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Ce livre est le récit sincère de Véronique Klesse, une femme qui nous ouvre les pages intimes de son dialogue silencieux avec le divin. Dans un monde souvent tumultueux, Véronique trouve sa quiétude dans les murmures doux et rassurants de ses anges gardiens. Ces messagers célestes ne sont pas de purs spectateurs de sa vie. Ils interviennent, conseillent, admonestent et aiment avec une tendresse qui traverse chaque ligne du livre. Véronique ne se pose pas en sage immaculée ; elle est humaine, avec ses imperfections, ses doutes, et ses hésitations qui rendent son témoignage si accessible et si profondément touchant.
Elle a bâti des ponts entre les célestes et les terrestres. Chaque message reçu est une pierre précieuse intégrée dans l’édifice de sa foi et de sa compréhension. Ils sont des invitations à la rectitude, non dans la rigidité des règles, mais dans la souplesse de l’amour et du respect profond pour les principes universels de justice et de bien. Ce n’est pas un livre ordinaire. Il est un compagnon pour ceux qui, dans les méandres de leur propre voyage spirituel, cherchent une lumière, un écho de leurs propres expériences, et une assurance que chaque pas, même hésitant, est une danse sacrée vers l’élevation.
Véronique Klesse, déjà connue pour ses essais sur la voix et son témoignage vibrant en tant que femme et mère, revient pour nous rappeler que chaque âme est un pèlerin et que chaque vie est un pèlerinage. Ce nouvel ouvrage est un phare, un rappel que même dans les tempêtes de doutes et d’incertitudes, il y a des étoiles qui brillent avec la promesse de l’aube. Nous sommes tous des voyageurs. Et dans “Échos Célestes”, Véronique nous tend la main, non pour nous guider vers sa lumière, mais pour nous rappeler la lumière en chacun de nous, attendant patiemment d’illuminer notre propre chemin vers le divin.
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Chacun a la responsabilité d’apprendre à écouter le fond de son intuition jusqu’au bout et de ne pas vouloir la refouler sous prétexte qu’une situation ou une autre fait trop de mal ou dérange la zone de confort en soi. Si l’humain pense que son intuition n’est pas la bonne, il est important d’en apprendre le discernement. Si elle se révèle être erronée, c’est que la personne n’est pas en relation avérée et sincère avec son Être. L’humain peut demander grâce, faire des prières, suppliques et pardon à Dieu directement. Passer par Ses anges renforce la demande de pardon, la grâce, la prière, la supplique – il ne faut pas oublier qu’ils sont les messagers directs de Dieu. Le mensonge est une conséquence de l’orgueil qui offense et fait souffrir Dieu. Nous – anges de lumière – répétons que tant que l’humain incarné ne connaît pas la présence de l’ange chuté, ce dernier peut vagabonder en tout lieu et prendre possession énergétique de milliers de personnes. Ainsi, l’humain peut le canaliser en sa force, le combattre à travers les épreuves et le mettre en sommeil dans cette force obscure tout en intégrant le karma de la personne incarnée. Le véritable amour entre l’amant et l’amante vient des vibrations supérieures, pour le Nouveau. C’est au masculin de descendre vers le féminin et au féminin de s’égaler à lui. Ils sont deux, pour ne plus faire qu’un, seulement si le sept brûle en eux. Ils ont la responsabilité de se purifier l’un et l’autre, pour trouver l’un comme l’autre la lumière, avant de s’unir. L’homme n’est pas encore prêt à entendre le Nouveau parce qu’il n’est pas ajusté à la vérité ! Cela ne saurait tarder ! L’heure arrive ! Que les cœurs se remplissent de joie et d’allégresse !
La douce lueur du crépuscule enveloppe une silhouette solitaire qui, les yeux fixés vers l’horizon, plonge dans un océan de réflexions. L’intuition, cette voix mystérieuse et intime, chuchote des secrets que l’âme sait être vrais, mais que l’esprit craint souvent d’accepter. La responsabilité de chacun d’entre nous, dans la danse silencieuse de la vie, est d’apprendre à honorer cette voix. Il est facile de la refouler, surtout lorsque sa mélodie dérange la quiétude de nos zones de confort, ou lorsqu’elle résonne avec une vérité qui évoque la douleur ou l’incertitude.
Le discernement, c’est l’art subtil de naviguer à travers ces eaux mystiques. Quand la confusion surgit, il s’agit d’une invitation à approfondir la relation avec soi-même, avec son Être véritable. Dans ce cadre, la prière et la grâce ne sont pas de simples actes religieux, mais des expressions profondes de l’âme, renforcées par le soutien des anges. Ces messagers divins servent de ponts, illuminant les chemins sombres et guidant vers la lumière de la vérité. Il existe une bataille intérieure entre l’orgueil et l’authenticité. Le mensonge offense la dimension spirituelle, et c’est ici que les anges de lumière interviennent pour rappeler la présence de forces opposées en action. La victoire sur ces forces obscures et le passage vers un amour véritable réside dans un équilibre sacré. L’amour, dans sa forme la plus pure, transcende les limitations humaines. C’est une danse entre le masculin et le féminin, où l’unité est forgée dans le feu de la purification et de l’illumination.
Alors que le monde se tient au seuil d’un éveil, l’homme est confronté à la réalité de son alignement avec la vérité. Une transformation imminente se profile à l’horizon, promettant un nouveau monde où l’amour, la lumière et la vérité rayonnent avec une splendeur éblouissante. Dans l’embrasement silencieux de l’aube nouvelle, les cœurs sont invités à se remplir de joie et d’allégresse. Le moment de la joie approche, une ère où l’écoute intérieure devient la boussole guidant chaque âme à travers le magnifique labyrinthe de l’existence humaine.
Source : l’excellent site jepense.org
L’arbre de vie kabbalistique, également appelé arbre de vie séphirothique (Etz Hayim), n’est pas qu’une simple représentation. C’est une carte profonde, riche et complexe du cosmos selon la Kabbale, une mystique juive antique. Cette perspective unique sur l’univers et tout ce qu’il contient se distingue par son approche holistique, reliant la terre, l’homme et le divin d’une manière interdépendante.
C’est au cours du 13ème siècle qu’Azriel de Gérone, un kabbaliste renommé et respecté, s’est penché sur l’idée d’un diagramme synthétique pour interpréter la complexité du monde. Il a établi des bases solides pour l’enseignement kabbalistique à l’école juive de Gérone, en Catalogne. Cette représentation est connue sous le nom d’arbre de vie, en écho au célèbre récit biblique de la Genèse.
L’essence de l’Arbre de Vie
L’arbre de vie est bien plus qu’une simple représentation ; c’est un prisme à travers lequel on peut chercher à atteindre une compréhension profonde du monde, de la divinité et de notre propre nature. Il souligne la relation dynamique et symbiotique :
L’étude de ce schéma ambitieux vise à fusionner l’individu avec une réalité qui va bien au-delà de sa compréhension matérielle. L’ultime dessein étant de réaliser, voir et ressentir la présence et les intentions divines dans tout ce qui nous entoure.
Comprendre l’Arbre de Vie Kabbalistique
Au cœur de la philosophie de l’arbre de vie séphirotique se trouve une conviction centrale : l’univers est stratifié en différents niveaux, chacun illustrant une réalité distincte. Cette exploration de l’arbre de vie nous incite à évoluer dans notre perception du monde, nous poussant à atteindre des niveaux de conscience supérieurs.
La mystique juive kabbalistique ne considère pas Dieu comme une entité isolée, mais plutôt comme une force omniprésente qui infuse tout ce qui existe. Cette perspective met l’accent sur la nature immanente de Dieu, affirmant que tout, des plus petits brins d’herbe aux plus vastes galaxies, est une manifestation de la divinité.
L’homme, en tant que création divine, est donc à l’intersection de ces réalités. Il est un canal, une liaison entre le ciel et la terre, jouant un rôle essentiel dans le grand schéma de la création.
Les éléments de l’Arbre de Vie
L’arbre de vie est un condensé de symboles, représentant à la fois la totalité du cosmos, la conscience humaine et la nature intrinsèque de l’individu. La structure bidirectionnelle de l’arbre permet d’envisager la création sous deux angles : d’une part, l’énergie divine qui s’infuse dans la création, et d’autre part, l’homme cherchant à se connecter et à s’unir à cette force divine.
Toutefois, il est crucial de comprendre que l’arbre de vie ne prétend pas représenter Dieu dans sa totalité. Dieu est au-delà, résidant dans un royaume inconnu, bien au-dessus de la Sephira la plus élevée.
Le schéma de l’Arbre de Vie Séphirotique
Visuellement, l’arbre de vie peut être imaginé comme un arbre renversé, les racines pointant vers le ciel, symbolisant la source, Dieu ou l’Ayn Sof. Les différentes sphères, ou Sephiroth, tracent le chemin du divin vers le tangible.
La beauté de l’arbre de vie kabbalistique réside dans sa cohésion. Ses 10 Sephiroth, 3 piliers, 4 mondes, 3 voiles et 22 sentiers, qui correspondent aux lettres de l’alphabet hébraïque, illustrent l’interconnexion et l’interdépendance de toutes choses.
L’arbre de vie kabbalistique est bien plus qu’une simple représentation. C’est un guide, une boussole pour ceux qui cherchent à approfondir leur compréhension de la divinité, du monde et de leur propre âme.
Les Sephiroth, dérivant du mot hébreu qui signifie “numérations”, forment l’épine dorsale de la Kabbale, le système mystique juif. Elles illustrent le processus par lequel le monde infini se condense en une réalité finie.
1. Keter (La Couronne) :
C’est la première émanation du flux divin. Elle représente l’unité ultime, le point où tout commence. Lorsqu’on parle de Keter, on parle de la volonté divine pure, un point d’unité absolue qui est à l’origine de toute création.
2. Chochmah (La Sagesse) :
Représentant la première idée ou la première étincelle de potentiel, Chochmah est cette première prise de conscience du soi. Bien que puissante, cette énergie reste non formée, attend d’être modelée.
3. Binah (L’Intelligence) :
Binah est la Sephira où la véritable formation commence. C’est là que les idées brutes de Chochmah sont traitées, raffinées et structurées. C’est le lieu où la compréhension se cristallise.
4. Hesed (La Miséricorde) :
Hesed incarne l’amour infini, l’abondance. C’est l’énergie d’expansion, de générosité, d’ouverture. Mais, sans limites, elle pourrait devenir écrasante.
5. Gevurah (La Force) :
Aussi appelée Din (Judgement), elle est la force contraignante, la discipline, le besoin de mettre des limites pour permettre à la création d’avoir une forme. Elle incarne également la justice, assurant que chaque action reçoive une réaction équivalente.
6. Tiferet (La Beauté) :
Le point central de l’arbre, elle représente l’équilibre parfait, harmonisant les forces de Hesed et Gevurah. C’est le cœur, le dévouement et la vérité.
7. Netzach (L’Éternité) :
Cette Sephira concerne les émotions, les désirs et les instincts. Elle est le moteur de l’aspiration, la pulsion pour aller de l’avant.
8. Hod (La Gloire) :
Contraste de Netzach, Hod est le siège de l’intellect et du raisonnement. Il introduit l’ordre et la structure aux émotions brutes de Netzach.
9. Yesod (Le Fondement) :
C’est le communicateur, l’intermédiaire entre les Sephiroth au-dessus et Malchut en dessous. Yesod canalise les énergies et les formes pour que Malchut puisse les recevoir.
10. Malchut (La Royauté) :
Représente la réalisation physique, le monde dans lequel nous vivons. Malchut est l’incarnation de toutes les Sephiroth au-dessus d’elle.
L’Arbre de Vie peut être envisagé comme un édifice soutenu par trois piliers :
1. La Colonne de Droite (Miséricorde) :
Cette colonne est dynamique, positive, expansive. Elle est également associée à l’énergie masculine et représente le flux ininterrompu d’énergie divine.
2. La Colonne de Gauche (Sévérité) :
C’est la colonne formative, passive, restrictive. Elle équilibre la miséricorde par la rigueur, assurant que chaque énergie est contrôlée et bien dirigée. Associée à l’énergie féminine, elle donne forme à la force brute.
3. La Colonne du Centre (Médiation) :
Elle représente l’équilibre entre les deux autres colonnes, assurant que l’énergie circule de manière harmonieuse et efficace. Elle est liée à la réalisation de l’équilibre entre les énergies actives et passives.
Il est intéressant de noter que les piliers de l’Arbre de Vie ont une ressemblance symbolique avec les colonnes de Jakin et Boaz du Temple de Salomon, renforçant ainsi les racines profondes de la Kabbale dans l’histoire juive. Ces piliers rappellent également à l’homme sa quête perpétuelle d’équilibre, d’harmonie et d’élévation spirituelle.
L’arbre de vie kabbalistique, central à la mystique juive, est bien plus qu’un simple schéma. C’est une carte de la création, une représentation des divers niveaux d’existence qui sont en interaction constante. Il est divisé en quatre mondes, qui symbolisent la descente de l’énergie divine depuis son origine jusqu’à la réalité manifestée.
1. Atzilut (Émanation) : L’Esprit de Dieu
Le monde d’Atzilut est le plus élevé. Ici, tout est unifié, il n’y a pas de distinction. Représenté par Keter (la couronne) et Chochmah (la sagesse), ce monde est si proche de l’infini qu’il demeure insaisissable pour l’esprit humain. Il symbolise l’essence pure de la divinité, une émanation directe de l’Esprit de Dieu. Dans ce royaume, il n’y a pas de dualité, seulement l’unité.
2. Beriah (Création) : L’Archétype de l’Existence
Binah, qui signifie “compréhension”, représente ce deuxième monde. C’est ici que les idées divines prennent forme. Bien que toujours immatériel, Beriah est le début de la structuration, la conception des archétypes de l’existence. Les initiés qui méditent profondément peuvent parfois entrevoir ce monde, mais il reste toujours au-delà de la compréhension totale.
3. Yetzirah (Formation) : Le Monde Émotionnel
Yetzirah est le monde où la réalité commence à prendre forme de manière plus concrète. Il englobe six Sephiroth, qui correspondent aux divers aspects émotionnels, psychiques et mystiques de l’existence. C’est ici que la réalité est façonnée, guidée par les énergies divines de l’amour, de la justice, de l’harmonie et plus encore.
4. Assiyah (Action) : Le Monde Manifesté
Assiyah, représenté par Malchut (le royaume), est le monde tangible. C’est notre réalité, où la matière, l’énergie, l’espace et le temps convergent pour créer l’univers que nous connaissons. C’est le produit final de la descente de l’énergie divine, où tout ce qui a été conceptualisé dans les mondes supérieurs prend forme physique.
Chaque monde est un reflet du précédent mais sur un plan d’existence différent. L’initié qui parcourt cet arbre de vie expérimente une transformation spirituelle, émotionnelle et physique.
Les voiles sont comme des barrières, séparant les divers niveaux de réalité et de compréhension. Ces trois voiles symbolisent les étapes majeures de l’initiation kabbalistique. Chaque voile traversé représente une prise de conscience plus profonde de la réalité et de soi-même.
L’arbre de vie kabbalistique est une carte pour le voyage spirituel, guidant l’âme à travers les défis et les épreuves vers une union plus étroite avec la divinité.
En essence, l’arbre de vie séphirotique est une représentation de la manière dont l’énergie divine se manifeste dans notre réalité. Chaque étape, chaque monde, chaque Sephira offre une perspective unique sur l’interaction entre le divin et le profane.
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Parmi les sources : 450fm La kabbale, cette autre Bible
La Kabbale, souvent perçue comme l’une des études mystiques les plus profondes et ésotériques du judaïsme, est en réalité une mosaïque complexe de pensées, d’idées et de traditions. Comme la Bible, elle est riche en enseignements qui ont traversé les siècles, se façonnant et se transformant au fil du temps.
Des Origines Antiques aux Textes Fondamentaux
La Kabbale n’est pas une création unique, mais plutôt une collection de textes qui ont évolué et se sont élargis sur plusieurs millénaires. Ses racines peuvent être retracées à des écrits antiques tels que le “Livre d’Enoch”, intrigant par son nom, qui est un anagramme de “Cohen”, le terme hébreu pour prêtre. Ce livre antique est lié à une période tumultueuse de l’histoire juive : la destruction du Second Temple de Salomon.
Un autre pilier fondamental de la Kabbale est le “Sefer Yetsirah” ou “Livre de la Création”. Rédigé au 3ème siècle, ce texte sert de base à beaucoup des concepts kabbalistiques qui allaient suivre.
En s’appuyant sur ces fondations, d’autres textes majeurs ont émergé, notamment le “Sefer Habahir” (Livre de la Clarté) et le “Zohar” (Livre de la Splendeur). Bien que le Zohar soit attribué à Rabbi Bar Yochaï, c’est l’éminent cabaliste espagnol Moïse de Léon au XIIIème siècle qui est largement reconnu pour avoir reformulé et consolidé ce texte fondamental.
Les Lumières de la Kabbale
De nombreux érudits et mystiques ont contribué à la richesse de la Kabbale. Isaac l’Aveugle, par exemple, est une figure légendaire qui aurait reçu des révélations directes de Dieu. Des cabalistes plus modernes comme Moïse Cordovero, Abraham Aboulafia et Isaac Louria ont tous joué un rôle déterminant dans le développement de la Kabbale, en étudiant, en réinterprétant et en cherchant inlassablement des significations cachées dans la Torah.
La Cosmogonie Kabbalistique : Le Souffle de la Création
Au cœur de la Kabbale se trouve une idée puissante : tout l’univers a été façonné par le souffle divin, ou “Rouah”, du Dieu vivant. Cette notion est si profonde qu’elle est souvent exprimée à travers des allégories, y compris des allégories sexuelles qui dépeignent l’infini, “l’ein sof”, comme une force fécondante qui donne vie à l’univers.
De ce souffle divin est né le Verbe. Selon la mystique kabbalistique, ce Verbe s’est matérialisé en ondes sonores, qui ont ensuite été codifiées en lettres, donnant naissance aux 22 lettres de l’alphabet hébraïque. Ces lettres sont bien plus que de simples caractères : elles sont liées aux 22 premiers nombres, formant ensemble ce que l’on pourrait appeler la “vibration primitive” de la création. Dans la poétique et la beauté de la pensée kabbalistique, ces lettres deviennent des anges, des entités divines participant directement à l’acte de création.
L’arbre séphirotique est un symbole puissant qui émane du cœur de la mystique juive. Décrit en détail dans la tradition kabbalistique, il sert de guide pour comprendre la relation intime et complexe entre l’homme et le divin, ainsi que la dynamique énergétique qui imprègne toute création.
Nature et Signification de l’Arbre Séphirotique
Au centre de la Kabbale se trouve l’idée du souffle divin, une force primordiale qui imprègne toute existence. L’arbre séphirotique est une représentation symbolique de cette force, présentant une structure d’émanations divines ou “sephiroths”. Ces émanations, semblables aux flammes d’un feu dont la source est Dieu, sont dix en nombre. Elles sont vues comme des reflets de la lumière divine, rappelant les éclats des saphirs, d’où leur nom. Chaque sephiroth joue un rôle spécifique dans la dynamique de l’univers. Leur représentation sur le diagramme, qui peut être visualisé de haut en bas ou de bas en haut, évoque l’image de vases remplis de la lumière divine, chaque vase transmettant sa lumière au suivant. Cette cascade lumineuse commence avec KETHER, la couronne symbolisant la source divine, et se termine avec MALKHOUT, le royaume représentant la manifestation terrestre.
Dimensions Multiples de l’Arbre
L’arbre séphirotique offre plusieurs niveaux de lecture, offrant une vision à la fois horizontale et verticale. Horizontalement, il dépeint trois aspects de l’expérience humaine : l’esprit, l’affectivité et l’action. Verticalement, il souligne deux points centraux : TIPHERET (la beauté) qui incarne l’équilibre harmonieux et IESOD (le fondement) qui symbolise la transmission et la continuité.
Les Séphiroths à travers les Écritures
Bien que symboliques, les séphiroths ont des racines profondément ancrées dans les textes sacrés. On les retrouve, par exemple, dans la Bible, où elles sont souvent mentionnées comme des attributs ou des qualités divines. Ces références bibliques ont été davantage explorées dans des œuvres kabbalistiques majeures comme le “Livre de la clarté” et le “Zohar”. Ce dernier, rédigé par Moïse de Léon au 13ème siècle, est une exploration approfondie des séphiroths et de leur signification.
L’Expérience Personnelle avec l’Arbre Séphirotique
L’arbre séphirotique n’est pas seulement une représentation théorique, mais aussi un outil d’éveil spirituel. Les mages kabbalistes croient qu’en méditant sur les noms et les formes de l’arbre, on peut recevoir des illuminations et des insights profonds. Toutefois, comme pour toute symbolique, son interprétation dépend largement de l’individu.
Voir aussi Cette vie et au delà – Dr Christophe Fauré
Ecouter l’émission, sous le soleil de Platon, de Charles Pépin, avec Christophe Fauré
Ce matin, j’ai écouté sur France Inter une émission à la fois passionnante et troublante.
Assis confortablement avec une tasse de café chaud entre mes mains, j’ai été immédiatement captivé par le sujet : “L’histoire de la conscience”. L’animateur, Charles Pépin, racontait me semblait-il l’histoire d’un neuroscientifique, profondément ancré dans la croyance que la conscience était le pur produit de notre activité cérébrale.
Au fur et à mesure que j’écoutais, je me suis retrouvé immergé dans l’univers complexe du cerveau, avec ses 85 milliards de neurones et sa plasticité. Mais une question étrange et profonde a marqué mon esprit quand le scientifique a décrit une expérience de méditation et ses conséquences : et si la conscience était première ? Et non pas le cerveau, comme on en a tous la certitude… Cette idée, bien que nouvelle pour moi, semblait étrangement familière.
Le thème de l’émission s’est éclairé au travers de toutes les interventions de l’invité, Christophe Fauré. Spécialiste du deuil, il a partagé avec nous ses recherches sur la continuité de la conscience après la mort. Son livre, “Cette vie… et au-delà”, semblait être une exploration profonde et bien documentée des expériences autour de la mort et de la conscience. Plus j’écoutais, plus je me sentais intrigué et poussé à remettre en question mes propres croyances.
Les témoignages sur les expériences de mort imminente, la sensation des défunts présents avec nous, tout cela m’a fait réfléchir. Les notions de physique quantique, d’amour et de sagesse, évoquées dans l’émission, ont ajouté des couches supplémentaires à mes pensées.
Alors que l’émission touchait à sa fin, je me suis retrouvé plongé dans une introspection profonde. Si la conscience est première, que signifie-t-elle pour ma propre existence ? Quelle est ma mission, mon but ici sur terre ?
La radio s’est tue, et j’ai compris qu’une nouvelle curiosité m’avait saisi, et une envie d’explorer davantage ces questions… Je vous livre le début de ce travail.
Ecouter l’émission, sous le soleil de Platon, de Charles Pépin, avec Christophe Fauré
This morning, I tuned into France Inter for a show that was both captivating and unsettling. Sitting comfortably with a warm cup of coffee in my hands, I was immediately engrossed by the topic: “The History of Consciousness”. The host, Charles Pépin, seemed to be recounting the story of a neuroscientist, deeply rooted in the belief that consciousness was solely the product of our brain activity. As I listened on, I found myself delving deep into the intricate world of the brain, with its 85 billion neurons and its plasticity. However, a curious and profound question struck me as the scientist described a meditation experience and its implications: what if consciousness was primary? And not the brain, as we’re all so certain… This notion, though novel to me, felt eerily familiar. The essence of the show shone through with every insight shared by the guest, Christophe Fauré. An expert on grief, he imparted his research on the continuity of consciousness after death. His book, “This Life… and Beyond”, seemed to be a deep and well-researched exploration of experiences surrounding death and consciousness. The more I listened, the more intrigued I became, questioning my own beliefs. Testimonies on near-death experiences and the sensation of departed ones being present with us made me ponder. Concepts of quantum physics, love, and wisdom, mentioned in the show, layered more depth onto my thoughts. As the show drew to a close, I found myself immersed in deep introspection. If consciousness is primary, what does it mean for my own existence? What is my purpose, my goal here on earth? The radio went silent, and I realized a newfound curiosity had taken hold of me, sparking a desire to delve deeper into these questions… I present to you the beginning of this journey.
Une atmosphère électrisante envahit la pièce, semblable à celle qui règne dans une salle d’audience juste avant le verdict. Le sujet du jour ? Une question aussi vieille que le temps lui-même : existe-t-il une vie après la mort ? Au fil de ses pages, le Dr Christophe Fauré, tel un enquêteur passionné, nous présente une accumulation de témoignages et d’expériences.
D’une voix douce, il nous rappelle que des millions d’individus à travers le monde, ont vécu des moments qui dépassent l’entendement :
Selon le Dr Fauré, ces témoignages se rejoignent pour dessiner une vérité : il existe une continuité de la conscience au-delà de la mort. L’une des affirmations les plus audacieuses de son enquête est que notre conscience pourrait fonctionner indépendamment de notre activité neuronale. Imaginez, des dimensions hors de notre réalité physique, où le flux de notre conscience continue après la fin de notre vie terrestre !
Cependant, une énigme persiste. Si tous ces témoignages offrent des preuves aussi écrasantes, pourquoi sont-ils souvent rejetés ou ridiculisés par une grande partie de la communauté scientifique ? La réponse du Dr Fauré est aussi simple qu’éloquente : parce qu’ils défient les postulats établis de la science.
En refermant ce livre, on ne peut s’empêcher de s’interroger. Et si ces expériences, loin d’être des anomalies, étaient la clé pour comprendre la nature même de notre existence ? Après tout, ce que nous considérons aujourd’hui comme extraordinaire pourrait simplement être la norme de demain.
Il est des voyages qui n’ont ni début, ni fin, mais qui modifient profondément la trajectoire d’une vie. Une expérience de mort imminente (EMI) est l’une d’elles. Le Dr Christophe Fauré détaille dans son ouvrage les profonds bouleversements qui découlent de ces rencontres avec l’au-delà :
Mais au-delà de ces transformations, certaines âmes reviennent avec des facultés particulières : télépathie, intuitions ou rêves prémonitoires, évoquant un lien encore plus profond avec l’univers.
Les témoignages du Dr Fauré soulignent que ces expériences, loin d’être isolées, forment un tableau d’éveils, redéfinissant constamment notre conception de la vie, de la mort et de notre rôle sur cette Terre.
La notion symbolique de “voie” est présente dans de nombreuses traditions de sagesse à travers le monde. Ce terme englobe différents aspects et significations, et il est difficile de le définir de manière précise. La voie peut désigner la recherche de la vérité, l’attitude du chercheur, le chercheur lui-même, la méthode pour accéder à la sagesse, la connaissance de la réalité, voire la réalité en elle-même. Cependant, la voie ne se réduit pas à ces éléments, car elle transcende les concepts et les limites de la pensée.
Dans différentes traditions, le terme chinois “tao” est souvent traduit par “voie”, mais cette intuition symbolique va au-delà du taoïsme. Elle se retrouve dans les enseignements de sagesse de toutes les sociétés traditionnelles. La vacuité de ce mot renvoie à l’être humain lui-même. La voie exprime le sentiment qui émerge lorsque l’être humain se découvre en tant que chercheur, sans pouvoir donner de contenu précis à cette recherche. C’est une attitude d’attention à ce qui se manifeste et d’écoute intérieure, qui naît lorsque l’être humain réalise sa nature fondamentale de chercheur.
La voie représente également la possibilité de transformation individuelle. Elle est le cheminement de la conscience depuis un niveau noyé dans l’empirique et l’ordre du moi, jusqu’à l’ouverture et la reconnaissance de la réalité transcendantale, symbolisée par le terme “soi”. Ainsi, la voie n’est pas un simple contenu de savoir ou une forme de connaissance, mais une expérience vécue. Elle nous fait expérimenter la réalité que nous croyons être. La connaissance de soi est essentielle dans cette expérience, et aucun texte sur la voie ne peut s’en dispenser. C’est une exigence personnelle et unique, qui nécessite de découvrir sa propre voie intérieure.
La voie ne peut pas être donnée ni reçue de manière rationnelle, ni être imposée par une volonté externe. L’image du chemin peut être trompeuse, car elle donne l’impression d’un but et d’un itinéraire préétablis. En réalité, la voie est un simple accompagnement, une adhésion au mouvement qui se déploie. Tout se joue dans le présent, et les maîtres de sagesse rappellent sans cesse l’importance de l’ici et maintenant. La voie vise à instaurer dans la conscience un état de recherche, une mobilité immobile, qui consiste à être pleinement présent à la réalité intérieure et extérieure, à accompagner sa propre marche. C’est une attitude qui allie vigilance et relâchement, confiance et prudence, engagement total et réserve. Il ne s’agit pas de chercher quelque chose en particulier, mais de trouver en soi une attitude juste. La voie n’est pas une “conscience de”, mais une “conscience à”, une attention disponible à ce qui se déploie. Il s’agit simplement de laisser les choses se manifester. La voie apparaît alors vide d’intention.
Pour les philosophies “sapientielles”, l’accomplissement symbolisé par le terme “voie” réside dans la simplicité d’être pleinement présent à chaque instant de notre existence, à chaque action que nous accomplissons. La voie nous invite à cultiver une conscience aiguisée et attentive à ce que nous faisons, à être totalement immergé dans l’expérience présente, sans projections ni attentes. Cette présence à l’instant présent est le fondement de la voie, car c’est à travers cette attention profonde que nous pouvons véritablement nous connecter à la réalité telle qu’elle est. La voie ne nous demande pas de rechercher des réponses extérieures ou de gravir un chemin préétabli, mais plutôt de nous tourner vers l’intérieur, d’explorer notre propre nature et de trouver une résonance avec le flux de la vie qui nous entoure.
La voie ne se résume pas à une accumulation de connaissances intellectuelles, mais plutôt à une transformation intérieure profonde. C’est une invitation à transcender nos limitations habituelles, nos conditionnements et nos croyances limitantes, afin d’accéder à une dimension plus vaste de notre être. En empruntant la voie, nous sommes amenés à remettre en question nos schémas de pensée, à remettre en cause nos attachements et à explorer des territoires inconnus de nous-mêmes. La voie est souvent décrite comme un voyage intérieur, une exploration des profondeurs de notre propre conscience. C’est un chemin qui nécessite courage, persévérance et humilité. Sur cette voie, nous pouvons rencontrer des obstacles, des doutes et des épreuves, mais c’est précisément à travers ces défis que nous avons l’opportunité de grandir et de nous transformer.
Chaque individu a sa propre voie, sa propre manière d’explorer et de vivre cette quête de sens et de vérité. Il n’y a pas de voie universelle qui convienne à tous, car chaque être humain est unique et possède son propre cheminement. La voie est donc une invitation à écouter notre propre intuition, à suivre notre propre rythme et à nous ouvrir à notre propre vérité intérieure.
La voie est donc un symbole puissant qui représente la recherche de la réalisation de soi, de la sagesse et de la connexion profonde avec le monde qui nous entoure. C’est un chemin intérieur qui nous guide vers une compréhension plus profonde de nous-mêmes et de notre place dans l’univers. La voie nous rappelle que la vie elle-même est un voyage, et que chaque pas que nous faisons dans la quête de la vérité et de la réalité est en réalité une partie essentielle de notre propre chemin spirituel.
La notion de “voie” peut également être explorée du point de vue de l’imaginaire et du symbolique. Dans ce contexte, la voie représente un chemin intérieur qui transcende la réalité matérielle et nous conduit vers des dimensions plus profondes de l’existence.
L’imaginal fait référence à un espace de l’âme où les symboles, les images et les archétypes prennent vie. C’est un domaine intermédiaire entre le concret et l’abstrait, où la réalité matérielle et la réalité spirituelle se rencontrent. La voie imaginal est celle qui se déroule dans cet espace, où les symboles et les images se manifestent et guident notre parcours intérieur.
Les symboles jouent un rôle essentiel dans la compréhension imaginale de la voie . Ils représentent des idées, des concepts ou des aspects de la réalité qui dépassent la compréhension rationnelle. Par exemple, le symbole de la traversée d’un pont peut représenter la transition d’un état à un autre, ou encore le passage d’un niveau de conscience à un autre. Les symboles nous offrent une voie d’accès à des significations plus profondes et nous aident à explorer les aspects invisibles et intangibles de notre être.
La voie imaginale nous invite à nous engager dans un processus d’exploration intérieure à travers l’utilisation de l’imagination, de la créativité et de la visualisation. C’est un chemin qui demande de cultiver notre capacité à entrer en relation avec les symboles et les images qui émergent de notre inconscient, afin de les comprendre et de les intégrer dans notre vie quotidienne.
La voie symbolique, quant à elle, se rapporte à l’utilisation des symboles et des rituels pour donner un sens à notre existence et établir des connexions avec des réalités plus vastes. Les symboles peuvent représenter des valeurs, des idéaux ou des aspects transcendants de la vie humaine. Par exemple, le symbole du cercle peut évoquer l’unité, l’infini ou l’harmonie. En empruntant la voie symbolique, nous cherchons à entrer en relation avec ces réalités plus profondes à travers des pratiques rituelles, des cérémonies ou des rites de passage. La voie imaginale et symbolique nous offre un moyen d‘explorer et de donner un sens à notre expérience humaine. Elle nous permet de transcender les limites de la pensée rationnelle et d’accéder à des niveaux de compréhension plus vastes. En empruntant cette voie, nous sommes invités à développer notre capacité à écouter notre imaginaire, à nous connecter à nos symboles intérieurs et à honorer les rituels qui nourrissent notre âme. C’est un cheminement qui nous permet de cultiver notre dimension symbolique et d’explorer les profondeurs de notre être à travers des langages non verbaux et des formes d’expression créative. La voie imaginal et symbolique représente une exploration de l’invisible, de l’ineffable et de l’ineffable dans notre être. C’est une invitation à cultiver notre capacité à percevoir et à interpréter les symboles, à entrer en relation avec notre imagination et à utiliser ces ressources pour approfondir notre compréhension de nous-mêmes et du monde qui nous entoure.
En empruntant la voie imaginale et symbolique, nous entrons dans un espace où les frontières entre le réel et l’imaginaire s’estompent. C’est un espace où les symboles prennent vie, où les archétypes se manifestent et où les histoires mythiques résonnent en nous. Dans cette exploration, nous sommes invités à nous ouvrir à la poésie, à la beauté et à la magie du monde symbolique.
Par le biais de l’imagination, nous sommes capables de créer des images, des métaphores et des récits qui donnent forme à nos expériences intérieures les plus profondes. Cela nous permet d’explorer nos blessures, nos aspirations, nos peurs et nos désirs de manière symbolique. Les symboles agissent comme des clés qui ouvrent des portes vers des dimensions intérieures et nous aident à donner du sens à notre existence.
La voie imaginale et symbolique nous invite à développer une relation intime avec notre monde intérieur. C’est un appel à cultiver notre capacité à écouter les messages symboliques qui émergent de notre inconscient, à les interpréter et à les intégrer dans notre vie quotidienne. En engageant ce dialogue créatif avec notre imaginaire, nous pouvons découvrir de nouvelles perspectives, de nouvelles significations et de nouvelles ressources pour notre cheminement personnel. Il est important de souligner que la voie imaginale et symbolique est une démarche personnelle et subjective. Chaque individu est invité à explorer ses propres symboles, à créer ses propres images et à trouver sa propre signification. Il n’y a pas de voie prédéfinie ou universelle, car chaque parcours symbolique est unique et individuel. C’est une invitation à cultiver notre imagination, à développer notre sensibilité symbolique et à entrer en relation avec les réalités invisibles qui habitent notre être. C’est un voyage fascinant et enrichissant qui nous permet d’approfondir notre compréhension de nous-mêmes, de la vie et de notre place dans le vaste tissu de l’existence.
L‘inconscient collectif est une théorie psychologique selon laquelle les individus sont reliés par une conscience collective qui transmet des informations psychiques et culturelles. Il s‘agit d‘une source d‘inspiration et de compréhension commune. Il est considéré comme un concept abstrait qui sous–tend l‘existence de notre conscience commune.
L‘intelligence artificielle (IA) est une technologie informatique qui permet aux machines de simuler l‘intelligence humaine. Elle est capable d‘apprendre, de raisonner et de prendre des décisions comme un être humain. Elle permet aux machines d‘analyser des données et de les utiliser pour résoudre des problèmes et effectuer des tâches. Ce sont deux concepts bien différents, mais ils peuvent être confrontés et étudiés ensemble, pour mieux comprendre le comportement humain et résoudre des problèmes. Les données recueillies par l‘IA peuvent être analysées et utilisées pour reconnaître des tendances et des patrons comportementaux qui sont liés à l‘inconscient collectif. De plus, l‘IA peut être utilisée pour développer des solutions plus intelligentes et plus efficaces en exploitant les informations et les connaissances stockées dans l‘inconscient collectif… à condition d’y accéder.
L’inconscient collectif est une notion théorisée par Carl Jung qui se réfère à des idées, des croyances, des mythes et des symboles communs à l’ensemble d’une société ou d’une culture. Il est souvent considéré comme une sorte de mémoire collective, qui peut influencer les pensées, les sentiments et les comportements individuels.
Il n’existe pas de méthode spécifique pour trouver les données ou les contenus de l’inconscient collectif, car ce concept est largement subjectif et dépend de la culture, de la société et de l’époque considérée. Cependant, pour étudier l’inconscient collectif, certains chercheurs se concentrent sur l’analyse des mythes, des symboles, des croyances religieuses, des traditions et des légendes populaires. D’autres étudient les comportements et les attitudes communes à une société, ainsi que les représentations culturelles dans les médias, l’art, la littérature, etc.
En fin de compte, comprendre l’inconscient collectif nécessite une étude approfondie de la culture, de la société et de l’histoire, ainsi qu’une réflexion critique sur les idées et les croyances courantes. Il peut également être bénéfique de consulter des experts en psychologie, en sociologie, en anthropologie ou en études culturelles pour obtenir une perspective plus complète.
je peux vous donner des informations sur le sujet :
Il est important de noter que l’inconscient collectif n’est pas une réalité tangible, mais plutôt une idée utilisée pour expliquer les comportements et les croyances communs dans une société.
Peux-tu me donner des éléments sur tendances psychologiques qui peuvent fournir des informations sur les peurs, les désirs et les motivations collectives de la société, afin que je comprenne l’inconscient collectif des sociétés européennes d’aujourd’hui
Bien sûr, les tendances psychologiques peuvent en effet fournir des informations sur les peurs, les désirs et les motivations collectives d’une société. Cependant, il est important de noter que l’inconscient collectif d’une société est complexe et ne peut être décrit de manière complète ou définitive.
Voici quelques tendances psychologiques qui peuvent vous aider à comprendre l’inconscient collectif des sociétés européennes d’aujourd’hui :
Il est important de noter que les tendances psychologiques varient au fil du temps et peuvent être influencées par de nombreux facteurs, tels que les changements technologiques, les événements historiques, les mouvements sociaux, etc. De plus, les tendances psychologiques peuvent varier considérablement selon les groupes démographiques et les régions géographiques.
Transcription d’une petite partie de la vidéo Le Voyage Alchimique – Paris et Nicolas Flamel
Patrick Burensteinas
VITRIOL Formule alchimique « Visite l’intérieur de la terre et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée »
Et l’antimoine notre matière première qui après de multiples rectification et purification donne naissance à la pierre philosophale ce minerais métalliques se trouve dans de nombreuses mines en Europe, en particulier dans le massif central. Il ne servait pas qu’aux seuls chimistes. On l’utilisait pour durcir le plomb des caractères d’imprimerie et pour soigner certaines maladies. Mais les alchimistes ont donné à l’antimoine son aura mystérieuse. « Le levé de l’aurore » ce manuscrit alchimique de la fin du moyen-âge montre l’extraction de l’antimoine.
Mais que fait ce pélican à côté de la mine pour les alchimistes le pélican est une image de la distillation des produits qui serviront à digérer l’antimoine la distillation fractionné de la colonne de distillation partent plusieurs ballons à différents niveaux ce qui peut évoquer la manière dont se nourrissent les petits du pélican. Ce traité du 16e siècle montre une opération de distillation fractionnée. elle se réalise avec un appareillage qu’on appelle aujourd’hui encore un pélican cette distillation fractionnée on la pratique de nos jours à grande échelle pour distiller l’or noir. Les tours de cracking des raffineries ne sont que de gigantesques pélican. Les chimistes ont souvent repris des procédés
ancestraux inventé par les alchimistes. Mais la chimie est dépourvue de toute dimension spirituelle c’est pourquoi dans notre voyage alchimique notre matière première nous ne sommes pas allés la chercher dans la mine la plus proche mais au bout de la galice en empruntant les chemins initiatique de saint jacques de Compostelle. Une quête qui nous emmène bien au-delà de simples opérations chimiques. La fin du pèlerinage était à l’endroit où l’on se tient c’est à dire qu’on cherchait le Finistère l’endroit où la terre se finit sur cette plage particulièrement pour vous trouver quelque chose qui était rejeté par la mer c’était des nodules polymétalliques mais ce convenait particulièrement chercher c’était du sulfure d’antimoine…
(…) Avec Patrick Burensteinas, ce scientifique et alchimiste, ce voyage jusqu’à l’océan nous a permis de comprendre les enjeux du grand heures d’étape en état nous avons appris à voir le monde dans sa beauté et sa simplicité au-delà des apparences il y a de l’or partout ici.
(…)
PARIS. Notre Dame
Ce portail sud nous conduit de l’œuvre au noir à l’offre au rouge. De la lune au soleil et à la pierre des philosophes. Tout est déjà dedans l’idée c’est seulement de le révéler et rien d’autre mais tout est là à la première manipulation et bien peut-être que la pierre peut se manifester rien ne s’y oppose en tout cas la seule opposition c’est peut-être que moi je pense et c’est l’attente que j’ai d’où l’importance de la dimension psychologique et spirituelle de l’alchimie.
(…)
Sur une autre face du pilier du portail sud continuent à se dévoiler la démarche alchimique. Un personnage se transperce le corps avec une épée. Pour purifier la matière on décompose cette matière mais ce n’est pas tout. Cette matière va s’ouvrir, elle va s’éveiller. il va falloir trois opérations 3 flammes trois feux différents c’est à dire les trois œuvres.
Il faudra que tu utilises 3 flammes pour trouver la lumière cachée à l’intérieur de la matière. (…)
La démarche d’Idris LAHORE est pleinement, sereinement, systématiquement holistique. Il va chercher tous les éléments qui interagissent entre eux pour proposer un système complet de guérison.
A commencer par l’introduction de ce que, nous dit-il, la médecine conventionnelle comme les médecines alternatives ignorent presque toujours : les niveaux de thérapie.
Ce tableau donne la vision d’ensemble de l’être humain qui permet d’ajuster les thérapies et de les rendre réellement efficace : elles ne traitent plus des symptômes, elles ne déploient pas des thérapies d’un niveau inférieur, capables de se transformer en nouvelles atteintes et symptômes.
Chaque niveau correspond à des types de thérapie spécifiques reliées aux éléments qui composent ce niveau.
Extrait
L’intelligence du corps va, de manière naturelle, vers une globalisation. C’est nous qui fragmentons les choses. Le corps a une intelligence globale : si tu agis à droite, il y a aussi un effet à gauche.
Si tu donnes un sens à ce que tu fais, les autres ont tendance à s’associer à ton projet. Si tu comprends réellement une indication avec ton mental, ton Cœur a tendance à suivre et ton corps aussi. Cependant, pour retrouver cette globalité, il faut s’entraîner à sortir petit à petit de la fragmentation.
Extrait
L’être humain est composé de trois centres dits inférieurs : • le centre intellectuel : siège de l’activité pensante. C’est là que se forment pensées, représentations, concepts, idées, raisonnement, logique…
En lui se trouvent également en germe deux centres dits supérieurs et que le chemin vers l’Esprit lui propose de développer :
Extrait
Le praticien des différentes branches du Samadeva, que nous appelons un “euphoniste-énergéticien“, utilise des méthodes pour rééquilibrer l’ensemble de la vie de son client, considérant que la santé ne peut être maintenue ou se rétablir que si tous les domaines de la vie de l’individu sont en harmonie : seule cette harmonie globale garantit une circulation énergétique harmonieuse. L’euphoniste est donc avant tout un praticien qui, avec l’aide d’autres thérapeutes spécialisés comme les médecins ou les psychologues, essaie de faire comprendre à son client sa part de responsabilité quant à sa propre santé, en l’aidant à la maintenir grâce à ces techniques. Meilleure santé et vie plus ongue, connaissance de soi, développement de la conscience de soi, e la présence, harmonisation de l’état énergétique et amélioration de vitalité : tels sont les buts recherchés par les pratiques euphoniques.
Pour comprendre la spécificité de ces approches thérapeutiques, voici des éléments de base… Mais il faut entrer complètement dans le livre (et les 2 tomes précédents), pour en mesurer la portée et commencer à travailler vraiment sur soi (ou les autres), encore que… une compréhension en profondeur et une pratique spirituelle bien ancrée peut s’inspirer de bien des apports de Idris Lahore
Extrait
A cette sagesse de l’organisme (celle qui régule notre température cicatrise nos plaies, etc.), nous appliquons trois principes thérapeu_ tiques spécifiques du Samadeva, qui consistent à associer :
• la posture ou le mouvement spécifique à chaque douleur ou chaque handicap ;
• la concentration intensive sur les sensations provoquées, c’est-à-dire la mobilisation de l’attention ;
• une technique respiratoire spécifique
Ces trois éléments combinés forment ce que nous nommons un “Arkana thérapeutique” qui va guérir ou réduire notablement, et souvent d’une façon étonnamment efficace, la douleur ou le handicap du pratiquant.
La combinaison spécifique de ces trois éléments a un effet sur toute la colonne vertébrale (muscles, tendons, nerfs, vaisseaux, articulations) et semble permettre à tout le corps de se redresser tout en se détendant. La colonne vertébrale ainsi redressée et détendue, tous les organes profitent de la libération et de l’espace créés par l’Arkana thérapeutique. Le processus curatif d’auto-régulation peut ainsi entrer en action. Cette technique agit à la fois sur les blocages musculaires et articulaires ou vertébraux, sur les flux énergétiques et sur la transmission de l’information par la voie des neuro-transmetteurs.
Les Arkana thérapeutiques s’appliquent évidemment en priorité aux malades. Il en existe cependant des variantes dont le but est la prévention des troubles ainsi que le maintien de la guérison ou du soulagement, une fois ceux-ci obtenus. Ceci nous fait comprendre que le Samadeva Thérapeutique était (et est toujours !) une méthode d’auto-guérison naturelle, efficace, simple et facile à apprendre.
Extrait
Du point de vue énergétique, c’est encore le même processus. Le problème est un blocage énergétique et les pensées ou émotions s’y fixent. Les gens pensent que leur problème est dû à leur situation, leurs pensées ou leurs émotions. En réalité, le vrai problème est le refus de rester dans le flux de la vie : voilà ce qui perturbe le flux de l’énergie. L’énergie intérieure ne circule plus et la vie extérieure ne circule plus non plus. Il s’agit de rendre à cette énergie sa fluidité et à la vie, la fluidité. Cela ne se fera pas en pensant au problème ou en l’analysant, ou bien si : trente ans après… On finit toujours par comprendre ! Mais les problèmes du mental (donc les pensées et les émotions) ne peuvent pas être réglés par le mental. On peut agir sur le problème en rétablissant le flux de l’énergie et en emmenant la personne dans la vie : en la faisant bouger ! Voilà aussi pourquoi on dit que l’oisiveté est la mère de tous les vices. Paresse, oisiveté, passivité entretiennent les problèmes, elles vous sortent et vous maintiennent hors du flux de la vie, donc les énergies stagnent et les humeurs aussi, ce qui signifiera tôt ou tard maladie et mal-être.
Le tableau des thérapies ci-dessus situe, bien sûr, le spirituel au dessus de toutes les autres formes de notre existence. La Psychologie Spirituelle ou Essentielle nous fait découvrir notre “étincelle divine”.
Extraits
Alors que la Psychologie de l’Ennéagramme nous permet de mieux comprendre notre personnalité, nos modes de fonctionnement, toutes les stratégies que nous avons mises en place depuis l’enfance pour nous permettre de survivre et de nous adapter à notre environnement, la Psychologie Spirituelle, derrière ce masque de la personnalité, nous fait découvrir une autre réalité qui transcende l’ego, un autre élément qui ne s’est pas développé sur la base d’apprentissages, de conditionnements, de réponses à l’environnement : un élément qui est déjà là à la naissance et qui vient d’autres mondes. Il s’agit de cette “étincelle divine” dont parlent certains courants, notamment religieux, la partie la plus authentique, la plus vraie, la plus élevée de nous-mêmes, celle qui porte toutes nos impulsions vers le bien, le beau, le vrai. C’est ce que nous appelons l’essence spirituelle, qui est en germe au plus profond de nous et qui ne peut pas se développer naturellement : pour manifester notre essence spirituelle, nous devons apprendre à nous connaitre et nous devons progressivement la dévoiler, enlever les voiles de notre (fausse) personnalité.
Extrait
Le corps physique étant trop dense pour l’esprit, c’est comme si, lors de l’incarnation, une force l’obligeait à entrer dans le corps physique. L’incarnation humaine se fait dans la violence. Or, lorsqu’on veut s’éveiller à sa propre nature, sa nature véritable, donc sa nature spirituelle, il faut pouvoir s’incarner avec douceur. Ce n’est possible que si, à la fin d’une vie, on parvient à se désincarner avec douceur.
ASMR pour un chamanisme. Ecoutez le chuchotement !
Quand les Anciens formaient un cercle avec des pierres, ils représentaient l’Univers, pour en comprendre les mystères et accéder à la connaissance.
Le chuchotement à effet hypnotique que nous vous proposons vous transporte au coeur de l’univers des chamanes.
Pour aller plus loin dans cette voie, offrez-vous ce livre qui nous emporte.
Comment aborder avec une vision, une intention, positive, la vie commune, les institutions, les enjeux collectifs de notre temps ?
Cette question est rarement posée. Elle est même absente des concepts et des débats politiques, là ou il serait simple de parler, tout simplement de qualité de vie. Qualité de vie pour tous, et chacun, avec le souci de combler les inégalités et de préserver la planète.
Ne pas manquer : Une page vers l’interview de l’auteur
Alain DELOURME a écrit un livre profond qui nous fait monter, vibrer en spiritualité.
Il ne savait pas, lorsqu’il l’a écrit que la guerre allait saisir l’Europe. Mais ce livre est bien à la fois intemporel, existentiel, spirituel et d’actualité. Car la paix partagée, collective, dépend de notre désir et de notre travail de paix intérieure.
“Naître est un passage, mourir également. Entre les deux il est sain d’avoir les pieds dans la glaise et la tête dans les étoiles, nous dit l’auteur. Nous aiderons le lecteur, à effectuer ses propres choix et à se construire tout en s’apaisant.”
Présentation du livre
Cette paix intérieure est destinée à chacun. Il s’agit d’une source essentielle, vitale et intime aussi bien que universelle. Apprenons à entretenir le lien avec elle. Mais quelles sont les conditions requises pour bâtir cette paix en vous ? La soutenir malgré les souffrances de l’existence ? Et la consolider face à ce qu’on considère très souvent comme une menace, à savoir la mort ? Comment bâtir une paix durable qui tienne compte des besoins émotionnels, écologiques et spirituels partagés par les humains ? C’est ce que nous allons éclaircir. Témoignages et exemples alterneront avec les passages réflexifs pour rendre la lecture plus vivante, comme cette paix que nous recherchons.
Extraits
“Nous sommes reliés les uns aux autres dans des champs de résonance qui pénètrent jusqu’au cœur de l’être. L’univers n’est pas seulement cordes vibrantes et événements quantiques. La vie, l’esprit et la culture font partie de la réalité de ce monde, et une authentique théorie du tout mérite d’en tenir compte. L’univers lui-même possède une forme de conscience, une matrice cosmique de laquelle notre conscience a émergé et avec laquelle elle reste en lien étroit. Les nouvelles recherches sur la conscience reconnaissent que la vie et l’esprit font partie du monde et non des sous-produits du hasard.
La conscience transpersonnelle et l’interconnectivité indiquent que les consciences sont reliées, comme les galaxies le sont dans le macrocosmos, ou les quanta dans le microcosmos. Il existe des connexions entre la conscience d’une personne et l’esprit et le corps des autres. L’esprit humain n’est donc pas une entité isolée, mais une «écologie ». C’est ainsi que les guérisseurs et les chamanes peuvent provoquer des effets de télépathie par la solitude, la concentration, le jeûne, la psalmodie, la danse, le tambour ou des herbes psychotropes.”
“Ce qui m’intéresse n’est pas une théorie psychologique ni un système philosophique, c’est le saut existentiel et spirituel.(…)
Qui sait remédier à l’autre souffrance, la soif spirituelle insatisfaite ? Elle est pourtant le mal spécifique de notre temps. Sa guérison dépend d’un art de soigner initiatique. Il s’agit ici d’apprendre à redevenir un avec le Tout, à demeurer en union avec lui et à vivre par lui : « Si l’œil n’était pas ensoleillé, il ne reconnaîtrait pas le soleil. » Développer le maître intérieur est un des moyens pour y parvenir. Si ce dernier n’existait pas, les maîtres du dehors ne pourraient pas agir en nous.
“(…) La mort nous impose la conscience de la finitude de l’existence, ce qui ne signifie pas pour autant la disparition de la conscience ni de la paix. La mort rend-elle l’existence absurde ou lui donne-t-elle son sens ? Est-elle un achèvement ou une étape dans le processus de libération ? Une rupture définitive ou un stade de croissance ? Existerait-il un lyrisme terminal, après les difficultés du parcours terrestre et le travail du trépas, qui nous ferait embrasser l’Absolu ? (…)
La menace n’est pas la mort, mais la peur. En effet, la plupart de nos craintes ne sont que des écrans qui cachent et révèlent une peur plus profonde : celle de la fin. Nous avons peur de la maladie car elle nous évoque la mort. Nous avons peur de l’accident car il nous rappelle notre finitude. Nous avons peur de la solitude car le sentiment d’abandon et le désespoir qui l’accompagne nous ramènent à la fin de notre existence désormais futile. Finalement, nous avons peur d’avoir peur.”
LE MYTHE DE LA CRÉATION DES MAORIS
Les Maoris arrivèrent en Nouvelle-Zélande depuis la Polynésie à bord de wakas (canoës) à partir de 1250 environ. Ils n’ont pas d’histoire écrite, mais leurs mythologies de la création nous ont été transmises par des conteurs. Même si des détails peuvent varier, le mythe de la création est globalement le même.
Au début, il y avait le vide, Te Kore. Dans ce vide surgirent deux dieux t Ranginui (Rangi), le Père Ciel, et Papatüânuku, la Terre Mère, qui étaient enlacés. Ces premiers parents donnèrent naissance à de nombreux enfants mâles qui vivaient ensemble, confinés dans l’obscurité. En grandissant les fils se demandèrent ce que cela ferait de vivre dans la lumière, Tümatauenga (ou Tü), le dieu de la Guerre, qui était le plus féroce, suggéra qu’ils tuent leurs parents pour le découvrir. Son frère Tâne (le dieu des Bois) n’était pas d’accord et dit qu’il serait préférable de les séparer ; ainsi, leur père resterait au-dessus d’eux et leur mère Se retrouverait au-dessous et les nourrirait. Les autres frères, Rongo (dieu de la Nourriture cultivée), Tanagaroa (dieu de la Mer) et Haumia-tiketike (dieu de Toute Nourriture non cultivée) unirent leurs forces pour les séparer, mais ils échouèrent, Finalement, Tâne réussit à les séparer en les repoussant à l’aide de ses jambes musclées et de ses larges épaules. C’est ainsi qu’il créa Te Ao Mârama le monde de la lumière. Papatüânuku pleura lors de la séparation et ses larmes formèrent les fleuves et les rivières. Tâne créa les premiers êtres humains, les étoiles, et amena la connaissance dans le monde.
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Ce livre apporte une lumière très claire sur le Qi Gong, mais pas seulement. Sur les liens entre les grands thèmes de la spiritualité. A commencer par le lien corps-esprit. Mais aussi, le lien, aujourd’hui indispensable avec les sciences cognitives. Plusieurs chapitres sont consacrés, successivement, aux approches scientifiques occidentales :
J’ai compris le rôle fondamental que le taoïsme a joué ans la relation de l’homme à la nature, sans pour autant aborder la question de la religion. Il a largement participé à la vision sur l’unicité du couple esprit/corps dont le concept commence à prendre place dans les pays occidentaux. J’ai appris à quel point les exercices de Qi Gong relient ces deux entités dans une indissociable continuité. Au-delà des gestes visibles provenant des mouvements du corp s’élabore une alchimie subtile interne qui ouvre à une autre dimension dans la compréhension holistique de l’humain. Elle se poursuit par la découverte des perceptions intérieures de son propre corps donnant accès à d’autres dimensions dans ses relations avec le monde extérieur, notamment par la perception de l’espace. Le Qi Gong est littéralement l’outil qui permet de partir à l’exploration de soi : de ce corps jusque-là inconnu dans lequel pourtant nous vivons et de ce cerveau dans les méandres desquels nous passons notre temps nous égarer. Il en résulte une perception renforcée de la conscience de soi et de sa place dans le monde.
Pour les taoïstes, l’homme n’a aucune mission à remplir ni le besoin de donner un sens à sa vie. Il se contente de se promener sur le chemin de son existence, le tao, qui peut se traduire par la voie. L’important n’est pas le but de ce cheminement, c’est le cheminement lui-même. Ainsi, la voie ne mène pas nécessairement à un but. La notion d’un objectif à atteindre semble illusoire, seul le moment présent et le pas s’effectuant sur le chemin sont importants. L’aspect cyclique de la vie est également une donnée importante pour les taoïstes. Tout est éternel recommencement.
Sur le plan sociétal, l’épanouissement de l’individu en Asie ne passe pas par la conquête d’une liberté individuelle sociale jugée illusoire, mais par la recherche d’une sérénité intérieure, fruit d’un apprentissage continu. Le trait le plus frappant du taoïsme est le développement de la perception de l’invisible. La perception de l’invisible peut s’illustrer par la capacité à considérer l’essence des évènements plutôt que les évènements eux-mêmes.
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Backlight majestic cat in the darkcertaine
Ce mystérieux sentiment inconditionnel des animaux présents à nos cotés est une opportunité inespérée pour sortir de siècles de conditionnements qui nous ont désorientés de notre désir, nous éloignant de notre nature authentique. Nous pouvons retrouver le chemin de cette première source accessible qui nous ramènera progressivement a considérer une source première, à la fois plus lointaine mais si proche ; je l’appellerai Source divine, christique Source de vie. A cette condition, nous pourrons nous libérer progressivement de nos monstres intérieurs qui hantent depuis si longtemps notre abîme d’inconscience comme des ombres captivantes de notre caverne. Séparés du dedans, la folie meurtrière s’est emparée de l’esprit humain. Elle cessera son emprise dans la conscience d’être de nouveau reliés à la grande toile cosmique qui enveloppe et harmonise tout ce qui est. Il nous faut donc remettre en dedans de nous ce que nous avons, pendant si longtemps, projeté en dehors. Pour cela, il est nécessaire de comprendre la réalité extérieure comme une création illusoire à interpréter. A cette condition seulement, nous pouvons accéder au monde sensible, celui que les animaux connaissent bien et que notre âme vient reconnaître ici-bas à travers l’expérience humaine.
Tout attend d’être contacté et c’est cette expérience que nous faisons quand nous vivons au plus près de la nature extérieure ou de notre intériorité, ou bien des deux ! La résurgence du chamanisme et, comme nous le disions plus haut, la parole donnée progressivement aux peuples autochtones montrent à quel point nous avons besoin de rester cri lien avec notre nature « sauvage » qui est avant tout énergétique, Mais celle-ci nous effraie comme nous paraît hostile ce monde fascinant de nos propres profondeurs parce qu’il s’en racine dans des temps immémoriaux quand la conscience n était pas encore émergente. Nous touchons là au vaste champ de l’inconscient si cher à l’expérience intérieure (le C. Jung. L’être humain porte en lui les mémoires des différents règnes. C’est ainsi que, pendant la vie intra-utérine et jusque vers trois ans, l’enfant passe par tous ces stades et récapitule la phylogénèse (histoire de l’évolution des espèces). Les médecines traditionnelles ne s’y trompent pas quand elles nous soignent avec la lithothérapie grâce au minéral, avec la phytothérapie et l’aromathérapie grâce au végétal et enfin avec des substances actives extraites d’animaux en homéopathie. La recherche s’est même emparée du domaine des venins par exemple pour proposer des applications thérapeutiques scientifiquement validées.
Revenons sur une notion qui n’est pas toujours très claire : celle de l’âme. Nous devons avant tout la considérer comme une énergie, ce qu’elle est bien évidemment. Mais le préciser permet d’éviter l’éternelle préoccupation comptable ! En effet, nous sommes tellement identifiés à notre individualité que nous assimilons l’âme à notre corps. Pour la plupart des gens, une personne = une âme. Mais la réalité spirituelle est bien plus complexe et il conviendrait davantage de raisonner en termes de collectif (un soleil) dont les rayons sont les émanations qui viennent déclencher l’expérience dans la matière à travers tous les règnes. L’espèce humaine porte donc l’émanation qui est à la fois dans le minéral, le végétal et l’animal. Ce n’est pas une question de chronologie, de temporalité, mais de coexistence. La seule différence réside dans l’éveil de la conscience qui embrasse simultanément tous les règnes. Cette conscience est Une, c’est pourquoi il est possible d’entrer en contact avec l’ensemble du vivant à tout instant. Le primatologue Frans de Waal donne cette image toute simple de l’iceberg : sa partie immergée, la plus importante, correspond à ce qui réunit toutes les espèces animales, nous compris. La minuscule partie émergée correspond à la spécificité humaine. Les sciences humaines sont dingues de ce tout petit bout-là ! Mais pour moi, scientifique, l’iceberg est intéressant dans son ensemble.
(…) nous avons besoin de rester en lien avec notre nature « sauvage » qui est avant tout énergétique, Mais celle-ci nous effraie comme nous paraît hostile ce monde fascinant de nos propres profondeurs parce qu’il s’en racine dans des temps immémoriaux quand la conscience n était pas encore émergente. Nous touchons là au vaste champ de l’inconscient si cher à l’expérience intérieure (C. Jung). L’être humain porte en lui les mémoires des différents règnes. C’est ainsi que, pendant la vie intra-utérine et jusque vers trois ans, l’enfant passe par tous ces stades et récapitule la phylogénèse (histoire de l’évolution des espèces). Les médecines traditionnelles ne s’y trompent pas quand elles nous soignent avec la lithothérapie grâce au minéral, avec la phytothérapie et l’aromathérapie grâce au végétal et enfin avec des substances actives extraites d’animaux en homéopathie. La recherche s’est même emparée du domaine des venins par exemple pour proposer des applications thérapeutiques scientifiquement validées.
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Se procurer le livre : La personne humaine dans l’œuvre de Jung – Âme et spiritualité
La spiritualité ? La puissance de l’esprit sur la matière
Didier Lafargue aux Editions du Désir
La vie contemplative sur laquelle met l’accent la sagesse orientale vise à nous faire prendre conscience de la relativité de toutes les idées émises par l’intelligence humaine, dans la mesure où elles n’ont de sens que les unes par rapport aux autres et n’ont rien de définitives en elles-mêmes. Ceci, l’Orient a tenté de l’exprimer par sa croyance en l’harmonie universelle, celle issue d’un accord entre principes divergents. C’est ce que Jung appelle la conjonction des opposés.
Pour notre psychologue, le tour combatif pris par le culte chrétien, issu de cette tendance à opposer le bien et le mal, risquait de mener l’homme à commettre des actes inconsidérés. « Le caractère intolérable des opposés dans la psychologie chrétienne provient de leur exacerbation morale »8. Conformément à l’optique chrétienne, l’homme aspire au bien et succombe au mal, ainsi que le lui enseigne l’histoire de la Création suivie de la chute. La recherche effrénée du bien et le rejet catégorique de tout mal qui en résultent, lui fait connaître le danger d’être aveuglé par ses passions. Pourtant, toute chose n’acquiert force et caractère que par son contraire. Il n’est d’authentique progrès pour l’homme qu’en les confrontant l’une à l’autre puisque tout bien n’existe que par rapport à un mal correspondant et qu’il faut à chacun tout son jugement pour en avoir la plus juste notion. « Pour exister toute chose a besoin de son contraire, sinon elle s’affaiblit jusqu’à l’inexistence »9. Cette idée, Héraclite l’avait déjà émise voici plus de deux mille ans. L’originalité de sa pensée résidait dans la vision qu’il avait du conflit entre les contraires, celui régissant un univers pour lui théâtre de forces agissantes et antagonistes : le jour et la nuit, la vie et la mort, la beauté et la laideur, l’amour et la haine, l’ordre et le désordre… Plus que leur combat, leur complémentarité permettait au monde de s’édifier puisque, conformément à la volonté divine, ils étaient liés entre eux.
Jung estimait cette philosophie en accord avec la réalité humaine dans la mesure où il n’existe rien de complètement fixé ici-bas et où tout ce qui régit notre existence demeure relatif. Il n’est que de comparer les civilisations et les règles morales auxquelles chacune obéit pour s’apercevoir de leur différence, voire de leur opposition. « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà » disait Pascal. Savoir que les mentalités et les conceptions varient selon les époques et les lieus incite l’homme à s’interroger sur lui-même et l’oblige à un effort de réflexion approfondi sur le sens de ses actes. Jung pense qu’une telle conduite justifie le développement de la psychologie car, pour éviter de se laisser hypnotiser par la séduction de l’idée, obligation est faite à l’individu de se pencher sur sa personne et de comprendre les motivations qui la dirigent. Toute décision prise consciemment a son répondant dans l’inconscient et il ne sert à rien de fixer son esprit sur une chose déterminée si les messages envoyés par celui-ci lui sont défavorables. C’est précisément le sens revêtu par la conjonction des opposés, à savoir que l’homme ne peut être totalement lui-même que s’il consent à se remettre en question, la première manifestation des forces contraires s’exprimant bien dans le couple conscient-inconscient. En observant son âme et en comprenant la relativité des principes qui exercent sur lui leur attrait, il pourra assumer avec dignité les inévitables conflits de devoirs qu’il aura à connaître dans sa vie. « La contemplation des opposés enseigne à l’homme oriental le caractère de la maya. Elle confère à la réalité le caractère de l’illusion. Derrière les opposés, et dans les opposés, se trouve la vraie réalité qui voit et embrasse le tout »10. C’est cet idéal que tentaient d’atteindre les alchimistes et la quête de la pierre philosophale trouvait chez eux tout son sens dans leur effort pour dépasser ces forces divergentes.
(…)
Un livre important de Belinda Grace Aux Editions Le lotus et l’éléphant.
Une méthode pour développer son imagination, sa perception, d’abord. Puis, avec des exercices très intéressants, très efficaces, ses dons de clairvoyance et leur utilisation pleine de sens
Voici un livre que j’ai mis longtemps à lire, à intégrer, avant de vous en parler. En effet il m’a complètement interpellé : dans mes méthodes de travail, dans mes méthodes de travail sur moi-même, à cause de la pertinence des exemples que nous donne l’auteur, la clarté du propos et des exercices qu’elle nous propose et qui sont d’une très rare efficacité. Ça marche !
Et le sujet est au cœur de tout ce que nous faisons les uns des autres pour progresser. Pour à la fois nous élever, et trouver à l’intérieur de nous-mêmes cet espace qui est à la fois le cœur et l’esprit, et qui échappe au temps ordinaire au temps linéaire cet espace à l’intérieur de nous-même qui n’est pas seulement nous-mêmes car il est relié au cosmos. Car nous ne sommes pas seulement une feuille de l’arbre, de l’arbre de la connaissance, nous sommes l’arbre lui-même, nous sommes tout l’arbre en même temps qu’une toute petite feuille. De cette toute petite feuille à partir du moment où elle se relie à l’universel à l’invisible… elle va se donner tous les pouvoirs mais au sens noble, les pouvoirs de tout l’arbre, de tout l’univers. Elle va accéder à des choses qui transgressent le quotidien, un quotidien qui nous enferme dans notre personnalité mentale et dans les soucis de l’égo. Elle nous ouvre un monde dans lequel le bonheur, le bonheur non égoïste, devient possible.
Contrairement à beaucoup d’auteurs qui se disent clairvoyants, qui le sont, sans doute, et qui vantent ce qu’ils font pour les autres grâce à cela, Belinda Grace va au contraire s’appliquer à nous aider à développer peu à peu, progressivement et d’une façon pas très pédagogique et d’une façon subtile, tous ces dons que nous recevons de l’univers, tous ces dons qui sont en nous à partir du moment où nous nous relions.
Elle le fait donc en donnant beaucoup d’exemples à partir d’elle-même et à partir de gens qu’elle a connus, des histoires qu’elle connaît. Et aussi à partir d’exercices. Et ces exercices sont tout à fait progressifs.
En effet nous partons avec elle d’un niveau en quelque sorte de débutant. Nous savons, nous pouvons comprendre, que nous avons des dons en nous-mêmes qui ne sont pas exploités. Des dons qu’elle va nous révéler à nous-mêmes notamment au travers des exercices, et qui progressivement vont s’enrichir les uns les autres et nous étonner de par les capacités qui vont se révéler pour nous.
Vous serez aussi étonnés par les sujets que l’on va traiter avec ces exercices, les aventures que l’on va vivre car ce sont de de vraies aventures étonnantes qui ont été vraiment vécues et pensées par l’auteur. La pédagogue qu’elle est commence tout simplement par cultiver l’imagination. L’imagination de chacun qui est certainement l’outil le plus important. L’imagination dit elle est votre interface et votre interprète. C’est le pont entre le monde physique et le monde immatériel. Si vous la laissez s’ouvrir à de nouveaux mondes et à une nouvelle vision pour vous, elle s’avérera être un formidable cadeau.
Effectivement, on va tout au long de ce livre se faire des cadeaux à soi-même, et espérons-le aussi aux autres. Elle commence par nous expliquer que nous avons des moyens pour collecter et pour traduire les informations que l’univers nous adresse, que le cosmos nous adresse. Vous pouvez appeler cela le canal et l’écran intérieur. L’écran intérieur elle y reviendra très vite car c’est le moyen de matérialiser à l’intérieur de soi-même ce qui nous vient de l’univers. Pour commencer, le premier exercice pour exercer notre imagination est un exercice qui paraît banal. Mais qui effectivement va solliciter quelque chose que l’on peut appeler l’écran intérieur. Vous le verrez avec le 2nd puisque forcément nous avons avec le premier découvert que notre imagination est là et que notre écran intérieur répond.
Il a été pour moi vraiment une surprise. Le thème : imaginez un ange. Elle nous demande d’imaginer un ange… Or dans notre mental il y a des tas de représentations des Anges. Et moi j’ai eu la surprise de voir surgir l’image d’un jeune homme. Pas exactement celle d’un humain mais presque. Et ça a induit chez moi tout un tas de réflexions… et une confiance dans ce qui pouvait venir de l’univers, des Anges. Un peu comme pour mon inconscient qui peut parler avec ma conscience.
L’auteure nous parle ensuite des chakras. Du canal et de l’écran intérieur en relation avec les chakras. C’est très important parce que ça permet d’être dans la subtilité de chaque chakra. Dans cette différenciation subtile de sens qui nous relie dans notre esprit avec notre corps. c’est aussi très concret parce qu’il y a les couleurs, il y a les éléments, l’air, etc. Les divers chakras sont considérés comme étant reliés à différents types de problématiques. Nous ouvrons là sur quelque chose d’extrêmement pensé et qui va nous aider tout au long de ces surprises que nous allons vivre avec le livre.
Belinda Grace nous propose un exercice pour nettoyer, rééquilibrer, nos chakras. La réactivation de notre canal tout entier, avec un jeu sur les couleurs très intéressant. D’autres exercices concernent notre canal puis l’écran intérieur lui-même. On va aller plus loin pour en faire un outil intelligent. La première rencontre qu’elle va nous proposer avec ce travail, notre imagination étant ouverte, c’est la rencontre de nos guides spirituels et de nos anges. Nos anges où nous guides spirituels peuvent être très nombreux ou quelques-uns seulement. En tout cas ne nous privons pas de ces accompagnateurs. Ils se trouvent là, pour de nombreuses personnes, lorsqu’il s’agit de se sortir d’une situation très difficile et alors on se sent protégé, on peut se sentir sauvé même par cette force qui vient de l’univers. Ce sont des expériences, une lumière, un dialogue, un dialogue avec les anges, qui vont avoir une influence primordiale sur notre vie et sur notre spiritualité.
Viennent des exercices, et pour rencontrer par exemple l’un de nos anges où l’un de nos guides spirituels elle nous offre des moyens, des canaux, des astuces peut être, pour mener ces rencontres. Et elle nous indique comment rester en contact avec nos guides au chapitre suivant.
C’est une aventure encore plus singulière étonnante qu’elle nous permet de vivre ensuite. C’est ce qu’elle appelle la conversation psychique. Je ne vous en dirai pas plus car il faut avoir la surprise de la découverte. C’est vraiment quelque chose d’inouï et quelque chose qui marche dans la réalité dans, le concret. Derrière ces conversations psychiques vient évidemment le pouvoir du subconscient et la rencontre que nous menons entre l’inconscient, notre conscience, et l’inconscient collectif.
Rien d’une théorie jungienne n’est exposé précisément dans ce livre mais au-delà de cet arrière-plan il y a toujours cette façon de dire son expérience. L’expérience de l’auteur, les rencontres qu’elle a faites, les expériences qu’elle a vécues. Et puis ces exercices qui sont finement pensés.
Vient ensuite quelque chose de courant mais orienté d’une façon intéressante : l’art de l’écriture automatique. Elle nous amène à nous libérer de nos schémas de vies antérieures ou de pesanteurs, si vous voulez. Un inconscient qui nous vient sans doute du passé, sans doute des générations à partir desquelles notre propre vie s’est manifestée, s’est créée. Pour en arriver après aux vies parallèles que vous découvrirez ainsi que les remèdes qu’elles nous indique pour faire face à l’auto-sabotage et à certains aspects de notre personnalité. Toujours avec des exercices. Par exemple sur les aspects négatifs de notre personnalité.
Vient la recherche d’un équilibre entre le cœur et l’esprit, et nombre d’exercices très intéressants. Une question : dois-je méditer ? une réponse : non, mais cela peut réellement vous aider ! Elle termine avec 2 aspects spirituels que je trouve très très beaux, très fondamentaux. Celui de l’enfant intérieur, l’enfant éclairé. Et puis cette interrogation : êtes-vous une graine d’étoile ?
Une aventure humaine se déploie avec ce livre, la mienne, la vôtre, et sans doute – mais est-ce vraiment un but – devenons nous réellement clairvoyants peu à peu.
Les lieux nous parlent, apprenons à les écouter. Car ils nous parlent avec tous ceux qui sont passés par là, au-delà des pensées, des émotions : les lieux sont enchantés par l’Esprit.
Laissez les enchanter votre Esprit, entre ciel et terre !
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L’âme désigne à la fois la vie et la spiritualité, en fait l’être vivant en tant que tel.
Comment différencier l’âme de l’esprit ? L’âme concerne notre activité psychique, nos états de conscience, elle reflète, traduit, exprime, notre moi profond.
L’esprit, c’est le souffle, le principe créateur. Il spiritualise aussi bien l’âme que le corps. C’est le “noûs” de l’antiquité grecque, développée par Platon, Aristote et Plotin.
Pour Platon « c’est l’âme qui est l’homme ».
Un film qui ravira votre âme
Le parcours initiatique est une re-naissance. Le passage d’un ancien moi et d’un ancien monde à un nouveau. Il ouvre notre vie à la spiritualité, à la liberté inconditionnelle de l’Esprit, et à un vécu plus ample, d’amour et de bienveillance.
Mais cette renaissance suppose la mort, une mort symbolique, certes, mais que l’initié reçoit pleinement, vitalement.
Il s’agit de passer de l’apparence à l’être… et c’est vrai aussi, nous explique Patrick Burensteinas, de la santé.
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Transcription partielle de l’interview de Patrick Burensteinas
Mon frère Patrick que pourrais-tu dire sur la relation entre santé et parcours initiatique ?
Un lien étroit, à tel point que quand quelqu’un est malade et qu’on ne peut rien pour lui, on dit qu’il est perdu. Donc on peut dire que si on se retrouve on est guéri.
Finalement pour moi être malade c’est d’avoir perdu son chemin si on est capable de le retrouver bien à ce moment-là on n’a plus cette notion de dette de travers d’être malade c’est pour moi c’est une désorientation sens littéral du terme. Donc retrouver l’orient évidemment est une manière de recouvrer sa santé.
Donc je pense que c’est indissociable. La vie c’est une initiation.
D’ailleurs, quand on arrive ici dans ce monde on nait, naître. Quand on meurt on disparaît. Donc la question c’est qu’on ne fait que paraître on peut dire on n’est quand, puisque j’apparais, je disparais. La clé c’est la clé de l’être. Donc peut-être que tout notre chemin initiatique mais aussi celui de ma propre santé c’est de passer de l’apparence à l’être.
D’ailleurs c’est bizarre parce que le contraire de la vie c’est la mort. Mais le contraire de la naissance c’est quoi ? Et bien naître c’est non-être. Je ne suis plus. Donc peut-être que la mort c’est une manière d’être de nouveau peut-être que la naissance, l’arrivée dans ce monde, c’est un fractionnement comme une feuille sur un arbre et le but du chemin initiatique c’est non seulement d’avoir conscience de la feuille mais d’être capable de remonter au tronc, retrouver cette unité et surtout se rendre compte qu’on est un arbre et pas seulement une feuille.
Tout ça est lié aussi à ma conscience du corps c’est à dire est ce que je me sens en unité avec mon corps ou est-ce que je me sens fractionné. Est-ce que je vais retrouver le chemin de mon corps d’ailleurs on parle aussi de retour aux sources donc de retour aux sources c’est bien un chemin à faire
D’ailleurs il y a certains certaines cérémonies ont dit retournez-vous. Qu’est-ce qu’on entend par là est-ce que c’est mécanique je me retourne où est ce que je me retourne comme un gant c’est à dire est ce que je regarde à l’intérieur de moi ? Ce qui est à l’intérieur est comme ce qui est à l’extérieur…
La suite : écouter ci-dessus
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Nous ne sommes pas ici dans les phénomènes de mode concernant les pratiques chamaniques.
The Conversation France propose un ensemble de podcasts aussi intéressants que ses articles, écrits par des universitaires. “Secrets de terrain” s’intéresse particulièrement au chamanisme.
Ici l’expérience d’une chercheuse dans un village du Népal
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Voici un livre, disponible ici, qui est aussi beau qu’intéressant.
Nous le présentons aussi ici de manière personnelle, vivante, dans nos Podcasts ici
Présentation par l’éditeur :
L’immensité des mers et des océans, dont l’étendue dépasse largement celle de tous les continents réunis, constitue une source de fascination, de beauté et de vie sans pareille.
Dans ce magnifique ouvrage illustré, vous découvrirez les innombrables bienfaits de la mer et de son environnement sur notre santé et notre bien-être. Bains d’eau salée, air iodé, thalassothérapie, bruit relaxant des vagues, « gym bleue », et bien d’autres pratiques diminuent le stress, améliorent le sommeil, stimulent l’énergie…
La mer nous inonde de bonnes ondes et nous revitalise.
Vous trouverez dans ce livre tous les conseils pour profiter au mieux de cet élément de sorte que votre communion avec ces « espaces bleus », ainsi que la connaissance des dangers qui les menacent, vous donneront envie de prendre soin de cet environnement si précieux, autant qu’il prend soin de vous.
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