monde plus magique et harmonieux.

 
 

Mais qu’est-ce que les sorcières aiment faire en Mars ?

 

Mars est un mois où les sorcières sortent leurs balais, non pas pour voler dans le ciel nocturne, mais pour le grand nettoyage de printemps ! Et quel meilleur moment pour le faire que lors d’Ostara, ce sabbat qui célèbre le réveil de la nature et l’équilibre parfait entre le jour et la nuit ? C’est la période où nos amies sorcières troquent leurs chaudrons et leurs grimoires pour des pelleteries de fleurs et des nids douillets.

Pendant Ostara, la magie prend une tournure particulièrement printanière. Les sorcières se transforment en jardiniers mystiques, plantant des graines non seulement dans leurs jardins mais aussi dans leurs vies. C’est le moment idéal pour démarrer de nouveaux projets, que ce soit des légumes à cultiver ou des plans pour conquérir le monde (de manière éthique, bien sûr). Et quoi de mieux pour accompagner cette plantation que de réaliser des pots de fleurs en coquilles d’œufs ? Écologique, esthétique, et tellement sorcière !

Mais Ostara, c’est aussi la saison des œufs – pas seulement ceux en chocolat que certains confondent avec le butin d’une chasse au trésor. Nos sorcières peignent des œufs naturels avec des teintures végétales, créant des œuvres d’art à la fois magnifiques et comestibles. Imaginez la tête de leurs voisins moldus en découvrant un œuf violet teint au chou rouge dans leur jardin !

Cueillir des fleurs sauvages est une autre tradition d’Ostara très prisée. Cependant, loin de se limiter à une simple promenade champêtre, les sorcières lisent dans les pétales les réponses de l’univers. Un bouquet de pâquerettes peut révéler bien plus sur l’avenir que n’importe quel tarot si on sait écouter. Bien sûr, l’activité est doublement productive quand on se rappelle que chaque fleur cueillie est un potentiel nouvel ingrédient pour un sort ou un remède.

En matière de décoration, les sorcières d’Ostara ne lésinent pas sur les moyens. Elles transforment leurs autels avec des éléments de saison : des nids, des plumes, des bourgeons prêts à éclore. Chaque objet est chargé de magie, prêt à aider nos sorcières dans leur travail spirituel. Et que dire des “land arts” ? Ces créations éphémères dans la nature sont la preuve que les sorcières sont les véritables pionnières de l’art écologique.

Bien sûr, Ostara ne serait pas complet sans un rituel pour honorer la renaissance et la fertilité de la terre. Les sorcières se rassemblent (dans le respect des mesures de distanciation sociale, pandémie oblige) pour célébrer l’équilibre et la lumière. Le moment est propice pour partager des intentions, des rêves et des graines – littérales et métaphoriques – dans le but de voir ce qui fleurira dans les mois à venir.

Et après toute cette activité, quoi de mieux que de se reconnecter avec son enfant intérieur ? Ostara invite à la légèreté, au jeu, à redécouvrir le monde avec émerveillement. Les sorcières peuvent être vues se roulant dans l’herbe, dansant sous la lune, ou même organisant une chasse aux œufs magiques (avec des surprises autrement plus intéressantes que des bonbons).

En résumé, Mars pour les sorcières est un mois de renouveau, de nettoyage, de créativité et de préparation pour l’avenir. C’est le moment de lâcher prise sur le passé et d’embrasser le potentiel infini du présent. Alors, si vous croisez une sorcière en mars, n’oubliez pas de lui souhaiter un joyeux Ostara – et peut-être de lui demander quelques graines de son jardin magique !

Répétons en divers styles pour que vous soyez sûrs de comprendre ce qu’il  faut faire en Mars


1. Style Administratif :

Objet : Célébration du mois de mars et activités associées à Ostara.

Madame, Monsieur,

Veuillez noter que le mois de mars marque le début de la période de renouveau conformément aux traditions ancestrales. L’événement principal, Ostara, se caractérise par le réveil de la nature. Il est coutumier que les individus adoptent des comportements écologiques et agricoles, tels que le jardinage et le nettoyage de printemps. Les activités recommandées incluent la plantation de végétaux divers et la teinture d’œufs avec des colorants naturels.

Les rassemblements extérieurs seront organisés pour célébrer l’équilibre et la renaissance, en respectant les normes de distanciation sociale en vigueur. La collecte et l’utilisation de fleurs sauvages sont encouragées pour favoriser la connexion à l’environnement naturel.

Cordialement, Le Bureau des Traditions Saisonnières

2. Style Poétique :

Mars, oh Mars, quand les sorcières, Dansent avec la brise printanière. Ostara, douce muse de verdure, Ouvre nos cœurs à l’aventure.

Dans les jardins de nos âmes, nous semons, Des espoirs, des rêves, sous le ciel monotone. Les œufs, teintés de l’arc-en-ciel de la terre, Nous parlent de renaissance, de mystères.

Champs de fleurs, toiles d’artiste, Dans cette symphonie, la magie persiste. Ostara, nous voici, enfants de la lune, Dansant, riant, sous le soleil, aucune brume.

3. Style Dramatique :

Scène : Une clairière au lever du jour. Les sorcières, face au dilemme du renouveau, se rassemblent pour célébrer Ostara.

Sorcière 1: “Voici Mars, le temps du nettoyage, de purger l’ancien!” Sorcière 2: “Oui, mais le cœur lourd de ce qui fut, comment embrasser ce qui sera?” Sorcière 3: “Par les graines que nous plantons, par les œufs que nous colorons, nous écrivons notre destinée!”

Le chœur des sorcières: “Laissons les fleurs sauvages guider nos âmes, dans cette danse, trouvons notre calme.”

4. Style Culinaire :

Recette pour un Mars Magique :

Ingrédients :

  • Une pincée de nettoyage de printemps
  • Un bouquet de projets à planter
  • Œufs à teindre avec amour
  • Une promenade pour cueillir des fleurs sauvages

Instructions :

  1. Mélangez le nettoyage de printemps avec une bonne dose d’énergie renouvelée.
  2. Intégrez délicatement vos projets dans le sol fertile de vos intentions.
  3. Teignez les œufs dans un bain de couleurs naturelles, laissez sécher sous un rayon de soleil printanier.
  4. Finalisez par une marche méditative, cueillez les fleurs de vos aspirations.

5. Style Médical :

Diagnostic : Manque de renouveau printanier. Prescription : Ostara, impliquant des activités de jardinage, nettoyage intensif, et interactions enrichissantes avec la nature. Mode d’emploi : S’engager quotidiennement dans la plantation de nouvelles idées et le nettoyage des espaces de vie. Utilisation externe de fleurs sauvages recommandée pour améliorer le bien-être émotionnel.

6. Style Philosophique :

Dans le théâtre de Mars, les sorcières incarnent le principe de renouveau, naviguant sur les vagues de l’éphémère Ostara. Le nettoyage de printemps, métaphore de la purification de l’âme, se juxtapose au semis, acte d’engagement vers l’avenir. Les œufs, symboles d’origine, sont colorés, non dans une quête d’esthétique, mais comme un rituel de renaissance.

7. Style Sportif :

Bienvenue dans le grand stade de Mars, où les sorcières se préparent pour le grand match d’Ostara ! Au programme : un marathon de nettoyage, suivi d’un tournoi de jardinage. Les épreuves de teinture d’œufs promettent de vives compétitions. Gardez un œil sur la météo, car la cueillette de fleurs pourrait être influencée par des conditions imprévisibles. Que le meilleur printemps gagne !

8. Style Enquête Policière :

Inspecteur : “Regardez ces traces, une claire indication que les sorcières ont orchestré le grand nettoyage.” Partenaire : “Et ces éclats de couleur ?” Inspecteur : “Des œufs teints, un signe incontestable d’Ostara. Elles préparent quelque chose de grand, quelque chose de renouvelé.” Partenaire : “Il semblerait qu’elles aient laissé derrière elles plus que de simples fleurs sauvages…”

9. Style Enfantin :

Mars, c’est trop rigolo, c’est quand les sorcières sortent leurs gros balais pour faire le ménage mais pas dans le ciel, non non, dans leur maison ! Et puis, c’est la fête d’Ostara, un peu comme un anniversaire pour la nature. Elles plantent des graines comme si elles jouaient à la dinette mais avec de la vraie terre, et elles peignent des œufs, pas pour les manger mais pour les décorer tout jolis !

10. Style Fantaisiste :

Au royaume de Mars, les sorcières, ces charmantes gardiennes de la verdure, s’affairent à la grande quête d’Ostara. Elles brandissent leurs balais enchantés non pour le vol mais pour la bataille contre la poussière ancienne. Le rituel des œufs, une tradition sacrée, où chaque couleur dévoile un secret de la terre. Dans ce ballet printanier, chaque fleur cueillie est un sortilège doux, un chant à la renaissance de la nature

Bulles de vie – Eléonore Lamagi

“Bulles de vie” d’Eléonore Lamagi est un recueil d’histoires et de réflexions personnelles, reflétant une exploration profonde de la vie quotidienne, de ses moments simples et de ses émotions complexes. L’auteur vise à capturer l’essence de l’expérience humaine à travers des thèmes variés, allant de la nature et la beauté des petites choses à des sujets plus profonds comme la mort, la solitude et le bonheur. Le style narratif est introspectif et poétique, invitant le lecteur à une introspection similaire. L’intention principale semble être de montrer comment les moments apparemment banals de la vie peuvent être empreints de profondeur et de signification. La narration, alternant entre récits personnels et observations générales, sert à établir une connexion empathique avec le lecteur, soulignant l’universalité des expériences humaines.

“Bulles de vie” présente une variété de personnages, d’événements et de lieux qui jouent un rôle crucial dans le récit. Les personnages, souvent basés sur des expériences personnelles de l’auteur, sont représentatifs des différentes facettes de la vie humaine. Ils sont confrontés à diverses épreuves et joies, reflétant la complexité de l’existence humaine. Les événements décrits, qu’ils soient joyeux, mélancoliques ou quotidiens, illustrent la gamme des émotions humaines et invitent à la réflexion. Les lieux, souvent pittoresques et détaillés, ajoutent une dimension sensorielle au récit, renforçant l’immersion du lecteur dans l’histoire. Ces éléments sont interconnectés et contribuent à créer une vision riche de la vie humaine dans toute sa diversité.

L’auteur explore la gamme complète des émotions humaines – joie, tristesse, amour, perte, espoir et désespoir. Ces émotions sont exprimées à travers des interactions entre les personnages, leurs réflexions intérieures, et leur interaction avec le monde qui les entoure. La narration met en lumière comment ces émotions façonnent les relations humaines et les expériences de vie. Le livre dépeint également la manière dont les individus font face à leurs émotions, offrant ainsi une perspective réaliste et souvent inspirante sur la résilience humaine.

“Bulles de vie” s’adresse à un large public, en particulier à ceux qui apprécient la littérature introspective et émotionnelle. Il résonnera particulièrement avec les lecteurs qui cherchent à trouver du sens dans les aspects quotidiens de la vie, ainsi qu’avec ceux qui s’intéressent à l’exploration des émotions humaines et des relations interpersonnelles. Le livre est également adapté à ceux qui apprécient les récits qui mettent en lumière la beauté de la nature et la simplicité de l’existence.

 

Une petite histoire ?

Dans le petit village de Clairmont, niché entre les collines verdoyantes et les rivières chantantes, vivait un jeune homme nommé Julien. Julien, un esprit rêveur et contemplatif, trouva un jour un livre intitulé “Bulles de vie” dans la librairie locale, une boutique chaleureuse et poussiéreuse, tenue par un vieux libraire aux yeux malicieux. Intrigué par le titre mystérieux, Julien l’emporta chez lui, ignorant qu’il allait entamer un voyage qui transformerait sa perception de la vie.

Chaque soir, sous le ciel étoilé, Julien ouvrait le livre et plongeait dans les histoires d’Eléonore Lamagi. Il découvrit des récits empreints d’une beauté simple, des histoires de gens ordinaires confrontés à des émotions extraordinaires. Ce qui frappa Julien, c’était l’authenticité avec laquelle Lamagi décrivait les émotions humaines – la joie, la tristesse, l’amour, la perte. Il se voyait dans ces personnages, chacun reflétant une partie de lui-même qu’il n’avait jamais su nommer.

Un jour, en marchant dans les bois, Julien rencontra une vieille femme, Madeleine, assise seule sur un banc, le visage baigné de larmes. Inspiré par les histoires de Lamagi, il s’assit à ses côtés et écouta son histoire. Madeleine parlait de la perte de son mari, de la solitude qui l’envahissait. Julien, touché par sa douleur, partagea avec elle des passages de “Bulles de vie”, offrant des mots de réconfort et d’espoir. Il comprit alors que les mots de Lamagi n’étaient pas seulement des histoires, mais des ponts entre les âmes solitaires.

Les semaines suivantes, Julien organisa un club de lecture dans le village, invitant les habitants à partager leurs expériences à travers les histoires de “Bulles de vie”. Chaque réunion révélait de nouvelles perspectives, des éclats de rire, des larmes partagées, et une communauté se formait, tissée par les fils de l’empathie et de la compréhension.

Ce que Julien trouva de remarquable dans le livre, c’était sa capacité à transformer les simples moments de la vie en révélations profondes, à trouver de la poésie dans l’ordinaire. Les histoires de Lamagi étaient comme des miroirs, reflétant les complexités cachées du cœur humain. Elles enseignèrent à Julien l’importance de l’écoute, de la compassion, et lui montrèrent comment les petites bulles de vie, si fragiles et éphémères, pouvaient être remplies d’une beauté infinie.

La conclusion la plus personnelle que Julien tira de sa lecture était la reconnaissance de la valeur intrinsèque de chaque moment, de chaque rencontre. Il apprit à chérir les instants de bonheur aussi bien que les épreuves, voyant dans chacun d’eux une occasion de croissance et de connexion humaine. “Bulles de vie” ne fut pas seulement un livre pour Julien, mais une fenêtre ouverte sur l’âme du monde.

Méditations maçonniques

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Ecoutez un extrait : De l’Amour – Je t’offrirai des larmes célestes et des éclats de lune…

 

Au Cœur des Symboles : Une Quête Spirituelle et Poétique

 

Découvrez ce voyage transcendantal au cœur de l’existence humaine, les abysses des questions fondamentales qui ont traversé l’humanité à travers les âges : la quête de la vérité, la pureté de l’humilité, l’agonie de l’attente, la mélodie mélancolique de l’absence, la flamme éternelle de l’amour, et le paradis perdu du jardin d’Éden.

 

Un regard méditatif et lyrique sur la condition humaine

Ce livre offre une approche méditative, spirituelle et poétique de ces énigmes qui touchent au cœur de notre être. Chaque page est une invitation à contempler et à ressentir, à se perdre dans les méandres de l’inconscient et à en émerger avec une nouvelle compréhension, enrichie par le symbolisme qui entrelace notre psyché.

 

La Franc-maçonnerie révélée dans toute sa splendeur spirituelle

Au-delà de la poésie et de la méditation, l’ouvrage propose une exploration saisissante du sens profond de la Franc-maçonnerie. Loin des clichés et des idées préconçues, cette exploration nous emmène dans un voyage où la spiritualité et la symbolique maçonnique se fondent en une seule et même danse, belle et envoûtante.

Une écriture qui éveille et éclaire

L’auteur, avec une plume à la fois poétique et explicative, construit un pont entre le mystique et le rationnel, entre le cœur et l’esprit. Ses mots ne sont pas seulement une lecture, mais une expérience, une immersion dans un monde où le tangible et l’intangible se rencontrent, s’entrelacent et se transforment mutuellement.

Pourquoi lire “Méditations maçonniques” ?

Si vous êtes en quête de réponses, si vous cherchez à comprendre les mystères de l’existence ou si vous désirez simplement vous laisser emporter par une prose magnifiquement écrite qui parle à l’âme, ce livre est pour vous. C’est plus qu’un ouvrage, c’est une porte ouverte vers une nouvelle dimension de compréhension et de ressenti.

 

Quelques thèmes

 

La danse délicate entre la foi et le doute : une introspection spirituelle

Une plongée profonde dans les nuances de la foi, du doute et de la raison, explorant leurs intersections, leurs conflits et leurs complémentarités à travers les âges.

 

Imaginez

Sur une mer agitée, une barque isolée vacille sous la pression des vagues tumultueuses. C’est dans ce décor que Jésus s’avance, marchant sur les eaux, vers ses disciples effrayés. Un tableau tiré de Mathieu 14.22-33, qui illustre le constant ballet entre la foi et le doute. La question se pose alors : qu’est-ce que la foi ? Est-elle simplement une croyance aveugle ou quelque chose de plus profond ?

Dans le labyrinthe de la foi, se perdre est facile. Sa nature complexe transcende la simple croyance religieuse pour plonger dans la confiance fondamentale que nous accordons au monde qui nous entoure. Dérivé du latin “fides”, le concept de foi évoquait autrefois une confiance sans aucune nuance religieuse. Il représentait la fiabilité, la constance et la loyauté.

Mais comme le montre la marche de Pierre sur l’eau, la foi n’est pas à l’abri du doute. Dans sa tentative de rejoindre Jésus, Pierre est rattrapé par la peur et commence à sombrer. De même, la foi et le doute sont deux facettes d’une même pièce, se nourrissant mutuellement.

La foi, pourtant, ne se réduit pas à la croyance. Elle est aussi une quête de vérité, une expression de notre liberté intérieure. Elle est cette force motrice qui guide nos actions, même en l’absence de preuves concrètes. Et contrairement à la certitude, qui s’enracine dans le dogme, la foi embrasse l’incertitude et ouvre la porte à la question, au défi.

Si la raison est la lumière qui éclaire notre chemin, la foi est le pont qui nous permet de le traverser. L’une est l’épine dorsale de la logique, l’autre est le cœur palpitant de l’intuition. Et c’est dans cette dynamique que la foi et la raison coexistent, chacune enrichissant l’autre.

La foi est un acte d’amour, une confiance en l’inconnu. Elle nous permet de voir au-delà des apparences, de croire en l’amour divin et de trouver un sens à notre existence. Même le Christ, dans son dernier souffle, a ressenti le doute, prouvant que la foi est profondément humaine.

En fin de compte, la foi et le doute sont les gardiens de notre âme, nous guidant à travers les méandres de la vie. Par leurs questions, ils témoignent de notre quête incessante de vérité et de sens.

 

 

“Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance”


Au sein de ces pages le sacré se dévoile, non pas comme une simple idée, mais comme une épopée spirituelle qui traverse les époques et les âmes. Tel un vent mystérieux soufflant sur les cimes des montagnes, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” s’insinue doucement dans nos pensées, éveillant notre curiosité.

A la manière d’un voyageur solitaire marchant à travers des forêts denses et des vallées ombragées, l’auteur nous guide dans les méandres des traditions, des rituels et des croyances, avec une plume pleine de poésie.

Ce n’est pas simplement un livre, mais une symphonie de mots, une danse des idées. Comme les vagues qui se brisent sur les rochers, les chapitres éclatent de révélations, invitant le lecteur à se perdre et à se retrouver dans le vaste espace du sacré.

Si vous avez déjà ressenti le frisson du mystère, l’appel silencieux de l’inconnu, ce livre est une promesse murmurée à l’oreille de votre âme. Ce n’est pas une simple lecture, c’est une quête.

Dans la tradition où chaque mot est choisi avec soin et chaque phrase résonne avec émotion, “Le Sacré : Entre Mystère et Connaissance” se présente comme une toile vivante, tissée avec les fils d’or de la sagesse ancienne. Laissez-vous entraîner dans ce tourbillon d’érudition et de poésie. Car au bout du chemin, ce n’est pas seulement la connaissance que vous trouverez, mais peut-être, un reflet de votre propre âme.

Extraits

Le jardin d’Eden n’est plus une origine perdue dans un temps sans retour. C’est le germe présent d’une naissance à une vie à venir, dans l’éternité retrouvée ».
Véronique Lévy

Le Jardin d’Éden

Synonyme de Pardès, paradis en hébreu, Gan Eden, renvoie à Eden, délice, et fait du paradis le jardin des délices et le symbole de la connaissance spirituelle. Délices de l’amour innocent où la béatitude des âmes se mêle au plaisir des corps ; de
la connaissance de l’autre dans sa vérité biblique, en un temps où l’être est sans égo ; temps d’altérité où nul n’a conscience de ses propres limites ni de celles de l’autre, tant les deux se confondent. Avec l’apparition de la conscience, le mythe d’Adam rejoint celui de Pandore et le Jardin d’Éden, celui des Hespérides. Chacun se réduit désormais à la conscience de soi et l’autre devient inaccessible ; autre à jamais. Seul l’amour fait lien entre les consciences, permet leur communion, parfois. Il est la vérité de l’humain et, de la connaissance à la transcendance, nous relie de l’ancien au nouvel Adam. Paradis perdu de l’innocence par l’initiation à la connaissance, paradis retrouvé au-delà. Nostalgie et espérance, comme les deux faces d’une réalité identique.
Le mythe fondateur de l’humanité intègre dès l’origine, l’aspiration à la transcendance. Ainsi l’Éden est à la fois l’Alpha et l’Oméga de l’aventure humaine.

 

L’enfer est tout autant dans la présence des autres que dans l’absence de Dieu ; c’est selon.

L’Absence

L’absence se définit, simultanément, comme ce qui n’est pas présent, comme l’état juridique d’une personne disparue, dont on ignore si elle est encore en vie, ou comme la
perte momentanée de conscience. Elle sous-entend que quelque chose ou quelqu’un devrait être et n’est pas, ou que quelque chose ou quelqu’un a été et n’est plus. Ainsi, paradoxalement, l’absence atteste de ce qui
n’est pas, d’un vide qui ne devrait pas être en ce sens qu’il est ressenti comme anormal, dans le cas d’un manque par exemple, voire comme inquiétant, dans le cas d’absence de nouvelles.
En fait, il est dans la nature même de l’absence d’être paradoxe dès lors qu’elle n’atteste que du manque ; de ce qui est censé être et n’est pas. Ainsi, l’absence de bruit n’est pas tout à fait le silence ou, plus précisément, elle est plus que le silence puisque là où je
devrais entendre quelque chose, je n’entends rien ; de même s’agissant de l’absence de lumière ou de toute autre absence du même ordre. L’absence est la forme en creux de l’existence, dont elle témoigne par l’absurde. La place vide de l’absent atteste de sa réalité plus sûrement que ne le ferait sa présence effective ; d’une certaine façon en devenant abstraite sa réalité devient plus dense, parce que plus singulière, plus chargée de souvenirs, d’émotions ou d’affect. L’ordre des choses a été rompu, bouleversé ; l’absent devrait être et il n’est pas. Ainsi, sa présence naturelle, anodine en soi, se métamorphose, par défaut, en une absence lourde d’interrogations et de questionnements. Toute absence est quête de sens car le manque interroge plus que l’acquit, la gratuité d’un geste plus que son mobile.

Méditation en poésie

Emma Pujar a trouvé une très belle voie spirituelle : celle de la poésie.
Une voie où sa parole évoque aussi son expérience spirituelle.
La méditation : expirer – inspirer dit le titre du livre qui résume ses 2 parties :

Expirer : ” J’inspire – S’envolent alors mes rêves, mes secrets, quelques rires
Parfois spirituels, souvent teintés de passion.
Inspirer : ” Je dresse des portraits, en chacun, je décèle un trésor
J’espère que tu y trouveras de la joie et du réconfort,
J’y ai trouvé l’envie de me battre, et d’expirer encore.”

“Ensemble,
Inspirons l’air, légers,
Expirons l’espoir.”

L’attente à cueillir
Je médite
Parfois je crois échouer
Je sens seulement mon cœur palpiter.
Je m’agace
Moi qui voulais me relier à l’immensité
Me voilà coincée dans ma petite intimité.
J’explore
Les palpitations et leurs répercussions
Leurs sources et leurs points de tension.
Je découvre
L’état de mes plaies délaissées
L’ouverture de ce que je ne voulais affronter.

Je descends
Je monte
Entre Terre et Ciel, je joue à la marelle.
J’inspire
J’expire
Je lâche
Je prends
Perpétuel
Mouvement.
J’ouvre les yeux
L’instant est mon souvenir
Je referme hâtivement les yeux
La lumineuse Immensité a manqué de m’éblouir.

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Le ballet des sept chakras
Tout commence en bas, tout part des orteils,
Nus sur le sol, ils se font oreilles
Grondements du monde et Vie féconde.
Guidés par d’incertains instincts
Les jambes s’élancent sur le chemin.
Un centre vital couleur carmin
Diffuse l’énergie depuis le bassin……………….

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